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Chap1 Atomistique

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CHIMIE GENERALE

Programme

Chap1: Atome et Classification Périodique des Eléments

Chap2: Liaisons Chimiques et molécules

Chap3: Premier principe de la thermodynamique

Chap4: Deuxième principe de la thermodynamique

Chap5: Equilibres acido-basiques

Chap6: Equilibres d’oxydoreduction

Chap7: Equilibres de précipitations


SUPPORT DE COURS

CHIMIE GENERALE

CHAPITRE I: Atome et Classification


périodique des éléments
Dr BALEMAKEN MISSI MARIUS
Mise à jour: 02/04/2023
CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS

I. Définition

II. Structure des atomes

1) Constitution des atomes, nucléons et électrons

2) Numéro atomique Z et nombre de masse A


3) Isotopes, masse atomique réelle

4) Mole, Nombre d’Avogadro, unité de masse atomique (u.m.a.,


symbole u)

5) Masse atomique, Masse atomique moyenne

6) Masse molaire (atomique) naturelle


CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS

I. Définition- Les atomes

L’atome est la plus petite entité indivisible constituant la matière.

II-Structure de l’atome
II.1 - Constitution des atomes, nucléons et électrons
 Les atomes sont constitués d'un noyau et d'électrons.

 Les électrons gravitent autour du noyau.


Ils sont définis comme des particules élémentaires négatives.

 Le noyau central, généralement assimilé à une sphère,


est chargé positivement. Il est constitué de deux types de
particules : le proton et le neutron.
CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS

 Ces derniers peuvent êtres rassemblés sous l’appellation


nucléons.
CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS
CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS

II.2) Numéro atomique Z et nombre de masse A


CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS

II-3) Isotopes
CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS

II.4) Mole - Nombre d’Avogadro - unité de masse atomique (u.m.a.,


symbole u)

Approximation: 1 uma ≈ Masse du proton ou celle du neutron

1u ≈ mp ; 1u ≈ mN
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II.5) Masse atomique, Masse atomique moyenne

35,5 u
CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS

III. Configuration électronique des éléments


1) Introduction
2) Quantification de l'énergie d'un atome - Cas de l'atome d'hydrogène
3) Description quantique de l’atome d’hydrogène
a) Nombres quantiques
b) Forme et représentation schématique des orbitales s et p
4) Répartition des électrons ou configuration électronique d’un élément dans
son état fondamental
a) Principe d’exclusion de Pauli
b) Règle de Klechkowski (remplissage des O.A. par énergie croissante)
C) Règle de Hund (règle du spin maximal)
CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS

III. Configuration électronique des éléments


III.1) Introduction
On appelle configuration électronique d’un atome, ou d’un ion, la répartition des
électrons dans les différentes orbitales atomiques définies par des nombres
quantiques n, l, m et s.
La configuration de plus basse énergie, donc la plus stable, correspond à l’état
fondamental de l’atome.

III.2) Quantification de l'énergie d'un atome - Cas de l'atome


d'hydrogène
D’après les deux hypothèses du modèle atomique de Bohr
- L’électron ne peut se situer que sur certaines orbites bien précises ou
permises, de telle sorte que son énergie reste constante.
CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS

- Lorsque l’électron absorbe ou émet de l’énergie, il change d’orbite ou de niveau


d’énergie.
CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS

III.3) Description quantique de l’atome d’hydrogène


Contrairement au modèle de Bohr (mécanique classique) où on admet une
localisation précise de l’électron sur une orbite déterminée, en mécanique
ondulatoire, le modèle de Schrodinger se rapporte à des orbitales atomiques
représentant les régions de l’espace dans lesquelles la probabilité de présence de
l’électron est maximale. Ce qui a permis d’introduire de nouvelles grandeurs
appelées nombres quantiques.

a) Nombres quantiques
L’état d’un électron dans un atome, c’est-à-dire : son énergie, ses mouvements
autour du noyau, la forme de l’orbitale, est défini par 4 paramètres appelés
nombres quantiques.
1) Le nombre n, nombre quantique principal qui caractérise les couches
électroniques ou niveaux d’énergies.
Il varie par valeurs entières, de 1 à n, (n = 1, 2, …. ∞) soit :

n=1 couche K ; n=2 couche L ; n=3 couche M ; etc...


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2) Le nombre L, nombre quantique secondaire ou Azimutal,

avec : 0 ≤ L ≤ n – 1
L définit une sous-couche électronique, ou un sous niveau d’énergie et précise la
« forme » de l’orbitale c’est à dire du volume dans l’espace autour du noyau où la
probabilité de présence de l’électron est la plus .
l=0 sous-couche s l=1 sous-couche p
l=2 sous-couche d l=3 sous-couche f

3) Le nombre m, nombre quantique magnétique, avec : -l ≤ m ≤ +l :


m définit l’orientation spatiale de l’électron par rapport à un référentiel. Il
dépend de l et varie de –l à +l soit (2l + 1) valeurs.
l=0 ml = 0 1 seule orientation 1 orbitale s 1 case quantique
l=1 ml = -1; 0 ; 1 v 3 orientations v 3 orbitales p de même énergie
v v
3 cases quantiques v
v
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4) Le nombre quantique de spin s, avec s = + ½. Il différencie les deux


orientations possibles de l’électron, dû à sa rotation sur lui-même : ms = +1/2 ( ­) et
ms = -1/2 ( )

Exemple :
1er Cas:
Pour n = 1, une valeur pour l ; l=0 ; m=0 ; une orbitale 1s
Soit une orbitale 1s pou n=1

2ème Cas:
Pour n = 2, deux valeurs pour l : l=0 et L=1
Pour l=0, m=0 ; une orbitale 2s
Pour l=1, m=-1 ; 0 ; +1 ; 3 orbitales 2p.
Soit 4 orbitales pour n=2
CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS

3ème Cas:
Pour n = 3, Trois valeurs pour l : l=0 ; 1 ; 2
Pour l=0, m=0 ; une orbitale 3s
Pour l=1, m=-1 ; 0 ; +1 ; 3 orbitales 3p
Pour l=2, m=-2 ; -1 ; 0 ; +1 ; +2 ; 5 orbitales 3d.

Soit 9 orbitales pour n=3


CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS

- Résumé
CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS

- Résumé
CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS

b) Forme et représentation schématique des orbitales s et p


Rappelons que les orbitales représentent schématiquement une région de l’espace
dans laquelle la probabilité de présence des électrons est maximale.

Ainsi, les orbitales s ont une symétrie sphérique


CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS

Les orbitales p (l = 1) peuvent être représentées par deux lobes à peu près
sphériques, accolés, ayant pour axes de symétrie les axes x, y et z du trièdre de
référence.
On les appelle donc "n px", "n py" et "n pz" selon la valeur de ml (n ≥ 2).

Symétrie trigonale
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C) Remplissage des orbitales atomiques


Les trois nombres quantiques n, l, m définissent une orbitale ou « case quantique »,
qu’on représente par une case carrée. Les électrons sont notés sous forme de
flèches, orientées vers le haut ou vers le bas, selon la valeur du nombre de spin :
+1/2 et -1/2.
On peut également indiquer la configuration électronique des éléments d’une autre
manière, en utilisant le symbolisme 1s2 2s2 2p6 ….
- Les chiffres indiquent la valeur de n=1, 2, 3 …
- Les lettres s et p caractérisent les sous-couches définies par les nombres
quantiques secondaires.
- Le chiffre en exposant indique le nombre d’électrons dans la sous-couche
considérée
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III.4) Répartition des électrons ou configuration électronique d’un élément


La configuration de l’état fondamental d’un atome obéit à plusieurs règles.

a) Principe d’exclusion de Pauli


Il stipule qu’il est impossible que deux électrons d’un même atome possèdent leurs
quatre nombres quantiques identiques. En d’autres termes :
- Deux électrons dans une même orbitale atomique doivent différer par leur
nombre quantique de spin, qui ne peut prendre que deux valeurs, s = +1/2 (­ )
ou –1/2 ( ).
- Une orbitale atomique ne peut "contenir" au maximum que 2 électrons qui
dans ce cas auront des spins opposés : ils sont antiparallèles ou appariés ­.
- Si l'orbitale ne contient qu'un seul électron, celui-ci est dit non-apparié ou
célibataire.
- Une orbitale vide constitue une lacune électronique.
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- Résumé
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- b) Règle de Klechkowski (remplissage des O.A. par énergie croissante)

- A l'état fondamental, un atome se trouve dans son état énergétique le plus


stable correspondant à l'énergie la plus basse.
- Les électrons commencent par saturer les niveaux de plus basse énergie,
dans l'ordre croissant. Quand elle est pleine, ils occupent la suivante, de
valeur énergétique plus élevée et plus éloignée du noyau et ainsi de suite:
"1s", "2s", "2p", "3s", "3p"... c’est la règle dite du "(n + l) minimal"
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- Cas Particulier
CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS
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c) Règle de Hund (règle du spin maximal)


Dans une même sous-couche, les électrons occupent un maximum d’orbitales vides
avec le même spin (+1/2) avant de s’apparier.
Les électrons « célibataires » occupent seuls une orbitale ou case quantique.
Exemple
CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS
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Pour écrire la structure électronique d’une espèce ionisée positivement :


- Cas général : on enlève d’abord les électrons les plus externes (ceux qui
correspondent à n le plus grand).
- Dans le cas des métaux de transition, on enlève donc d’abord les électrons « s
»
CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS

REMARQUE
 Dans une sous-couche s on met au maximum 2 électrons (spins opposés), soit une
case,
 Dans une sous-couche p, on met au maximum 6 électrons soit 3 cases.
 Dans une sous-couche d, on met 10 électrons soit 5 cases, etc.

Entre chaque sous couche on ajoute 4 électrons à chaque fois soit 2 cases.
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IV. Classification périodique des éléments

1) Introduction

2) Structure du tableau : période, colonne, bloc

3) Métaux, non métaux, semi-métaux

4) Evolution de quelques propriétés à travers le tableau

a) Rayon atomique (covalent, métallique) et ionique

b) Energie de 1ère ionisation - Ionisation multiple

c) Fixation électronique - Affinité électronique

d) Electronégativité (échelles de Mulliken et de Pauling)


CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS

IV. Classification périodique des éléments

IV.1) Introduction

Initialement conçu en 1869 par Dimitri Mendeleiev, le tableau de


classification périodique actuel est basé sur le classement des éléments
par numéro atomique Z croissant, donc s’appuie sur la structure
électronique des atomes.
CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS

IV.2 Structure du tableau : Période, colonne, bloc

Il est constitué de 7 lignes appelées "périodes" et de 18 colonnes


appelées "familles".

Le numéro atomique croît de gauche à droite dans une période et de haut


en bas dans une colonne.
Les éléments d'une même période (ligne) ont la même valeur du nombre
quantique principal n (même numéro de couche).

Les éléments appartenant à une même colonne ont généralement la même


structure électronique externe (même nombre d’électrons sur la dernière
couche), donc souvent des propriétés chimiques ou physiques voisines
(attention : ne pas généraliser !).
CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS
CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS
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3.3 Propriétés physiques des éléments


Ils se regroupent en trois catégories :
Les métaux
- Ils sont situés à gauche et au centre de la classification périodique : blocs s
(hormis H), d, f et une moitié du bloc p (ex. Al, Sn, Pb, Bi, Po ...).

- Ils sont tous solides à température ambiante (25°C), excepté le mercure ( 80Hg)
qui est liquide.
- Ils sont bons conducteurs de la chaleur et de l'électricité.
Les non-métaux
- Ils sont situés à droite dans la classification périodique : seconde moitié du bloc p
(ex. F, O, N, C, P ...).
CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS

- Ils sont solides ou gazeux à 25°C, exceptionnellement liquide (le dibrome, Br2).

- Ils sont mauvais conducteurs de la chaleur et ce sont des isolants électriques.


(sauf le carbone qui est isolant (diamant) ou conducteur (graphite)).

Les semi-métaux
A la frontière des deux catégories précédentes, ils se comportent comme des
semi-conducteurs (composés dont la conductivité augmente avec la température,
par exemple le Silicium (14Si) et le Germanium (32Ge) utilisés en électronique).

Remarque : L'hydrogène est un cas à part : c'est un gaz moléculaire (H2) à 25°C. Il
peut donner un ion positif (H+), mais aussi l'ion hydrure (H-).
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3.4 Les familles (colonnes)


CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS
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3.5 Evolution de quelques propriétés à travers le tableau


a) Energie d’ionisation – Affinité électronique
- L’énergie d’ionisation (EI), est l'énergie minimale qu'il faut fournir à un atome
isolé, A(g) (état gazeux), pour lui arracher un électron selon la réaction :

NB : L’énergie d’ionisation étant une énergie fournie à l’atome, elle est donc
positive.
Le départ du 2ème électron (le plus éloigné du noyau) correspond à l’énergie de la
deuxième ionisation, qui est plus élevée que celle de la 1 ère ionisation

Ex : Ca Ca + + e- E1 = 6,11 eV
Ca+ Ca2+ + e- E2 = 11,87 eV
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- L’affinité électronique (AE) est la capacité d’un élément gazeux à

fixer un électron, selon la réaction. A(g) + e- A-(g)

Ex : Cl + e- Cl-
Contrairement à l'énergie d'ionisation, l'affinité électronique peut être positive
ou négative.

L’énergie d’ionisation et l’affinité électronique augmente, dans le tableau


périodique, de gauche à droite, le long de la période et du bas vers le haut, le long
d’une colonne.
CHAP 1: ATOME ET CLASSIFICATION PÉRIODIQUE DES ELÉMÉNTS
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b) Rayon atomique (rayon de covalence) rc


Le rayon atomique d’un atome est égal à la moitié de la distance qui sépare les 2
noyaux d’une molécule diatomique homonucléaire liés par une liaison de covalence
simple.
Ex : dH-H = 2 rH = 74 pm Þ rH = 37 pm

Remarque :
- rc diminue dans une période (effet de charge)
- rc augmente dans une colonne (effet distance)
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c) Electronégativité (EN) – Echelles de Mulliken et de Pauling


C'est une grandeur qui mesure l'aptitude d'un élément à attirer vers lui les
électrons au sein d'une liaison de covalence apparition de charges partielles.
A d+--- B d-
(B est plus électronégatif que A)
Echelles d’Electronégativité
- Echelle de Mulliken.
L'électronégativité d'un élément dans l'échelle de Mulliken est égale à la
moyenne arithmétique de l'énergie de première ionisation, EI 1, et de l'affinité
électronique, AE.
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- Echelle de Pauling.
Elle est basée sur les énergies de dissociation des liaisons de molécules
diatomiques simples :
L’échelle de Pauling est une échelle relative.
Soit le composé A-B

EA-A, EB-B et EA-B : énergies en kJ.mol-1 pour rompre les liaisons A-A, B-B et A-B.

La différence d'électronégativité entre les éléments B et A est donnée par :


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