Analyse Vibratoire

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CONTRÔLE TECHNIQUE ET MAINTENANCE DES VÉHICULES

Analyse vibratoire

PRESENTE PAR
UNIVERSITÉ DE TÉBESSA HAFNAOUI ZAIR
TALEB NOUR EDDINE
DÉPARTEMENT ÉLECTROMÉCANIQUE
SOMMAIRE

1. La MPC
2. Principe de l’analyse vibratoire
3. Rappel mathématiques
4. Les principaux défauts
5. Les indicateurs
6. La chaîne de mesure

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INTRODUCTION
• L’analyse vibratoire est un des moyens utilisés pour suivre la
santé des machines tournantes en fonctionnement. Cela
s’inscrit dans le cadre d’une politique de maintenance
prévisionnelle de l’outil de production industrielle.
• Les objectifs d’une telle démarche sont de :
• réduire le nombre d’arrêts sur casse ;
• fiabiliser l’outil de production ;
• augmenter son taux de disponibilité ;
• mieux gérer le stock de pièces détachées, etc.
• À partir des vibrations régulièrement recueillies sur une
machine tournante, l’analyse vibratoire consiste à détecter
d’éventuels dysfonctionnements et à suivre leur évolution
dans le but de planifier ou reporter une intervention
mécanique.

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LES MÉTHODE DU SURVEILLANCE
• Il existe deux technologies permettant de réaliser une surveillance
vibratoire :
• par mesure directe du déplacement des parties tournantes (arbres de
machines). Réalisées à l’aide de capteurs à courants de Foucault, ces
mesures, leur interprétation et leurs applications ne sont pas traitées ici.
La technologie mise en œuvre est lourde. Une application courante est la
surveillance des machines à paliers hydrauliques (à coin d’huile). Cette
surveillance est presque toujours réalisée on line c’est-à-dire en temps
réel. Les capteurs mesurent en permanence les déplacements des arbres
et autorisent ainsi le déclenchement immédiat d’alarmes en cas de
dysfonctionnement ;
• par mesure de l’accélération subie par les parties fixes de la machine
(carters). Les moyens mis en œuvre sont, dans ce cas, beaucoup plus
accessibles aux petites structures. À l’aide d’un accéléromètre relié à un
collecteur de données, le technicien recueille les vibrations subies par les
carters des machines. Cette technique se prête aussi bien à la
surveillance on line qu’à la surveillance périodique effectuée lors de
rondes selon un calendrier préétabli.
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OBJECTIF DE L’ETUDE DE VIBRATION
• L’objectif de cet article est triple :
• familiariser le lecteur avec l’analyse vibratoire par mesures sur les parties
fixes des machines :
– savoir ce que l’on peut attendre d’une surveillance périodique,
– connaître les moyens nécessaires à sa réalisation dans de bonnes
conditions ;
• permettre une première approche de cette technique :
– connaître le vocabulaire employé,
– savoir adapter les moyens aux objectifs de la surveillance dans son
usine,
– reconnaître quelques images caractéristiques des défauts les plus
couramment rencontrés,
– diagnostiquer leur gravité ;

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SCHÉMAS ETUDE DE VIBRATION

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NOTION DE VITESSE CRITIQUE
• Dans la dynamique des rotors, la notion de vitesse critique est
primordiale. Elle est définie comme étant la vitesse qui produit une
résonance. Elle correspond à la vitesse où la fréquence de l'excitation
(par balourd ou par une autre source d’excitation) coïncide avec l’une des
fréquences propres du système.
• Une machine tournante a, comme tout système élastique, des fréquences
propres des vibrations transversales, déterminées par la rigidité latérale
et la répartition de la masse du système rotor-roulement-fondation.
Lorsque la vitesse de rotation est égale à l'une de ces fréquences
naturelles, la réponse devient importante et cette vitesse est dite critique.
Lorsqu'une machine passe du repos à sa vitesse de fonctionnement, elle
peut passer par une ou plusieurs vitesses critiques. Pour la plupart des
classes de machines, il ne doit pas être autorisé à fonctionner près d'une
vitesse critique que pendant de courtes durées

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CALCUL DES ARBRES
Un arbre est une pièce rectiligne de section circulaire sur laquelle tourne ou oscille
une pièce mobile, comme par exemple une roue, un coussinet de palier, un levier, etc. Son
rôle constructif est généralement la transmission d'un couple de torsion à une vitesse
angulaire.
Le calcul des arbres peut être,
en général, mené sur un schéma de
principe de la chaîne
cinématique. La conception de cet
élément consiste à lui donner des dimensions,
de telle
façon qu'il soit capable de:
 résister suffisamment longtemps,
 supporter les efforts sans trop se déformer,
 fonctionner sans vibrations exagérées.
Une condition absolue doit être prise en considération, la réalisabilité aussi simple que possible.
Ajoutons encore que dans certaines applications interviennent de manière importante des
conditions sur le poids (dans les industries automobile et surtout, aéronautique).

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CRITERE DE RESISTANCE
• Les arbres sont, généralement, soumis à deux contraintes; une contrainte
de flexion et une
• contrainte de torsion. En effet, la conception de ces éléments est basée
sur la résistance à
• ces deux sollicitations. Cependant, la démarche générale de calcul de
diamètre d'un arbre ou
• de vérification de la résistance d'un arbre de diamètre choisi est basée
sur les étapes
• suivantes:
• 1er. Calcul des réactions les plans vertical et horizontal;
• 2e. Détermination de la répartition des couples de torsion;
• 3e. Détermination de la répartition des moments de flexion;
• 4e. Calcul du moment de flexion résultant des deux plans;
• 5e. Détermination de la section critique (là où la contrainte est maximale);

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CRITERE DE RESISTANCE
• 6e. Calcul ou vérification du diamètre de la section critique en se basant
sur le critère de résistance aux charges appliquées.
• Dans cette procédure, l'évaluation de diamètre utilise une théorie de
limitation statique Basée sur le cisaillement maximal.

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CRITERE DE DEFORMATION
• En plus de transmettre de puissance, les arbres servent à maintenir en
position les divers éléments de la machine. La déformation latérale est
plus critique lorsque des engrenages sont montés sur un arbre ou lorsque
ce dernier est supporté par des paliers à l'huile. Quant à a déformation en
torsion, elle peut affecter la synchronisation des éléments tournants de la
machine. Dans de tels cas, il faut tenir compte de la rigidité de l'arbre,
dans le processus de conception, avant la vérification de sa résistance.

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DEFORMATION EN TORSION
La déformation en torsion généralement permise, selon
l'utilisation, est donnée par:
pour les arbres de transmission
, l'angle de torsion est
limité à 1° d'une distance de vingt
fois le diamètre de l'arbre. pour
les arbres de renvoi, cet
angle est limité à 0.3°
par mètre de longueur
(charge constante) et 0.15° par mètre de longueur (charge
subite).

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CRITERE DYNAMIQUE

• En plus aux deux critères considérés (de


résistance et de déformation), il est
nécessaire de prendre en considération un
troisième lié à la vitesse critique de rotation.
C'est la fréquence naturelle de vibration
latérale ou de torsion de l'arbre.

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VIBRATION EN TORSION

• La fréquence fondamentale relative aux


vibrations de torsion est fonction du module
de cisaillement G du matériau et du moment
d'inertie polaire (quadratique) J de la section.
De la même manière, on trouve que le
diamètre de l'arbre est une variable
déterminante qui peut décider la fréquence
naturelle de vibration de torsion.
• C'est la vitesse limite de rotation pour que
l'arbre de passe pas à la phase de résonance.

