Armoiries du Bénin
Apparence
Armoiries du Bénin | |
Détails | |
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Adoption | 1964 |
Timbre | Deux cornes d'abondance de sable emplies de maïs. |
Écu | Écartelé
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Supports | Deux panthères d’or tachetées. |
Devise | Fraternité - Justice - Travail |
Précédentes versions | 1958, 1975 |
Usage | Présidence de la République Gouvernement |
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Les armoiries du Bénin ont été reprises (on a repris les armoiries de la période précédente, c'est-à-dire du Dahomey) en 1990 après avoir été remplacées durant la période de la république populaire du Bénin (1975-1990).
Blasonnement[1]. : Les armoiries définies par la première constitution, sont décrites comme suit :
Écartelé
- au premier quartier, d'argent au château somba d’or ;
- au deuxième, d'argent à l'étoile du Bénin au naturel c'est-à-dire d’une croix à huit pointes d'azur anglées de rayons d'argent et de sable en abîme
- au troisième, d'argent au palmier de sinople chargé d'un fruit de gueules ;
- au quatrième, d'argent au navire de sable voguant sur une mer d'azur ;
- avec, brochant sur la ligne de l'écartelé, un losange de gueules ;
- Supports : deux panthères d'or tachetées de sable et lampassées de gueules ;
- Timbre : deux cornes d’abondance de sable d'où sortent des épis de maïs ;
- Devise : Fraternité, Justice, Travail, en caractères de sable sur une banderole d'argent.
Évolution
[modifier | modifier le code]-
République du Dahomey (1958-1964).
-
Sceau du Dahomey (défini par la loi du 11 août 1964).
-
République populaire du Bénin (1975-1990).
-
République du Bénin (1990).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]- Titre 1er - Article 1er, loi no 90-32 du 11/12/1990 portant Constitution (extrait)
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- J.-P. L'Angevin, « Les armoiries du Dahomey », Revue française d'héraldique et de sigillographie, no 36, , p. 6-9.
- Jean-Christophe Blanchard, « Drapeaux et armoiries des pays issus de la décolonisation de l'Afrique équatoriale française et de l'Afrique occidentale française. Un marqueur d'indépendance ? », HAL-UL (CRULH), (lire en ligne, consulté le ).