SICOM 1 Khaled KHOUATMI
SICOM 1 Khaled KHOUATMI
SICOM 1 Khaled KHOUATMI
DANS LA COMMUNAUTE 1
L1S1
Evaluation: Mixte
30% en cours
70% partiel
1
PROGRAMME
Santé : définitions- déterminants de la santé
Les niveaux d’intervention
Epidémiologie des maladies: MT –MNT
Les indicateurs de santé
Les différents niveaux de prévention
Approche Santé publique
Approche Santé Communautaire
Approche Soins de Santé Primaires
Approche Promotion de la santé 2
3
La santé?
Selon Larousse :
•La santé : état de quelqu’un dont l’organisme
fonctionne normalement.
•La maladie : altération dans la santé, dans
l’équilibre des être vivants.
Pour R. Leriche : (1937) « la santé c’est
la vie dans la silence des organes ».
Aspect statique
Selon George Canguilhem, la santé « c’est
la capacité de surmonter les crises ».
4
C’est une vision dynamique de la santé.
La déclaration universelle des droits de l’Homme
(10 décembre 1948) a souligné dans son article 25
que la santé est l’un des droits fondamentaux de
chaque individu
5
Selon l’OMS (1946) :
l’OMS fait référence à la notion de bien être
pour définir la santé.
« La santé est un état de complet bien être
physique, mental et social et ne consiste pas seulement
en une absence de maladie ou d’infirmité »
6
Pour Abraham Maslow, l’être humain est un tout présentant des
aspects physiologiques, psychologiques, sociologiques et
spirituels.
Il a ainsi déterminé une hiérarchie des besoins, classés en cinq
grandes catégories, connue sous le nom de pyramide de Maslow.
8
Respirer
Boire et Manger :
Eliminer:
Se mouvoir , et maintenir une bonne posture et maintenir
une circulation sanguine adéquate
Dormir et se reposer
Se vêtir et se dévêtir
Maintenir sa température
Être propre, soigné et protéger ses téguments:
Éviter les dangers
Communiquer avec ses semblables
Agir selon ses croyances et ses valeurs
S'occuper en vue de se réaliser
Se dévêtir , se récréer:
Apprendre:
9
CONCEPT DE LA SANTÉ ET SYSTÈME DE SOIN
Ces progrès ont fait que la prise en charge des malades a passé
du modèle simple « modèle biomédical » axé sur le
traitement de la maladie (santé= absence de maladie) au modèle
complexe « modèle bio-psycho-socio-culturel et
spirituel» axé sur l’être humain entant qu’entité globale et
indissociable. 11
SÉANCE 3 ET 4
Les déterminants de la
santé?
12
Biologiques
Déterminants de l’Etat de Santé
(Constitution individuelle) Modèle de Lalonde (1974)
- Hérédité
- Anomalie Congénitale
- Sexe
Système de Soins
- Age
-Accessibilité
-disponibilité
-efficacité
-acceptabilité
Etat de Santé
(Problème de Santé)
Mode de Vie
-Alimentation et Nutrition Environnement
•Drogues : Tabac et alcool.. •Environnement physique :pollution de
•Activités physiques et l’atmosphère, de l’eau de consommation, le bruit…
loisirs •Culture et Société : tabous, pratiques traditionnelles
•Hygiène Générale •Organisation de la Société : vie moderne, stress,
•Statut marital exode, rurale
•Profession •Facteurs politiques et Juridiques 13
On peut préciser les facteurs déterminants de la santé de diverses
manières.
Cours et TD
15
SÉANCE 8
16
APPROCHE CLINIQUE
ET APPROCHE SANTÉ PUBLIQUE
Approche Clinique L’équipe de santé avec la
Le médecin population
Santé
La Maladie
L’Homme ou l’Organe malade
La Collectivité
Interrogatoire et Examen
clinique et para clinique Statistiques socio
démographiques, Enquêtes
épidémiologiques
Diagnostic Diagnostic communautaire
Programmes de Santé:
Traitement interventions
Suivi Evaluation
Selon l’OMS (1952) la Santé Publique est la science et l’art de
prévenir les maladies, de prolonger la vie et d’améliorer la santé
et la vitalité mentale et physique des individus, par le moyen
d’une action collective concertée visant à :
o Assainir le milieu,
oLutter contre les maladies,
oEnseigner les règles d’hygiène personnelles,
oOrganiser des services médicaux et infirmiers en vue d’un
diagnostic précoce (dépistage) et du traitement préventif des
maladies,
oMettre en œuvre des mesures sociales propres à assurer à
chaque membre de la collectivité un niveau de vie compatible
avec le maintien de la santé.
18
C’est une discipline autonome qui s’occupe de l’état
sanitaire d’une collectivité, de la santé globale des
populations sous tous ses aspects : préventif, curatif,
éducatif et social.
19
Evolution du concept de la santé publique
21
-En 1902 : affirmation du concept de la santé publique :
vaccination contre la variole, déclaration des maladies
infectieuses, désinfection des locaux, surveillance des sources
d’eau….
22
Les domaines de la santé publique
23
•la formation initiale et continue des professions
médicales et paramédicales ;
•la sécurité sociale et l’assurance maladie (
Sécurité sociale en France, CNAM en Tunisie ) ;
24
SÉANCE 9
25
Qu’est ce qu’une communauté ?
26
Qu’est ce que la santé communautaire ?
28
SÉANCE 10
29
L’OMS via la Conférence internationale sur les soins de
santé primaires réunie à Alma Ata en 1978 a souligné la
nécessité d'une action urgente de tous les gouvernements,
de tous les personnels des secteurs de la santé et du
développement ainsi que de la communauté
internationale pour protéger et promouvoir la santé de
tous les peuples du monde.
30
DÉFINITION DES SOINS DE SANTÉ PRIMAIRES
Les SSP représentent le premier contact des individus avec le
système national de santé.
32
La vaccination contre les maladies infectieuses ;
La prévention et le contrôle des endémies locales ;
33
SÉANCE 11
34
Mission et niveaux d’intervention
La mission principale de tous les intervenants dans le
domaine de la santé est « améliorer l’état de santé de la
population ». Cette mission ne peut être accomplie que si
les interventions agissent sur les 4 forces de l’état de
santé : biologie, mode de vie, environnement et système
de soin.
35
Au delà de la prise en charge des malades (traitement et
restauration), les interventions doivent protéger les groupes à
risque (prévention et dépistage précoce), mais aussi
promouvoir l’état de santé des biens portants.
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MISSION DES INTERVENANTS DANS LE DOMAINE
DE LA SANTÉ
Soulager les
Population malade souffrances
Faire pour Restaurer la
santé
Population exposée
Prévenir la
Faire avec
maladie
Promotion de la 37
Population saine
Faire faire santé
La promotion de la santé.
38
La promotion de la santé
5.2.1. Définition de la promotion de la santé
La promotion de la santé telle que définie par l’OMS est le
processus qui confère aux populations les moyens d’assurer un
plus grand contrôle sur leur propre santé, et d’améliorer celle-
ci.
Cette démarche relève d’un concept définissant la « santé »
comme une mesure dans laquelle un groupe ou un individu
peut d’une part, réaliser ses ambitions et satisfaire ses besoins
et, d’autre part évoluer avec le milieu ou s’adapter à celui-ci.
Elle est une des principales composantes de la santé publique.
39
Green et Kreuter (1991) pensent que la promotion de la
santé est toute combinaison d’actions planifiées de type
éducatifs, politiques, organisationnels ou législatifs
épouillant des habitudes de vie favorable à la santé
d’individus, de groupes ou de collectivités.
40
Caractéristiques, valeurs et principes de la promotion
de la santé :
41
La participation communautaire, la collaboration ainsi que
l’action intersectorielle constituent ensemble les principes
de base de la promotion de la santé.
42
Les stratégies d’intervention en promotion de la santé
La communication à la santé
44
- le développement des aptitudes individuelles et sociales :
promouvoir la santé, c'est inscrire celle-ci à l'ordre du jour
de chaque individu en lui donnant les aptitudes nécessaires
(les savoirs, les savoir-faire, les savoirs-être) pour faire des
choix personnels favorables à la santé.
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l'élaboration d'une politique publique saine : promouvoir la
santé, c'est inscrire celle-ci à l'ordre du jour des responsables
politiques des divers secteurs en les éclairant sur les
conséquences que leurs décisions peuvent avoir sur la santé
et en les aidants à situer leurs responsabilités à cet égard.
46
Ces stratégies ciblant toute la population (saine, exposée et
malade) et doivent être centrées sur les causes sociales,
économiques et environnementales de la santé et de la maladie et
favorisent l’approche participative de l’individu, de groupe et de
la communauté.
47
Il s'agit donc d'un processus qui intègre les facteurs
environnementaux dans un processus beaucoup plus
général, lequel « offre un concept positif et complet de
santé comme déterminant de la qualité de vie ».
Ses moyens sont :
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La promotion de la santé utilise des stratégies permettant
d'agir sur la responsabilité sociale et donc sur différents
partenaires permettant d'accroître les capacités
communautaires. L'individu reste au centre de la
démarche. Elle doit lui permettre, dans et avec sa
communauté, d'agir en faveur de sa santé.
Il y a en conséquence la nécessité d'orienter des
politiques de santé dans cette optique.
Il y a donc également lieu d'agir sur des déterminants de
santé liés à l'épanouissement et le bien-être des
individus, en ce compris ce qu'on peut appeler un
environnement sain.
49
Les déterminants de santé sont très larges et relèvent non
seulement de ceux liés à la personne, mais ils sont aussi
d'ordre relationnel, environnemental, ils sont liés tant au
travail, qu'à la culture, la famille, la société, etc.
50
SÉANCE 12
La prévention?
51
Les niveaux de prévention
Prévention primaire (PI) :
C’est l’ensemble des mesures destinées à diminuer
l’incidence d’une maladie dans une population. Ex :
vaccination.
52
La prophylaxie est une prévention dirigée contre une
maladie.
54
5.3.2. Prévention secondaire :
Il s’agit de l’ensemble des mesures destinées à diminuer la
prévalence d’une maladie dans une population. Ex : dépistage
d’une maladie.
55
Le dépistage prend en charge une personne mais il existe des
dépistages globaux :
Les examens bilan de santé réglementaire : bilan prénatal,
Le dépistage thématique : recherche dans une population une
personne porteuse d’une infection,
Le dépistage de masse ciblé.
Le dépistage peut être :
Passif : recherche des nouveaux cas parmi la population fréquentant les
structures sanitaires
Actif : le personnel de santé se déplace dans la population pour rechercher
des nouveaux cas (compagne de masse, enquête au tour d’un cas ...)
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5.3.3. Prévention tertiaire :
C’est l’ensemble des mesures visant à prévenir les rechutes ou
les complications. Ex : rendez-vous régulier chez le praticien
pour éviter les rechutes.
- Prévention quaternelle ou palliative :
Il s’agit de l’accompagnement de la personne en fin de vie. Ex
: souffrance
57
SÉANCE 13
58
EPLS
Principes et définition
L’éducation pour la santé comprend la création délibérée de
possibilités d’apprendre grâce à une forme de communication
visant à améliorer les compétences en matière de santé, ce qui
comprend l’amélioration des connaissances et la transmission
d’aptitudes utiles dans la vie, qui favorisent la santé des
individus et des communautés.
59
L’éducation pour la santé concerne non seulement la
communication d’informations, mais également le
développement de la motivation, des compétences et
de la confiance en soi nécessaires pour agir en vue
d’améliorer sa santé.
L’éducation pour la santé comprend la communication
d’informations concernant les conditions sociales,
économiques et environnementales de base qui ont des
effets sur la santé, ainsi que sur les différents facteurs
de risque et comportements à risque, et sur
l’utilisation du système de santé.
60
Dans le passé, l’expression « éducation pour la santé
» englobait une gamme plus large d’actions, qui
comprenait notamment la mobilisation sociale et la
sensibilisation.
61
Cette définition comporte plusieurs éléments :
L’aspect délibéré est important, il suppose des actions
proactives vers les personnes qui en ont le plus besoin et qui
sont souvent les « dernières » à faire appel.
Il faut adapter la forme de la communication aux groupes
visés.
Il s’agit d’accroître la compétence en matière de santé,
d’acquérir des réflexes de santé positifs, tant au niveau
communautaire, cela doit devenir un domaine d’appropriation,
qu’au niveau de l’individu qui acquiert une certaine maîtrise le
concernant dans ce domaine
62
Les 3 niveaux d’action de l’éducation pour la
santé.
63
L’apprentissage des attitudes (le savoir faire) : ‘
Les croyances représentent la façon dont les gens voient
leur environnement, ce qu’ils considèrent comme vrai ou
faux.
Ces croyances sont liées aux valeurs propres à une
société donnée.
Changement du comportement « savoir- faire »
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La théorie psychosociologique du « Health –Belief
Model »
Cette théorie se base sur le principe que la décision
d’adopter un comportement adéquat est influencée par
plusieurs facteurs :
La motivation générale d’un individu pour les questions de
santé
La perception qu’à un individu de sa vulnérabilité à une
maladie
Les croyances envers l’efficacité des diverses actions
entreprises face à une maladie
Les réactions de l’individu à divers incidents (mort d’un
ami par SIDA …)
Les caractéristiques individuelles : âge, sexe, statut
65
social…
Modèle théorique s’appuyant sur l’économie politique :
Selon cette théorie, la santé comme toutes les autres ressources
est inégalement répartie entre une minorité en bonne santé et
une majorité beaucoup moins riche, et en moins bonne santé.
Les pressions des valeurs et des normes que véhicule la
société, elle-même modelée par l’intérêt de profit, encouragent
les comportements que nous voulons changer.
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Modèle théorique se basant sur « la communication
persuasive »
Ce modèle inspire les propagandes et la publicité ; il
vise à créer des besoins chez les individus et leur faire
adopter des comportements.
Il suffit alors d’inonder le marché par des messages
favorable à la santé pour qu’automatiquement la population
adopte de bonnes habitudes de vie.
Cette théorie a été battue en brèche par des auteurs qui
pensent que l’individu développe, consciemment ou
inconsciemment, « l’exposition sélective », la « perception
sélective » et « la rétention sélective ».
il n’entend et ne retient que les informations qui
l’intéressent.
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Les méthodes et les moyens utilisés en éducation pour la santé
68
Par les réunions de groupe, débat, conférences,
démonstrations… sur des sujets en rapport direct avec les
préoccupations sanitaires de la population. Le groupe stimule,
encourage à la prise de décision. Permet de toucher plus de
monde.
L’utilisation de supports audiovisuels : on a recours de plus en
plus à l’audiovisuel pour transmettre des messages éducatifs.
Ces supports sont les affiches, les diapositives, le diaporama
(diapositives + textes sonores).
Le choix du support est défini en fonction du public cible et
des moyens dont on dispose.
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La collaboration avec d’autres intervenants : il peut s’avère
très positif de collaborer avec d’autres instances qui ont le
même objectif, à savoir :
Au niveau sanitaire : médecins, techniciens, nutritionnistes….
Au niveau éducatif : instituteurs, éducateurs, assistantes
sociales….
Au niveau politique et syndical : les autres ministères, les
ONG…….
Les membres d’un comité de quartier : les professionnels de
santé identifie des personnes ayant plus d’accès à la
l’information et jouissant d’une « popularité » pour la
transmission de messages éducatifs.
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Le recours aux mass médias (presse, radio, télévision) c’est un
moyen commode d’information et de renforcement des
motivations.
Cependant, il peut s’avérer moins efficace et exige d’être
renforcé par l’élaboration et la diffusion de supports
pédagogiques (brochures, dépliants, affiches…)
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La programmation d’une action éducative à l’échelle locale.
La programmation et l’organisation d’une action éducative à
l’échelle locale passe par :
Identification des besoins en matière d’éducation pour la
santé par le recueil de deux types de données :
Données statistiques de morbidité et de mortalité sur la
population concernée.
Données sur les connaissances, les attitudes les pratiques
de la population pour définir les objectifs éducationnels
que l’on se propose d’atteindre.
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A cette fin, on procède à des enquêtes dites CAP
(Connaissances, Attitudes et Pratiques) : le questionnaire,
les grilles d’observation des attitudes et du comportement
sont les principaux outils pour mener ces enquêtes CAP.
En fait, l’enquête CAP répond aux objectifs suivants :
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elle se propose de faire connaitre objectivement et
scientifiquement ce que la population sait, croit et fait
dans un domaine précis.
elle fournit un repère par rapport auquel les études
ultérieures pouvant mesurer les effets des programmes
de promotion de la santé (exemple : hygiène alimentaire,
assainissement, automédication.).
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Les étapes de l’organisation d’une séance d’EPLS
Choisir le thème de l’action éducative
75
Références:
BÉLANGER, Jean-Pierre, Robert SULLIVAN et Benoît SÉVIGNY (2000). Capital social,
développement communautaire et santé publique : réflexions sur l’amélioration de la santé et du bien-
être de la population, Montréal, ASPQ Éditions, 224 p.
OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) (2001). Le bien-être des nations
: Le rôle du capital humain et social, Paris, 136 p.
Alma- Ata : soins de santé de base. Genève, Organisation Mondiale de la Santé, 1978 (« série santé
pour tous », No.1).
Stratégie mondiale de la santé pour tous d’ici 2000.Genève, Organisation
Mondiale de la Santé, 1981 (Série « « santé pour tous », No.3)
Rosemary M. ; Elizabeth B. et Maurice P (2003). Guide de gestion à l’usage des
responsables des soins de santé primaires. OMS, Genève, 487p.
Labonte, Ronald N. Health promotion in action: from local to global
empowerment. OMS. 2008, p 215.
World Health Organization. Division of Health Promotion, Education, and
Communication. Glossaire de la promotion de la santé. 1998, p25
OMS. Office of Health Communications and Public Relations. Déclaration de
Jakarta sur la promotion de la santé au XXIe siècle. 1997. P12
76
Merci pour votre attention
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