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À N'Djaména, les tchadiens passent des fins de mois explosives, pleines de festivités et d'amusements. Passez un week-end à N'djam en lisant cet article.

Ces derniers mois au Tchad, et plus particulièrement à N’Djamena, le coût de la vie ne cesse de grimper. Tout devient plus cher et les prix ne sont plus les mêmes qu’avant. Dans cet article je vous propose de suivre la réalité de la flambée des prix qui touche mon pays aujourd’hui.

La ville n’est plus ce qu’elle était. L’architecture de N’Djaména a changé. Il y a trop de briques cuites et de parpaings en ville, le bitume a aussi augmenté. A ce qu’il parait, la ville se modernise et c’est signe de richesse de construire comme le font les occidentaux !

C’est pour la première fois dans l’histoire que les blogueurs tchadiens se sont réunis pour célébrer cette journée spéciale dédiée au Blogging. Une occasion de rencontrer quelques anciens blogueurs issus des premières heures, tout comme les nouveaux.

Grâce au Centre de Transcription et d’Edition en Braille, nous avons déposé dans le nid du Centre de Ressources pour Jeunes Aveugles (CRJA), un brin d’amour. Celui de la lecture, de la promesse d’un voyage exaltant «au bout des doigts ».

Au total, 43 artistes se sont produits sur la désormais mythique scène de Koura Gosso. Deux venus du Cameron et un autre du Niger mobilisant plusieurs milliers de participants.

Chaque année, un décor de désespoir s’établit à N’Djaména. Des jeunes se mobilisent ci et là pour compacter le sol, des voisins cotisent de l’argent pour acheter quelques Benz d’ordures et de sable, des jeunes curent eux-mêmes les caniveaux de leur quartier sans un équipement adapté…

Nous avons atterri à 14 h. Le soleil est au zénith à l’aéroport de Faya-Largeau. Dès notre descente de l’hélicoptère, un homme est venu nous chercher. Dans sa tenue militaire, je parviens à lire son grade. C’est le colonel de l’armée nationale.

Feu, le président du Tchad Idriss Deby Itno a reçu tous les honneurs ce vendredi 23 avril, place de la Nation. Plusieurs chefs de gouvernement comme le Congolais Félix Tshisekedi, le Français Emmanuel Macron et le représentant de l’Union européenne (UE) Joseph Borrell ont pris part à la cérémonie officielle.

Vers le mois de mars, lorsque l’eau du fleuve Chari quitte son lit naturel, il devient un lieu propice pour certaines activités lucratives. Des femmes et des hommes arpentes alors ses abords pour des cultures maraichères en tous genres.

« Bientôt deux heures que nous roulons. J’ai failli heurter ma tête contre celle de mon voisin… L’homme me regarde et me dit de bien m’agripper. Je m’accroche de toutes mes forces. Le bus ne roule quasiment plus. Il dandine, pivote, et avance à pas de caméléon. »

Il y a déjà une trentaine d’années que le Centre de ressources pour jeunes aveugles a été créé. Il scolarise les jeunes non-voyants mais fait aussi face à un manque criant de livres.

Depuis quelques jours se tient au sein de l’Institut Français du Tchad, en pleine ville de N’Djaména, une exposition qui met en valeur les « reines » de Gaoui, une localité située à une vingtaine de kilomètre de la capitale tchadienne.

Le confinement total et le couvre-feu de N’Djaména sans préparation et sans accompagnement sont des décisions hâtives et improductives.

La septième édition du festival littéraire international Le souffle de l’Harmattan s’est tenu du 9 au 12 décembre 2020 au centre culturel Al-mouna, à N’Djamena. Le pays invité d’honneur est le Burkina-Faso. Cette année, l’édition est particulière et s’est déroulée dans le calme et le respect des mesures barrières.

Depuis deux ans, des jeunes gens ont eu une idée ingénieuse : créer une école qui s’adapterait parfaitement au rythme de vie des nomades, afin que les enfants puissent recevoir une éducation de qualité sans risquer de compromettre leur culture, leur mode de vie.

Dans le cadre du novembre numérique, le centre Wenaklabs entame sa deuxième édition de Blog camp 235, une formation axée sur la citoyenneté et les outils numériques afin d’interpeller les jeunes à bien utiliser leur blog et les réseaux sociaux.

Ce mois de novembre numérique veut donner la lettre de noblesse à la littérature tchadienne d’expression française, pour inciter la jeunesse à lire et écrire.