Aller au contenu

Le Mesnil-sur-Bulles

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Le Mesnil-sur-Bulles
Le Mesnil-sur-Bulles
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC du Plateau Picard
Maire
Mandat
Jean-Paul Baltz
2020-2026
Code postal 60130
Code commune 60400
Démographie
Gentilé Mesnilois, Mesniloises
Population
municipale
266 hab. (2022 en évolution de +0,76 % par rapport à 2016)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 29′ 12″ nord, 2° 20′ 45″ est
Altitude Min. 97 m
Max. 163 m
Superficie 6,26 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Le Mesnil-sur-Bulles
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Le Mesnil-sur-Bulles
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Le Mesnil-sur-Bulles
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Le Mesnil-sur-Bulles

Le Mesnil-sur-Bulles est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Mesnilois et les Mesniloises.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]
Le village depuis le GR 124.

Le Mesnil-sur-Bulles est une commune située à 69 km au nord de Paris, 20 km à l'est de Beauvais, 36 km à l'ouest de Compiègne et à 47 km au sud d'Amiens[1].

Elle est traversée par le méridien de Paris, communément appelé méridienne verte.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]
Communes limitrophes du Mesnil-sur-Bulles
Le Plessier-sur-Bulles Nourard-le-Franc
Mesnil-sur-Bulles Valescourt
Bulles Fournival

Topographie et géologie

[modifier | modifier le code]

La commune du Mesnil-sur-Bulles a été établie sur le plateau picard. Il est entaillé de quelques vallées sèches tel la vallée de Bulles au sud-est où se trouve le point le plus bas à 97 mètres d'altitude et ainsi que par la vallée du Plessier au nord-ouest. Elles convergeant au sud vers la vallée de la Brêche sur la commune voisine de Bulles. Le point culminant du territoire se situe dans le bois de Mont à 163 mètres au-dessus du niveau de la mer. Le village est à une altitude d'environ 140 mètres[2].

Le Mesnil-sur-Bulles se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire très faiblement exposée aux risques de tremblement de terre[3].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[4],[Carte 1].

De petits ruisseaux peuvent se former dans le fond des vallons après de fortes pluies. Ses eaux convergent par la Brêche puis l'Oise au bassin versant de la Seine. Une station de pompage a été installée dans le village[2]. Les zones les plus basses du territoire au sud sont situées au-dessus de nappes phréatiques sous-affleurantes[5].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique du Mesnil-sur-Bulles[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 695 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Tillé à 17 km à vol d'oiseau[8], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 655,5 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Milieux naturels

[modifier | modifier le code]
Le sisymbre couché.

Hormis les espaces bâtis couvrant 16 hectares pour 3 % de la surface communale, le territoire près de 70 % d'espaces cultivés sur 436 hectares ainsi que 16 hectares de vergers et de prairies.

Le bois de Mont, à la lisière orientale de la commune est le principal espace boisé, auquel on peut ajouter le bois de la Truie et quelques bosquets dans les vallées sèches à l'ouest. Cet écosystème couvre près de 25 % de la surface sur 156 hectares[12],[2].

Une partie des pentes du bois de Mont a été intégrée au « Réseau de coteaux crayeux du bassin de l'Oise aval du Beauvaisis » classé en zone Natura 2000[13].

Cet espace boisé contigu à la vallée de Bulles constitue également une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1[14], ainsi qu'un corridor écologique potentiel[15].

Une plante protégée et menacée d'extinction, le sisymbre couché, se plait dans la commune, qui est la seule de l'Oise à l'accueillir[16].

Au , Le Mesnil-sur-Bulles est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[17]. Elle est située hors unité urbaine[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[18].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,4 %), forêts (24,4 %), zones urbanisées (4,1 %)[19]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hameaux et lieux-dits

[modifier | modifier le code]

L'habitat est essentiellement concentré au chef-lieu. Deux constructions subsistent toutefois dans le bois de Mont, la cabane Plessier et la cabane Noire[2].

Morphologie urbaine

[modifier | modifier le code]

Le village du Mesnil-sur-Bulles, situé au centre du finage a été bâti selon le modèle de village-rue, fréquent en Picardie. Il a été bâti au sommet d'un coteau, dominant la commune[2].

Voies de communications et transports

[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par une unique route départementale, la RD 94 reliant Bresles à Mory-Montcrux. Elle constitue l'axe principal du village depuis Bulles au sud vers Nourard-le-Franc au nord, constitué par les rues d'Île-de-France et de Picardie. Plusieurs voies communales relient le chef-lieu aux communes avoisinantes : la rue du Cimetière rejoint Le Plessier-sur-Bulles tandis que la rue de la Gare se dirige vers Fournival. Plusieurs chemins goudronnés rayonnent autour du village vers les limites communales

La gare SNCF la plus proche est située à Saint-Remy-en-l'Eau à 6 km à l'est, sur la ligne de Paris-Nord à Lille. Peu desservie, les usagers se dirigent souvent vers la gare de Saint-Just-en-Chaussée, à 7 km à l'est[1].

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 613, 6304 et 6347 du réseau interurbain de l'Oise[20]. L'abri de bus est celui de l'ancienne halte ferroviaire[21]

La commune fait partie du réseau TADAM, service de transport collectif à la demande, mis en place à titre expérimental par la communauté de communes du Plateau Picard. Elle est reliée à l'un des huit points de destination situés à Saint-Just-en-Chaussée, Maignelay-Montigny, La Neuville-Roy et Tricot au départ des 98 points d'origine du territoire[22]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunal (ligne 6823) mise en place avec les écoles de Catillon-Fumechon, Nourard-le-Franc et Le Plessier-sur-Bulles s'arrête dans le village[20].

L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 17 km à l'ouest[1] et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 55 km au sud-est[1]. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aéroports.

Le Mesnil-sur-Bulles est traversée par le sentier de grande randonnée 124 (GR 124) par le chemin de la Haute-Borne, la rue de la Chaussée Brunehaut et par la rue de la Vallée-Saint-Just[2].

Le nom de la localité est attesté sous les formes le Meisnil (1204) ; Mesnil juxta Valescourt (1250) ; le Mesnil sur Bulles (vers 1270) ; Mesnillio S. Marie (vers 1320) ; Maisnilium (vers 1340) ; Mesnilium sanctae Mariae (vers 1340) ; le mesnilg sur bulles (1373) ; Menil sur Bulles (1450) ; eccl. Menolio B. Maria (XVe) ; le Mesnil Sainte Marie (1580) ; eccl. de Mesnilio B. Mariœ (XVIe)[23].

Le mot Mesnil désignait jusqu'à l'Ancien Régime un domaine rural. À partir du gallo-roman MASIONILE, forme altérée du bas latin mansionile (diminutif du latin mansio « gîte-relais situé le long d'une voie romaine »[24]), la langue d'oïl a produit maisnil[25].

Le Mesnil-sur-Bulles est au nord, « au-dessus », de Bulles.

Il subsiste toujours quelques vestiges de l'ancien passage à niveau, et l'ancien tracé a été repris par un chemin.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 En cours
(au 12 juillet 2020)
Jean-Paul Baltz   Agriculteur
Vice-président de la CC du Plateau Picard (2014 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[30],[31]

Distinctions et labels

[modifier | modifier le code]
Panneaux de signalisation routière et du concours des villes et villages fleuris à l'entrée du village en 2015

.

Ville fleurie : une fleur attribuée en 2007 par le Conseil des Villes et Villages Fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris[32].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

En 2022, la commune comptait 266 habitants[Note 3], en évolution de +0,76 % par rapport à 2016 (Oise : +0,87 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
430396394405407396388390382
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
358330320283271255246242230
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
214218210197198179167190151
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
155156147151137184236243225
2014 2019 2022 - - - - - -
254270266------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 42,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 15,2 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 134 hommes pour 134 femmes, soit un taux de 50 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
5,2 
75-89 ans
5,2 
10,4 
60-74 ans
9,6 
21,5 
45-59 ans
20,7 
21,5 
30-44 ans
20,7 
23,7 
15-29 ans
20,7 
17,8 
0-14 ans
23,0 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • Église Saint-Sébastien : l'église paroissiale, qui remontait à 1340[26], a été reconstruite au XIXe siècle après avoir brûlé à plusieurs reprises[21]. L'église actuelle est moderne et comprend un clocher carré.
  • Puits, derrière l'église, rue de Picardie.
  • Calvaire, rue de la Gare, entre le site de l'ancienne gare et le village.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Article connexe

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  1. « Réseau hydrographique du Mesnil-sur-Bulles » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a b c et d « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
  2. a b c d e et f « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 4 janvier 2017)..
  3. « Géorisques : Mieux connaître les risques sur le territoire - Le Mesnil-sur-Bulles »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Fiche communale du Mesnil-sur-Bulles », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  5. « Carte de remontée des nappes », sur macommune.prim.net (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Le Mesnil-sur-Bulles et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Beauvais-Tillé » (commune de Tillé) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Beauvais-Tillé » (commune de Tillé) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels », sur donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Réseau de coteaux crayeux du bassin de l'Oise aval (Beauvaisis), fiche Natura 2000 », sur natura2000-picardie.fr (consulté le ).
  14. « Larris et Bois de Mont, fiche znieff détaillée », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
  15. « Corridors écologiques potentiels sur la commune de Fournival », sur donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Une plante rare à préserver : La commune abrite les dernières populations présentes dans l'Oise d'une espèce rare, menacée d'extinction : le sisymbre couché », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  18. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. a et b « Transports en commun au Mesnil-sur-Bulles », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  21. a b et c Jean-Luc Rechsteiner, « Le Mesnil-sur-Bulles le caché », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. « TADAM, le service de transport collectif à a demande du plateau Picard »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Oise Mobilité (consulté le ).
  23. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 345.
  24. Albert Dauzat, Les noms de lieux, origine et évolution, Libraire Delagrave, Paris, 1926, p. 153.
  25. Marianne Mulon, Noms de lieux d'Île-de-France, Bonneton, Paris, 1997 (ISBN 2862532207)
  26. a b c et d Répertoire Archéologique du Département de l'Oise, Emmanuel Woillez, 1862; page 106
  27. Marc Gayda, André Jacquot, Patricia Laederich et Pierre Laederich, Histoire du réseau ferroviaire français, op. cit., p. 138 et 145.
  28. Marc Gayda, André Jacquot, Patricia Laederich et Pierre Laederich, Histoire du réseau ferroviaire français, op. cit., p. 154-156 et 188.
  29. Journal Officiel de la République française du 13 novembre 1954, page 10 676.
  30. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Plateau picard : voici le visage de vos nouveaux élus », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3283,‎ , p. 21.
  31. Céline Sol, « Plateau picard : ces élus qui ont gardé leurs fauteuils de maire », Le Bonhomme picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. « Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard édition de l'Oise,‎ .
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Mesnil-sur-Bulles (60400) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).