Aller au contenu

Seuilly

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Seuilly
Seuilly
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Chinon
Intercommunalité CC Chinon, Vienne et Loire
Maire
Mandat
Thierry Deguingand
2020-2026
Code postal 37500
Code commune 37248
Démographie
Gentilé Sullaciens
Population
municipale
382 hab. (2021 en évolution de +9,46 % par rapport à 2015)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 08′ 05″ nord, 0° 10′ 21″ est
Altitude Min. 35 m
Max. 111 m
Superficie 15,73 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Chinon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chinon
Législatives 4e circonscription d'Indre-et-Loire
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Seuilly
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Seuilly
Géolocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
Voir sur la carte topographique d'Indre-et-Loire
Seuilly
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Seuilly
Liens
Site web https://seuilly.fr/

Seuilly est une commune française du département d'Indre-et-Loire, dans la région Centre-Val de Loire.

Ses habitants sont appelés les Sullacien (ne) s.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Beuxes, Cinais, Lerné, Marçay, La Roche-Clermault, Thizay et Vézières.

Hydrographie

[modifier | modifier le code]
Réseau hydrographique de Seuilly.

Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 9,72 km, comprend un cours d'eau notable, le Négron (0,671 km), et sept petits cours d'eau pour certains temporaires[1],[2].

Le Négron, d'une longueur totale de 25,5 km, prend sa source dans la commune de Loudun (Vienne) et se jette dans la Vienne à Cinais, après avoir traversé 10 communes[3]. Sur le plan piscicole, le Négron est classé en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[4].

Deux zones humides[Note 1] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée du Ruisseau du Quincampoix » et « Le Marais de Taligny »[5],[6].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 622 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chinon - Viti », sur la commune de Chinon à 7 km à vol d'oiseau[9], est de 12,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 671,9 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Au , Seuilly est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chinon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62 %), forêts (23 %), prairies (7,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,6 %), zones urbanisées (2,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,4 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 223, alors qu'il était de 220 en 2013 et de 208 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 74,3 % étaient des résidences principales, 14,4 % des résidences secondaires et 11,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 86,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,9 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Seuilly en 2018 en comparaison avec celle d'Indre-et-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (14,4 %) supérieure à celle du département (4,7 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 60,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (52,6 % en 2013), contre 59,1 % pour l'Indre-et-Loire et 57,5 % pour la France entière[I 3].

Le logement à Seuilly en 2018.
Typologie Seuilly[I 2] Indre-et-Loire[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 74,3 86,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 14,4 4,7 9,7
Logements vacants (en %) 11,3 8,6 8,2

Risques naturels et technologiques

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Seuilly est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le risque nucléaire[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels

[modifier | modifier le code]
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Seuilly.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[19]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 93,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 218 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 151 sont en aléa moyen ou fort, soit 69 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[21].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[17].

Risques technologiques

[modifier | modifier le code]

En cas d’accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l’atmosphère de l’iode radioactif. La commune étant située dans le périmètre immédiat de 5 km autour de la centrale nucléaire de Chinon, elle est exposée au risque nucléaire. À ce titre les habitants de la commune ont bénéficié, à titre préventif, d'une distribution de comprimés d’iode stable dont l’ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d’une exposition à de l’iode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés en leur possession[22].

Le nom de la commune vient du Bas latin Soliacus, avec pour gentilice Solius et suffixe -acum[23].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Chinon du département d'Indre-et-Loire.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Chinon[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Chinon ,porté de 15 à 27 communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription d'Indre-et-Loire.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Seuilly était membre de la communauté de communes de la Rive gauche de la Vienne, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1993 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Chinon, Vienne et Loire, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
août 1942[25]   Julien Thomas   Président de la délégation spéciale instituée par le Gouvernement de Vichy
         
mars 2001 mars 2008 Gilles Brard    
mars 2008 28 avril 2017[26] Jacques Aupic DVG Retraité de l'enseignement
Vice-président de la CC Chinon, Vienne et Loire ( ? → 2015)
Mort en fonction
29 juin 2017[27] 7 septembre 2017[28],[29] Jacky Fumard   Retraité
Élection invalidée par le tribunal administratif d'Orléans
25 septembre 2017[29] En cours
(au 9 juin 2023)
Thierry Deguingand   Cadre retraité, propriétaire de chambres d'hôtes
Vice-président de la CC Chinon, Vienne et Loire (2020 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[30]

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Seuilly se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Chinon.

L'école élémentaire accueille les élèves de la commune.

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].

En 2021, la commune comptait 382 habitants[Note 3], en évolution de +9,46 % par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
541546506559612619597601568
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
565556515520466465458457470
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
455445425370384370362487382
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
404358331338366369395370384
2014 2019 2021 - - - - - -
353375382------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

[modifier | modifier le code]

Depuis 2012, la commune de Seuilly accueille le festival de La Dive musique qui a lieu chaque année fin juillet, début août. Le président-fondateur du festival est Patrice Franchet d'Espèrey, le directeur artistique qui en assure la programmation est le claveciniste Stéphane Béchy[34],[35].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]
La maison de Rabelais.

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Au XVIIe siècle, elle est entre les mains de la famille Le Cœur, comme d’autres lieux de Seuilly : la Bassaizière, la Touche, la Grand Cour, la Mairie, la Meslière, dont les membres sont avocats, conseillers du roy, procureurs, à Saumur et Richelieu.
Puis, La Motte passe jusqu’en 1751 aux Chesnon, année où elle est vendue à damoiselle Marie Auvinet (apparentée à la famille Chesnon) ; elle restera dans cette famille jusqu’à la fin du XIXe siècle.
La ferme de La Motte était une métairie relevant du château du Coudray-Montpensier.
La plus ancienne mention connue date de 1508 et concerne une saisie féodale.
Le logis principal comporte deux niveaux, avec chacun une grande salle ; celle du rez-de-chaussée possède une cheminée ; à l’étage la salle est directement sous la toiture.
Trois ouvertures comportaient des meneaux de pierre ; l’ouverture nord possède encore une huisserie à meneaux et volets du XVIe siècle.
Une curieuse loggia, unique en Touraine, agrémente la façade et permet l’accès à l’étage ; sous l’Ancien Régime, un escalier extérieur à grands degrés permettait d’y accéder ; il a été supprimé à une date inconnue, et remplacé par un escalier de meunier en bois.
Ce bâtiment, en moellons de calcaire et terre, a conservé son caractère d’origine, malgré de nombreuses réparations et reprises de maçonnerie. En 1751, il est dit « en très mauvais état » ; sont-ce les conséquences du tremblement de terre de Loudun ?
Un aveu de 1656 décrit : « un coullombier compossé aveq six cents trous basty a chau et a sable aveq un daum au dessust…Le portail fourni d’une grande porte (.. ?) de bois de chesne clouée et ferée de poutre ».
Ce colombier se trouvait à gauche du portail, dont on aperçoit le pilier droit, à l'emplacement du tas actuel de pierres recouvert de végétation.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Coco Téxèdre (1953-), plasticienne française, réside à Seuilly depuis plusieurs années[38].

Patrice Franchet d'Espèrey (1947-), écrivain et écuyer français du Cadre noir de Saumur, spécialiste de l'équitation de tradition française d'expression baucheriste, président du festival La dive musique

Stéphane Béchy (1963-), claveciniste, concertiste international, directeur artistique de La dive musique

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier | modifier le code]

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  2. « Carte hydrologique de Seuilly », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Fiche Sandre - le Négron », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  4. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  5. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur terresdeloire.net (consulté le ).
  6. « L'inventaire départemental des zones humides », sur indre-et-loire.gouv.fr, (consulté le ).
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Seuilly et Chinon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Chinon - Viti », sur la commune de Chinon - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Chinon - Viti », sur la commune de Chinon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chinon », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Seuilly », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  23. Quartas sitas in Pago Turonico, in Vicaria Caynonensi, in Curte Sulliacensi, 16 février 999 (Bibliothèque municipale de Reims, coll. Tarbé, no 14 ; Bibliothèque nationale de France-Coll. Gaignières, t. 192, fol. 141, charte d’Archambault, archevêque de Tours) ; Curtis Sulliacensis, 1114 (Bibliothèque nationale de France-Coll. Dom Housseau, charte de l’abbaye de Fontevraud) ; Johannes Flandum, parochianus de Sulleio, 1247 (Archives nationales-JJ 274, Querimoniae Turonum, no 486) ; Dicit Hamericus le Roi, de parrochia de Sullé, 1247 (Archives nationales-JJ 274, Querimoniae Turonum, no 1045) ; Johannes de Herzeio, parochianus de Suleio, 1247 (Archives nationales-JJ 274, Querimoniae Turonum, no 1053) ; Le fort de Suilly, mars 1376 (Archives nationales-JJ 108, no 238, fol. 137) ; Seuilly l’Abbaye, XVIIIe siècle (Carte de Cassini).
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. « Conseils municipaux - délégations spéciales », Journal officiel de l’État français, no 188,‎ , p. 2715 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
  26. « Jacques Aupic, maire de Seuilly, n'est plus », La Nouvelle République du Centre-Ouest,‎ 29/4/2017 mis à jour le 2/6/2017 (lire en ligne, consulté le ) « Résidant à Seuilly, où le couple avait acquis une maison, Jacques Aupic y coulait depuis 2003 une retraite paisible, lorsque Gilles Brard, le maire de la commune, qui voulait passer la main, vint le solliciter pour lui succéder en 2008. Les électeurs ont entériné ce souhait, et avaient même réélu Jacques Aupic pour un nouveau mandat en 2014 ».
  27. « Fumard », La Nouvelle République du Centre-Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jacky Fumard et Thierry Deguingand ont obtenu chacun cinq voix, le dernier des onze bulletins étant blanc. Jacky Fumard, 72 ans, a été déclaré maire au bénéfice de l'âge, son concurrent n'ayant que 59 ans ».
  28. « Seuilly : l'élection du maire invalide ? », La Nouvelle République du Centre-Ouest,‎ 1/7/2017 mis à jour le 28/7/2017 (lire en ligne, consulté le ).
  29. a et b « Élection invalidée : un nouveau maire à Seuilly », La Nouvelle République du Centre-Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Seuilly : Thierry Deguingand est réélu », La Nouvelle République du Centre-Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. « Accueil - La Dive Musique », sur La Dive Musique (consulté le ).
  35. Patrick Ferret, « La Dive Musique, festival de musique ancienne, revient sur les terres de Rabelais : Pour sa 12ème édition, du samedi 12 au dimanche 20 août 2023, La Dive Musique va prendre son envol en compagnie des oiseaux. Le festival de musique ancienne créé à Seuilly, le village natal de François Rabelais, s'apprête à investir des lieux du patrimoine en déclinant sa thématique "des musiciens et des oiseaux" », France 3 Centre-Val de Loire,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. « Le domaine du château Coudray-Montpensier », sur Site officiel du vignoble Coudray-Montpensier (consulté le ).
  37. (en) « Latécoère Foundation », sur Latécoère Foundation (consulté le ).
  38. « Artiste plasticienne : peintures, sculptures, livres - Coco Téxèdre », sur Coco Téxèdre (consulté le ).