Aller au contenu

Joan Erikson

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Joan Erikson
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 94 ans)
BrewsterVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activité
Conjoint
Erik Erikson (de à )Voir et modifier les données sur Wikidata

Joan Mowat Erikson, née Sarah Lucretia Serson le à Brockville, et morte le à Brewster, est une psychologue et essayiste canadienne. Elle est connue pour avoir coopéré aux recherches et aux publications d'Erik Erikson, son époux.

Elle fait ses études au Barnard College[1],[2].

Elle est l'auteur de plusieurs livres dont The Universal Bead, Activity, Recovery, and Growth, et Wisdom and the Senses[3].

Elle participe à l'élaboration de la Théorie du développement psychosocial[4],[5],[6].

Vie privée

[modifier | modifier le code]

Elle fait la connaissance d'Erik Erikson à un bal masqué à Vienne, en 1928[1]. Ils se marient et ont trois enfants[7].

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b (en) Robert McG. Thomas Jr., « Joan Erikson Is Dead at 95; Shaped Thought on Life Cycles », sur nytimes.com, (consulté le ).
  2. (en) Paul Fine, « Some Thoughts About Wisdom Keepers », sur aacap.org, (consulté le ).
  3. (en) « Joan Erikson, Life Cycles Theorist, Dies », sur news.harvard.edu, (consulté le ).
  4. Rémi Sussan, « L'intelligence collective à petite échelle », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  5. (en) Daniel Benveniste, « Erik H. Erikson: An Outsider At the Center of Things », sur International Psychoanalysis, (consulté le ).
  6. (de) Thomas Rentsch,Harm-Peer Zimmermann,Andreas Kruse, « Altern in unserer Zeit: Späte Lebensphasen zwischen Vitalität und Endlichkeit », sur books.google.fr (consulté le ).
  7. (en) Paranjpe, Anand C., « Review of Identity's architect: A biography of Erik H. Erikson. », sur psycnet.apa.org, (consulté le ).

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]