Introduction Aux Techniques de Laboratoire

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IDEX SANTE

HNIQUE S D E L AB ORAT OIRE


TE C
L1 TC

ECHNIQUE S D E L AB ORAT OIRE


INTRODUCTION AUX T
DR M. DIEDHIOU
GENERALITES

• LES HÔPITAUX, CENTRE DE SANTE, LES CENTRES DE RECHERCHE ET DE NOMBREUSES


ENTREPRISES POSSÈDENT DES LABORATOIRES AFIN D'EFFECTUER LES ANALYSES DONT ILS
ONT BESOIN POUR FONCTIONNER.

• CES ANALYSES SONT RÉALISÉS GRÂCE À DES TECHNIQUES DE LABORATOIRE QUI TIRENT
LEURS PRINCIPES DE LA BIOLOGIE, DE LA CHIMIE
• LE TECHNICIEN DE LABORATOIRE EST CHARGÉ DES EXAMENS DE LABORATOIRE
DONT IL DOIT SOUMETTRE LES RÉSULTATS AU MÉDECIN (OU À SON REPRÉSENTANT),

EN AGISSANT DANS L'INTÉRÊT DES MALADES. IL A DONC UN RÔLE IMPORTANT À JOUER POUR

AIDER CEUX DERNIER À RECOUVRER LA SANTÉ. D'AUTRE PART, IL RECUEILLE, AU COURS DE SES

TRAVAUX, UNE MASSE D'INFORMATION SUR LES MALADES ET LEURS PROBLÈMES DE SANTÉ. IL

DOIT, TOUT COMME LE MÉDECIN, CONSIDÉRER CETTE INFORMATION COMME STRICTEMENT

CONFIDENTIELLE ET NE LA COMMUNIQUER
• QU'AU PRATICIEN QUI A DEMANDÉ L'EXAMEN. SI LES MALADES VEULENT CONNAÎTRE CES RÉSULTATS,

ON LEUR DIRA DE S'ADRESSER AU MÉDECIN.

• LA PLUPART DES PAYS DU MONDE ONT DÉFINI DES NORMES ÉLEVÉES APPLICABLES À LA CONDUITE

ÉTHIQUE ET PROFESSIONNELLE DES MÉDECINS ET DES TECHNICIENS

DE LABORATOIRE QUALIFIÉS. IL IMPORTE QUE TOUT TECHNICIEN DE LABORATOIRE CHARGÉ D'EFFECTUER

DES ANALYSES MÉDICALES AIT À CŒUR DE LES RESPECTER


PREANALYTIQUE
POUR UN SERVICE DE SOINS, LA PHASE PRÉ-ANALYTIQUE COMPREND LES ÉTAPES ALLANT DE LA

PRESCRIPTION DE L'EXAMEN JUSQU'À LA MISE À DISPOSITION DE L'ÉCHANTILLON AU LABORATOIRE.

POUR CHACUNE DES ÉTAPES DES RÈGLES DE BASES SONT À RESPECTER. LA DESCRIPTION DE CES

ÉTAPES PRÉSENTE PLUSIEURS AVANTAGES : EXHAUSTIVITÉ, ÉNUMÉRATION À CHAQUE ÉTAPE DES

ATTENTES DU LABORATOIRE, DES RISQUES À PRÉVENIR ET PERMET L'ANTICIPATION DES ÉVENTUELS

DYSFONCTIONNEMENTS.
LA PRESCRIPTION - LA FEUILLE DE DEMANDE
ADRESSÉE AU LABORATOIRE.

• LES INFORMATIONS TRANSMISES DOIVENT ÊTRE COMPLÈTES, CLAIRES ET PRÉCISES. CELA INCLUS :

IDENTITÉ DU MALADE : NOM, PRÉNOM, DATE DE NAISSANCE, SEXE, NOM DE JEUNE FILLE. LE NOM DE

NAISSANCE (OU NOM PATRONYMIQUE) EST INDISPENSABLE, QU'IL FIGURE SOUS LA RUBRIQUE "NOM"

OU, LE CAS
LES RENSEIGNEMENTS CLINIQUES

• CEUX-CI SONT BIEN SOUVENT INDISPENSABLES POUR GUIDER TECHNICIENS


ET BIOLOGISTES DANS LA RÉALISATION ET L'INTERPRÉTATION DES EXAMENS
DEMANDÉS, QUI PEUVENT NÉCESSITER VÉRIFICATIONS OU TESTS
COMPLÉMENTAIRES. DANS CERTAINS CAS, CES SONT OBLIGATOIRES
LE PRÉLÈVEMENT

• IDENTIFICATION DES TUBES


LE PRÉLÈVEMENT DOIT PORTER LES INFORMATIONS SUIVANTES
IDENTITÉ DU MALADE : (NOM, PRÉNOM, DATE DE NAISSANCE, SEXE, NOM DE
JEUNE FILLE.) LE SERVICE DEMANDEUR
L'ÉTIQUETAGE DES PRÉLÈVEMENTS S'EFFECTUE APRÈS LE PRÉLÈVEMENT,
L'IDENTIFICATION CORRECTE DES PRÉLÈVEMENTS EST IMPÉRATIVE.
NE JAMAIS UTILISER UNE ÉTIQUETTE MAL IMPRIMÉE OU DÉCHIRÉE, COLLER CORRECTEMENT L'ÉTIQUETTE SUR

LE TUBE OU AUTRE FLACONNAGE.

POUR LES HÉMOCULTURES, L'ÉTIQUETTE DU PATIENT NE SERA PAS COLLÉE SUR LE CODE BARRE DU FLACON.

• 5 À 6 % DES NON CONFORMITÉS CONCERNENT L'ABSENCE D'IDENTIFICATION D'AU MOINS UN ÉCHANTILLON

• LES TUBES NON IDENTIFIÉS SONT SYSTÉMATIQUEMENT REFUSÉS ET NON UTILISABLES. LE RÉ ÉTIQUETAGE À

POSTÉRIORI N'EST PAS AUTORISÉ.


AVANT LE PRÉLÈVEMENT : CONDITIONS
PARTICULIÈRES DE PRÉLÈVEMENT

• AVANT DE PRÉLEVER LE PATIENT IL FAUT S'ASSURER :


- QUE LES ANALYSES QUI VONT ÊTRE RÉALISÉES SONT COMPATIBLES AVEC LA
PRÉPARATION DU PATIENT.
- QUE L'HEURE DE PRÉLÈVEMENT CORRESPOND AUX RECOMMANDATIONS
- QUE LES BONS TUBES SONT PRÉPARÉS ET À DISPOSITION
• 22 % DES NON CONFORMITÉS CONSTATENT L'OUBLI D'AU MOINS UN TUBE PAR RAPPORT À LA

PRESCRIPTION

• « À JEUN » SIGNIFIE 8 HEURES SANS MANGER NI BOIRE


POUR LES BILANS LIPIDIQUES : JEÛNE DE 12 HEURES
MODE DE PRÉLÈVEMENT : NOTIONS GÉNÉRALES

• SERREZ LE GARROT MODÉRÉMENT ET MOINS D'UNE MINUTE

RESPECTEZ L'ORDRE DE PRÉLÈVEMENT DES TUBES

VEILLEZ AU BON REMPLISSAGE DES TUBES ET HOMOGÉNÉISEZ PAR RETOURNEMENTS LENTS (8 À 10).

LES TUBES DOIVENT ÊTRE SUFFISAMMENT REMPLIS

POUR LE TUBE D'HÉMOSTASE LE NIVEAU DE REMPLISSAGE DOIT ÊTRE ATTEINT


• HOMOGÉNÉISATION PAR RETOURNEMENTS ABSENTE OU INSUFFISANTE = PRÉLÈVEMENT COAGULÉ

- TUBE NON AJUSTÉ EN HÉMOSTASE = REFUS SYSTÉMATIQUE (SINON RÉSULTAT ERRONÉ)

- MAINTIEN DU GARROT SÉRÉ = RISQUE D'HÉMOLYSE


• NE PAS TRANSVASER LE SANG D'UN TUBE DANS UN AUTRE = RÉSULTATS COMPLÈTEMENT FAUX ET

PERTURBÉ

NE PAS PRÉLEVER DU CÔTÉ DU BRAS PERFUSÉ = DILUTION DU SANG = RÉSULTAT ERRONÉ (EX

POTASSIUM ET CALCIUM)
MODE DE PRÉLÈVEMENT : ORDRE DE PRÉLÈVEMENT DES TUBES

• L'ORDRE À RESPECTER IMPÉRATIVEMENT EST LE SUIVANT


Tube neutre Amorçage en cas d'utilisation d'aiguille à ailette

Tube citrate Analyses de l'hémostase Plasma TUBE AJUSTE IMPERATIF

TUBE AJUSTE IMPERATIF - Augmente la durée de


Tube CTAD Analyses spécifique de l'hémostase Plasma
conservation pré analytique

Tube sec gel Tests immunologiques Sérum Volume minimum 2ml

Tube sec sans gel Pharmacologie - certains envois Sérum Aussi appelé tube sans séparateur

Tube héparine biochimie Plasma

Tube EDTA Cytologie - IH BNP - HbA1C - NH3 Plasma Un tube par analyse (traitement différent au laboratoire)
LA GOUTTE ÉPAISSE
1.1 PRÉLÈVEMENT

• ON PRÉLÈVE DU SANG CAPILLAIRE


• PAR PIQÛRE AU DOIGT (FACE LATÉRALE DE L’ANNULAIRE)
• AU LOBE DE L’OREILLE OU AU TALON (CHEZ L’ENFANT)
• ON PEUT ÉGALEMENT PRÉLEVER DU SANG VEINEUX SUR UN TUBE EDTA
1.2 CONFECTION (1)

• IL FAUT TOUJOURS PORTER DES GANTS


• DÉSINFECTER À L’ALCOOL ET NETTOYER L’EXCÈS D’ALCOOL AVANT LA PIQÛRE
• CELLE-CI DOIT ÊTRE FRANCHE AVEC UN VACCINOSTYLE OU UNE LANCETTEE
• ELIMINER LA PREMIÈRE GOUTTE, PUIS RECUEILLIR UNE GROSSE GOUTTE OU 3 PETITES
GOUTTES SUR LA LAME
1.2 CONFECTION (2)

• AVEC UN VACCINOSTYLE OU LE COIN D’UNE AUTRE LAME

• IMPRIMER UN MOUVEMENT CIRCULAIRE SUR UN DIAMÈTRE D’ENVIRON 1CM

• JUSQU’À FORMATION D’UN FIL DE FIBRINE

• C’EST LA DÉFIBRINISATIION
INDICATION DE LA GOUTTE ÉPAISSE

• EN CAS DE SUSPISCION DE PALUDISME LE MEDECIN OU LE TRAITANT PEUT DEMANDER A CE


QUON FASSE UNE GOUTTE EPAISSE OU UN TEST DE DIAGNOSTIC RAPIDE TDR
TEST DE DIAGNOSLC RAPIDE (TDR)

PRINCIPE

• TESTS D'IMMUNOCHROMATOGRAPHIE
• BASÉS SUR LA DÉTECTION DES ANTIGÈNES PARASITAIRES DU SANG PÉRIPHÉRIQUE
• ULLISANT DES ANTICORPS MONO OU POLY CLONAUX DIRIGÉS CONTRE LES ANTIGÈNES DU
PARASITE.

• RÉALISABLES SANS LABORATOIRE, NI ÉQUIPEMENTS ET ÉLECTRICITÉ́


• ETAPE 1
PRÉPARER VOTRE MATÉRIEL
VÉRIFIER LA DATE DE PÉREMPTION
OUVRIR UN SACHET ET SORTIR UNE CASSETTE
CODIFIER LA ET POSER LA SUR UNE SURFACE PLANE
• ETAPE 2
 ENFILER LES GANTS

 OUVRIR UN TAMPON, DÉSINFECTER


 ET SÉCHER

 OUVRIR UNE LANCETTEE ET PIQUER

 JETER LANCETTEE.

 RECUEILLIR UNE GOUTTE AVEC L’ANSE


• ETAPE 3
§ METTRE LE SANG DANS LA CASE (S)

• § JETER L’ANSE
§ METTRE 4 GOUTTES DE TAMPON

• § CHRONOMÉTRER 15 MIN
ETAPE 5

• INTERPRÉTER LE RÉSULTAT
• TEST POSILF S’IL APPARAIT 2 TRAITS EN C ET T
• TEST NÉGALF S’IL APPARAIT 1 SEUL TRAIT EN C
• TEST INVALIDE S’IL N’APPARAIT DE TRAIT NI EN T, NI EN C
• ENREGISTRER LES RÉSULTATS
GROUPAGE

• LES GROUPES SANGUINS, OU PHÉNOTYPES ÉRYTHROCYTAIRES, CORRESPONDENT À DES


ANTIGÈNES MEMBRANAIRES DE L’ÉRYTHROCYTE, DONT L’EXPRESSION EST DÉTERMINÉE PAR
UNE SÉRIE DE SYSTÈMES GÉNÉTIQUES POLYMORPHES.
• CES ANTIGÈNES, INTRODUITS DANS UN ORGANISME QUI LES RECONNAÎT COMME ÉTRANGERS, PEUVENT

ÊTRE LA CIBLE D’ANTICORPS SÉRIQUES NATURELS OU IMMUNS, RESPONSABLES D’UNE LYSE CELLULAIRE

PARFOIS GRAVE, VOIRE MORTELLE. CETTE NOTION S’EXPRIME DANS 2 DOMAINES DE LA PATHOLOGIE: LES

ACCIDENTS IMMUNOLOGIQUES TRANSFUSIONNELS ET L’INCOMPATIBILITÉ FŒTO-MATERNELLE.


• LES ANTICORPS ANTI-A ET ANTI-B, DIRIGÉS CONTRE LES ANTIGÈNES DU SYSTÈME ABO, SONT DES ANTICORPS

NATURELS RÉGULIERS, C’EST À DIRE QU’ILS EXISTENT DE FAÇON CONSTANTE CHEZ TOUT INDIVIDU ADULTE QUI

NE POSSÈDE PAS LE(S) ANTIGÈNE(S) A ET/OU B, EN DEHORS DE TOUTE STIMULATION ANTIGÉNIQUE. EN FAIT, LES

ANTIGÈNES A ET B SE TROUVENT LARGEMENT RÉPANDUS DANS L’ENVIRONNEMENT, EN PARTICULIER CHEZ LES

BACTÉRIES. CES ANTICORPS DITS “NATURELS ” CORRESPONDENT EN RÉALITÉ À UNE IMMUNISATION ACQUISE

VIS-À-VIS D’ANTIGÈNES ÉTRANGERS UBIQUITAIRES.


• AINSI, LES INDIVIDUS DE GROUPE A PRODUISENT DES ANTI-B, LES INDIVIDUS DE GROUPE B PRODUISENT

DES ANTI-A ET LES INDIVIDUS DE GROUPE O PRODUISENT À LA FOIS DES ANTI-A ET DES ANTI-B. LES

PERSONNES DE GROUPE AB NE POSSÈDENT PAS D’ANTICORPS NATUREL DANS LE SYSTÈME ABO.


• ON COMPREND ALORS LES LOIS DE COMPATIBILITÉ ABO QUI DOIVENT ABSOLUMENT ÊTRE
RESPECTÉES DANS LA TRANSFUSION DE CULOTS GLOBULAIRES :

• UN SUJET DE GROUPE O POSSÈDE DES ANTI-A ET ANTI-B ET NE PEUT ÊTRE TRANSFUSÉ QU’AVEC
DES GLOBULES O;

• UN SUJET DE GROUPE A POSSÈDE DES ANTI-B ET NE PEUT ÊTRE TRANSFUSÉ QU’AVEC DES
GLOBULES A OU O
UN SUJET DE GROUPE B POSSÈDE DES ANTI-A ET NE PEUT ÊTRE TRANSFUSÉ QU’AVEC DES
GLOBULES B OU O

• UN SUJET DE GROUPE AB NE POSSÈDE PAS D’ANTICORPS NATURELS ET PEUT ÊTRE TRANSFUSÉ


AVEC DES GLOBULES A, B, AB OU O.
RÈGLES DE COMPATIBILITÉ ABO
POUR LES TRANSFUSIONS DE CONCENTRÉS DE GLOBULES ROUGES
LECONTROLEULTIMEAULITDUMALADE

• -IL S’AGIT DE LA VÉRIFICATION ULTIME DE LA COMPATIBILITÉ ABO ENTRE LE SANG DU RECEVEUR


ET DU DONNEUR, SYSTÉMATIQUEMENT RÉALISÉE “ AU LIT DU MALADE ”, IMMÉDIATEMENT AVANT LA
TRANSFUSION DE CHAQUE CULOT GLOBULAIRE (HOMOLOGUE ET AUTOLOGUE)

• ELLE S’EFFECTUE SOUS LA RESPONSABILITÉ DIRECTE DU MÉDECIN QUI PRESCRIT LA


TRANSFUSION. ELLE COMPORTE 2 PHASES :

•.
• - LE CONTRÔLE DE LA CONCORDANCE ENTRE L’IDENTITÉ DU PATIENT ET L’IDENTITÉ PORTÉE

SUR LA CARTE DE GROUPE SANGUIN, ET ENTRE LE GROUPE SANGUIN MENTIONNÉ SUR CETTE

CARTE ET SUR L’UNITÉ DE SANG À TRANSFUSER.

• - LA VÉRIFICATION DES GROUPES ABO DU RECEVEUR ET DE L’UNITÉ DE SANG À TRANSFUSER


AU LIT DU MALADE. CELA CONSISTE À RECHERCHER LA CONCORDANCE ABO ENTRE LE SANG
DU RECEVEUR ET LE SANG DE LA POCHE À TRANSFUSER, EN FAISANT RÉAGIR LES HÉMATIES
AVEC DES ANTI SÉRUMS CONNUS
HEMOCULTURE
• I DEFINITION ET BUT
• DÉFINITION :
• IDENTIFICATION D’UN GERME PAR MISE EN CULTURE D’UN PRÉLÈVEMENT DE SANG.
• BUT : LORSQUE LE GERME EST IDENTIFIÉ LE LABO PROCÈDE À UN ANTIBIOGRAMME, CHOIX
ANTIBIOTIQUE APPROPRIÉ.
• II INDICATION
• - TOUTE FIÈVRE NON EXPLIQUÉE + SIGNE CLINIQUE.
- TOUTE FIÈVRE NON EXPLIQUÉE ISOLÉE.
- EN GÉNÉRAL QUAND LES PATIENTS ONT UNE HYPOTHERMIE RÉVÉLATRICE D’UN BACILLE
GRAM- - PROTOCOLE DE SERVICE : SI TEMPÉRATURE <36,5 OU > 38,5 OU FRISSONS
• III PRINCIPE A RESPECTER
• ASEPSIE RIGOUREUSE AU NIVEAU DU PRÉLÈVEMENT. NOMBRE : SELON PROTOCOLE MAIS
RÉPÉTITION DE L’HÉMOCULTURE. DÉLAIS : 1⁄2 H À 1 H D’INTERVALLE.

• DEUX FLACONS : UN AÉROBIE ET UN ANAÉROBIE, ORDRE À RESPECTER DUE À LA TUBULURE :


AIR STÉRILE. HÉMOCULTURE AVANT TRAITEMENT AVEC ANTIBIOTIQUE. HÉMOCULTURE
TRAITEMENT ET TEMPÉRATURE PERSISTANTE (IL FAUT NOTER L’ANTIBIOTIQUE SUR LE BON DU
LABORATOIRE ).

• N.B. : ARRÊT D’ANTIBIOTIQUE PENDANT 24 HEURES, FENÊTRE THÉRAPEUTIQUE.


• IV METHODE DE PRELEVEMENT
• 1) PRÉPARATION DU PATIENT
• A JEUN NON NÉCESSAIRE. PRÉVENIR LE PATIENT.
• 2) PRÉPARATION DU MATÉRIEL
• - CHARIOT.
- NÉCESSAIRE LAVAGE MAIN.
• - HARICOT.
- PROTECTION.
- GARROT.
- COMPRESSE STÉRILE.
- ANTISEPTIQUE (BÉTADINE ).
- GANT NON STÉRILE.
- CONTENEUR À AIGUILLES SOUILLÉ.
- KIT DE PRÉLÈVEMENT.
- FLACON À HÉMOCULTURE.
- ETIQUETTE IDENTIFICATION DU PATIENT, ET DATE ET HEURE ET SERVICE DEMANDEUR.
- BON POUR LE LABORATOIRE BIEN REMPLI : DATE, HEURE, TEMPÉRATURE ET NOTER SI TRAITEMENT PAR
ANTIBIOTIQUE

• VÉRIFIER DATES DE PÉREMPTION (TRÈS IMPORTANT)!!


• SI PRÉLÈVEMENT + HÉMOCULTURE : IL FAUT COMMENCER PAR L'HÉMOCULTURE POUR ÉVITER SOUILLURE
DES FLACONS À HÉMOCULTURE.
3) TECHNIQUE

• PRÉPARATION DU MATÉRIEL
- LAVAGE DES MAINS.
- INSTALLATION DU PATIENT.
- PROTECTION SOUS LE BRAS.
- ADAPTER LE SYSTÈME AU VACUTAINER.
- DÉSINFECTER BOUCHON HÉMOCULTURE AVEC UNE COMPRESSE BÉTADINÉE (ACTION AU BOUT D'UNE MINUTE ).

• - REPÉRER VEINE.
- POSE GARROT.
- METTRE LES GANTS.
- DÉSINFECTER LARGEMENT PENDANT LA PONCTION
- PIQUER LA VEINE, L’AUTRE AIGUILLE S’INTRODUIT DANS LE FLACON DÉSINFECTÉ. - PRÉLEVER 5 À 10 ML DE SANG.
• RETIRER LE GARROT.
- RETIRER L’AIGUILLE.
- JETER TOUT LE DISPOSITIF.
- COMPRIMER LA VEINE.
- ETIQUETER AU LIT DU PATIENT (PAS SUR PARTIE VISIBLE ).
- LAVAGE DES MAINS.
- ENVOYER LE PLUS RAPIDEMENT AU LABORATOIRE.
- NETTOYER ET RANGER LE MATÉRIEL.
- TRANSMISSION.

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