USTA 2018 19 RAo
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USTA 2018 19 RAo
AORTIQUE
Pr André K. SAMADOULOUGOU
PLAN
I. Introduction
II. Signes
III. Diagnostic
IV. Traitement
Conclusion
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I. INTRODUCTION
1. Définition
Le rétrécissement aortique se
caractérise par la diminution
du calibre de l'orifice aortique
entraînant une gêne à
l'éjection ventriculaire gauche
en systole. L'obstruction
critique est réalisée pour une
réduction de la surface
valvulaire < 0,7cm2 ou
0,5cm2/m2 de surface
corporelle. 3
I. Introduction
2. Intérêt
Epidémiologique: En Afrique le RAA est l’étiologie
principale. Valvulopathie la plus fréquente dans les pays
développés (25 % des valvulopathies de l'adulte) avec
une étiologie dégénérative, touchant des sujets âgés et
majoritairement de sexe masculin.
Diagnostique: Le RA a bénéficié des progrès de l‘ETT et
l’ETO pour le diagnostic positif et le diagnostic de
gravité.
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I. Introduction
2. Intérêt
5
I. Introduction
3. Rappel anatomique
L’orifice aortique est
constitué de:
trois valves en nid de
pigeon appelés
sigmoïdes
L’anneau aortique sur
lequel les sigmoïdes sont
insérées.
Ces sigmoïdes sont séparées
entre elles par des
commissures. 6
I. Introduction
3. Rappel anatomique
La surface normale de l'orifice aortique est de
3 à 4 cm2
7
I. Introduction
4. Physiopathologie
8
I. Introduction
4. Physiopathologie
En amont de la valve:
↗de la post charge VG avec
surcharge systolique. Le VG
s'adapte à la surcharge de
pression par une hypertrophie
concentrique et une réduction
de la taille de la cavité.
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I. Introduction
4. Physiopathologie
Conséquences physiopathologiques:
En amont de la valve: Il apparaît un gradient de
pression holosystolique entre le VG à pression élevée et
l'aorte ascendante à pression normale ou basse.
Altération précoce de la fonction diastolique VG: la
compliance VG est réduite, élévation de la pression de
remplissage, ↗ des pressions auriculaires gauches et de la
petite circulation. Apparaissent alors la dyspnée d'effort
puis la dyspnée de repos.
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I. Introduction
4. Physiopathologie
Conséquences physiopathologiques:
En amont de la valve: La dernière étape est
l'insuffisance VD avec élévation des pressions de
remplissage du VD, des pressions auriculaires droites et
des pressions veineuses systémiques.
La relaxation est retardée, ralentie, prolongée et
incoordonnée
L'altération de la fonction systolique est inconstante au
début, mais s'installe à la longue.
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I. Introduction
4. Physiopathologie
Conséquences physiopathologiques:
En aval de la valve:
Le débit cardiaque est conservé initialement grâce à
l'augmentation de la période d'éjection et de la vitesse
d'écoulement à travers l'orifice.
Le jet sanguin à chaque systole frappe la paroi latérale de
l'aorte ascendante et détermine une dilatation localisée
(lésion de jet).
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I. Introduction
4. Physiopathologie
Conséquences physiopathologiques:
En aval de la valve: Le débit cardiaque normal au
repos, ne s'élève pas ou augmente insuffisamment à
l'effort. Les variations du volume d'éjection sont limitées
par la structure du ventricule gauche (restriction de la
cavité ventriculaire) et par la surcharge de pression qui
existe déjà à l'état basal. La pression systémique
s'abaisse, entraînant une hypoperfusion cérébrale
(syncope) et souffrance myocardique (angor, troubles du
rythme).
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I. Introduction
4. Physiopathologie
Conséquences physiopathologiques:
En aval de la valve: Il y a apparition de signes
fonctionnels lorsque la surface est inférieure à 1cm 2.
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II. Signes
II.1 TDD: lERA serré
II.1.1 Circonstances de découverte
Découverte systématique chez un sujet asymptomatique
ou présentant:
un souffle cardiaque
un électrocardiogramme avec des signes d’
HVG
Angor: survenant typiquement à l'effort; plus
rarement des douleurs spontanées,
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II. Signes
II.1 TDD: Le RA serré
II.1.1.1 Circonstances de découverte
Signes fonctionnels :
Syncopes d'effort ou équivalents mineurs
(étourdissements, vertiges, instabilité déclenchés
par des efforts physiques significatifs).