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VIBRATION EN TORSION
Dynamique des rotors et vibrations Les machines tournantes représentent la plus grande
part des mécanismes créés par les concepteurs. Le mouvement de rotation peut servir à
effectuer une translation, comme une roue le long d’un axe, à stocker de l’énergie, par
exemple dans un volant d’inertie, à transférer de la puissance, par l’intermédiaire d’une
courroie ou d’une boîte de vitesses, ou encore à récupérer l’énergie cinétique provenant
de sources extérieures, par exemple l’énergie thermique à l’aide d’une turbine, ou encore
le vent à l’aide d’une éolienne. Les parties tournantes, que l’on nomme aussi “rotors”, ont
bien évidemment un rôle central dans les procédés mentionnés, et représentent la
principale source de nuisance dans ces systèmes. L’objectif d’un concepteur de machine
tournante est de disposer d’un mouvement de rotation autour d’un axe connu et avec une
vitesse bien contrôlée. Cependant les multiples défauts géométriques ou matériels, ou
encore les interfaces, provoquent une perte de puissance diverses formes. Comme dans
tous les mécanismes, on observe de la dissipation thermique, mais les pertes en énergie
mécanique sont également souvent importantes, et le mouvement du rotor s’accompagne
d’un certain nombre de vibrations. Tout d’abord, les vibrations du rotor peuvent êtres
excitées, dans les directions axiales, radiales, ou encore en torsion par rapport à son axe
de rotation. En plus de cela, des vibrations apparaissent aussi au niveau des supports de
guidage (que l’on nomme paliers), ou au niveau des fluides qui entourent le système en
rotation (excepté dans les applications sous vide). Par ces biais, des ondes énergétiques
sont donc transmises aux parties non rotatives, voire aux équipements voisins.

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VIBRATION EN TORSION
Les hautes vitesses permettent d’obtenir de grandes densités d’énergie dans des
machines de tailles relativement petites. En revanche, les effets de vibrations sont
accentués dans ces configurations, et les conséquences mécaniques indésirables
peuvent devenir de
plus en plus dangereuses. C’est pourquoi il est nécessaire de mieux comprendre les
phénomènes vibratoires et leurs interactions pour les applications à vitesses de
rotation élevées

Schématisation des vibrations d’un rotor


flexible
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VIBRATION EN TORSION

• La fréquence fondamentale relative aux


vibrations de torsion est fonction du module
de cisaillement G du matériau et du moment
d'inertie polaire (quadratique) J de la section.
De la même manière, on trouve que le
diamètre de l'arbre est une variable
déterminante qui peut décider la fréquence
naturelle de vibration de torsion.
• C'est la vitesse limite de rotation pour que
l'arbre de passe pas à la phase de résonance.

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1.1. Les différentes formes de maintenance

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1.2. Comparaison
Impératif économique: Les arrêts des machines représentent les 2/3 du coût de
production. C’est le 2nd voir le 1er poste de dépenses.

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1.3. Notion d’indicateur

BTS Maintenance Industrielle 20


1.4. Avantages et inconvénients de la MPC

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2.1. Notions de vibration

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2.2. Origine des vibrations (1/3)

Liaison
Ligne de rotation

Ω : vitesse de rotation

Coussinet
Rotor Palier Structure
Stator

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2.2. Origine des vibrations (2/3)

Axe réel de
rotation

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2.2. Origine des vibrations (3/3)

Vibration = Force x Mobilité

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3.1. Le signal vibratoire
Définition de la norme NFE 90-001 : Une vibration est une variation avec le temps
d ’une grandeur caractéristique du mouvement ou de la position d’un système
mécanique lorsque la grandeur est alternativement plus grande et plus petite qu’une
certaine valeur moyenne ou de référence.

x(t)

A
D

0 /2 

Période

1
1 hertz = 1 cycle / seconde f=
T

ω = 2 π f et f = N / 60 avec ω en rad/s, f en Hertz et N en tour/minute

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3.2. Amplitude du signal vibratoire

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3.3. Grandeurs associées à l’amplitude (1/2)

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3.3. Grandeurs associées à l’amplitude (2/2)

Calculer la vitesse
et l’accélération

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3.4. Fréquences d’un signal (1/6)

On fait la somme
des signaux a et b

Tout signal périodique peut, selon Fourier, se décomposer en une


somme de sinusoïdes que l’on appelle série de Fourier:
S(t) = Σ Sn sin (ωn.t + φ )

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3.4. Fréquences d’un signal (2/6)

FFT

La transformée de Fourier (FFT) d’un sinus est un pic à la fréquence du signal.

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3.4. Fréquences d’un signal (3/6)

Période courte = fréquence élevée

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3.4. Fréquences d’un signal (4/6)
Signaux périodiques quelconques

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3.4. Fréquences d’un signal (5/6)

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3.4. Fréquences d’un signal (6/6)

Décomposition
du signal
d’origine en une
somme de
signaux
élémentaires.

Calcul de la FFT
(Fast Fourier
Transformation)

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4.1. Le balourd (1)
Défaut d’équilibrage statique:
Force centrifuge

Imaginons un rotor parfaitement en équilibre. Ajoutons en un endroit de ce


rotor une masse M.
Le rotor présentera un déséquilibre même à l'arrêt, le rotor reviendra à
une position d'équilibre. Il s'agit d'un déséquilibrage statique.
Dès que le rotor sera en rotation, la masse M exercera une force radiale
proportionnelle à la vitesse de rotation selon la relation F=M.r.w².

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4.1. Le balourd (2)
Défaut d’équilibrage statique:
1 tour

Force centrifuge

t
On mesure la force exercée par la
masse M au point P1 et P2

On voit que les efforts exercés


sont en phase.

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4.1. Le balourd (3)
Défaut d’équilibrage dynamique: Reprenons l'exemple précédent mais en
remplaçant la masse M par deux masses identiques mais décalées de 180° et
placées à chaque extrémités du rotor.

Les efforts aux deux points de


mesures sont déphasés. t

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4.1. Le balourd (4)
L'analyse spectrale de ces deux types de balourd présentera un spectre identique.
L'information de phase n'est pas représentée dans un spectre.

On observe un pic à la fréquence de


rotation noté RPM.

Pour pouvoir faire une distinction entre ces deux types de balourd, il est
obligatoire de faire une analyse de phase .

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4.1. Le balourd (5)

Spectre réel d’un ventilateur tournant à 2925 tr/min

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4.2. Le délignage (1)

Un défaut d’alignement peut apparaître lorsqu’un arbre doit entraîner un autre


arbre, souvent par l’intermédiaire d’un accouplement

Décalage d’axe

Moteur

Désalignement angulaire

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4.2. Le délignage (2)

De manière générale, un délignage provoque un phénomène se répétant à chaque


tour de rotation. Le signal temporel sera donc très répétitif. Le spectre de vibration
présentera un pic situé à une fois la vitesse de rotation (accompagné de quelques
harmoniques).
1/2 tour

temps

1 tour

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4.2. Le délignage (3)

Amplitude de
l’accélération

Fo 2 Fo 3 Fo Fréquence

Spectre théorique d’un défaut d’alignement

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4.2. Le délignage (4)

Spectre réel d’un compresseur tournant à 1500 tr/min

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4.3. Le jeu, desserrage (1)

Par desserrage, on entend par


exemple un manque de rigidité de
montage sur une structure.

Amplitude de
4 Fo
l’accélération
Fo
FFT
3 Fo

2 Fo 5 Fo

Le signal est écrêté à cause


de l’impact du palier 0,5 x Fo 1,5 x Fo 2,5 x Fo 3,5 x Fo Fréquence

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4.3. Le jeu, desserrage (2)
Le jeu se retrouve en général presque toujours dans le roulement.
Il peut s'agir de jeu entre la bague extérieure et le palier, entre la bague
intérieure et l'arbre ou un jeu excessif entre les billes/galets et les cages interne
et externe.
Pour les paliers lisses, le jeu signifie un espace trop important entre l'arbre et le
palier.

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4.4. Les courroies (1)
Le principal défaut rencontré dans ce type de transmission est lié à une
détérioration localisée de la courroie (partie arrachée, défaut de jointure,…)
impliquant un effort ou un choc particulier à la fréquence de passage de ce
défaut (Fc).

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FIN

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