sevrage
sevrage
n.m.sevrage
(səvʀaʒ)nom masculin
SEVRAGE
(se-vra-j') s. m.ÉTYMOLOGIE
- XVIe s. On ne peut certainement designer ne limiter le temps legitime d'un sevrement [PARÉ, XVIII, 30]
ÉTYMOLOGIE
- Sevrer.
sevrage
Il se dit aussi du Temps nécessaire pour accoutumer un enfant à se passer de téter et à prendre une autre nourriture. Cet enfant est en sevrage. Pendant son sevrage.
sevrage
SEVRAGE, s. m. SEVRER, v. a. SEVREûSE, s. f. [1re e muet; devant la syllabe féminine, il se change en è moy. Il sèvre, sèvrera, etc.] Sevrer, ôter sa nourrice à un enfant, afin qu'il ne tette plus. Sevrage, action de sevrer, ou le tems où l'on sèvre. Sevreûse, femme qui a soin d'un enfant et de le gouverner, quand on le sèvre. "On n'a sevré cet enfant qu'à deux ans: sa soeur n'avait que dix mois quand on la sevra. "M. Vans-wieten suit l'enfant depuis sa naissance jusqu'au sevrage. ANN. LITT. "Vous fûtes sa nourrice, et moi sa sevreûse. Th. d' Éduc. — L'Académie ne met que le verbe. = Sevrage et sevreûse ne se disent qu'au propre; sevrer se dit aussi au figuré: priver, frustrer. "On l'a sevré de l'espérance qu'on lui avait donée. "Se sevrer des plaisirs.