divorce
Apparence
Pandôo
[Sepe]divorce \dɪˈvɔːs\
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï
Pandôo
[Sepe]divorce \di.vɔʁs\ linô kôlï
- këngö-terê, kângbi tî selêka
- Nous connaissons déjà les noces d’argent, d’or et de diamant : de l'autre coté de l’Atlantique, où, par suite de la facilité du divorce, les longs mariages sont plus rares, la mode, à présent, est de célébrer, dès après dix ans de vie conjugale, ses noces d'étain. — (« Un débouché pour l'étain » na Le Travail National , 1903, lêmbëtï 528)
- Mon vieil ami Élisée Reclus qui a eu le rare courage de conformer sa conduite à ses principes, et qui avait présidé à l’union libre de ses filles, était un adversaire du divorce dans lequel il voyait le moyen le plus sûr de consolider le mariage. — (Alfred Naquet, Vers l’union libre , 1908)
- Dans les divorces de jeunes, la présence des enfants, dont il faut partager la garde, et qu’on aime plus ou moins malgré tout, amoindrit souvent la violence de l’affrontement ; mais dans les divorces de vieux, où seuls demeurent les intérêts financiers et patrimoniaux, la sauvagerie du combat ne connaît plus aucune limite. — (Michel Houellebecq, La carte et le territoire , 2010, J’ai lu, âlêmbëtï 283-284)
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï