Muids (Eure)
Muids | |
L'église Saint-Hilaire et sa façade néo-romane poitevine. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Les Andelys |
Intercommunalité | Seine Normandie Agglomération |
Maire Mandat |
Bernard Leboucq 2020-2026 |
Code postal | 27430 |
Code commune | 27422 |
Démographie | |
Gentilé | Muidsiens |
Population municipale |
866 hab. (2021 ) |
Densité | 57 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 13′ 23″ nord, 1° 17′ 29″ est |
Altitude | Min. 7 m Max. 76 m |
Superficie | 15,22 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Louviers (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton des Andelys |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.villedemuids.fr/ |
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Muids est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.
Ses habitants sont appelés les Muidsiens.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Petit village situé le long de la Seine, sur la rive droite du fleuve, entre Louviers et Les Andelys.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est riveraine de la Seine.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 722 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 609,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 2,5 | 2,2 | 3,4 | 5,3 | 8,4 | 11,7 | 13,6 | 13,2 | 10,9 | 9 | 5,6 | 2,8 | 7,4 |
Température moyenne (°C) | 5,2 | 5,5 | 7,9 | 11,1 | 14 | 17,6 | 19,8 | 19,1 | 16,4 | 13,1 | 8,6 | 5,5 | 12 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,9 | 8,9 | 12,3 | 16,9 | 19,6 | 23,5 | 26 | 25,1 | 22 | 17,2 | 11,7 | 8,3 | 16,6 |
Record de froid (°C) date du record |
−11,2 07.01.09 |
−15,3 07.02.12 |
−9,8 13.03.13 |
−5 06.04.21 |
−0,6 07.05.21 |
1,9 01.06.06 |
5,8 31.07.15 |
6,2 21.08.14 |
1,2 30.09.18 |
−1,6 21.10.10 |
−5,1 30.11.16 |
−7,8 20.12.09 |
−15,3 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,8 01.01.22 |
20,3 27.02.19 |
25,1 30.03.21 |
28,6 20.04.18 |
31,5 27.05.05 |
38,5 21.06.17 |
42,8 25.07.19 |
39,3 09.08.20 |
36,2 09.09.23 |
30,5 10.10.23 |
21 07.11.15 |
16,8 31.12.22 |
42,8 2019 |
Précipitations (mm) | 49 | 47,1 | 45,6 | 37,9 | 56,9 | 46,9 | 49,8 | 57,1 | 36,7 | 56,2 | 56,7 | 69,2 | 609,1 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Muids est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Louviers, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (57,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (44,9 %), forêts (21,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9 %), zones agricoles hétérogènes (8 %), zones urbanisées (6,6 %), eaux continentales[Note 2] (6,6 %), mines, décharges et chantiers (3,4 %), prairies (0,6 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le village est mentionné vers 1189 sous les formes Muies vers 1189 (reg. Philippe Auguste), puis Muyes en 1206 (cartulaire de Philippe Auguste), Moies en 1207 (charte des Deux-Amants), Muees en 1211 (cartulaire de Saint-Wandrille), Modii et Modiæ au XIIIe siècle (archives de la Seine-Inférieure)[13], Muynes en 1382 (Trésor des chartes), Muyez au XVe siècle (chron. normande de P. Cochon), Muys en 1453 (mandement de Jean, comte de Dunois), Muits en 1523 (rech. de la noblesse), Muydz en 1584 (aveu de Henri de Silly), Moiy en 1631 (Tassin, Plans et profilz), Muis en 1828 (Louis Du Bois), Muids-sur-Seine en 1870[14].
Albert Dauzat compare avec Muides pour lequel il suggère l’anthroponyme gaulois Mogetos sous entendu villa « domaine rural », c'est-à-dire *Mogeta villa, Muids représenterait alors le même nom de personne employé absolument[15]. Il rejette l'explication par l'ancien français moie, muie « tas »[15]. François de Beaurepaire ne lui reprend pas l'hypothèse d'un nom de personne gaulois et précise également qu'il n'y a sans doute pas lieu d'y voir le français muid « mesure » issu du latin modium, comme pourrait le faire croire la mention latinisée de la fin du XIIIe siècle Modii / Modiae[13]. Cette ressemblance est sans doute fortuite[13].
Possible homonymie avec Saint-Vigor-de-Mieux (Sanctus Vigor de Muyes en 1250[16], Sanctus Vigor de Modiis en 1273[17])[18], ancienne commune de Saint-Martin-de-Mieux (Calvados, de Modiis, sans date[19]) et Le Muy (Var), Modius en 1178)[13].
Histoire
[modifier | modifier le code]La devise est In Modios omnia sunt amoena (« à Muids, tout est bon »).
En 1781, le chancelier René Nicolas de Maupeou achète la seigneurie et le château de Muids, avec la baronnie voisine d'Heuqueville. Le château revint à son petit-fils Charles de Maupeou (1785-1845) qui sera maire de la commune de 1832 à 1845. Le , celui-ci vendit son domaine à M. de Saint-Clair[20],[21].
La ligne de chemin de fer de Saint-Pierre-du-Vauvray aux Andelys passait par les gares du Thuit et de La Roque, hameau.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25]. En 2021, la commune comptait 866 habitants[Note 3], en évolution de +1,29 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %). |
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]La commune de Muids compte deux édifices inscrits au titre des monuments historiques :
- un ancien moulin à eau du XVIIe siècle situé au lieu-dit le Bout de la ville Inscrit MH (2006)[28]. Ce moulin est mentionné dès le XIIe siècle. Construit en pans de bois, il repose sur deux murs de pierre de taille enjambant un bras de Seine. Le mécanisme est constitué d'un cadre mobile qui permet de descendre la roue pour la mettre à flot quelle que soit la hauteur du fleuve. Avec le moulin d'Andé, c'est le dernier exemple en Europe de ce type de moulin qui était très répandu dans la région notamment sur les arches des ponts sur la Seine comme ceux des anciens ponts de Vernon ou de Pont-de-l'Arche) ;
- L'église Saint-Hilaire (XIIe, XIIIe, XIXe et XXe) Inscrit MH (2009)[29]. Elle témoigne de différentes campagnes de reconstruction. La partie la plus ancienne semble être le chœur dont la voûte sur croisée d'ogives est datée du XIIe siècle. Le clocher a été érigé au XIIIe siècle. Par contre, la nef est une reconstruction datée de 1862, ainsi que la façade néo-romane d'inspiration poitevine, car saint Hilaire était évêque de Poitiers. Elle a conservé un mobilier intéressant : des fonts baptismaux du XIVe siècle, une Vierge à l'enfant du XVe siècle et les vitraux réalisés par le maître-verrier François Décorchemont[30] en 1949, ce qui motive son label « Patrimoine du XXe siècle »[31].
-
Vitraux de F. Décorchemont.
Par ailleurs, plusieurs autres édifices sont inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel :
- le manoir du Bout-de-la-ville (XVIIIe)[32] ;
- un château XVIIe siècle[33] ;
- deux croix monumentales : l'une des XVIe et XIXe siècles située au lieu-dit le Bout-de-la-ville[34] et l'autre du XVIIe siècle située dans l'enclos de l'église Saint-Hilaire[35].
Est également inscrit à cet inventaire un cimetière franc aujourd'hui détruit[36].
Autres lieux :
- Ancienne gare de Muids, sur l'ancienne ligne de Saint-Pierre-du-Vauvray aux Andelys ;
- Une passerelle pour l'acheminement de granulats franchissant la Seine vers Bernières-sur-Seine;
- La Ferme blanche, partie du domaine Louis Renault.
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]- Sites classés et inscrits
- La boucle de la Seine dite de Château-Gaillard, Site classé (2006)[37].
- Les falaises de l'Andelle et de la Seine, Site inscrit (1981)[38].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- René Nicolas de Maupeou (1714-1792), chancelier et garde des Sceaux de France.
- Tristan Bernard[Quoi ?], le romancier[réf. souhaitée].
- Henri Rabaud (1873-1949), compositeur et chef d'orchestre, y possédait une maison de maître. Un de ses fils s'est marié à Muids.
- Thierry de Martel, le chirurgien, a laissé son nom à une rue[Comment ?]
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de la commune de Muids se blasonnent ainsi : |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Station Météo-France commune de Guichainville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France commune de Muids) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Louviers », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 147 - 148.
- Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 152.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 486a
- Magni rotuli p.174.
- Bulle pour l'abbaye du Val.
- Célestin Hippeau, Dictionnaire topographique du département du Calvados : Les noms de lieu anciens et modernes, vol. 108, t. 6, Paris, Imprimerie nationale, coll. « documents inédits sur l'histoire de France », , p. 266.
- François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, A. et J. Picard, , p. 147.
- Charles Pruvost, Muids et ses environs, , 250 p..
- Jean-François Bascans, Les héritiers du chancelier de Maupeou, .
- Charles Pruvost, Nos origines, Muids et ses environs, , 255 p., p. 198.
- « Les Maires de la Commune », sur villedemuids.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Moulin », notice no PA00135537, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église paroissiale Saint-Hilaire », notice no PA27000076, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- en ligne Base Palissy, 8 baies illustrées par François Décorchemont.
- Le dire de l'architecte des bâtiments de France - Les essentiels - n° 119 du 31 juillet 2014.
- « Château », notice no IA00017586, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château », notice no IA00017582, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Croix monumentale », notice no IA00017585, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Croix monumentale », notice no IA00017583, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Cimetière franc », notice no IA00017588, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La boucle de la Seine dite de Château-Gaillard à Les Andelys, Aubevoye, Bernières-sur-Seine, Bouafles, Courcelles-sur-Seine, Muids, La Roquette, Le Thuit, Tosny, Venables, Vézillon, Villiers-sur-Le-Roule », sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le ).
- « Les Falaises de l'Andelle et de la Seine », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).