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Huby-Saint-Leu

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Huby-Saint-Leu
Huby-Saint-Leu
L'église Saint-Leu, monument historique.
Blason de Huby-Saint-Leu
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Montreuil
Intercommunalité Communauté de communes des 7 Vallées
Maire
Mandat
Serge Roussel
2020-2026
Code postal 62140
Code commune 62461
Démographie
Gentilé Saint-Loupois
Population
municipale
855 hab. (2021 en évolution de −5,21 % par rapport à 2015)
Densité 69 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 22′ 59″ nord, 2° 02′ 17″ est
Altitude Min. 21 m
Max. 118 m
Superficie 12,44 km2
Type Petite ville
Unité urbaine Hesdin
(banlieue)
Aire d'attraction Hesdin
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Auxi-le-Château
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Huby-Saint-Leu
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Huby-Saint-Leu
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Huby-Saint-Leu
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Huby-Saint-Leu

Huby-Saint-Leu est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Saint-Loupois.

La commune fait partie de la communauté de communes des 7 Vallées qui regroupe 69 communes et compte 29 444 habitants en 2021.

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de dix communes :

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 12,44 km2 ; son altitude varie de 21 à 118 m[1].

Hydrographie

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Le territoire de la commune, situé dans le bassin Artois-Picardie[2], est traversé par quatre cours d'eau :

  • le fleuve côtier la Canche, un cours d'eau naturel de 100,22 km, qui prend sa source dans la commune de Gouy-en-Ternois et se jette dans la Manche entre Étaples et Le Touquet-Paris-Plage[3] ;
  • la Ternoise, un cours d'eau naturel non navigable de 41,43 km, qui prend sa source dans la commune d'Ostreville, conflue dans la Canche au niveau de la commune d'Huby-Saint-Leu[4] ;
  • le Huby-Saint-Leu, cours d'eau naturel non navigable de 1,35 km, qui prend sa source dans la commune de Grigny et se jette dans la Ternoise au niveau de la commune[5] ;
  • le Petit Saint-Leu, cours d'eau naturel non navigable de 0,85 km, qui prend sa source dans la commune de Grigny et se jette dans la Ternoise au niveau de la commune[6].
Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique d'Huby-Saint-Leu[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 892 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Humières à 12 km à vol d'oiseau[9], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,9 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

La commune est située à la jonction de deux paysages tel qu’ils sont définis dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[13] :

  • les « paysages montreuillois » qui concerne 98 communes, se délimitent : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy[14] ;
  • les « paysages du Ternois » qui concernent 138 communes avec trois pôles d’attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l’est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d’eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 à 160 m.
Le territoire d’une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d’Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l’absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.
Au niveau de l’occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de 72 % de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent 13 % et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que 6 %[15].

Milieux naturels et biodiversité

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Espaces protégés et gérés

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La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[16].

Dans ce cadre, on trouve sur le territoire de la commune deux terrains gérés par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France :

  • les cavités de La Loge, d'une superficie de 38,019 ha[17] ;
  • le marais des courbes, d'une superficie de 5,389 ha[18].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 3] :

  • la forêt domaniale d'Hesdin et ses lisières. Elle est située dans le Ternois et s’étend sur le plateau de l’Aa et sur le rebord sud d’un glacis incliné vers la dépression synclinale de la Canche[19] ;
  • le marais communal d'Huby-Saint-Leu, d’une superficie de 5 ha et d'une altitude variant de 24 à 25 mètres. Cette ZNIEFF, située au pied du versant nord de la vallée de la Ternoise et qui s’étend sur la rive droite de la rivière, en amont d’Hesdin et du bourg d’Huby-Saint-Leu, est composée d’une partie nord d’un boisement marécageux planté de peupliers épars, et au sud d’un marais ouvert[20].

et une ZNIEFF de type 2[Note 4] : la basse vallée de la Canche et ses versants en aval d’Hesdin, d'une altitude variant de 4 à 133 mètres. Cette zone humide recelant des marais tourbeux, s'étend d'Étaples à Hesdin sur une superficie de 12 059 ha[21].

Espèces faunistiques et floristiques

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L’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[22].

Au , Huby-Saint-Leu est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[23]. Elle appartient à l'unité urbaine de Hesdin[Note 5], une agglomération intra-départementale regroupant huit communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 6],[24],[25]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Hesdin, dont elle est une commune du pôle principal[Note 7],[25]. Cette aire, qui regroupe 28 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[26],[27].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (82,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (82,4 %), terres arables (9,2 %), zones urbanisées (4,7 %), prairies (3,6 %)[28]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Hubi en 1077 (D. Bét., cart. d’Auchy, p. 18), Huby en 1112 (Miræus, t. I, p. 170), Hupi en 1157 (Gall. christ., t. X, instr., col. 316), Hubui au XIIe siècle (abb. de Cercamp), Huppi en 1477 (terr. de l’hôtel-Dieu de Montreuil), Hubby en 1512 (Tassart, pouillé, f° 206 v°)[29].

