aube
Apparence
Pandôo 1
[Sepe]aube \ob\ linô gâlï
- ndën
- Au réveil, dans les premières blancheurs de l’aube apparaît un fleuve qui tourne sous ses fumées matinales […] — (Hippolyte Taine, Voyage en Italie , 1866, vol. 2)
- Dès l’aube, tout Tarascon était sur pied, encombrant le chemin d’Avignon. — (Alphonse Daudet, Aventures prodigieuses de Tartarin de Tarascon )
- Souvent, la nuit, par les beaux clairs de lune, il se levait et restait à l’affût jusqu’à l’aube. — (« Mon oncle » na Octave Mirbeau, Contes cruels )
- Ils attendent l’aube stoïquement, devant un café-crème ou, favorisés par la chance, font parfois la rencontre d’un compatriote qui leur paie à souper. — (Francis Carco, Images cachées , 1928)
- Enfin, l’aube, une aube splendide, mauve comme en plein été, nous fouetta. La détente fut délicieuse. — (Dieudonné Costes na Maurice Bellonte, Paris-New-York , 1930)
- Pas un détenu qui ne se retourne le soir sur sa paillasse à l’idée que l’aube peut être sinistre, qui ne s’endort sans souhaiter qu’il ne se passe rien. — (Henri Alleg, La Question , 1957)
- Il est expédient de bifurquer à faux pour dérouter les pillards qui braconnent les tenderies dès l’aube, avant le propriétaire. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)
- (Zäzämä) töngö-ndâ
- L’éducation moyenne atteignait un niveau extraordinaire, et, à l’aube du XXe siècle, on trouvait relativement peu de gens, dans l’Europe occidentale, qui ne sussent lire et écrire. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 407)
- D’ailleurs, à quelques signes, on pourrait croire que l’aube de la sincérité commence à poindre. — (Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc, Entretiens sur l’architecture )
Âlïndïpa
[Sepe]- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine