Beaurains
Beaurains | |||||
L'église Saint-Martin. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | CU d'Arras | ||||
Maire Mandat |
Pierre Ansart 2020-2026 |
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Code postal | 62217 | ||||
Code commune | 62099 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Beaurinois | ||||
Population municipale |
5 515 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 921 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 15′ 50″ nord, 2° 47′ 22″ est | ||||
Altitude | Min. 70 m Max. 99 m |
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Superficie | 5,99 km2 | ||||
Type | Grand centre urbain | ||||
Unité urbaine | Arras (banlieue) |
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Aire d'attraction | Arras (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Arras-3 | ||||
Législatives | 2e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | mairie-beaurains.fr | ||||
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Beaurains est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Beaurinois.
La commune fait partie de la communauté urbaine d'Arras qui regroupe 46 communes et compte 109 776 habitants en 2021.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Beaurains est limitrophe, au sud, d'Arras, chef-lieu du Pas-de-Calais.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes. Les communes limitrophes sont Achicourt, Agny, Arras, Mercatel, Neuville-Vitasse et Tilloy-lès-Mofflaines.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 5,99 km2 ; son altitude varie de 70 à 99 mètres[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[2],[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 759 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Wancourt à 6 km à vol d'oiseau[5], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Paysages
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l'atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[9]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[10].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Beaurains est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Arras[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant 15 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5],[13]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (69,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,8 %), zones urbanisées (37,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,1 %)[16]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Voies de communication
[modifier | modifier le code]La commune est desservie, par les routes départementales D 5, D 60 (rocade sud d'Arras), D 917 et D 919, et est située à 7 km de la sortie no 15 de l'autoroute A1 reliant Paris à Lille[17],[18].
Transport ferroviaire
[modifier | modifier le code]La commune se trouve à 3 km au sud de la gare d'Arras, située sur la ligne de Paris-Nord à Lille. C'est une gare de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), desservie par des TGV inOui et des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[19].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la commune est attesté sous les formes Bellirinum (661), Belrinium (680), Beaureng (1071), Belraim (1074), Bealraim (1154), Bellus ramus (XIIe siècle), Belramus (1194), De Pulchro ramo et Biauraim (XIIIe siècle), Beaurain (1316), Beau-Raims-lez-Arras (1739), Beaurains-lez-Arras (XVIIIe siècle), Beaureins (1762)[20] et Beaurains depuis 1793 et 1801[1].
Beaurains est un composé Bellus Ramus : sens originaire de « beau rameau ». Mais le sens de rameau s'est élargi et a pu désigner un bois[21]. La commune tient son nom du voisinage d'une forêt.
Histoire
[modifier | modifier le code]Beaurains est une commune dont l'emplacement remonte à bien longtemps. Il suffit pour s'en rendre compte de suivre simplement l'évolution des noms successifs que porta la commune :
- Vicus de bello ramo (inspiré par le voisinage d'une forêt) ;
- Bourg près du bois dont les rames (branches) sont belles (ou hautes) ;
- Bellus ramus ;
- Biaurain puis…
- Beaurain ;
- Beaurains-lez-Arras ;
- Beaurains.
Il faut par ailleurs envisager l'existence de Beaurains à l'époque romaine sous un autre nom : Bellirintum.
La première église beaurinoise fut construite en 674. La commune accueillit des maladreries importantes où on soigna notamment le poète Jean Bodel.
Beaurains a donné son nom à une famille dont les descendants ont été anoblis en 1666[22].
Le 21 septembre 1922, on découvrit dans la commune le trésor dit « trésor de Beaurains », comprenant près de 700 monnaies romaines thésaurisées sous la tétrarchie, et enfouies vers 315. Une grande partie fut volée dès la découverte ou dispersée entre les collectionneurs et le peu qui reste se trouve désormais à Arras[23]. Cette dispersion est considérée comme une perte grave pour l'étude numismatique de cette période[24].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté urbaine d'Arras.
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée au canton d'Arras-3.
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la deuxième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Élections municipales 2020
[modifier | modifier le code]- Maire sortant : Pierre Ansart (PS)
- 29 sièges à pourvoir au conseil municipal (population légale 2017 : 5 662 habitants)
- 4 sièges à pourvoir au conseil communautaire (CU d'Arras)
Tête de liste | Liste | Premier tour | Sièges | ||||||
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Voix | % | CM | CC | ||||||
Pierre Ansart[Note 6],[25] | PS | 1 244 | 68,50 | 25 | 3 | ||||
Michel Evrard[26] | SE | 572 | 31,50 | 4 | 1 | ||||
Votes valides | 1 816 | 95,98 | |||||||
Votes blancs | 30 | 1,59 | |||||||
Votes nuls | 46 | 2,43 | |||||||
Total | 1 892 | 100 | 29 | 4 | |||||
Abstention | 2 331 | 55,20 | |||||||
Inscrits / participation | 4 233 | 44,80 |
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Justice, sécurité, secours et défense
[modifier | modifier le code]La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[33].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants de la commune sont appelés les Beaurinois[34].
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].
En 2021, la commune comptait 5 515 habitants[Note 7], en évolution de −0,25 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 636 hommes pour 2 960 femmes, soit un taux de 52,89 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Martin, construite en 1924, se situe juste derrière la mairie, elle fut à maintes reprises reconstruite, sa dernière destruction totale se situe durant la Première Guerre mondiale.
- L'église du Saint-Curé d'Ars, construite dans les années 1960, se situe dans la cité Pierre-Bolle.
- Le monument aux morts[40].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Famille de Beaurains
[modifier | modifier le code]- Nicolas de Beaurains a été anobli par lettres données à Saint-Germain en décembre 1666. Natif d'Arras, il appartient à une des plus honnêtes familles de la province d'Artois. Il a rendu et rend de grands services dans les charges qu'il a occupées et occupe encore. Il est procureur général de la ville d'Arras en 1642, puis conseiller au conseil d'Artois en 1657.
- François de Beaurains, son frère, natif d'Arras, est anobli en même temps que son frère. il est conseiller de la ville d'Arras, député des États d'Artois. Il a également été envoyé neuf fois en députation près de la .personne du roi, par le Tiers-État, au nom duquel en 1661, il a fait le premier au roi le serment et l'hommage de fidélité[22].
- Marie Madeleine de Beaurains obtient le 10 janvier 1697 des lettres de relief de dérogeance et de réhabilitation (lettres confirmant son appartenance à la noblesse malgré le fait qu'elle ait dérogé à cet état de noble par son mariage; cette confirmation l'exemptait du versement d'impôts) connées à Versailles. Elle était la fille de Christophe de Beaurains, écuyer, conseiller au conseil d'Artois et la veuve de Gilles Ignace Werbier, avocat, député des États d'Artois, échevin de la ville d'Arras. Elle a demandé ces lettres car son mari étant de condition roturière, elle craignait que les habitants de cette province où elle pouvait se retirer, ne veuillent l'inscrire sur le rôle des personnes devant acquitter les droits ordinaires et autres subsides[41].
Seigneurs de Beaurains
[modifier | modifier le code]- Louis le Sergeant II seigneur de Beaurains, d'Hendecourdel (Hendecourt-lès-Ransart), et Oresmaux, bénéficie le de lettres d'anoblissement données à Bruxelles. Il est donc écuyer. Licencié es-lois, avocat au conseil d'Artois, il a été dans le passé échevin d'Arras. Son père Louis Ier et son grand-père Thomas de Douai ont occupé le même poste d'échevin d'Arras, son père l'étant en 1578-1579, pendant les troubles de la ville où il a fidèlement rempli ses obligations. Louis le Sergeant II s'est livré aux études des belles-lettres puis de la philosophie et de la jurisprudence. Il a épousé Jeanne Denis, fille d'Antoine Denis, chevalier, conseiller au conseil privé du roi et au conseil fiscal des finances des Pays-Bas, au conseil d'Artois[42],[43].
- Louis le Sergeant III, fils de Louis II, est écuyer, seigneur de Beaurains, conseiller du roi et premier élu de l'élection d'Artois. il s'est marié avec Marguerite de Smerpont. Ils sont les parents d'Alexandre-Augustin le Sergeant, écuyer , seigneur de Marsigny, qui a servi dans les armées pendant 12 ans, dont 4 dans le régiment de marine. Alexandre-Augustin a été élevé chevalier par lettres données à Saint-Germain-en-Laye le 3 août 1679[42].
- Jacques François du Carieul, fils de Guillaume du Carieul, par lettres données à Marly le , est autorisé à surmonter l'écusson de ses armes anciennes « D'argent à un sautoir de gueules », d'une couronne de cinq fleurons et à prendre pour support deux griffons de sable becqués et armés de gueules. Il est seigneur de Fiefs, Beaurains et Boubers (sans doute Boubers-sur-Canche), gentilhomme d'Artois[44].
Autres personnalités
[modifier | modifier le code]- Jules Catoire (1899-1988), syndicaliste, résistant et homme politique, ministre MRP de la IVe République, né à Beaurains.
- François Bourbotte (1913-1972), footballeur international, mort à Beaurains.
- Lucien Langlet (1927-1985), peintre et vitrailliste, mort à Beaurains.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'argent au sautoir de gueules[45].
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Détails | Adopté par la municipalité en 1976. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jules-Aimé, Essai historique sur la commune de Beaurains, Micberth, coll. « Monographies des villes et villages de France de », 1994, réimpr. de l'éd. de 1893, 14 × 20 cm, br., 216 p. (ISBN 2-84126-063-1)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l'IGN, [lire en ligne][Note 8]
- « Beaurains » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d'interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Arras comprend une ville-centre et quatorze communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Liste du maire sortant ou de la maire sortante
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l'évolution de l'occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Beaurains » sur Géoportail (consulté le 24 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Fiche communale de Beaurains », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Beaurains et Wancourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- DREAL, « Atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « Atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Arras », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Beaurains ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- « Distance entre deux communes », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- « Distance entre deux communes », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne).
- Marie Thérèse Morlet, Toponymie de la Thiérache, Editions D'Artrey, , p. 74.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 45, lire en ligne.
- Pierre Bastien et Catherine Metzger, Le trésor de Beaurains (dit d'Arras), Wetteren, 1977, 255 pages, note de lecture
- Hubert Zehnacker, « Aperçus de numismatique romaine (IV) », Vita Latina, N°130-131, 1993. pp. 3-6. [1]
- « - Pierre Ansart annonce une liste renouvelée pour les municipales à Beaurains », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Beaurains : une liste citoyenne menée par Michel Evrard », sur L'Avenir de l'Artois, (consulté le ).
- Notice HOUPLAIN Henri par Yves Le Maner, version mise en ligne le 26 avril 2010, dernière modification le 26 avril 2010
- Marco Verriest, « Jean-Louis Cottigny : en campagne auprès des militants « pour être candidat PS aux municipales à Arras » : Il a déjà une carte de visite bien chargée : élu de Beaurains de 1983 à 2004 et maire à partir de 1989. Conseiller général depuis 1992. Député européen de 97 à 99 – à l'époque, il était secrétaire national du PS après avoir remplacé Kouchner - puis de 2004 à 2009, fauteuil qu'il a retrouvé en 2012 en succédant à Estelle Grelier, élue députée à l'Assemblée nationale. Et il ne se cache pas qu'être candidat aux municipales à Arras est « un vieux rêve » qui lui fait d'avance friser la barbichette », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Benjamin Dubrulle, « Bilan du maire - Beaurains : la construction de logements et l'arrivée de Boréal Parc ont permis de réduire la dette, selon Pierre Ansart : Maire de Beaurains depuis 2004 à la suite du retrait de Jean-Louis Cottigny, touché par le cumul des mandats, Pierre Ansart, 64 ans, briguera un nouveau mandat en mars. Son dernier, assure-t-il. « L'équipe sera renouvelée à 30 %. On va passer à une liste de vingt-neuf noms (vingt-sept auparavant) avec de la parité. » C'est donc l'heure du bilan », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Beaurains: Pierre Ansart et ses colistiers installés dans la salle du conseil », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Nicolas André, « À Beaurains, Pierre Ansart en piste avec des projets pour briguer un dernier mandat : Pierre Ansart, maire de Beaurains, repartira pour un nouveau mandat… Avant de laisser la commune sur les bons rails et de profiter de sa famille », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Jean-Jacques D'Amore, « Beaurains : Pierre Ansart réélu maire, l'opposition municipale fait son retour : Le maire de Beaurains retrouve aisément son siège. Pour son dernier mandat, il devra faire face à un groupe d'opposition », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Beaurains (62099) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 63, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 51-52, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 213, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 68, lire en ligne.
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).