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Miniac-sous-Bécherel

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Miniac-sous-Bécherel
Miniac-sous-Bécherel
La mairie
Image illustrative de l’article Miniac-sous-Bécherel
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Rennes Métropole
Maire
Mandat
Carole Leromain
2024-2026
Code postal 35190
Code commune 35180
Démographie
Gentilé Miniacois
Population
municipale
796 hab. (2021 en évolution de +5,43 % par rapport à 2015en évolution de +5,43 % par rapport à 2015)
Densité 59 hab./km2
Population
agglomération
654 478 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 17′ 07″ nord, 1° 55′ 56″ ouest
Altitude 150 m
Min. 79 m
Max. 183 m
Superficie 13,55 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montauban-de-Bretagne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Miniac-sous-Bécherel
Liens
Site web www.mairie-miniac-sous-becherel.fr

Miniac-sous-Bécherel est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine et de la région Bretagne, peuplée de 796 habitants[Note 1].

Géographie

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Sa surface est 13,55 km2 (soit 1 355 hectares).

Son altitude minimum est de 79 m et son altitude maximum de 183 m. La mairie se trouve à 159 m.

Les villes et villages proches de Miniac-sous-Bécherel sont : Bécherel à 1,48 km, Longaulnay à 2,77 km, Cardroc à 3,16 km, La Baussaine à 4,03 km, Irodouër à 4,24 km.

Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur Est », avec des hivers frais, des étés chauds et des pluies modérées[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 813 mm, avec 13,7 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Quiou à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 757,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Miniac-sous-Bécherel est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (64,2 %), terres arables (32,4 %), prairies (2 %), forêts (1,3 %), zones urbanisées (0,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Ecclesia de Miniaco en 1122, Miniac en 1187, Miniacum en 1230[13].

Miniac-sous-Bécherel est issu du latin Minius et du suffixe gallo-romain -(i)acum[14],[13], d'origine gauloise. Cet anthroponyme est aussi donné comme gaulois et appartient à toute une série de noms gaulois bien attestés dans des inscriptions Minius, Minnius, Minicus, Minuso, etc. basés sur le thème gaulois minio-, meno- « doux »[15].

En gallo, le nom de la commune est Meinyac et Minieg-Begerel en breton[réf. nécessaire].

Depuis le , à la suite de son entrée dans Rennes Métropole, la commune est desservie par le réseau Service des transports en commun de l'agglomération rennaise (STAR) via la ligne 82.

La présence de deux menhirs dits « les Roches du Diable » atteste d’une présence humaine au moins depuis le Néolithique sur le territoire de Miniac.

L’église Saint-Pierre de Miniac pourrait d’après Erwan Vallerie, porter le nom d’un fundus gallo-romain. La commune de Miniac est traversée par la voie romaine Rennes-Dinan, au niveau du lieu-dit l’Echaussée. La paroisse de Miniac apparaît pour la première fois en 1122 et relevait de l’abbaye Saint-Melaine de Rennes.

Durant les guerres de succession de Bretagne, les environs de Bécherel étaient occupés par les Anglais dont la place forte de Bécherel. Cette occupation donna lieu à de nombreux affrontements.

La période suivante placée sous la dynastie des Montforts amena la paix et des échanges commerciaux qui favorisent la construction de nombreux manoirs par des familles roturières nouvellement enrichies et anoblies comme celle de Jehan Laevin en 1431, Georget Mysenz, et Jouban Nysenz en 1441. Il réside sur le territoire de Miniac de nombreux manoirs dans un paysage bocage : manoirs de Saint Baud, de la Croix-Courte, de Lessart et du Frêne.

Le manoir de Montifault de nos jours détruit, était le siège de la juridiction de Miniac et dépendait encore à la baronnie de Bécherel en 1770. En 1448, le manoir appartenait à Jean Pied-de-Vache, ensuite passe à la famille Urvoy en 1661 et plus tard aux Lanjamet.

Du xve au xviiie siècle, le pays de Bécherel était renommé grâce à sa prospérité liée à l’industrie toilière comme le témoignent les nombreuses maisons de marchands toiliers et manoirs, qui furent ensuite déclassés en fermes.

Une lettre patente de Jean V de 1535, confirme la tenue de foires à Miniac.

En 1590, durant la Ligue, les troupes du duc de Mercœur assiègent la ville. Plus tard durant la Révolution, la chouannerie n’épargna pas la région.

Le déclin de l’industrie toilière, à la fin du xviiie siècle, amena la population à se tourner vers les activités agricoles et artisanales.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Circonscriptions de rattachement

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Miniac-sous-Bécherel appartient à l'arrondissement de Rennes et au canton de Montauban-de-Bretagne depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle appartenait au canton de Bécherel.

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la troisième circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Claudia Rouaux[16] (PS-NUPES). Sous le Second Empire, elle appartenait à la circonscription de Saint-Malo, sous la IIIe République à la circonscription de Montfort et de 1958 à 1986 à la 1re circonscription (Rennes-Nord).

Intercommunalité

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Les dix communes du canton de Bécherel ont créé en 1990 le Syndicat intercommunal pour le Développement du Pays de Bécherel qui s'est transformé le en communauté de communes du Pays de Bécherel[17].

Celle-ci a été dissoute au et Miniac-sous-Bécherel, ainsi que Bécherel, Langan, La Chapelle-Chaussée, Romillé ont intégré Rennes Métropole[18],[19].

Institutions judiciaires

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Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal judiciaire (qui a remplacé le tribunal d'instance et le tribunal de grande instance le 1er janvier 2020), du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Rennes et de la cour administrative d'appel de Nantes.

Administration municipale

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Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[20].

Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1792 1836 Jean Collet    
1837 1843 Gabriel Boullier    
1844 1852 Mathieu André    
1853 1872 Joseph Guillot    
1873 1891 François Grosset    
1892 1919 Joseph Pestel    
1919 1941 Constant Gendrot RG Agriculteur
Conseiller général de Bécherel (1919 → 1940)
Les données manquantes sont à compléter.
1947 mai 1953 Alexandre Morice SFIO  
mai 1953 juin 1970[21]
(décès)
Jean Réhault   Agriculteur
1970 (?) mars 1989 Léon Coudray   Agriculteur, maire honoraire
Réélu en 1977 et 1983
mars 1989 mars 2001 Marcel Renais   Agriculteur
mars 2001 mars 2014 Claude Pestel[22] DVD Chirurgien-dentiste
mars 2014[23] juin 2024[24]
(décès)
Daniel Monnier DVG Retraité de la Gendarmerie
octobre 2024[25] En cours Carole Leromain   Agricultrice

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

En 2021, la commune comptait 796 habitants[Note 3], en évolution de +5,43 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0701 0751 1801 1021 1741 0961 0501 0651 165
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0951 0811 0851 0471 0521 0021 0061 013981
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
935923884789812811771720635
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
623612587527516560648673744
2018 2021 - - - - - - -
784796-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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La commune compte un monument historique :

  • Les mégalithes des Roches du Diables : situés dans un bois à quelque 300 mètres du bourg, deux menhirs (un debout et un couché) attestent d'une occupation humaine depuis le Néolithique. Ils ont été classés par arrêté du [30].

Autre monument :

  • L'église paroissiale Saint-Pierre[31] : construite aux XIIe et XVIIIe siècles
  • Fontaine Saint-Lunaire
  • De nombreux manoirs ont été construits entre le XVIe et le XVIIIe siècle : manoir de Saint Baud dit Lostel de Saimbaut – le manoir du Verger – le manoir de Lessart.
  • Statue polychrome de saint Lunaire (seconde moitié du XVIIe siècle)
Place Constant-Gendrot

Personnalités liées à la commune

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  • Jean Prud'homme : À la fin du XVIIe siècle, un certain Jean Prud'homme, né en 1680 à Miniac-sous-Béchérel en Bretagne, se marie à Marie-Anne Morin à La Pointe-aux-Trembles, Québec (Canada) en Nouvelle France en 1706 et décède le à L'Assomption dans la région de Lanaudière, Québec. Il était le fils de Julien Prud'homme et de Périnne Guérin, tous deux habitaient Miniac-sous-Bécherel. Un grand nombre de Prud'homme du Canada et des États-Unis les ont comme ancêtres. Parmi eux figure Gabriel Prudhomme (1791-1831) sur la concession duquel fut fondée la ville de Kansas City dans l’état du Missouri aux États-Unis d'Amérique.
  • Célestin Frin : prêtre missionnaire (Miniac-sous-Bécherel - au village des Billettes, - La Nouvelle-Orléans, ). Fils de Charles Frin -Laboureur et d'Anne Guillemer. Après deux années de théologie au grand séminaire de Rennes, il commença son noviciat le à Notre-Dame-de-l'Osier, où il fit son oblation le . Il passa une année au scolasticat de Montolivet et fut ordonné prêtre, par Eugène de Mazenod, le .

Notes et références

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  1. Population municipale 2021, légale en 2024.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Miniac-sous-Bécherel et Le Quiou », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Le Quiou » (commune du Le Quiou) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Le Quiou » (commune du Le Quiou) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Miniac-sous-Bécherel ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rennes », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a et b « Etymologie et Histoire de Miniac-sous-Bécherel », infobretagne (consulté le ).
  14. Ernest Nègre -Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 485.
  15. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise. Une approche linguistique du vieux-celtique continental, éditions Errance, Paris, 2003, p. 226 - 227.
  16. Elle remplace François André décédé en cours de mandat
  17. « La Communauté de Communes du Pays de Bécherel en quelques mots … » [archive du ], sur cc-paysdebecherel.fr (consulté le ).
  18. « De la communauté de communes du pays de Bécherel à Rennes Métropole »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Mairie et démarches, Mairie de Romillé (consulté le ).
  19. « Cinq nouvelles communes intègrent la Métropole », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  21. « M. Jean Réhault maire de Miniac-sous-Bécherel est décédé », Ouest-France, 17 juin 1970 (archives du journal)
  22. « Les maires élu du 1er tour », Dimanche Ouest-France, no 534,‎ , p. 10-11 (ISSN 1285-7688).
  23. « Daniel Monnier est le nouveau maire de la commune », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  24. Brian Le Goff, « Près de Rennes : Daniel Monnier, maire de Miniac-sous-Bécherel, est mort », sur Actu Rennes, (consulté le ).
  25. « Élection municipale à Miniac-sous-Bécherel : Carole Leromain est élue maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Notice no PA00090631, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. Notice no IA00007963, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

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Liens externes

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