Durant la Révolution, la commune porte le nom de Mont-Blanc en 1793 (loi de brum. an II)[1].

Le Petit-Saint-Leu est un écart de la commune[29].

Saint-Leu est un hagiotoponyme.

Avant la Révolution française, Huby est le siège d'une seigneurie[30].

Seigneurs d'Huby

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  • Jean-Baptiste de Bassecourt est créé marquis de Grigny par lettres patentes du roi d'Espagne Charles II du 22 (27) , avant que le titre ne soit reconnu en France, en par ses héritiers (lettres patentes, enregistrées le à Fontainebleau[31],[32],). Jean-Baptiste de Bassecourt est en 1690 chevalier de l'ordre de Saint-Jacques, seigneur d'Huby, de Grigny, général des armées d'Espagne, issu d'une ancienne famille de l'Artois, au service depuis 1655[30].

Politique et administration

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Création d'une commune nouvelle

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Un projet de commune nouvelle, regroupant cinq communes associées que sont Hesdin, Huby-Saint-Leu, Marconne, Marconnelle et Sainte-Austreberthe, est à l'étude pour une mise en place prévue au . Les conseils municipaux de quatre communes ont, par un vote symbolique, affichés leur détermination à la concrétisation du projet, seul celui de la commune de Marconnelle s'est opposé à rejoindre ce projet. Il reste, pour les quatre communes restantes à répondre aux questions de la population, des associations et des institutions[33]. Le , Les conseils municipaux des quatre communes, qui totalisent 4 509 habitants en 2021, ont voté pour la création de la commune nouvelle qui s'appellera Hesdin-la-Forêt (52 votes pour sur 59 élus). Cette commune nouvelle prend effet au , ensuite le , les 59 élus des quatre communes élisent le maire de la commune nouvelle, le nouveau conseil municipal est constitué du nouveau maire, de quatre maires délégués et des 59 conseillers municipaux jusqu'au élections municipales de , conseil municipal qui, après ces élections, sera de 29 élus[34].

Découpage territorial

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais[35].

Commune et intercommunalités

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La commune est membre de la communauté de communes des 7 Vallées[35].

Circonscriptions administratives

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La commune est rattachée au canton d'Auxi-le-Château[35].

Circonscriptions électorales

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Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais[36].

Élections municipales et communautaires

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  novembre 1982[37] André Cardon   démissionnaire
18 novembre 1982 En cours
(au 24 mars 2022)
Serge Roussel   Ancien cadre
Réélu pour le mandat 2014-2020[37],[38],[39]
Réélu pour le mandat 2020-2026[40],[41],[42]

Équipements et services publics

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Population et société

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Démographie

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Les habitants sont appelés les Saint-Loupois[43].

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[45].

En 2021, la commune comptait 855 habitants[Note 8], en évolution de −5,21 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
523627635734790756727744705
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
666664645649610596598633656
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
632621625594545523575545551
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
6017188689261 010967957930886
2021 - - - - - - - -
855--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 39,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 416 hommes pour 470 femmes, soit un taux de 53,05 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[47]
HommesClasse d’âgeFemmes
2,6 
90 ou +
6,8 
10,8 
75-89 ans
19,8 
19,5 
60-74 ans
17,9 
19,5 
45-59 ans
15,5 
15,9 
30-44 ans
12,3 
14,4 
15-29 ans
13,2 
17,3 
0-14 ans
14,5 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[48]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Monument historique

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  • L'église Saint-Leu, inscrite au titre des monuments historiques[49] par arrêté du , église qui nécessite une réhabilitation[50].

Autres lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

Écartelé, au premier d'or au créquier arraché de gueules, au deuxième de sinople à la mitre d'argent, au troisième de sinople au canon sur son affût d'argent, au quatrième d'or au cerf de gueules.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Ouvrage consultable aux archives départementales du Pas-de-Calais[52] :

  • D. Robillard, Mémoires Saint-Loupoises. 1914-1918, Huby-Saint-Leu, 2011.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  6. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Hesdin comprend deux villes-centres (Hesdin et Marconnelle) et six communes de banlieue.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canche (E54-003-) » (consulté le )
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ternoise (E5400650 ) » (consulté le )
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Huby-Saint-Leu (E5401210) » (consulté le )
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Petit Saint-Leu (E5401220) » (consulté le )
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Huby-Saint-Leu et Humières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  14. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  15. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du Ternois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « espace protégé FR4505941 - cavités de la Loge », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « espace protégé FR4505953 - marais des courbes », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « ZNIEFF 310007265 - Forêt domaniale d'Hesdin et ses lisières », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « ZNIEFF 310030088 - Marais communal d'Huby-Saint-Leu », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « ZNIEFF 310013699 - La basse Vallée de la Canche et ses versants en aval d’Hesdin », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
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  27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
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  30. a et b Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 56, lire en ligne
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  32. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 68, lire en ligne
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  34. Fabrice Leviel, « L’acte de naissance de la nouvelle commune d’Hesdin-la-Forêt est signé », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
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