Eymet
Eymet | |||||
Les arcades de la place Gambetta à Eymet. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Bergerac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Portes Sud Périgord (siège) |
||||
Maire Mandat |
Jérôme Bétaille 2020-2026 |
||||
Code postal | 24500 | ||||
Code commune | 24167 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
2 535 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 81 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 40′ 07″ nord, 0° 23′ 56″ est | ||||
Altitude | Min. 41 m Max. 133 m |
||||
Superficie | 31,25 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Eymet (ville isolée) |
||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Sud-Bergeracois (bureau centralisateur) |
||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Liens | |||||
Site web | eymet-dordogne.fr | ||||
modifier |
Eymet (occitan: Aimet, [ɛjˈme][1]) est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. Chef-lieu du canton d'Eymet de 1790 à 2015, la commune est devenue à cette date le bureau centralisateur du canton du Sud-Bergeracois.
Géographie
[modifier | modifier le code]Généralités
[modifier | modifier le code]Dans l'extrême sud-sud-ouest du département de la Dordogne, la commune d'Eymet est située en Bergeracois. Limitrophe de cinq communes du département de Lot-et-Garonne, elle est arrosée par le Dropt.
Implantée au croisement des routes départementales (RD) 18, 25 et 933, la ville d'Eymet se situe, en distances orthodromiques, 22 kilomètres au sud-sud-ouest de Bergerac et 25 kilomètres au nord-est de Marmande.
Le territoire communal est également desservi par les RD 18e et 25e.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Sur les huit communes limitrophes d'Eymet, cinq se trouvent dans le département de Lot-et-Garonne. Parmi celles-ci, au sud-est, Bourgougnague n'est limitrophe que sur 25 mètres. À l'est, le territoire de Razac-d'Eymet est distant de moins de 150 mètres.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Géologie
[modifier | modifier le code]Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Eymet est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[2].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e6b, se compose de molasses inférieures (faciès argileux dominant) (Bartonien supérieur continental). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 829 - Duras » et « no 830 - Eymet » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et leurs notices associées[5],[6].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | |||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
| |||||||||||||
Pléistocène |
| |||||||||||||||
Néogène (2.58 - 23.03) |
non présent | |||||||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
Oligocène |
| ||||||||||||||
Éocène |
| |||||||||||||||
Paléocène | non présent | |||||||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
non présent | |||||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 538.8) |
non présent |
Relief et paysages
[modifier | modifier le code]Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 41 m et 133 m[7],[8].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [9]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[10]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[11],[12].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 31,25 km2[7],[13],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 31,27 km2[4].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin de la Garonne au sein du Bassin Adour-Garonne[16]. Elle est drainée par le Dropt, l'Escourou, le ruisseau de l'escoussou, le ruisseau du Réveillou, le Barbeau, le Boudou, le Payot, le Pombareau, le Rieu du Lac, l'Escalette, le Tibre, le Toublan, le ruisseau de la Perche, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 47 km de longueur totale[17],[Carte 1].
Le Dropt, d'une longueur totale de 132,47 km, prend sa source dans la commune de Capdrot et se jette en rive droite de la Garonne en limite de Caudrot et de Casseuil, face à Barie[18],[19]. Il arrose la commune de l'est au sud-ouest sur onze kilomètres. Au sud-ouest, il sert de limite communale et départementale sur plus de quatre kilomètres, face à Agnac.
L'Escourou, d'une longueur totale de 15,85 km, prend sa source dans la commune de Sigoulès-et-Flaugeac et se jette en rive droite du Dropt, en limite d'Eymet (Dordogne) et de La Sauvetat-du-Dropt (Lot-et-Garonne)[20],[21]. À l'ouest, il borde le territoire communal sur plus de sept kilomètres (comprenant le lac de l'Escourou), servant presque intégralement de limite avec Saint-Julien-Innocence-Eulalie et Soumensac.
Affluent de rive gauche du Dropt, le ruisseau de l'Escoussou, ou ruisseau de Pissabesque dans sa partie amont, prolongé par son propre affluent de rive droite le ruisseau de la Perche, marquent la limite communale et départementale au sud sur six kilomètres, face à Agnac et Lauzun.
Dans l'est, en rive droite du Dropt, le ruisseau du Réveillou borde la commune sur près d'un kilomètre, face à Serres-et-Montguyard, et le Payot en fait de même en rive gauche sur un kilomètre.
Également en rive droite du Dropt, trois autres affluents baignent le territoire communal :
- le Pombareau sur près d'un kilomètre et demi
- le Toublan sur plus d'un kilomètre et demi ;
- le Barbeau sur près de deux kilomètres, ainsi que son affluent de rive gauche le ruisseau de Pissouille sur deux kilomètres.
Affluent de rive droite du ruisseau du Réveillou, le Rieu du Lac borde la commune au nord-est sur un kilomètre et demi, face à Fonroque.
-
Le Dropt au pont du Bretou.
-
Le Dropt à Eymet.
-
Le lac de l'Escourou en limite de Soumensac (à gauche) et d'Eymet.
-
Réseaux hydrographique et routier d'Eymet.
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dropt ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin versant du Dropt, d'une superficie de 1 522 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte EPIDROPT[22]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [23].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[24]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[25].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 801 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[26]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bergerac à 21 km à vol d'oiseau[27], est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 792,9 mm[28],[29]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[30].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Eymet est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[31]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Eymet, une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[32],[33]. La commune est en outre hors attraction des villes[34],[35].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (90,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (37,6 %), terres arables (37,4 %), zones urbanisées (8,2 %), prairies (8,1 %), cultures permanentes (5 %), forêts (2,2 %), eaux continentales[Note 3] (1,5 %)[36]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Prévention des risques
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune d'Eymet est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[37]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[38].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Dropt et l'Escourou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1989, 1999, 2018 et 2021[39],[37]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée du Dropt », couvrant 5 communes, approuvé le et modifié le , pour les crues du Dropt. La crue de référence retenue pour l'élaboration du PPRI sur le secteur de Plaisance à Eymet est la crue théorique d’occurrence centennale, avec une valeur de 250 m3/s[40],[41].
Eymet est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[42]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[43],[44].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[45]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[46]. 65,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[47].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1997 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[37].
Toponymie
[modifier | modifier le code]La première mention écrite connue du lieu, Aymetum, date de l'an 1308, et la bastide est ensuite indiquée en 1360 sous la forme Bastida Emeti[48]. Les graphies évoluent en Aymet au XVIe siècle puis au XVIIIe siècle en Emez en 1714[48] et de nouveau Aymet en 1751[49].
Le nom se réfère à °Ametus, un personnage d'origine germanique[49].
En occitan, la commune porte le nom d'Aimet[1].
Histoire
[modifier | modifier le code]De nombreux vestiges gallo-romains ont été découverts à Eymet et ses environs. Les vestiges d'un rempart gaulois ont notamment été mis au jour en 2021 au sud de la bastide, sur le plateau de Blis[50]. Dès l'époque gauloise, la situation géographique, en bordure du Dropt, juste à la limite du territoire des Pétrocores, a donné à cette cité une importance stratégique. Alphonse de Poitiers, comte de Toulouse et frère de Saint Louis, avait détecté cette qualité, lorsqu'il décida de fonder en 1270 une bastide en ce lieu. Ce passage obligé devenait ainsi au XIIIe siècle un verrou entre les territoires français et anglais.
Lors de la guerre de Cent Ans, Eymet était une place anglaise commandée par Thomas Felton, assisté par bon nombre de chevaliers gascons, comme le seigneur de Duras, de Mussidan, Bérard d'Albret, seigneur de Langoiran, ainsi que le seigneur de Rauzan. Elle fut assiégée et prise le 1er septembre 1377 par les troupes de Bertrand Du Guesclin[51].
Eymet, comme la plupart des cités entre Castillon-la-Bataille et Bergerac, choisit la réforme protestante en 1561. Les huguenots forment la majorité de la population au XVIe siècle. En 1854, près d'une centaine de foyers de la bastide sont protestants. Ils sont desservis par un temple toujours en activité au XXIe siècle.
Eymet est une étape sur la via Lemovicensis, chemin du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.
De 1899 à 1987, une ligne de chemin de fer relie Eymet à Bordeaux.
En 1971, les anciennes communes de Cogulot, Rouquette et Saint-Sulpice-d'Eymet fusionnent avec Eymet[52].
Début 2024, la commune reçoit un coup de projecteur lorsque, à l'occasion du mouvement des agriculteurs, une jeune adolescente du village gère pendant une semaine l'élevage caprin de ses parents mobilisés[53],[54].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Dès 1790, la commune d'Eymet a été le chef-lieu du canton d'Eymet qui dépendait du district de Bergerac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton dépend de l'arrondissement de Bergerac[7].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[55]. La commune est alors rattachée au canton du Sud-Bergeracois, dont elle devient le bureau centralisateur.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Fin 2001, Eymet intègre dès sa création la communauté de communes Val et Coteaux d'Eymet dont elle est le siège. Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2013 et remplacée au 1er janvier 2014 par la communauté de communes des Portes sud Périgord dont le siège reste à Eymet.
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]La population de la commune étant comprise entre 2 500 et 3 499 habitants au recensement de 2017, vingt-trois conseillers municipaux ont été élus en 2020[56],[57].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]- Grumello del Monte (Italie) depuis 2005[63]
- North Hatley (Canada) depuis 2008
Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Justice
[modifier | modifier le code]Dans le domaine judiciaire, Eymet relève[64] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Bergerac ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[65]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[66].
En 2021, la commune comptait 2 535 habitants[Note 5], en évolution de −4,77 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Remarques
[modifier | modifier le code]La brutale chute démographique constatée en 1800 correspond à la création de trois communes indépendantes : Cogulot, Rouquette et Saint-Sulpice-d'Eymet, qui se séparent d'Eymet.
En 1971, l'opération inverse se produit, ces trois communes fusionnent avec Eymet, entraînant une hausse soudaine du nombre d'habitants révélée lors du recensement de 1975.
Sports
[modifier | modifier le code]- L'Association Sportive Eymet (ASE) Rugby a été fondée en 1904[68].
- Eymet est la ville-départ de la 11e étape du Tour de France 2017.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Reportée à deux reprises en 2020 et 2021 pour cause de pandémie de Covid-19, la Félibrée se tient début à Eymet[69].
Économie
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants d'Eymet ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.
L'emploi des habitants
[modifier | modifier le code]En 2018[70], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 918 personnes, soit 35,1 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (135) a diminué par rapport à 2013 (147) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 14,7 %.
L'emploi sur la commune
[modifier | modifier le code]En 2018, la commune offre 1 019 emplois pour une population de 2 614 habitants[71]. Le secteur tertiaire prédomine avec 40,1 % des emplois mais le secteur administratif est également très présent avec 36,8 %.
Répartition des emplois par domaines d'activité
Agriculture, sylviculture ou pêche | Industrie | Construction | Commerce, transports et services | Administration publique, enseignement, santé, action sociale | ||
---|---|---|---|---|---|---|
Nombre d'emplois | 61 | 132 | 78 | 409 | 340 | |
Pourcentage | 6,0 % | 13,0 % | 7,6 % | 40,1 % | 33,4 % | |
Source des données[71]. |
Établissements
[modifier | modifier le code]Au , la commune compte 380 établissements[72], dont 230 au niveau des commerces, transports ou services, cinquante relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, trente-neuf dans la construction, trente-trois dans l'industrie, et vingt-huit dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[73].
Entreprises
[modifier | modifier le code]Dans le secteur agroalimentaire, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Lou Gascoun » (préparation industrielle de produits à base de viande) implantée à Eymet se classe en 14e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 9 160 k€[74].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Patrimoine civil
[modifier | modifier le code]- La bastide d'Eymet avec ses rues qui se croisent à angles droits, sa place centrale, ses arcades, ses nombreuses maisons à colombages représente depuis 1968 un site inscrit sur 16 hectares[75],
- Château d'Eymet ou château de la Bastide, du XIIIe siècle dont le logis a été rebâti au XIXe siècle, inscrit aux monuments historiques depuis 1994[76], aujourd'hui consacré à un musée
- Château de Pouthet, XVIIIe et XIXe siècles, inscrit aux monuments historiques depuis 2006[77], visitable en été[78],
- Dolmen d'Eylias daté du Néolithique, inscrit depuis 1981[79],
- Pont médiéval du Bretou sur le Dropt, inscrit depuis 1995[80],
- Pigeonnier de la Garenne du XVIIIe siècle, inscrit depuis 1974[81],
-
Les arcades
de la place Gambetta. -
Porte sud et tour Monseigneur, château d'Eymet. -
Le château de Pouthet. -
Le dolmen d'Eylias. -
Le pont du Bretou.
Patrimoine religieux
[modifier | modifier le code]- Église Notre-Dame-de-l'Assomption, XIXe siècle, de style néogothique, qui a remplacé l'ancienne église médiévale.
- Église Sainte-Madeleine de Cogulot, d'origine romane, remaniée au XIXe siècle.
- Église Saint-Martin, à Rouquette, du XIIe siècle.
- Église de Saint-Sulpice, d'origine romane.
- Temple protestant de l'Église réformée de France, reconstruit au début du XIXe siècle après la destruction du temple précédent à la fin du XVIIe siècle, à la suite de la révocation de l'Édit de Nantes[82].
-
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption. -
L'église de Cogulot. -
L'église de Rouquette. -
L'église de Saint-Sulpice. -
Le temple protestant.
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]À l'ouest, le lac de l'Escourou borde le territoire communal sur environ trois kilomètres. Cette retenue et ses rives font partie d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I, devenu un lieu de passage ou d'hivernage pour de nombreuses espèces d'oiseaux[83],[84]. De plus, ses rives « sont constituées […] de pelouses calcaires mésophiles et de boisements thermophiles à chêne pubescent »[83].
Le Touron, grotte située en bordure du bourg de Saint-Sulpice-d'Eymet, fait partie de cette même ZNIEFF, car elle sert de lieu de reproduction à deux espèces menacées de chauves-souris : le murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus) et le rhinolophe euryale (Rhinolophus euryale)[83]. Pour les mêmes raisons, la grotte est également protégée au titre du réseau Natura 2000[85].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Pierre Théophile Delbetz (1818-1881), homme politique, est né et mort à Eymet.
- Dominique Erbani, (1956-), joueur de rugby à XV du international français, est né à Eymet.
- Gabriel Forestier (1889-1969), est un sculpteur né à Eymet.
- Jean Goubie (1787-1860), homme politique, est né et mort à Eymet.
- Jean Milhet-Fontarabie (1828-1890), homme politique, est né à Eymet.
- Pierre Morand du Puch cadet (1742-1822), général des armées de la République, est né à Eymet.
- Jean-Baptiste Moyne, (1751-1796), compositeur d'opéras, est né à Eymet.
- Pierre Thomas (1761-1821), est né à Eymet d'une famille patricienne huguenote. Pasteur à Sainte-Foy-la-Grande, acquis aux idées nouvelles, il devient révolutionnaire. Il est nommé maire de Bordeaux du 9 juillet au 16 novembre 1794. Il est administrateur du département de la Gironde puis commissaire du Directoire, et pasteur à La Roche-Chalais et Montcaret jusqu'à sa mort en 1821.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes d'Eymet se blasonnent ainsi : « Écartelé, au 1 et 4, d'or à trois pals de gueules, au 2 et 3 d'or à deux vaches de gueules passant l'une sur l'autre. » |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Pierre Garrigou Grandchamp, L'architecture domestique des bastides périgourdines aux XIIIe et XIVe siècles, dans Congrès archéologique de France. 156e session. Monuments en Périgord. 1999, p. 47-71, Société française d'archéologie, Paris, 1999
- J.-P. Capdeville, Carte géologique de la France à 1/50 000 - Eymet, Éditions du BRGM Service géologique national, Orléans, 1991, (ISBN 2-7159-1830-5) (lire en ligne)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes de la Dordogne
- Liste des anciennes communes de la Dordogne
- Communauté de communes des Portes Sud Périgord
- Liste des châteaux de la Dordogne
- Dordogne (département)
- Périgord
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Société archéologique du Midi, Pierre Garrigou Grandchamp, Inventaire des édifices domestiques romans et gothiques des XIIe, XIIIe et XIVe siècles dans le Périgord (Eymet), août 2000
- Eymet sur l'office du tourisme du pays de Bergerac
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[14],[15]
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique d'Eymet » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Le nom occitan des communes du Périgord - Aimet sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique d'Eymet » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune d'Eymet », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
- « Notice associée à la feuille no 829 - Duras de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
- « Notice associée à la feuille no 830 - Eymet de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Repères géographiques du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune d'Eymet », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Fiche communale d'Eymet », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
- « Confluence Dropt-Garonne au nord-est du bourg de Caudrot » sur Géoportail (consulté le 30 juillet 2022)..
- Sandre, « le Dropt »
- « Confluence Escourou-Dropt au nord du Moulin de la Régie » sur Géoportail (consulté le 30 juillet 2022)..
- Sandre, « l'Escourou »
- « SAGE Dropt », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Eymet et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bergerac-Roumanière » (commune de Bergerac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bergerac-Roumanière » (commune de Bergerac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Eymet », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune d'Eymet », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), liste des risques par communes, pages 111-133.
- [PDF]« Plan de prévention du risque inondation de la « vallée du Dropt » », sur le site de la préfecture de la Dordogne, (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
- « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (A-K), article « EYMET », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 6 août 2016.
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 150-151.
- Muriel Weiner, « La mise au jour d'un rempart gaulois », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 20b.
- Mairie d'Eymet sur le site du Pays de Bergerac, consulté le 10 janvier 2012.
- Code officiel géographique d'Eymet sur le site de l'Insee, consulté le 6 février 2013
- Marie-Astrid Guégan, « VIDÉO - Dordogne : à 14 ans, elle gère la ferme pendant que ses parents sont dans le convoi des agriculteurs », France Bleu, (consulté le ).
- Nancy Ladde, « Vidéo. Agriculteurs en colère : le retour des « héros » en Dordogne », Sud Ouest, (consulté le ).
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 2 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 28 octobre 2020.
- Notice JARRY Raoul, Jean par Gilles Morin, version mise en ligne le 25 avril 2010, dernière modification le 25 avril 2010
- Muriel Weiner, « L’ancienne maire s’est éteinte », Sud Ouest, (lire en ligne).
- Fiche de M. Jean-Michel MAGNAC, sur lesbiographies.com
- Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 18 août 2014.
- « Jérôme Bétaille espère des « débats constructifs » », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 15.
- Muriel Weiner, « Un jumelage toujours actif avec les Italiens de Grumello del Monte », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 20b.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Muriel Weiner, « Rugby : trois jours pour fêter les 120 ans de l'Association Sportive Eymet », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 24.
- Grégoire Morizet, « La Félibrée fait perdurer traditions et langue d'oc », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 10-11.
- Dossier complet - Commune d'Eymet (24167) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 3 avril 2022.
- Chiffres-clés - Emploi - Population active - tableaux POP T0 et EMP T8 sur le site de l'Insee, consulté le 3 avril 2022.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune d'Eymet (24167) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 12 octobre 2018.
- « Agroalimentaire », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 34.
- Site inscrit de la bastide d'Eymet
- « Inscription du château de la Bastide d'Eymet », notice no PA00132928, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 28 août 2009
- « Inscription du château de Pouthet », notice no PA24000051, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 28 août 2009
- Pouthet sur Comité des Parcs et Jardins de France. Consulté le 28 août 2009
- « Inscription du dolmen d'Eylias », notice no PA00082530, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 28 août 2009
- « Inscription du pont médiéval du Bretou », notice no PA00135165, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 28 août 2009
- « Inscription du pigeonnier de la Garenne », notice no PA00135165, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 28 août 2009
- Panneau apposé sur le temple (Balade patrimoine en pays des bastides et cités médiévales). Vu le 23 août 2009
- [PDF] Étang de l'Escourou et Grotte de Saint-Sulpice-d'Eymet, INPN, consulté le 17 octobre 2018.
- Carte de la ZNIEFF 720014267, INPN, consulté le 17 octobre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à gauche sur le globe terrestre bleu, descendre la valeur de la couche « Métropole : ZNIEFF1 » à 0 et augmenter l'opacité de la couche « Cartes IGN » à 1.
- Carte de la zone FR7200675, DREAL Aquitaine, consulté le 17 octobre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».
- Commune en Dordogne
- Commune dans l'arrondissement de Bergerac
- Commune dans la communauté de communes des Portes Sud Périgord
- Ville nouvelle du XIIIe siècle en France
- Bastide médiévale en Dordogne
- Ancien chef-lieu de canton en Dordogne
- Commune touristique en France
- Ville-étape du Tour de France en Dordogne
- Fondation en 1270
- Via Lemovicensis