Cosqueville
Cosqueville | |
Le bourg de Cosqueville. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Manche |
Arrondissement | Cherbourg |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Cotentin |
Statut | Ancienne commune |
Code postal | 50330 |
Code commune | 50142 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 41′ 39″ nord, 1° 24′ 32″ ouest |
Altitude | Min. 0 m Max. 85 m |
Superficie | 10,90 km2 |
Élections | |
Départementales | Val-de-Saire |
Historique | |
Dissolution | |
Fusion | |
Commune(s) d'intégration | Vicq-sur-Mer |
Localisation | |
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Cosqueville (prononcé [koːkvil][1]) est une ancienne commune française littorale rurale du département de la Manche et la région Normandie.
Devenue commune déléguée au sein de Vicq-sur-Mer depuis le , le statut de commune déléguée est supprimée en par décision du conseil municipal[2].
Géographie
[modifier | modifier le code]Cosqueville est située en bord de mer dans le Val de Saire[3]. Les principaux cours d'eau de la commune sont la rivière de Varouville ainsi que les ruisseaux de Hacouville et de la Fontaine des Dalles. Le port de Cherbourg est à 15,4 km. Son climat est océanique avec des étés tempérés.
La roche dominante du territoire est le granite.
La commune est à 15 km de distance du parc naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin.
Les plages
[modifier | modifier le code]- La plage du Vicq.
- La plage de Tabot.
- La pointe de la Loge et ses anciennes maisons de pêcheurs à présent utilisées comme habitations. La plage se trouve à la limite de la commune de Fermanville.
- L'anse du Sablon : c'est de là que partait autrefois les extractions des carrières qui ont notamment été utilisées pour la rade de Cherbourg.
- La plage des Mares, sur laquelle on retrouve des vestiges de la Seconde Guerre mondiale[5].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Coskevilla entre 1164 et 1196[6], Galfridus Cosquet, dominus de Cosquevilla en 1216[6], Cousquevilla vers 1280[6], ecclesia de Cosquevilla en 1332[7], Coquevilla en 1351 et en 1352[8], fief Richard Cosquet [à cosqueville] en 1396[6], Quoqueville en 1424[6], Cosqueville en 1549[9].
Il s’agit d’une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural », précédé du nom de famille Cosquet[10].
En 1801, le nom de la commune était Coqueville[11].
Le gentilé est Cosquevillais.
Histoire
[modifier | modifier le code]Aux temps préhistoriques
[modifier | modifier le code]Le littoral a été peuplé dès le Paléolithique comme en témoignent les armes et outils datant de cette époque. La Pierre Plantée, du Néolithique, qui forme un triangle avec les deux menhirs de Saint-Pierre-Église, mesure neuf pieds de hauteur. Il en existait un autre, qui a été renversée par les vagues de la mer et qu'on nommait le Poteau, à cause de sa forme cylindrique. Ces mégalithes sont connus sous le nom des « Trois Princesses ». En 1820, un dolmen a été détruit au hameau de la Trigalle. Onze années plus tard, on découvrit aux environs une petite niche souterraine, dans laquelle il y avait quarante coins en bronze.
Une partie du territoire de la commune a été envahie par la mer. Aux marées basses, on retrouve des traces de chemins charretiers, qui ont laissé des empreintes dans la pierre, ainsi que des arbres enfouis dans une tourbe noirâtre, qui devait être autrefois de l´humus ou une terre végétale. Le Rocher du Vic, les Roches du Bourg, maintenant submergés, indiquent qu´il y avait là des habitations.
Antiquité et Haut Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Le toponyme est de formation récente et l’absence de trace archéologique ne permet pas d’avancer des hypothèses sur le passé de la localité à l’époque antique et au Haut Moyen Âge. Elle faisait partie du territoire des Unelles, peuple celtique (gaulois), romanisé par la suite. À l’époque du Bas Empire, la région est incluse dans le système de défense du litus Saxonicum destiné à la protéger des raids de pirates germaniques. En 1823 dans une parcelle nommée « le Clos à Bœufs » on a découvert des pièces mérovingiennes en or et en argent[12]. À partir du milieu du IXe siècle, des Vikings commencent à fréquenter la côte et finissent par établir des bases permanentes, bien qu’on en ait pas de preuves matérielles, seules des sources indirectes et l’onomastique nous renseignent sur la présence de ces Hommes du nord.
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]On trouve la première mention de Cosqueville en 1164 sous la forme Coskevilla. En 1196, un certain Galfridus Cosquet est seigneur de Cosquevilla.
Un Raoul des Moustiers, seigneur de Cosqueville, participa en 1096 à la première croisade avec Robert Courteheuse. Guillaume Le Moine, au XIIe siècle, seigneur de Beaumont et patron d'Angoville donne l'église à l'abbaye de Montebourg. La donation est confirmée par Henri II d'Angleterre (1174-1189)[13].
Dans un aveu daté de 1500 on apprend que Jean de Pirou, seigneur de Beaumont en la Hague, dont dépendent Clitourps, Varouville, Réthoville, Cosqueville, Fermanville, avait droit de patronage, colombier, garennes, bois, près, et la juridiction de bas-justicier et partageait son droit de gravage avec le seigneur de Gonneville[Note 1]. Jean de Pirou possédait deux moulins à blé et avait également « salines et grèves à faire le sel ». C'est à la famille Pirou que l'on doit au XVe siècle le début de la construction du château de Flamanville à l'exception de la chapelle, qui est plus ancienne[14].
Époque moderne
[modifier | modifier le code]Au XVIe siècle, le territoire paroissial était partagé en deux fiefs : celui de Cosqueville qui avait pour seigneur Robert de Hennot († 1568), qui s'était déclaré en faveur du protestantisme, le second, celui de Bellanville, qui avait pour seigneur Roulland Le parmentier, dont un des fils était curé de Cosqueville[15]. Les familles Le Parmentier et de Hennot avec l'abbé Le Parmentier et Robert de Hennot, seigneur de Cosqueville, notamment, qui y laissèrent leur vie, sont le symbole des guerres de Religion (XVIe siècle) qui embrasèrent le Nord-Cotentin.
En 1558, Robert de Hennot gifla Jean Le Parmentier, le frère du curé, d'où s'ensuivit un procès. Les Le Parmentier, sans attendre la sentence du tribunal, assaillirent Hennot et lui donnèrent plusieurs coups de poignard, dont il réchappa. Le sergent Chandeleur, qui l'accompagnait n'eut pas cette chance, et son corps fut jeté aux abords du manoir. Le curé de Cosqueville traduit devant la justice, fut roué vif à Rouen avant d'avoir la tête tranchée[15],[Note 2]. Le dimanche , une émeute visant les protestants, plus ou moins fomenté par Thomas La Guette, vicomte de Valognes et beau-frère de Roulland Le Parmentier, éclata à Valognes, alors que Robert du Hennot s'y trouvait dans une maison, le manoir du Quesnay, où se tenait un prêche. Trainé dans la rue il fut aussitôt massacré, ainsi qu'un médecin, Maistre Gilles Mychault, un tailleur, Gilles Louvet, un avocat, Robert de Verdun, un bourgeois, Jehan Giffart (Jean Guiffard) dit Pont-l'Evesque qui fut « embroché »[16] et un seigneur du Plain, le seigneur de Houesville. Les cadavres restèrent exposés à la vue des passants pendant deux jours et Gouberville relate « les femmes de Valognes venaient donner des coups de pierre et de baston sur les dits corps »[15].
En 1666, Jacques, Pierre et Charles, écuyers demeurant à Cosqueville, sont sieurs de Cosqueville et de Valcanville[17].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Fusions
[modifier | modifier le code]En 1973, Cosqueville fusionne avec Angoville-en-Saire et Vrasville, qui gardent le statut de communes associées. La commune d'Angoville aurait relevé de la famille du Moncel. Ses armoiries sont composées de trois losanges. Quant à Vrasville, elle aurait été rattachée à la famille d'Évrard d'origine scandinave[18].
Le , Cosqueville intègre avec trois autres communes la commune de Vicq-sur-Mer[19] créée sous le régime juridique des communes nouvelles instauré par la loi no 2010-1563 du de réforme des collectivités territoriales. Les communes de Cosqueville, Gouberville, Néville-sur-Mer et Réthoville deviennent des communes déléguées et Cosqueville est le chef-lieu de la commune nouvelle. Du fait de la fusion sous ce régime, Angoville-en-Saire et Vrasville perdent leur statut de communes associées et sont définitivement intégrées à Cosqueville.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Le conseil municipal était composé de quinze membres dont le maire et un adjoint[25]. Deux de ces conseillers étaient respectivement maires délégués des communes associées de Vrasville et d'Angoville-en-Saire. L'ensemble des conseillers intègre le conseil municipal de Vicq-sur-Mer le jusqu'en 2020 et Richard Leterrier est élu maire de la commune nouvelle.
Démographie
[modifier | modifier le code]En 2018, la commune comptait 591 habitants. Depuis 2004, les enquêtes de recensement dans les communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (en 2007, 2012, 2017, etc. pour Cosqueville[27]) et les chiffres de population municipale légale des autres années sont des estimations[Note 3]. Cosqueville comptait 100 feux en 1712.
Économie
[modifier | modifier le code]Les principales activités sont la culture et la production animale.
Appellations d'origine contrôlée
[modifier | modifier le code]La commune de Cosqueville se trouve sur le territoire des Prés-salés du Mont-Saint-Michel et du camembert de Normandie.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Menhir dit la Pierre Plantée. Haut de trois mètres, il forme avec les deux menhirs de Saint-Pierre-Église l'ensemble des trois Princesses[26].
- Le jardin de Cosqueville.
- La pointe du rocher de Tabot ou pointe du rocher au Pique, connue comme lieu de naufrage.
- Le Grand Manoir, du XVIe siècle[26], autrefois entouré de douves, c'est l'ancien siège de la seigneurie de Cosqueville[31]. Des six tourelles d'origine, il n'en subsiste qu'une[32]. On peut notamment y voir une fenêtre avec grille de fer forgé défensive, qui serait la plus imposante du Cotentin[33].
- La motte féodale, située derrière l'église de Vrasville dans un champ dit le Clos-à-Bœuf[34].
- La Maison de Cosqueville appelée le château ou château de Bellanville (XVIIIe siècle). Construite en 1751 par Thomas-Hervé Dagier, sieur de Tourville et son épouse, Marie-Thérèse Le Sens dame de Cosqueville[31], elle a été agrandie, en 1912, notamment de sa partie gauche et d'une tourelle[35]. Haut d'un étage sur rez-de-chaussée, le château dissimulé dans la verdure est couvert d'une toiture ponctuée d'une double rangée de lucarnes. Un parc et un étang complètent l'ensemble[36].
- Église Notre-Dame de Cosqueville (XIIe, XVe – XVIIIe siècles). D'origine romane, la tour-clocher octogonale date du XVe siècle. Le chœur d'origine a été démoli en 1770, de même que l'autel, lors de la Révolution. L'une de ses chapelles anciennement dédiée à saint Fiacre a été rebaptisée chapelle de la Sainte-Vierge. L'autre de ses chapelles, à l'origine dédiée à sainte Anne, est la chapelle Saint-Jean. Des cinq cloches de l'église qui dataient de 1770 n'en subsiste qu'une seule, les quatre autres ayant été emmenées à Cherbourg à la Révolution[37]. Elle abrite un maître-autel du XIXe, un buste de moine du XVIIe, des fonts baptismaux du XVIIIe, une éducation de la Vierge du XVIIe, une statue de saint Fiacre du XVIIe, une statue de saint Marcouf XVIIIe[26].
- Église Saint-Blaise d'Angoville-en-Saire (XIIe, XIVe – XVIIe siècle), entourée d'un très petit cimetière, est surmontée d'un campanile à deux ouvertures qui tient lieu de clocher.
- Église Saint-Martin de Vrasville (XVIIIe siècle) dotée en façade d'un campanile en bois abritant une cloche.
- Les quatorze puits communaux, propriétés privées, sont surveillés par l'association Transmission des Cultures et du Patrimoine[38].
- Croix des Pierres, l'ancienne du XVIIIe siècle et la nouvelle du XXe.
- Croix Malassis XIXe siècle, croix de cimetière XVIIe siècle.
- Vierge de la Fouche aux loups. Restaurée en 2008 après avoir été vandalisée, elle est entourée d'une légende. Son oratoire date de 1729[26].
- Ancien presbytère (1715), avec portail d'entrée du XVIIe siècle. Situé en face de l'église, et construit en 1715 par Charles-François Le Sens, il se présente sous la forme d'un petit bâtiment à la façade classique bien symétrique. La porte, au centre, est encadrée par deux fenêtres de chaque côté. Le premier étage qui s'éclaire par quatre fenêtres est surmonté d'un toit orné de trois lucarnes[39].
- Jardin du Siquet, visible sur rendez-vous[40].
- Pointe de la Loge.
- Lavoir à Angoville.
- Fontaine près de l'église.
- La commune inclut une partie du marais de Tocquebœuf, qui s'étend également sur la commune de Fermanville.
- Pour mémoire
- Chapelle Saint-Jean. Située près de manoir de Bellanville, elle existait encore en 1689[39].
- Chapelle Saint-Martin. Située dans le cimetière, elle avait complètement disparue en 1890[39].
- Corps de garde. En 1734 celui-ci est détruit mais il ne semble pas nécessaire de le reconstruire car : « il est inutile et il n'avait été fait que pour empêcher l'embarquement des religionnaires. »[41].
Activité et manifestations
[modifier | modifier le code]Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- On trouve des toiles situées à Cosqueville dans l'œuvre du peintre de la marine Jean Helleu (1894-1985).
- Le commandant René Pugnet, connu pour avoir été le premier commandant du paquebot Normandie, a habité Cosqueville[42]. Il est inhumé au cimetière de Cosqueville[43].
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jeannine Bavay, « Cosqueville », Vikland, la revue du Cotentin, no 6, juillet-août-septembre 2013, p. 54-59 (ISSN 0224-7992).
- Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 64-65.
- René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 165.
- Maurice Lecœur (photogr. Christine Duteurtre), Val de Saire, Isoète, , 173 p. (ISBN 978-2-9139-2076-7), p. 22-24.
- Edmond Thin, Le Val de Saire : Trésors d'un jardin du Cotentin sur la mer, Éditions OREP, , 165 p. (ISBN 978-2-915762-82-2), p. 145-146.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Résumé statistique de Cosqueville sur le site de l'Insee
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Ils avaient également des droits sur les marchandises qui débarquaient au port Lévi.
- Gilles de Gouberville raconte que le père et le frère du curé furent « condamnés à faire amende honorable à Valognes, tête et pieds nus, et à régler de grosses amendes envers le roy », pour avoir occis un de ses sergents.
- Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee.
Références
[modifier | modifier le code]- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
- René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 100.
- [PDF] Conseil municipal du 16 octobre 2019 - Délibération 6 : Suppressions des communes déléguées.
- « Site officiel de la Mairie de Cosqueville », sur mairie-cosqueville.fr via Internet Archive (consulté le ).
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- « Découvrir », sur mairie-cosqueville.fr via Internet Archive (consulté le ).
- François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 104.
- Pouillé du Diocèse de Coutances, 1332, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 311C.
- Compte du Diocèse de Coutances, pour l’année 1351 ou 1352, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 378F.
- Eugène Robillard de Beaurepaire et le Comte Auguste de Blangy, Le Journal du Sire de Gouberville (t. I), Mémoires de la Société des Antiquaires de Normandie XXXI, Caen, 1892, p. 37.
- Les noms de communes et anciennes paroisses de la manche, François Beaurepaire Dictionnaire étymologique, René Lepelley Vikings et Noms de lieux de Normandie, Jean Renaud.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Bavay, Vikland n°6, p. 54.
- Gautier 2014, p. 53.
- Jeannine Bavay, « Fermanville », Vikland, la revue du Cotentin, no 5, avril-mai-juin 2013, p. 38 (ISSN 0224-7992).
- Lecœur 2009, p. 23.
- Gautier 2014, p. 255.
- Université Inter-Âges de Basse-Normandie - Antenne de Cherbourg (préf. Rodolphe de Mons), Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN 2-85480-543-7), p. 192.
- « Mairie de Cosqueville », sur mairie-cosqueville.fr via Wikiwix (consulté le ).
- « Recueil des actes administratifs de décembre 2015 », sur le site de la préfecture de la Manche (consulté le ).
- Décédé en exercice le .
- Décédé en exercice le .
- Décédé en exercice le .
- Décédé en exercice le .
- « Richard Leterrier élu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- Réélection 2014 : « Cosqueville (50330) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, 'Ouest-France (consulté le ).
- Gautier 2014, p. 165.
- Date du prochain recensement à Cosqueville, sur le-recensement-et-moi.fr, site spécifique de l'Insee.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 2016 2017 2018 .
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Angoville-en-Saire », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Vrasville », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
- Edmond Thin, « Promenade archéologique », Vikland, la revue du Cotentin, no 5, avril-mai-juin 2013, p. 16-17 (ISSN 0224-7992).
- « Mairie de Cosqueville », sur mairie-cosqueville.fr via Wikiwix (consulté le ).
- Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 140.
- « Mairie de Cosqueville », sur mairie-cosqueville.fr via Wikiwix (consulté le ).
- « Mairie de Cosqueville », sur mairie-cosqueville.fr via Wikiwix (consulté le ).
- Girard et Lecœur 2005, p. 238.
- « Mairie de Cosqueville », sur mairie-cosqueville.fr via Wikiwix (consulté le ).
- « Les puits », sur mairie-cosqueville.fr via Wikiwix (consulté le ).
- Bavay, Vikland n°6, p. 57.
- Lecœur 2009, p. 111.
- Edmond Thin, « Vicissitudes de la défense des côtes au cours des siècles », Vikland, la revue du Cotentin, no 6, juillet-août-septembre 2013, p. 61 (ISSN 0224-7992).
- « Mairie de Cosqueville », sur mairie-cosqueville.fr via Internet Archive (consulté le ).
- Philippe Landru, « COSQUEVILLE (50) : cimetière », sur Cimetières de France et d’ailleurs, (consulté le ).