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introduction
Chaque mode de sollicitation peut donner lieu à un
essai particulier. Celui-ci s’effectue le plus souvent sur des éprouvettes du matériau que l’on veut étudier. L’éprouvette est soumise à l’action de charge que l’on fait croître progressivement, on observe les déformations correspondantes : allongement, raccourcissement, glissement [Staff-univ-batma2-dz] Deffinition theorique est une expérience de physique qui permet d'obtenir des informations sur le comportement élastique, le comportement plastique et le degré de résistance à la rupture d'un matériau, lorsqu'il est soumis à une sollicitation uniaxiale Cet essai ou expérience consiste à placer une petite barre du matériau à étudier entre les mâchoires d'une machine de traction qui tire sur la barre jusqu'à sa rupture. On enregistre l'allongement et la force appliquée, que l'on convertit ensuite en déformation et contrainte. l'essai de traction donne plusieurs valeurs importantes : le module de Young, E, ou module d'élasticité longitudinale, exprimé en mégapascals (MPa) ou en gigapascals (GPa) ; la limite d'élasticité (lorsqu'elle existe), Re, σe, σy ou fy (yield stress), qui sert à caractériser un domaine conventionnel de réversibilité ; la résistance à la traction Rm, σm ou fu (limite ultime), qui définit la limite à la rupture ; l'allongement à la rupture A%, qui mesure la capacité d'un matériau à s'allonger sous charge avant sa rupture, propriété intéressante dans certaines applications ; le coefficient de Poisson ν, qui correspond à la proportion entre la déformation transversale (diminution de section) et la déformation longitudinale (allongement relatif) de la pièce dans le domaine élastique. [ from wikipedia.org] Vidéo machine ZWICKILINE: pour petites capacités jusqu'a 5 KN [www.zwickroell.com] Le Labo IPC - Traction et compression éprouvette[form youtube] Cas d'un matériau ductile Tout d'abord, la déformation est élastique. La courbe de traction est par conséquent une droite, la pente de cette droite donne le module de Young E. À partir d'un certain allongement, la courbe s'infléchit : c'est le début de la déformation plastique. La transition peut être franche (rupture de pente), ce qui sert à déterminer aisément la limite d'élasticité conventionnelle Re définie par la contrainte donnant 0, 2 % de déformation, Re 0, 2. La courbe de traction présente ensuite un maximum qui détermine la contrainte de rupture en traction conventionnelle Rm. À partir de ce point, la déformation est concentrée dans une zone, c'est la striction («étranglement») ; la rupture a ensuite lieu dans la zone de striction, pour une valeur de contrainte bien supérieure à la valeur conventionnelle. La courbe de traction rationnelle est elle toujours croissante [www.usinge.wikibis.com] cas d'un matériau fragile dans le cas d'un materiau fragile la rupture survient en fin de domaine élastique cas d'un matériau fragile [www.usinge.wikibis.com]
Quels sont les composants typiques
d’une machine d’essais de traction? CAPTEUR DE FORCE (1) Le capteur de force convertit la force de traction en un signal électrique qui peut être mesuré. Les capteurs de force ZwickRoell garantissent, outre une qualité de produit élevée, une compatibilité sans faille avec tous les composants de nos machines avec tous les composants de nos machines . EXTENSOMETRE (2) Un extensomètre est un appareil de mesure de la contrainte qui mesure l’allongement d'une éprouvette, également connu sous le nom de mesure de la déformation La plupart des normes d'essais de traction, telles que l'ASTM et l'ISO, exigent une mesure de la déformation. MÂCHOIRES (3) Les mâchoires forment le lien mécanique entre l’éprouvette et la machine d’essais de traction. Leur fonction est de transmettre le mouvement de la traverse à l'éprouvette et de transférer la force d'essais générée dans l'éprouvette au capteur de force. TRAVERSE MOBILE (4) La traverse mobile est essentiellement une traverse pilotée, de manière à permettre son déplacement vers le haut ou vers le bas Lors d'un essai de traction, la vitesse traverse de la machine d'essais est directement liée au taux d'allongement dans une éprouvette.. ELECTRONIQUE (5) L’électronique contrôle les parties mobiles de la machine d’essais de traction. La vitesse traverse et donc le taux de charge peuvent être contrôlés par un microprocesseur dans le servo-régulateur (moteur, dispositif de rétroaction et régulateur). LOGICIEL (7) Notre logiciel d’essais est une solution particulièrement conviviale, pilotée par un assistant et basée sur Windows, qui permet aux utilisateurs de configurer le système d’essais, de réaliser des essais et d'afficher les résultats. SYSTEME D’ENTRAÎNEMENT (6) Le système d'entraînement alim ente le moteur de la machine d'essais de traction en courant de puissance et de fréquence variables, contrôlant ainsi indirectement la vitesse et le couple du moteur. Tous les composants d'une machine d'essais de traction ZwickRoell sont conçus pour fonctionner ensemble.[www.zwickroell.com] exemples d'application pour l'essai de traction Emballages en plastique - Une force de traction est appliquée à un éprouvette de plastique pour permettre aux fabricants de déterminer les propriétés de protection du plastique lorsque celui-ci est soumis à des forces de traction, telles que celles rencontrées lors des opérations d'expédition. Ronds à béton - Les essais de traction sur éprouvettes métalliques servent à déterminer diverses propriétés mécaniques, telles que la limite d'élasticité, résistance à la traction, l'allongement et la striction à la rupture, afin de permettre aux fabricants de répondre aux spécifications de qualité et de performance prescrites, mais aussi de se conformer aux normes industrielles de mise sur le marché À quoi dois-je faire attention lors du choix d’une machine d’essais de traction? Outre la qualité, la fiabilité des résultats d'essais, le coût et l'application, de nombreux autres facteurs sont à prendre en compte lors du choix de votre appareil [www.zwickroell.com] Déroulement d’un essai de traction 1) Eprouvette au repos, F=0, allongement=0. 2) On tire sur l’éprouvette avec une force F1 qui entraine un allongement e1. 3) On supprime l’effort et l’allongement disparait(cas on nous sommes encore dans le domaine élastique du maté-riau) 4) On tire avec une Force plus importante F2 qui entraine un allongement e3 5) On supprime la force F2, mais l’éprouvette ne retrouve pas son état initial. (nous avons dépassé le seuil d’élasticité et sommes entré dans le domaine plastique.). Il reste un allon-gement e2 6) On exerce a nouveau un effort de traction supplémentaire plus important que l’effort F2. Après avoir atteint un maximum, la force décroit et l’éprouvette s’amincit en un endroit (zône de striction), puis il y a rupture. Après cette rupture, on mesure e4 = Lu-L0 Normes générales pour l’essai de résistance à la traction L’ASTM et L’LSO sont deux normes courantes des essais de matéraux. Voici quelques-unes des normes les plus courantes pour les essai de résistenace à la traction: Màteriaux métalliques- ASTM E8 / ASTM E21 /ISO 6892-1 /ISO 6892-2 Plstique –ASTM D638 /ISO527-2 Caoutchouc et élstomére – ASTM D412 / ISO37 Composites renforcés de fibres (composites) –ASTM D3039 /ISO 527 -4 /-5 [www.zwickroell.com] résultat genéral: Les données obtenues lors d'un essai de traction peuvent être enregistrées dans un diagramme afin de créer une courbe de contrainte-déformation. Le diagramme de contrainte/déformation montre une courbe avec un durcissement élevé (1), puis avec un durcissement très faible (2) après la limite d'élasticité. Les fabricants de tous les secteurs industriels, du plastique et des matériaux composites à l’industrie automobile, alimentaire et des boissons en passant par les industries médicales et pharmaceutiques très réglementées, utilisent des appareils d'essais de traction pour effectuer les essais standard de leur industrie, afin de mesurer avec précision les grandeurs caractéristiques de leurs matériaux, d'assurer la conformité aux normes et, au final, de pouvoir garantir la qualité et sécurité de leurs produits [www.zwickroell.com]