Bâa ngâ : trepas

Yângâ tî Farânzi

Pandôo

trépas \tʁe.pa\ wala \tʁe.pɑ\ linô kôlï

kûâ
- Alors les hommes mirent autant d’ardeur à chercher le trépas qu’ils en avaient mis jadis à le fuir. — (« Le Poirier de Misère » na Charles Deulin, Cambrinus et autres Contes , circa 1847–1875)
- À Neufchâtel, on annonce le trépas par quinze coups de cloche pour un homme, douze pour une femme, et six pour un garçon et une fille. — (Dieudonné Dergny, Les Cloches du Pays de Bray , 2^e partie, Derache & Rouen, Le Brument, Paris, 1865, lêmbëtï 8)

Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine