Ahmet Schaefer
Apparence
Ahmet Schaefer est un homme d'affaires suisse et propriétaire du Clermont Foot 63 et du SC Austria Lustenau, club de première division autrichienne.
Biographie
[modifier | modifier le code]Ahmet Schaefer naît en Suisse d'un père suisse et d'une mère turque[1]. Il joue au football au niveau amateur au FC Witikon[2].
Il est l'assistant personnel de Sepp Blatter de à [3].
Carrière
[modifier | modifier le code]En , Schaefer devient propriétaire du club français Clermont Foot 63[4] et annonce vouloir en acheter un ou deux autres[4]. Par la suite, il devient propriétaire du SC Austria Lustenau en Autriche en également[5] et du Vendsyssel FF au Danemark en [6]. Il se retire cependant du club danois après une saison[7]. En , il rachète un tiers des parts du FC Biel-Bienne[8].
Liens externes
[modifier | modifier le code]- (de-CH) Ivo Ruch, « «Irrationale Investments in den Fussball helfen auch uns» », Finanz und Wirtschaft (de), (lire en ligne , consulté le ).
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (en) « Interview with Ahmet Schaefer, Founder & CEO of Core Sports Capital » , sur football-legal.com, (consulté le ).
- (de-CH) Stefan Kreis, « Zürcher kauft französischen Fussball-Klub! », Blick, (lire en ligne, consulté le ).
- Sandro Zappella, « Ahmet Schaefer est un véritable entrepreneur du football », Watson, (lire en ligne, consulté le ).
- (en-US) Robert Kidd, « Former Sepp Blatter Assistant Plans 'Alliance' After Buying French Soccer Club », Forbes, (lire en ligne, consulté le ).
- Patrick Oberli, « Un investisseur suisse rachète un troisième club européen », Le Matin, (lire en ligne, consulté le ).
- Laurent Calmuz, « Ahmet Schaefer (Clermont Foot) rachète un nouveau club au Danemark », La Montagne, (lire en ligne, consulté le ).
- « Le Clermont Foot met fin prématurément à sa coopération avec le club danois de Vendsyssel », La Montagne, (lire en ligne , consulté le ).
- (de-CH) Nicola Berger, « Der Schweizer Fussball-Investor Ahmet Schaefer sagt: «Die Freude über einen Titel wiegt das finanzielle Risiko nicht auf. Ich bin Unternehmer, nicht Romantiker» », Neue Zürcher Zeitung, (lire en ligne, consulté le ).