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Saint-Selve

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Saint-Selve
Saint-Selve
La mairie en août 2015.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Bordeaux
Intercommunalité Communauté de communes de Montesquieu
Maire
Mandat
Nathalie Burtin-Dauzan
2020-2026
Code postal 33650
Code commune 33474
Démographie
Gentilé Saint-Selvais
Population
municipale
3 578 hab. (2021 en évolution de +28,94 % par rapport à 2015)
Densité 202 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 40′ 17″ nord, 0° 28′ 44″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 63 m
Superficie 17,74 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Brède
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Saint-Selve
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Saint-Selve
Liens
Site web www.saintselve.fr/

Saint-Selve est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Localisation

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La commune est située dans la forêt des Landes de Gascogne et le vignoble des Graves, sur le Gat mort, à proximité de la sortie no 1.1, dite de La Brède, de l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse).

Hameaux : Jeansotte, Larnavey, Civrac, Lacanau,Foncroise, Mathelin et Bigard.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes en sont Ayguemorte-les-Graves et Beautiran au nord, Castres-Gironde au nord-est, Portets à l'est, Saint-Michel-de-Rieufret dans un grand sud-sud-est, Saint-Morillon au sud-ouest et La Brède au nord-ouest.

Communes limitrophes de Saint-Selve[1]
La Brède Ayguemorte-les-Graves          Beautiran Castres-Gironde
Saint-Selve[1] Portets
Saint-Morillon Saint-Michel-de-Rieufret                              

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 927 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cadaujac à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 918,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Saint-Selve est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (76,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (63,6 %), zones urbanisées (13,3 %), cultures permanentes (11,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5 %), prairies (3,9 %), mines, décharges et chantiers (2,1 %), terres arables (0,5 %), zones agricoles hétérogènes (0,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Selve est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Saint-Selve est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[16]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[17],[18].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Selve.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 103 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 103 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 2].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999, 2014 et 2021, par la sécheresse en 1989, 1991, 2003, 2005 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[14].

Le nom de la commune provient de Sanctus Severus, saint Sévère, patron des tisserands, puis serait devenue Saint-Selve sous l’influence du latin silva, la forêt[21].

Le nom gascon de la commune est Sent Seuve.

La commune fut fondée après la séparation des espaces brédois en plusieurs cantons, opérée en 1457 par le duc Crêne. D'abord connue sous le nom de Sainte-Sylve, évoluera au fil de l'Histoire sous l'influence des différents modifications de la langue. Le nom de Saint-Selve aurait été attribué en 1692 par l'’évêque Lauje Sunix.

Certaines légendes entourent Saint-Selve et notamment sa fontaine qui aurait des vertus thérapeutiques[22].

Pour l'état de la commune au XVIIIe siècle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[23].

À la Révolution, la paroisse Saint-Selve forme la commune de Saint-Selve[24].

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
vers 1894   Paul Labuzan[25]    
Les données manquantes sont à compléter.
1959 1983 Ludovic de Villeneuve DVD  
1983 1995 Christian Orard PS  
juin 1995 mars 2014 Pierre-Jean Théron UMP  
mars 2014 En cours Nathalie Burtin-Dauzan DVG Fonctionnaire

Drapeau de l'Italie Prizzi (Italie) depuis 2005[26]

Intercommunalité

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Saint-Selve fait aujourd'hui partie de la communauté de communes de Montesquieu comme 12 autres communes alentour.

Démographie

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Les habitants sont appelés les Saint-Selvais[27].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

En 2021, la commune comptait 3 578 habitants[Note 2], en évolution de +28,94 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9508989229439791 0401 0461 0411 050
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0291 0391 0049579821 0011 000985986
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
952953911754705690644534604
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
6617177899691 3241 6321 9102 1712 865
2021 - - - - - - - -
3 578--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L'église Saint-Sévère, d'origine romane, a été remaniée d'importance au XVIIIe siècle ; une galerie latérale avec arcades qui donne sur les jardins a été ajoutée au début du XXe siècle[32].
  • Fontaine de dévotion à Notre-Dame-de-la-Houn, jouxtant le lavoir[33].
  • Château de La Chapelle, siège de Montalier, un centre hospitalier privé à but non lucratif, spécialisé en réhabilitation psycho-sociale[34].
  • Château de Grenade, au sud de la commune, en limite de Saint-Michel-de-Rieufret, a été bâti au XIXe siècle par l'architecte bordelais Henri Duphot sur commande des propriétaires du domaine, l'homme politique Edmond de Carayon-Latour (1811-1887) et son épouse Henriette de Châteaubriand (1824-1903), nièce de l'écrivain[35].
  • Grosse ferme de Mathelin : façades latérales à pignons ornés de boules d'amortissement XVIIe-XVIIIe siècle.
  • Vestiges de voie romaine.
  • Château Razens (ou des Razins), des XVIIe-XIXe siècles : ruiné par les troupes nazies qui l'occupèrent entre 1940 et 1945, il n'en subsiste que deux tours[36].

Personnalités liées à la commune

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Saint-Selve sur Géoportail, consulté le 21 août 2015.
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-Selve et Cadaujac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Cadaujac-inra » (commune de Cadaujac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Cadaujac-inra » (commune de Cadaujac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Selve ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Selve », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Le risque feux de forêts. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. Saint-Selve sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 21 août 2015.
  22. « Fontaine de Saint-Selve », sur Gironde Tourisme (consulté le ).
  23. Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 3, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), article 5.IX, pages 65-69
  24. Historique des communes, p. 59, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 21 août 2015.
  25. Selon Un peu d'histoire sur le site de la mairie.
  26. Annuaire des villes jumelées
  27. Nom des habitants de la commune sur le site Habitants.fr, consulté le 21 août 2015.
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Église Saint-Sévère sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 21 août 2015.
  33. Oratoire de Notre-Dame-de-la-Houn sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 21 août 2015.
  34. « Montalier • Centre soins psychiatrique 17-25 ans •Bordeaux », sur montalier.fr, (consulté le ).
  35. Domaine de Grenade sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 21 août 2015.
  36. Château Razens sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 21 août 2015.
  37. Hervé Mathurin, « Dumas retient ses coups », Sud Ouest,‎ (ISSN 1760-6454, lire en ligne).