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Grez-Neuville

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Grez-Neuville
Grez-Neuville
La Mayenne, l'église et le port de Neuville vus de Grez.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Segré
Intercommunalité Communauté de communes des Vallées du Haut-Anjou
Maire
Mandat
Pascal Crubleau
2020-2026
Code postal 49220
Code commune 49155
Démographie
Gentilé Grez-Neuvillois,
Population
municipale
1 427 hab. (2021 en évolution de −2,19 % par rapport à 2015)
Densité 53 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 36′ 07″ nord, 0° 40′ 59″ ouest
Altitude Min. 16 m
Max. 97 m
Superficie 26,9 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tiercé
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Grez-Neuville
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Grez-Neuville
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Grez-Neuville

Grez-Neuville est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Géographie

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Localisation

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La commune est située à la frontière du Haut-Anjou. Elle se situe à 22 km au nord-ouest d'Angers, 20 km au sud-est de Segré, 12 km au nord-ouest de Montreuil-Juigné, 4 km au sud-est du Lion-d'Angers, à 8 km à nord-ouest de Feneu, à 6 km au nord de La Membrolle-sur-Longuenée (commune de Longuenée-en-Anjou), à 5 km au sud de Thorigné-d'Anjou ainsi qu'à 6 km à l'ouest de Sceaux-d'Anjou.

La commune bénéficie un accès direct pour se rendre à Angers avec la départementale 775 reliant Angers à Rennes à 1,5 km du bourg.

Communes limitrophes

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Hydrographie

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La Mayenne traverse la commune.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 676 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Beaucouzé à 15 km à vol d'oiseau[3], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 709,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Au , Grez-Neuville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (94,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,9 %), terres arables (30,7 %), prairies (26,7 %), forêts (2,6 %), zones urbanisées (2,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), eaux continentales[Note 2] (0,7 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Formes anciennes du nom pour Grez : Gradus en 1530, Greto en 1082, Greio en 1094, Grez en 1183[12],[13].

Formes anciennes du nom pour Neuville : Nova Villa in Andecavo en 837, Nova Villula en 1080, Nova Villa en 1111, Novilla en 1134-1150, Parochia de Novile en 1265, Nefville outre Maine en 1378, Nova Villa en 1454, La paroisse de Neufville-sur-Maine en 1539, St-Martin-de-Neuville et Gré aux XVIIe et XVIIIe siècles[14],[13].

Grez Neuville en 1793 et Grez-Neuville en 1801[15].

Nom des habitants (gentilé) : les Grez-Neuvillois[16] (ou Grezneuvillois[13]).

La Mayenne, le Grand Moulin à Grez.
La Mayenne, le Grand Moulin à Grez.

Grez-Neuville, malgré son nom composé, n’a toujours formé qu’une seule et unique paroisse sous l'Ancien Régime, mais une paroisse regroupant deux bourgs, Grez et Neuville, séparés par la Mayenne. Voilà comment les habitants décrivent leur paroisse en 1777 :

« La rivierre de la Mayenne coulle du Nord au Midy et divise la paroisse et le bourg de Grez et de Neuville, au couchant est le bourg, l’église de Neuville et environ les deux tiers de la paroisse, au soleil levant est le bourg et le territoire de Grez, formant le tiers de laditte paroisse ».

La population, relativement nombreuse par rapport aux paroisses voisines (193 feux en 1688, 226 feux en 1700, 300 feux en 1789, 1 269 habitants en 1790), était assez également répartie puisque, toujours selon les habitants, en 1777 : « la partie de Grez (…) [était] composée de château et maisons considérables, de dix-sept métairies, de vingt-six closeries, plusieurs villages et d’un bourg beaucoup plus gros et peuplé que celuy de Neuville, de sorte qu’il y [avait] dans la partie de Grez, environ quatre cent communiants » ; sachant que les enfants ne communiaient généralement pas avant l’âge de dix à quatorze ans, au XVIIIe siècle, les deux parties de la paroisse devaient être à peu près aussi peuplées. Enfin, du point de vue religieux, administratif et judiciaire, la paroisse dépendait du diocèse d'Angers et de l’archidiaconé d’Outre-Maine, elle relevait de l’autorité du gouverneur d’Anjou et de l’intendant de Tours, et était du ressort du Parlement de Paris et du bailliage d’Angers.

L'église Saint-Martin de Neuville.
L'église Saint-Martin de Neuville.

Divisée territorialement par la Mayenne, Grez-Neuville devait connaître une organisation et un développement différenciés de part et d’autre de la rivière. Différenciés au niveau de la chronologie tout d’abord : contrairement à ce que pourrait laisser penser la toponymie, c’est le bourg de Neuville qui est le plus ancien puisqu’il est mentionné dès 834, lorsque saint Aldéric y établit une métairie. Son nom, Nova Villa in Andecavo, pourrait « l’indiquer comme une agglomération récente comparé au Lion-d’Angers ». Quant à Grez, c’est en 1122 qu’il est mentionné pour la première fois, lorsque Nicolas de Neuville autorisa son vassal, Raoul de Grez, à construire une chapelle dédiée à saint Jacques, près de sa maison, sur la rive gauche de la Mayenne. « Raoul de Grez donna cette chapelle en 1125 aux moines de Saint-Serge d’Angers, qui en firent un prieuré ». L’église paroissiale se trouvant, elle, comme le presbytère, à Neuville. Grez et Neuville étaient reliés par un pont, mentionné en 1462, mais dont la date de construction est inconnue, et qui fut détruit au plus tard en 1576. On n’eut alors d’autre solution que le recours à un bac, dangereux puisqu’il coula à plusieurs reprises[17],[18],[19].

Le collège

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C'est à Grez qu'Hélène Fournier avait prévu l’installation du collège qu’elle fonda par son testament passé devant le notaire Claude de Villiers, le . L'activité du collège débutant vraisemblablement en 1594.

De la fondatrice, Hélène Fournier, nous savons relativement peu de choses : son grand-père, Pierre Fournier, fut échevin à Angers en 1494, puis maire de cette ville en 1503 ; quant à son père, Guillaume Fournier, qui avait épousé Hélène Erreau, la mère de la fondatrice, il fut élu échevin d’Angers en 1552. Elle était donc issue d’une importante famille angevine et elle épousa à une date inconnue, Jean de Bréon.

Mais ce fut elle, et elle seule, qui fonda le collège de Grez-Neuville… Bien doté (un logis principal avec ses dépendances, une métairie, des terres, des prés et des vignes), ce petit établissement qui ne comptait sans doute qu’un seul enseignant, le principal, fut actif pendant deux siècles, et huit principaux se succédèrent à sa direction : René Viot (1594-1602), Maurice Buffé (1602-1628), Jean Godillon (1628-1680), Pierre Blanchet (1681-1699), Jean Richard (1700-1730), Pierre Goudé (1730-1746), Louis-Sébastien Bertrie (1746-1774) et Jacques-François Foucault (1774-1790).

On y enseignait le catéchisme, le latin, la géographie, sans doute un peu d’arithmétique et de français. Mais la Révolution eut raison de lui et son activité cessa vraisemblablement dès 1790. En revanche, les bâtiments qui abritaient l’établissement ne furent détruits qu’en 1869, lorsque l’on décida de construire un nouveau presbytère à Grez, à la place de la Garenne, l’ancien collège, qui en fait servait déjà de presbytère à Grez depuis 1834. Seuls les murs d’enceinte du jardin subsistent encore aujourd’hui[17].

La Grandière

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Ce nom apparaît dès le XIIe siècle sur la rive gauche de la Mayenne, du côté de Grez, où existe déjà une motte féodale appelée Le Bois Grandière.

Suivent une lignée de Seigneurs de La Grandière dont le premier, un certain Luc de La Grandière apparaît dans un cartulaire de 1150. Cette famille, l'une des plus anciennes d'Anjou avec les Quatrebarbes, conserve le château et les terres du même nom depuis plus de trente générations.

Blasons des d'Orvault, Hullin de la Selle, de Terves.
Blasons des d'Orvault, Hullin de la Selle, de Terves.

La Beuvrière

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Pendant quatre siècles, c'est la même famille qui habite la Beuvrière, changeant de nom par les alliances successives : d'Orvault, Hullin de la Selle, de Terves[20].

Politique et administration

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Administration municipale

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Mairie (château du Port).
Mairie (château du Port).
Liste des maires successifs[21]
Période Identité Étiquette Qualité
1792 1797 Mathurin Foucault    
1797 1804 Vincent Davy    
1804 1821 Pierre-Étienne Dumesnil du Pineau   Officier, émigré, chef royaliste en 1815
1821 1830 Hilaire Desprez    
1830 1837 Jean-Baptiste Hubert Modiquet    
1837 1848 Palamède de La Grandière    
1848 1866 Gustave Bucher de Chauvigné Légitimiste Représentant du peuple, ancien magistrat
1866 mai 1912 Henri Desprez    
mai 1912 décembre 1919 Charles Lemesle    
décembre 1919 mars 1959 Jacques de La Grandière    
mars 1959 1969 Dominique de Broglie, (prince de)   Propriétaire du Château de la Violette en 1926
1969 mars 1989 Francis Michau    
mars 1989 mars 2001 Françoise Martin UDF  
mars 2001 mars 2014 Jean-Yves Surrault[22],[23],[24] UMP Informaticien retraité
mars 2014 En cours
(au 31 mai 2020)
Pascal Crubleau[25],[26]   Enseignant-chercheur en innovation à Polytech Angers
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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La commune est membre de la communauté de communes des Vallées du Haut-Anjou, après l'avoir été jusqu'en 2016 de la communauté de communes de la région du Lion-d'Angers[27], elle-même membre du syndicat mixte Pays de l'Anjou bleu, Pays segréen.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

En 2021, la commune comptait 1 427 habitants[Note 3], en évolution de −2,19 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2691 1311 1751 4471 4011 3931 3831 3691 418
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3591 4271 3601 2521 2121 1551 1911 2281 212
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1221 1731 1411 0561 0139839668731 016
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
9358537658601 0401 3071 4361 4731 464
2018 2021 - - - - - - -
1 4331 427-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,3 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 728 hommes pour 705 femmes, soit un taux de 50,8 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,63 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,1 
90 ou +
0,6 
4,8 
75-89 ans
4,1 
14,4 
60-74 ans
14,6 
25,1 
45-59 ans
24,8 
18,3 
30-44 ans
18,3 
18,5 
15-29 ans
15,0 
18,7 
0-14 ans
22,6 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2021 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,1 
75-89 ans
9,5 
16,2 
60-74 ans
16,9 
19,4 
45-59 ans
18,7 
18,2 
30-44 ans
17,5 
18,8 
15-29 ans
17,6 
19,5 
0-14 ans
17,6 

La commune possède un club de basket-ball et un club de boule de fort. Elle accueille également deux clubs loisirs de volley-ball et de badminton. Elle est équipée de deux salles multi-sports et d'un court de tennis extérieur.

Il n'y a pas de club de football dans la commune. Le club le plus proche se trouve à 4 km au Lion-d'Angers.

Enseignement

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Grez-Neuville dispose d'une école maternelle et élémentaire publique, La Garenne.

Dans les ruelles de la commune on peut apercevoir les différentes maisons faites de pierres apparentes ou de schiste, et sur le quai de Grez, les maisons de Neuville et son église romane. Grez-Neuville compte parmi les villages de charme du département de Maine-et-Loire[34].

La commune est récompensée par deux fleurs au palmarès 2007 du concours des villes et villages fleuris[35].

En 2015, la commune est élue « Plus Beau Village du Maine-et-Loire » par les lecteurs du quotidien Le Courrier de l'Ouest[36].

Sur cent-dix établissements présents sur la commune à fin 2010, 31 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 14 % du secteur de la construction, 43 % de celui du commerce et des services et 6 % du secteur de l'administration et de la santé[37].

On trouve sur son territoire un supermarché Super U situé à 3 km au nord du bourg, sur le lieu-dit de la Grée. Bien qu'il soit sur le territoire de la commune, il est plus près du Lion-d'Angers et est appelé le centre commercial du Pays Lionnais.

Lieux et monuments

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  • Le château de La Grandière (XVe et XVIIIe siècles), Chatelet inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques ;
  • Le château du Port devenu la Mairie de Grez-Neuville en 1953 ;
  • Le Château de Bellevue à Grez ;
  • La chapelle Saint-Jacques ;
  • Le Prieuré et sa tour ;
  • Le Vieux Logis rue du Moulin ;
  • Le Grand Moulin.

À Neuville

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Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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  • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1876) (BNF 34649310, lire en ligne), p. 258-259 (Grez-Neuville).
  • Dominique de Broglie, Grez-Neuville, dactylographié, 1962, 190 pages.
  • Pierre Cochard, Grez-Neuville, son histoire, son patrimoine, Association Les Amis de Grez-Neuville, Grez-Neuville, 1994, 54 pages.
  • Mickaël Pouteau, Le collège de Grez-Neuville (1592-Révolution française), Éditions Hérault, Maulévrier, 2001, 263 pages.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Grez-Neuville et Beaucouzé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Beaucouzé », sur la commune de Beaucouzé - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Beaucouzé », sur la commune de Beaucouzé - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Grez-Neuville »..
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Angers », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1876) (BNF 34649310), p. 256-257 (Grez).
  13. a b et c Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 88.
  14. Célestin Port (édition révisée par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : N-R, t. 3, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 40869771), p. 10-12 (Neuville).
  15. EHESS, Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Grez-Neuville, consultée le 31 décembre 2014 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l'ensemble du territoire français de l'époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
  16. Ouest-France, Boule de fort : Grez-Neuville en tête du Segréen, article du 18 juin 2013.
  17. a et b Extrait de l'ouvrage de Mickaël Pouteau, Le Collège de Grez-Neuville (1592-Révolution française), Impr. Hérault, 2001 (ISBN 2-7407-0172-1), avec autorisation de l'auteur.
  18. Archives départementales de Maine-et-Loire, 212 J, H 1031.
  19. Lebrun François,Paroisses et communes de France, Dictionnaire d’histoire administrative et démographique, Maine-et-Loire, Laboratoire de Démographie Historique de l'École Pratique des Hautes Études (VIe section), Paris, 1974, page 199.
  20. Histoire de la Beuvrière en Grez-Neuville, par Jean Poussin.
  21. Édition révisée de 1978 du Célestin Port, op. cit., t. 2, p. 258 et 259 (Grez-Neuville) : David, messidor an VIII — Pierre du Mesnil du Pineau, 4 nivôse an XII — Palamède de la Grandière, 1837 — Gustave Bucher de Chauvigné, 1848 — Henri Desprès, 1866 — Charles Lemesle, 1912 — Jacques de la Grandière, 1919 — Prince Dominique de Broglie, 1959 — François Michau, 1971.
  22. Ouest-France, Jean-Yves Surrault, maire sortant, présente sa liste, article du 18 février 2008
  23. Ministère de l'Intérieur, Résultats des élections municipales 2008 - Grez Neuville, 16 mars 2008
  24. Ouest-France, Vœux en forme de bilan final pour Jean-Yves Surrault, article du 20 janvier 2014.
  25. Ouest-France, Pascal Crubleau étrenne son écharpe de maire, article du 2 avril 2014.
  26. « Grez-Neuville. Pascal Crubleau réélu maire », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  27. Insee, Composition de l'EPCI de la Région du Lion d'Angers (244900585), consulté le 14 décembre 2013.
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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