L'association angor-syncope est évocatrice du
RA
Dyspnée d'effort
Complication: embolie calcaire, insuffisance
cardiaque 16
II. Signes
II.1 TDD: RA serré
II.1.2 Examen clinique.
• Signes périphériques
Le pouls aux 4 membres est petit et retardé par rapport
au choc de pointe (pulsus parvus et tardus de Huchard)
La PAS est classiquement basse alors que la PAD est
normale. La pression artérielle différentielle peut être
pincée
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II. Signes
II.1 TDD: l’RA serré
II.1.2 Examen clinique.
• Signes cardiaques
Palpation : Frémissement systolique, voire un thrill
systolique sus-sternal. Le choc apexien est souvent
déplacé en bas et à gauche, parfois étalé.
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II. Signes
II.1 TDD: l’RA serré
II.1.2 Examen clinique.
• Signes cardiaques
L'auscultation est le temps essentiel de l'examen:
– B1 parfois atténué à la pointe comme à la base
(fermeture présystolique de la valve mitrale en cas de
forte élévation de la pression de remplissage du VG)
– B2 aortique typiquement aboli ou très diminué par
immobilité des sigmoïdes aortiques pétrifiées. Il peut
rester normal si la valve a gardé une certaine souplesse
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II. Signes
II.1 TDD: l’RA serré
II.1.2 Examen clinique.
• Signes cardiaques
L'auscultation :
– Click protosystolique à la pointe, perçu comme un
dédoublement du B1. Il témoigne du bruit d'ouverture de
sigmoïdes aortiques pathologiques
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II. Signes
II.1 TDD: l’RA serré
II.1.2 Examen clinique.
• Signes cardiaques
L'auscultation: Le signe fondamental du RA est le souffle
systolique éjectionnel - maximum au foyer aortique-
Méso-systolique ne couvrant pas toute la systole
crescendo decrescendo séparé de Bl et de B2 - irradie en
écharpe vers les vaisseaux du cou et vers la pointe où il
peut être intense - de timbre rude, serratique, râpeux -
Souvent intense (4 à 5/6); il peut être discret voire
minime.
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II. Signes
II.1 TDD: le RA serré
II.1.2 Examen clinique.
• Signes cardiaques
L’auscultation: autres signes à rechercher: souffle
diastolique bref de base d‘IA présent une fois sur deux, de
faible intensité.
L'examen clinique doit être complet, recherchant des signes
d'insuffisance cardiaque.
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II. Signes
II.1.1 TDD: le RA serré
II.1.3 Examen paraclinique
Signes ECG:
• Signes d‘HVG systolique (indice de Sokolow supérieur
>35 mm, RV5 > 30mm, RV6 > 25mm, associée à des
ondes T négatives et asymétriques).
• Troubles de la conduction possibles BBGC ou BBGI,
BAV 1er degré.
• AC/FA, tardif
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II. Signes
II.1 TDD: le RA serré
II.1.3 Examen paraclinique
Signes écho-Doppler cardiaque: ETT , ETO
ETT: diagnostic positif
Signes indirects (2D et TM):
•Hypertrophie concentrique des parois du VG
•Dilatation de l'oreillette gauche
•Evaluation des fonctions systolique(normale) et
diastolique
•Epaississement et/ou calcification de la valve aortique
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II. Signes
II.1 TDD: le RA serré
II.1.3 Examen paraclinique
27
II. Signes
II.1 TDD: le RA serré
II.1.3 Examen paraclinique
Signes écho-Doppler cardiaque: ETT , ETO
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II. Signes
II.1 TDD: le RA serré
II.1.3 Examen paraclinique
29
II. Signes
II.1 TDD: le RA serré
II.1.3 Examen paraclinique
30
II. Signes
II.1.1 TDD: le RA serré
II.1.3 Examen paraclinique
31
II. Signes
32
II. Signes
33
II. Signes
II.1 TDD: le RA serré
II.1.3 Examen paraclinique
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II. Signes
II.1 TDD: le RA serré
II.1.3 Examen paraclinique
35
II. Signes
II.1 TDD: le RA serré
II.1.3 Examen paraclinique
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II. Signes
II.1 TDD: le RA serré
II.1.3 Examen paraclinique
37
II. Signes
II.1 TDD: le RA serré
II.1.3 Examen paraclinique
Cathétérisme cardiaque
N'est plus nécessaire au diagnostic. Les indications en
dehors de la coronarographie ont considérablement
diminué et se limitent aux cas d'incertitude sur le degré du
RA (discordances entre cliniques et échocardiographie)
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II. Signes
II.1 TDD: le RA serré
II.1.3 Examen paraclinique
Cathétérisme cardiaque
Le cathétérisme cardiaque gauche permet de
mesurer le gradient systolique VG-Aorte, la surface
aortique (par la formule de GORLIN) le pic systolique
intra VG, et le débit cardiaque.
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II. Signes
II.1 TDD: le RA serré
II.1.3 Examen paraclinique
Cathétérisme cardiaque
Le cathétérisme peut être réalisé dans le cadre d'un geste
de remplacement percutané de valve aortique.
La coronarographie reste indiquée en pré opératoire
surtout chez les sujets de plus de 40ans et en cas d'angor
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II. Signes
II.1 TDD: le RA serré
II.1.3 Examen paraclinique
L’épreuve d’effort
Permet d'orienter certains RA serrés asymptomatiques vers la
chirurgie . Les critères de positivité du test sont:
survenue d'un angor/syncope/lipothymie/dyspnée d'effort
élévation insuffisante de la PAS à l'effort << 20mmHg voire
chute de la PA à l'effort;
sous-décalage de ST >2mm chez un patient ne présentant
pas de sténose coronaire associée;
arythmie ventriculaire sévère à l'effort (ESV, TV, FV)
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II. Signes
II.1 TDD: le RA serré
II.1.4 Evolution, complications, pronostic
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II. Signes
II.1 TDD: le RA serré
II.1.4 Evolution, complications, pronostic
45
II. Signes
II.2 Les formes cliniques
II.2.1 Formes associées
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II. Signes
II.2 Les formes cliniques
II.2.1 Formes associées
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II. Signes
II.2 Les formes cliniques
II.2.1 Formes associées
RA et rétrécissement mitral: Le RM est habituellement
rhumatismal. Dans quelques cas il est en rapport avec des
calcifications de l'anneau.
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II. Signes
II.2 Les formes cliniques
II.2.2 Formes avec dysfonction VG sévère et bas
gradient transvalvulaire
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III. DIAGNOSTIC
III. 1 Diagnostic positif
Il est évoqué devant:
symptomatologie d’effort: angor, dyspnée, lipothymie
le petit pouls périphérique, la TA basse avec différentielle
pincée, le frémissement ou thrill systolique sus-sternal, le
souffle systolique éjectionnel maximum au foyer aortique,
irradie en écharpe vers les vaisseaux du cou et vers la
pointe, intense (4 à 5/6), de timbre rude, serratique, râpeux
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III. DIAGNOSTIC
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III. DIAGNOSTIC
III. 1 Diagnostic positif
Confirmé par: l’ETT Doppler
Signes directs: Sigmoïdes épaissies voir calcifiées dont
l'ouverture est réduite.
Signes indirects: Dilatation de l'aorte ascendante et HVG
concentrique.
Diagnostic de sévérité:
• Ouverture des sigmoïdes inférieure à 8 mm.
• Gradient moyen VG – Aorte supérieur à 60 mmHg.
• Surface aortique inférieure à 0.75 cm2.
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III. DIAGNOSTIC
III.2. Diagnostic différentiel
Problème du diagnostic différentiel d'un souffle systolique
de la base, avant la réalisation d'un écho-doppler cardiaque
qui permet dans tous les cas de redresser le diagnostic
III.2.1 RA sous valvulaire en diaphragme
Malformation congénitale rare, réalisant une maladie
aortique sans click protosystolique ni calcification
valvulaire et avec conservation du jeu aortique
L'échocardiographie bidimensionnelle fait le diagnostic
III.2.2 RA sus valvulaire en diaphragme
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III. DIAGNOSTIC
III.2. Diagnostic différentiel
III.2.3 Cardiomyopathie hypertrophique obstructive
Patients plus jeunes, souffle systolique endapexien,
diagnostic écho-doppler cardiaque: hypertrophie des
parois ++ gradient dynamique intra VG ou après
administration de vasodilatateurs
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III. DIAGNOSTIC
III.2. Diagnostic différentiel
III.2.4 Rétrécissement pulmonaire
Souffle systolique éjectionnel maximum au foyer
pulmonaire, diagnostic par écho-doppler cardiaque
III.2.5 IM sur prolapsus de la valve mitrale postérieure
La direction antéro-supérieure du jet d'IM peut mimer un
souffle de RA. Diagnostic par écho-doppler cardiaque.
III.2.6 Souffle systolique en écharpe
Fréquent chez le sujet âgé
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III. DIAGNOSTIC
III. 3 Diagnostic étiologique
RA rhumatismal
Le rétrécissement est causé par la
fusion des commissures, de la
périphérie au bord libre, et par
l'épaississement et la rétraction
des sigmoïdes.
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III. DIAGNOSTIC
III. 3 Diagnostic étiologique
Causes rares
la maladie de Paget
l'insuffisance rénale chronique
la Xanthomatose tendineuse hypercholestérolémique
familiale,
les mucopolysaccharidoses,
la maladie de Gaucher,
la radiothérapie,
les traitements prolongés par méthysergide, qui ont été, à
titre exceptionnel apportés.
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IV. Traitement
IV.1. BUTS
Corriger le vice valvulaire
Prévenir et traiter les complications
IV.2. MOYENS
IV.2.1 Moyens non médicamenteux
• Limitation de l'activité physique en cas de RA
modéré à sévère. Cependant la marche est
conseillées.
• Régime peu salé sans excitants.
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IV. Traitement
IV.2.2 Moyens médicaux
• Prévention de l‘EI+++
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IV. Traitement
IV.2.3 Moyens chirurgicaux
Ils constituent le seul traitement curatif du RA serré:
• Remplacement valvulaire sous CEC avec mise en
place d'une valve mécanique ou d'une bioprothèse.
• Valvuloplastie aortique chirurgicale
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IV. Traitement
IV.3. INDICATIONS
Tout RA symptomatique doit être opéré.
Opérer un RA asymptomatique si:
épreuve d'effort positif,
indication d'une intervention cardiaque autre,
progression rapide de la sténose,
dysfonction VG avec FEVG< 50 %,
hyperexcitabilité ventriculaire,
surface très serrée.
RA inopérables : indication de TAVI
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IV. Traitement
IV.4. Prévention
Prévention primaire
• Diagnostic et PEC précoce des angines
• Lutte contre la consanguinité
Prévention secondaire
• Prévenir les récidives rhumatismal
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Conclusion
L’étiologie des RA est dominée dans notre contexte par
le RAA.
Son diagnostic est facilité par le développement de
l’ETT,
mais sa PEC adéquate se heurte à la pauvreté et à
l’insuffisance du plateau technique dans nos pays.
La prophylaxie s’avère indispensable dans ce contexte et
nécessite une bonne politique de développement des
moyens de communication et de lutte contre
l’analphabétisme.
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REFERENCES
- Manuel du résident cardiologie; Edition Tsunami 2009
- Pr J. Baptiste ANZOUAN-Kacou Cours CES de cardiologie 2ème année 2013-
2014
- Ariel COHEN: pathologie cardiovasculaire
- Jean DI MATTEO; cardiologie; 3ème édition Revue et complétée
- David ATTIAS et all; Cardiologie vasculaire; Edition Vernazobres-Georgo
2010
- Echocardiographie clinique; Christophe Climczak 6e édition 2011 P70-79
- Collège des Enseignants de Cardiologie (Université Claude Bernard Lyon I)
sous la coordination de Xavier André-Fouet. Cardiologie; 1er, 2ème et 3ème
cycles de médecine générale, préparation au concours d’internat; éd. Presses
universitaires de Lyon, 1999
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Merci
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