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Philippe Douste-Blazy

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Philippe Douste-Blazy
Illustration.
Philippe Douste-Blazy en 2008.
Fonctions
Secrétaire général adjoint des Nations unies[1]

(9 ans)
Secrétaire général Ban Ki-moon
António Guterres
Successeur Jean-Pierre Lacroix
Ministre des Affaires étrangères

(1 an, 11 mois et 13 jours)
Président Jacques Chirac
Gouvernement Villepin
Prédécesseur Michel Barnier
Successeur Bernard Kouchner
Ministre des Solidarités, de la
Santé et de la Famille

(1 an et 2 mois)
Président Jacques Chirac
Gouvernement Raffarin III
Prédécesseur Jean-François Mattei
Successeur Xavier Bertrand
Secrétaire général de l'UMP

(2 ans et 11 jours)
Prédécesseur Création de la fonction
Successeur Pierre Méhaignerie
Maire de Toulouse

(3 ans, 1 mois et 6 jours)
Élection
Prédécesseur Guy Hersant
Successeur Françoise de Veyrinas (intérim)
Jean-Luc Moudenc
Président du groupe UDF de
l'Assemblée nationale

(2 ans et 11 mois)
Législature XIe (Cinquième République)
Prédécesseur François Bayrou
Successeur Hervé Morin
Ministre de la Culture

(2 ans et 15 jours)
Président Jacques Chirac
Gouvernement Juppé I et II
Prédécesseur Jacques Toubon
Successeur Catherine Trautmann
Porte-parole de gouvernement

(3 mois et 22 jours)
Président François Mitterrand
Gouvernement Balladur
Prédécesseur Nicolas Sarkozy
Successeur François Baroin
Ministre délégué à la Santé

(2 ans, 1 mois et 11 jours)
Président François Mitterrand
Gouvernement Balladur
Prédécesseur Bernard Kouchner
Successeur Élisabeth Hubert
Député français

(3 ans et 28 jours)
Élection 1er avril 2001 (élection partielle)
Réélection 16 juin 2002
Circonscription 1re de la Haute-Garonne
Législature XIe et XIIe (Cinquième République)
Groupe politique UDF (2001-2002)
UMP (2002-2004)
Prédécesseur Dominique Baudis
Successeur Bernadette Païx

(3 ans, 9 mois et 20 jours)
Réélection 1er juin 1997
Circonscription 2e des Hautes-Pyrénées
Législature XIe (Cinquième République)
Groupe politique UDF
Prédécesseur Jean-François Calvo
Successeur Chantal Robin-Rodrigo

(29 jours)
Élection 28 mars 1993
Circonscription 2e des Hautes-Pyrénées
Législature Xe (Cinquième République)
Groupe politique UDFC
Prédécesseur Claude Gaits
Successeur Jean-François Calvo
Député européen

(3 ans, 8 mois et 5 jours)
Élection 25 juin 1989
Successeur Jean-Pierre Abelin
Maire de Lourdes

(10 ans, 10 mois et 28 jours)
Prédécesseur François Abadie
Successeur Jean-Pierre Artiganave
Biographie
Date de naissance (71 ans)
Lieu de naissance Lourdes (France)
Nationalité Française
Parti politique CDS (1989-1995)
FD (1995-1998)
UDF (1989-2002)
UMP (2002-2008)
Diplômé de Université de Toulouse
Profession Cardiologue

Philippe Douste-Blazy
Maire de Toulouse

Philippe Douste-Blazy, né le à Lourdes (Hautes-Pyrénées), est un médecin et un homme politique français.

Membre de l'UDF puis de l'UMP, il est député et maire de Lourdes puis de Toulouse. Plusieurs fois ministre (Culture, Santé, Affaires étrangères), il est, de 2008 à 2017, secrétaire général adjoint des Nations unies et conseiller spécial du secrétaire général des Nations unies, chargé des sources novatrices de financement du développement[pas clair].

Natif de Lourdes, Philippe Douste-Blazy est le fils de Louis Douste-Blazy, professeur de médecine, et de Geneviève Béguère (1924-2018), ancienne dirigeante de la Ciergerie lourdaise[2] et fille d'Antoine Béguère, sénateur-maire de Lourdes et dirigeant du FC Lourdes, lors des « années dorées » de ce club de rugby.

Philippe Douste-Blazy étudie au lycée Pierre-de-Fermat puis suit des études de médecine à Toulouse où il effectue son internat en 1976, et y soutient sa thèse en 1982, pour laquelle il obtient un prix en 1985[3]. Il exerce ensuite comme cardiologue à Lourdes et à Toulouse, notamment à l'hôpital de Purpan à partir de 1986. Il rejoint alors la Société française de cardiologie. Il devient en 1988 professeur de médecine à la faculté des sciences de Toulouse, en épidémiologie, économie de la santé et prévention.

Débuts politiques

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Il entre en politique en en étant élu maire de Lourdes (Hautes-Pyrénées), soutenu par le joueur de rugby Jean-Pierre Garuet[4]. Sa liste remporte au premier tour 53,81 % des suffrages contre 42 % à celle de François Abadie, élu depuis 1971[5].

Il est élu député européen, sur la liste « Le Centre pour l'Europe », en juin de la même année. Il siège dès lors au Parti populaire européen.

Cette année est aussi celle de son élection comme directeur national de l'Association de recherche contre les élévations du cholestérol (ARCOL).

Incontesté dans les scrutins locaux jusqu'à son départ de Lourdes, il connaît une ascension rapide : élu député dans la deuxième circonscription des Hautes-Pyrénées fin , il abandonne son mandat en mai, à la suite de sa nomination comme ministre délégué à la Santé, fonction qu'il cumule avec celle de porte-parole du gouvernement à partir du . En mars 1994, il est élu au conseil général des Hautes-Pyrénées, devient secrétaire général du CDS en décembre suivant, et est réélu au premier tour des municipales en 1995[5].

À Lourdes, Philippe Douste-Blazy axe son action sur le tourisme. La RN 21, l'aéroport Tarbes-Ossun-Lourdes et la nouvelle gare SNCF améliorent la desserte de la ville, qui se dote d'un nouvel office du tourisme et de deux accueils pour les malades en remplacement des anciens hospices. Mais la reprise en régie municipale du golf, hérité de l'équipe précédente, et l'acquisition du lac de Lourdes, dont l'aménagement est ensuite suspendu, alourdissent les finances municipales[5]. La chambre régionale des comptes constate en 1997 une augmentation des frais de fonctionnement de la ville, due selon l'opposition au nombre de collaborateurs du cabinet pléthorique et à une politique de communication coûteuse. Les impôts locaux augmentent de 77,8 % entre 1988 et 1994[5], pour rebaisser à partir de 1998[6], l'endettement de la ville atteint 206 millions de francs soit 13 885 francs par habitant en 2000, et la taxe de séjour est instaurée[5]. En matière d'emplois, il doit faire face à la fermeture de l'abattoir, et tente sans succès d'attirer deux usines pharmaceutiques[5].

Ministre de la Culture

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Soutien de Jacques Chirac à l'élection présidentielle de 1995, il est nommé ministre de la Culture le après la victoire de ce dernier.

En juin, il est réélu maire de Lourdes, et devient secrétaire général de Force démocrate fin novembre. Il est ensuite membre du bureau politique de l'UDF (1996-1999) et vice-président de l'UDF.

En tant que ministre, il accentue les politiques culturelles en direction des territoires urbains et ruraux défavorisés, en associant les acteurs de l'aménagement du territoire et de l'Éducation nationale[7].

Le à 18 h 30, il est poignardé dans le dos par Adal Cisti, un déséquilibré d'origine albanaise[8].

Député et maire de Toulouse

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En , la défaite de la droite aux élections législatives anticipées lui fait perdre son portefeuille à la Culture. Il retrouve son siège de député des Hautes-Pyrénées, devenant président du groupe UDF-Alliance à l'Assemblée nationale. Le , il est témoin de l'arrêt cardiaque de Michel Crépeau en séance parlementaire des questions au gouvernement et le ranime (Michel Crépeau décédera quelques jours plus tard).

En mars 2001, il laisse la circonscription de Lourdes pour se faire élire dans la première circonscription de la Haute-Garonne. Abandonnant ses mandats de conseiller général et de membre du conseil municipal de Lourdes, il remporte à la même date la mairie de Toulouse, succédant à Guy Hersant, maire par intérim en remplacement de Dominique Baudis, nommé président du CSA. Il préside la communauté d'agglomération du Grand Toulouse de 2001 à 2008.

Après l'explosion de l'usine AZF de Toulouse en , Douste-Blazy réclame un « plan Marshall » pour sa ville lourdement sinistrée. Il obtient du gouvernement Jospin une aide de plus d'1,5 milliard de francs mais déplore son refus d'implémenter certaines mesures qu'il préconisait (prise en charge de 3 mois de loyer et suspension de la taxe d'habitation pour les sinistrés)[9],[10].

Fin 2001, il s'associe à la candidature de Jacques Chirac pour un second mandat présidentiel. Il organise l'adhésion d'une large frange de l'UDF au nouveau parti fondé lors de la campagne présidentielle et qui deviendra l'UMP, ce qui provoque son exclusion du parti centriste.

Réélu député de la Haute-Garonne le , et devenu secrétaire général de l'UMP le même mois lors du congrès du parti, il refuse d'entrer au gouvernement pour conserver la mairie de Toulouse. En 2004, il démissionnera cette fois de son poste de maire de la « Ville rose » pour entrer au gouvernement en tant que ministre de la Santé.

Le , il est à l'origine avec Jean Leonetti d'une proposition, non discutée à l'époque, de reconnaître « l'œuvre positive de l'ensemble de nos citoyens qui ont vécu en Algérie pendant la période de présence française », cosignée par 107 autres députés[11]. Des clauses plus étendues sur le même thème réapparaîtront dans les articles 1 à 4 de la loi française du 23 février 2005, soulevant une forte polémique autour de la reconnaissance, imposée à l'école par cet article, des aspects positifs de la colonisation.

Il est aussi maître de conférences à l'université Paris VII - Diderot où il donne chaque année, un cours de santé publique aux élèves de PACES traitant notamment sur la « connaissance de l'état de la population ».

Ministre de la Santé

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Le , il est nommé ministre de la Santé et de la Protection sociale, et démissionne de son mandat de maire de Toulouse pour se plier à la règle du non-cumul des mandats[12], où il est remplacé par Jean-Luc Moudenc. Le 29 novembre suivant, son titre s'élargit en ministre des Solidarités, de la Santé et de la Famille.

Il entame à ce poste la réforme de l'assurance maladie[13], en prévoyant 10 milliards d'euros d'économies et 5 milliards de recettes supplémentaires en 3 ans, grâce à une franchise de 1 euro par acte médical, la hausse du forfait hospitalier et un élargissement de l'assiette de la CSG[14].

Le , il promet à des psychanalystes lacaniens de retirer un rapport de l'INSERM défavorable à la psychanalyse du site officiel du ministère de la Santé[15].

À l'issue de son mandat, il est salué pour avoir fait avancer des réformes délicates avec habileté, sans faire descendre dans la rue les personnels hospitaliers, mais reste considéré comme celui par qui la tarification du système hospitalier public est arrivée[16]. Dans le milieu de la santé, certains estiment aussi que la réforme de l'assurance maladie aurait pu être terminée pendant son mandat et non léguée à son successeur, Xavier Bertrand[17].

Ministre des Affaires étrangères

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Condoleezza Rice et Philippe Douste-Blazy en 2005.

Préférant le ministère des Affaires étrangères à un ministère des Affaires sociales élargi, il est nommé à la tête du Quai d'Orsay le , dans le gouvernement Dominique de Villepin[18].

Son ministère est marqué par quelques bourdes, par exemple lorsqu'il confond Taïwan et la Thaïlande ou la Croatie et le Kosovo[13]. Par ailleurs, certaines de ses déclarations embarrassent, notamment celle sur le caractère « militaire clandestin » du programme nucléaire iranien, à contre-courant des efforts diplomatiques occidentaux[19] ou celle, en plein conflit israélo-libanais, sur le rôle « stabilisateur » de l'Iran[20]. Son manque de maîtrise des codes diplomatiques et des dossiers, ainsi que son goût pour la communication et l'auto-promotion[21], irritent les fonctionnaires du Quai d'Orsay[13].

Comme ministre, il défend une diplomatie humanitaire, développant notamment le fonds Unitaid, financement innovant d'achats de médicaments par une taxe prélevée sur les billets d'avion, initiée par les présidents Chirac et Lula[20].

Démissionnaire à la suite de la victoire de Nicolas Sarkozy à la présidentielle, il annonce le jour de la passation des pouvoirs à Bernard Kouchner, renoncer à se présenter aux législatives dans la 1re circonscription de Toulouse.

Le , il est élu président du conseil d'administration d'Unitaid, une organisation internationale d'achats de médicaments[22].

En , il est nommé conseiller, chargé de mission auprès du président de la République.

Conseiller spécial du secrétaire général des Nations unies

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Philippe Douste-Blazy en 2012.

En 2008, il devient professeur des universités – praticien hospitalier (PU-PH), enseignant à la faculté de médecine Paris-Diderot, et rattaché à l'hôpital Lariboisière[23].

En , il devient conseiller spécial chargé des sources novatrices de financement du développement[24], auprès du secrétaire général des Nations unies[25]. Dans ce cadre, il a lancé MassiveGood, un programme humanitaire par lequel les voyageurs peuvent faire de micro-contributions à Unitaid lors d'une réservation d'un billet d'avion ou d'autres moyens de transports sur Internet.

Ce programme, qu'il dirige, se révèle une déception, malgré les contacts établis avec Bill Clinton ou Ban Ki-moon. La fondation Unitaid qui chapeautait ce programme le stoppe en 2010 devant les coûts supérieurs aux recettes réelles, après que le lancement lui a coûté 22 millions de dollars[26]. Néanmoins, à la suite des résultats positifs obtenus en Espagne avec la campagne « Ninõs Sin Malaria »[27], le logiciel, qui a fait ses preuves, est aujourd'hui au service d'autres organisations internationales qui lèvent des fonds par micro-donations.

Le , il appelle à un soutien pour François Bayrou, candidat du MoDem pour l'élection présidentielle, via une tribune dans le journal Le Monde[28] dans laquelle il dénonce une droitisation de l'UMP dont il faisait partie. La même année, il convainc plusieurs chefs d'État africains de donner 10 cents par baril de pétrole vendu pour lutter contre la malnutrition dans le cadre du projet Unitlife, qu'il préside[29].

Pour l'élection présidentielle de 2017, il soutient Alain Juppé, candidat à la primaire présidentielle des Républicains de 2016[30], puis Emmanuel Macron[31].

Depuis , il est professeur à la Medical School de Harvard[32]. Il est candidat à la présidence de l'Organisation mondiale de la santé en 2016[33], mais sa candidature n'est pas retenue par le conseil exécutif réuni le .

Retour en France

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Lors des élections municipales de 2020, il est candidat en deuxième position sur la liste de Danièle Giazzi, maire sortante du 16e arrondissement de Paris, dissidente LR[34]. Celle-ci obtient 3,28 % des suffrages exprimés au premier tour[35]. Il n'est donc pas élu.

Philippe Douste-Blazy apparaît dans le film documentaire français conspirationniste Hold-Up : Retour sur un chaos. Puis finalement, demande à en être retiré[36].

Membre bénévole du conseil d’administration de l’IHU Méditerranée Infection de Marseille dirigé par Didier Raoult, il apporte avec d'autres médecins, son soutien aux recherches du professeur et demande, le , la modification du décret 293 du complété par le décret 337 du pour autoriser l'utilisation du Plaquenil (hydroxychloroquine) pour toutes les formes symptomatiques du Covid-19 et pour le mettre à disposition afin que les médecins de ville puissent le prescrire dans le cadre de l'urgence sanitaire[37],[38].

Le Comité d'éthique du CNRS le cite dans un avis paru en septembre 2021 parmi les acteurs ayant participé à une dérive « populiste » de la science, en raison de sa pétition lancée avec Christian Perronne en faveur de cette utilisation de l'hydroxychloroquine, s'inquiétant « que le choix d’un traitement puisse être décidé par l’opinion publique sur la base d’une pétition ou d’un sondage »[39],[40]. En octobre 2021, il dit regretter d'avoir demandé aux Français de se prononcer sur l'hydroxychloroquine[41].

Détail des mandats et fonctions

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Mandats électifs
Fonctions ministérielles
  • -  : ministre délégué auprès du ministre d'État, ministre des Affaires sociales, de la Santé et de la Ville, chargé de la Santé
  • -  : ministre délégué auprès du ministre d'État, ministre des Affaires sociales, de la Santé et de la Ville, chargé de la Santé, porte-parole du gouvernement
  • -  : ministre de la Culture
  • -  : ministre de la Santé et de la Protection sociale
  • -  : ministre des Solidarités, de la Santé et de la Famille
  • -  : ministre des Affaires étrangères
Autres fonctions

Publications

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Directeur de collection aux éditions Plon, il y a édité trois ouvrages :

Œuvres personnelles (entre autres) :

Distinctions et décorations

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Décorations officielles

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Décorations françaises
Décorations étrangères

Prix et distinctions

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  • Prix Fred-Siguier de la Société française de médecine interne (1985)[50]
  • Lauréat de la Société française de cardiologie (1988)
  • Co-lauréat avec le président Clinton du prix Galien Pro Bono Humanum (2010)[51]
  • Lauréat de la Clinton Global Initiative (2011)[52]

Prix satirique

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Notes et références

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  1. Et conseiller spécial du secrétaire général des Nations unies.
  2. « La guerre des cierges aura-t-elle lieu à Lourdes ? », France 3 occitanie,‎ (lire en ligne)
  3. « Philippe Douste-Blazy & Sylvia Pinel », sur dousteblazy.com (consulté le )
  4. Éric Mandonnet et Romain Rosso, « Docteur Douste et Mister Blazy », sur lexpress.fr,
  5. a b c d e et f « À Lourdes, le bilan controversé des années Douste », Pascal Jalabert, La Dépêche du Midi, 15 février 2000.
  6. « Lourdes, sans pitié », Gilbert Laval, Libération, 7 mars 2001.
  7. L'histoire du ministère, site du ministère de la Culture et de la Communication.
  8. Jean-Jacques Rollat, « M. Douste-Blazy a été blessé d'un coup de couteau par un déséquilibré », sur lemonde.fr, (consulté le )
  9. « Douste demande un plan Marshall pour Toulouse », La Dépêche du Midi, (consulté le )
  10. « Les principales mesures annoncées par Jospin », Le Télégramme, (consulté le )
  11. Proposition de loi du 5 mars 2003, site de l'Assemblée nationale.
  12. [1]
  13. a b et c « Philippe Douste-Blazy, "Mister Bluff" au Quai d'Orsay », Raphaëlle Bacqué, Le Monde, 28 avril 2006.
  14. « Assurance-maladie : comment Douste-Blazy a gagné son pari », Le Monde, 18 juin 2004.
  15. « Psychodrame chez les psys », sur LExpress.fr, (consulté le )
  16. « Philippe Douste-Blazy ou l’art de botter en touche », Americo Cardoso, numéro 43 de la revue politique Mouvements, janvier 2006 (p. 138-141).
  17. « Philippe Douste-Blazy quitte le ministère de la Santé sans avoir achevé la mise en œuvre de la réforme de l'assurance maladie », dépêche APM International, 2 juin 2005.
  18. « Philippe Douste-Blazy, Catherine Colonna à la diplomatie : le mariage du médiatique et de l'experte », Le Monde, 4 juin 2005.
  19. « Blair et Merkel se démarquent de Paris », Le Figaro, 15 octobre 2007.
  20. a et b « Philippe Douste-Blazy, le diplomate de circonstance », Natalie Nougayrède, Le Monde, 16 mai 2007.
  21. Douste-Blazy, ministre des Affaires qui lui sont étrangères, liberation.fr, 29 septembre 2005
  22. Composition des instances d'Unitaid sur son site officiel.
  23. Nathalie Brafman et Laetitia Clavreul, « L'emploi du temps bien rempli de Philippe Douste-Blazy », Le Monde, 28 mars 2012.
  24. « Le Secrétaire général nomme Philippe Douste-Blazy conseiller spécial chargé des sources novatrices de financement du développement », site de l'ONU, 19 février 2008.
  25. Liste des hauts fonctionnaires des Nations unies et fonctionnaires de rang équivalent dont le lieu d'affectation est New York, 27 juin 2011 (p. 19).
  26. « L'incroyable M. Douste-Blazy », Sophie Coignard, Le Point, 21 octobre 2010.
  27. « Iberia transmet 40 000 euros pour la campagne Croix-Rouge «enfants sans paludisme» (traduite de l'espagnol), PRNOTICIAS, 2 mars 2012.
  28. « Philippe Douste-Blazy : "Pourquoi je rejoins aujourd'hui François Bayrou" », Le Monde, 8 janvier 2012.
  29. « Philippe Douste-Blazy lance Unitlife », Le Figaro, encart « Le Figaro et vous », 14 octobre 2014, p. 38.
  30. Jean-Baptiste Garat, « Juppé met le cap sur la primaire », Le Figaro, samedi 3 / dimanche 4 octobre 2015, page 6.
  31. Robin Andraca, « Présidentielle : Douste-Blazy tacle Fillon et rallie Macron », 20minutes.fr, 23 mars 2017.
  32. « Philippe Douste-Blazy nommé prof à Harvard », sur Le Figaro Etudiant (consulté le )
  33. Carl Meeus, « Douste-Blazy en campagne », Le Figaro Magazine, semaine du 7 octobre 2016, page 24.
  34. « Le drôle de come-back de Philippe Douste-Blazy, candidat à Paris », sur parismatch.com, (consulté le ).
  35. « Élections municipales et communautaires 2020 : Paris (75) - Paris », sur Ministère de l'Intérieur, (consulté le ).
  36. « "Hold-Up": "scandalisé", Douste-Blazy demande à être retiré du documentaire aux relents complotistes », sur BFMTV (consulté le )
  37. « Coronavirus: pourquoi Douste-Blazy soutient Raoult sur la chloroquine », sur bfmtv.com,
  38. « Thinkerview »
  39. Nicolas BLANDIN, « Le CNRS épingle le « populisme scientifique » de Didier Raoult », sur Ouest-France.fr, (consulté le )
  40. COMETS, Communication scientifique en situation de crise sanitaire : profusion, richesse et dérives, CNRSdate=2021-09-21 (présentation en ligne, lire en ligne)
  41. « Covid-19. Épinglé par le CNRS, Philippe Douste-Blazy "regrette" sa pétition pour la distribution de l'hydroxychloroquine », sur France 3 Occitanie (consulté le )
  42. [2]
  43. « Philippe Douste-Blazy nommé Secrétaire général adjoint des Nations unies », Le Monde, 21 février 2008.
  44. Philippe Douste-Blazy publie « Maladie française »
  45. Covid, Hydroxychloroquine, Raoult : Philippe Douste-Blazy diagnostique la Maladie française
  46. Décret du 13 juillet 2010 portant promotion et nomination (lire en ligne)
  47. Archives des nominations et promotions dans l'ordre des Arts et des Lettres.
  48. (no) « Utnevnelser til Fortjenstordenen », sur www.kongehuset.no (consulté le )
  49. Resolución N° 939/997
  50. (en) « Le journal de l'interniste - PDF Free Download », sur kundoc.com (consulté le )
  51. « GALIEN FOUNDATION - PRIX GALIEN USA », sur old.galienfoundation.org (consulté le )
  52. (en) « 2011 Annual Meeting - Clinton Global Citizen Awards », sur Clinton Foundation (consulté le )
  53. « Phillipe DOUSTE-BLAZY, ministre de la Santé », sur bigbrotherawards.eu.org (consulté le )

Articles connexes

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Liens externes

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