Aller au contenu

« Jacques Dominique de Buzelet » : différence entre les versions

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Contenu supprimé Contenu ajouté
A2bot (discuter | contributions)
m →‎Notes et références : recatégorisation using AWB
Authueil (discuter | contributions)
Aucun résumé des modifications
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{Infobox Biographie2}}


'''Jacques-Dominique de Buzelet''' (1729-1812) est un militaire français du {{s-|XVIII|e}}. Il fut [[brigadier des armées du roi]] au régiment Dragons-Dauphin et major de division de la cavalerie noble du [[prince de Condé]]<ref>Théodore César Muret, ''Histoire de l'armée de Condé'', vol. 1, p.92, éd. Dentu, 1844</ref>.
'''Jacques-Dominique de Buzelet''' (1729-1812) est un militaire français du {{s-|XVIII|e}}. Il fut [[brigadier des armées du roi]] au régiment Dragons-Dauphin et major de division de la cavalerie noble du [[prince de Condé]]<ref>Théodore César Muret, ''Histoire de l'armée de Condé'', vol. 1, p.92, éd. Dentu, 1844</ref>.

Version du 13 février 2016 à 19:19

Jacques Dominique de Buzelet
Biographie
Naissance
Décès
Nationalité
Activité
MilitaireVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Distinction

Jacques-Dominique de Buzelet (1729-1812) est un militaire français du XVIIIe siècle. Il fut brigadier des armées du roi au régiment Dragons-Dauphin et major de division de la cavalerie noble du prince de Condé[1].

Biographie

Fils du chevalier Dominique Jacques César de Buzelet, capitaine au régiment de Dauphin-Dragons[2], Jacques Dominique de Buzelet naît le 16 septembre 1729 à Metz[3], place forte française des Trois-Évêchés. Suivant les traces de son père, le jeune Jacques Dominique embrasse la carrière des armes.

Jacques-Dominique de Buzelet fait une belle carrière militaire au service du roi. Brigadier des armées du roi[4] au régiment Dragons-Dauphin et chevalier de Saint-Louis, il quitte l’armée au moment de la Révolution française. Il siège aux assemblées de la noblesse tenues à Angers, en 1789[5], avant de prendre le parti de la contre-révolution, et rejoindre ensuite l’armée des émigrés. Il fait ainsi la campagne de 1792, en qualité de major de division de la cavalerie noble du prince de Condé[6].

Jacques Dominique de Buzelet décéde le 21 avril 1812 à Angers.

Sources

  • François Simon, La chouannerie en Anjou an XIXe siècle : étude historique suivie de nombreux documents inédits d’ordre politique, économique et social, éd. Imprimerie nouvelle, 1956, p. 158.
  • Mémoires et documents, France. Commission d’histoire économique et sociale de la Révolution française, vol. 20, éd. Commission d’histoire économique et sociale de la Révolution française, Société de l’École des chartes, 1967, p. 340.
  • Alain Le Bihan, Loges et chapitres de la Grande loge et du Grand orient de France seconde moitié du XVIIIe siècle, vol. 20, éd. Bibliothèque nationale, 1967.
  • Louis Bergeron, Guy Chaussinand-Nogaret, Grands notables du Premier Empire, vol. 9, éd. Centre national de la recherche scientifique, 1983, ISBN 2222033039, p. 176.
  • Gilbert Bodinier, Dictionnaire des officiers généraux de l’armée royale, 1763-179, vol. 1,éd. Archives et Culture, 2009, ISBN 2350771334, p. 396.

Notes et références

  1. Théodore César Muret, Histoire de l'armée de Condé, vol. 1, p.92, éd. Dentu, 1844
  2. Abbé F. J. Poirier, Metz et Pays messin. Documents généalogiques… d’après les registres des paroisses, Paris, 1899
  3. Notice sur la base généalogique pierfit, geneanet.org
  4. Louis de la Roque; Édouard de Barthelemy, Catalogue des gentilhommes d’anjou et pays saumurois qui ont pris part ou envoyé leur procuration aux assemblées de la noblesse pour l’élection des députés aux etats généraux de 1789, E. Dentu, Libraire, et, Auguste Aubry, Libraire, Paris, 1864, p. 9.
  5. Chaix d’Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables : à la fin du XIXe siècle, vol. 8e, Évreux, imprimerie Charles Hérissey, (lire en ligne), p. 30.
  6. L'Anjou historique, XIIe année, p. 25, 26, éd. J.Siraudeau., 1911