Ce document compare les théories économiques néoclassiques et marxistes. Il explique les principales divergences entre ces écoles de pensée, notamment sur la définition de la valeur d'un bien, la rémunération des facteurs de production et l'équilibre de marché.
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Chapitre introductive
Pourquoi étudier HPE ?
1) les progrès de la connaissance économique ne sont pas linéaire . 2) Les théories récentes ne sont pas les plus vrais nécessairement 3) en économie coexiste un grand nombre d’analyse, parfois contradictoire . 4) Les doctrines des économistes du passée présente toujours un grand intérêt pas seulement par ce que les énoncés anciennes Préfigure les développements récents de l’économie, nombre d’idées Fondamentales se trouve ainsi chez ces auteurs ,s’il ya temps D’explication pour un phénomène, temps de recettes pour l’action , cela signifie t’il qu’il n’existe pas de science économique véritable ? Sitter par Léon Walras . les divergences entre les néoclassiques et les marxistes les néoclassiques et les marxistes, Ce sont deux grandes écoles de pensée économique. La première fondés sur L’équilibre et l’échange , selon ce courante La valeur est fondée sur l'utilité subjective d'une unité additionnelle de la marchandise acquise. Son coût n'est qu'une contrainte dont le producteur doit tenir compte. En effet le consommateur rationnel consomme jusqu'à ce que son utilité marginale (degré de satisfaction apportée par la dernière unité consommée), qui décroît au fur et à mesure de la consommation, soit égale au prix. Alors que pour les marxistes la théorie de la valeur travail ébauchée par D. Ricardo est reprise selon laquelle la valeur d’un bien est défini par Quantité de travail nécessaire a sa production . Donc la première divergence entre eux c’est que la valeur d’un bien est défini Par le travail pour les marxistes et par l’utilité pour les néoclassique. D’autre parte selon la notion de plus-values élaborée par K. Marx Le capitaliste extorque une plus-value (profit), qui est la différence entre la valeur de la richesse créée par le travailleur et celle de sa force de travail, c'est-à-dire son salaire. Ce faisant, le propriétaire des moyens de production (le bourgeois) exploite celui qui ne possède que sa force de travail (le prolétaire). Alors que pour les néoclassiques Il existe une juste rémunération des facteurs de production. En effet, contrairement à ce qu'affirme K. Marx (cf. fiche 94 : Le marxisme), il n'existe pas d'exploitation du travail par le capital. Le profit n'est pas une plus-value extorquée aux travailleurs. Les propriétaires du capital et les travailleurs perçoivent la juste rémunération de leur contribution. La rémunération d'un facteur de production s'effectue à sa productivité marginale. Elle est égale au produit marginal qu'une unité additionnelle de facteur permet d'obtenir. En effet le producteur rationnel embauche jusqu'à ce que la productivité marginale (qui est décroissante) soit égale au salaire. Une troisième divergence c’est au niveau de l’équilibre de marché, selon L'équilibre général walrassien( néoclassique) Sur l'ensemble des marchés : L'idée de l'autorégulation déjà annoncée par les classiques est reprise. La condition à respecter est l'existence de la concurrence pure et parfaite, c'est-à-dire l'atomicité sur le marché, l'homogénéité du produit, la libre entrée sur le marché, la transparence et la mobilité des facteurs. C'est un idéal vers lequel il faut tendre pour assurer la situation optimale. Si un équilibre stable et durable s'établit spontanément de façon interdépendante sur chaque marché, un équilibre général sera atteint pour l'ensemble de l'économie.