Si&mo 20142015
Si&mo 20142015
Si&mo 20142015
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MÉTHODES DE TRAVAIL :
i. Cours: magistral et interactif; travaux
personnels; travaux dirigés.
ii. Evaluations:
i. Examen: Dossier (SI dans les organisations)
ii. Devoir: Résolution et exposé de cas
iii. TDs: Etudes de cas
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Objectif général:
◦ Familiariser les apprenants avec les concepts génériques
relatifs aux systèmes d’information (SI), et l’importance des
SI dans le management des organisations.
3
1. Systèmes d’information
1.1. Notion de système d’information
1.2. Dimension organisationnelle du système
d’information
1.3. Usages des systèmes d’information
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Delone, D. W., & McLean, E. R. (2003). The Delone and
McLean model of information systems success. Journal of
Management Information Systems , 19 (4), 9-30.
Magnier, J.-P. (1995). Logiciel d'aide à la gestion de la
qualité et sécurité des systèmes d'information: les bases
théoriques. CREGo, Université de Montpellier 2.
Mahmood, M. A., & Mann, G. (1993). Measuring the
organizational impact of information technology
investment: an exploratory research. European Journal of
Information Systems , 2 (3), 185-200.
Mendelson, H. (2000). Organizational architecture and
success in the information technology industry.
Management Science , 46 (4), 513-529.
Reix, R., Fallery, B., Kalika, M., & Rowe, F. (2011). Systèmes
d'information et management des organisations. Paris:
Vuibert.
5
DÉBATS:
a. Qu’est-ce que l’information?
b. Qu’est-ce qu’un SI?
c. Quelle(s) relation(s) entre systèmes
d’information et management des
organisations?
d. Qu’est-ce qui explique l’intérêt suscité
par les SI auprès des managers des
organisations?
e. Quelles significations des SI dans les
organisations informelles?
6
Généralités
Information et Management de l’organisation
Notion de Système d’Information
Caractéristiques des systèmes d’information
Niveaux de définition des SI
SI: Un objet tridimensionnel
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Information =
◦ Donnée + signification pour des acteurs (caractérisés par des
intentions, des intérêts, des modes et des habitudes de
perception…)
◦ « Une différence qui fait la différence » (Bateson)
Importance de l’information pour les managers
émergence et mise en œuvre de systèmes
d’information au sein des entreprises (SIG): Système
d’Information Commerciale, Système d’Information
Marketing, Système d’Information Comptable, SIRH…
Nécessité de gestion de l’information
Management des Systèmes d’Information (MSI)
ou Management of Information Systems (MIS) dans les
organisations
8
Information (stratégique) : toute donnée,
indication ou signe susceptible de contribuer à
la prise de décision information au cœur de
la gestion de toute organisation.
Catégories d’information: ouvertes (>90%) ou
12
SI = système organisé de ressources
(personnel, matériel, logiciels et procédures,
données) permettant d’acquérir, de traiter, de
stocker des informations inter et intra
organisationnelles
13
15
Dimension informationnelle :
Le SI produit des représentations
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18
Création de données: le passage du réel à la donnée
s’effectue selon 3 modalités :
◦ La dénomination : processus où l’on va attribuer un nom ,
des propriétés à un objet
◦ Le classement, sorte de mesure ordinale (pour comparer le
rang de plusieurs objets).
◦ La mesure cardinale, valeurs qui permettent d’effectuer
différentes opérations sur les données.
Utilisation des représentations
◦ Le passage du symbole à la connaissance s’effectue selon
un processus cognitif
◦ Pour passer de la représentation (données, symboles, etc.)
à l’information il faut de la connaissance, formalisée ou
tacite qui se réduit en fait à de « l’information traitée dans
le cerveau par un processus d’interprétation, de
mémorisation, d’apprentissage ; c’est un stock
d’informations maîtrisées par une entité »
19
20
Elle se réfère aux moyens techniques permettant d’accomplir
les tâches liées aux différents processus
Base principale: Ordinateur, logiciel
l’information:
◦ La compression du temps ; elle permet le recours systématique à
l’automatisation des calculs et l’usage de certaines méthodes de
résolution de problèmes…
◦ La compression de l’espace (transmission de gros volumes de données
entre des points très éloignés)
◦ L’expansion de l’information stockée
◦ La flexibilité de l’usage
◦ La connectivité
Deux dimensions fondamentales des TI (Bakos, 1986) :
◦ Fonctionnalités de base (stockage, traitement, communication) ;
◦ Performances des composants de base en termes de capacité, de qualité
◦ et de coût unitaire
21
Construction de la technologie:
délibérée ou émergente
Construction délibérée
◦ Un SI est l’aboutissement d’un travail de
conception aboutissant à une
implantation, synonyme de changement
dans l’organisation.
◦ Conséquences:
Difficulté de mise au point des logiciels
(praticité et sécurité)
Changement dans l’organisation en termes
de règles et contraintes et de possibilités
opérationnelles nouvelles
22
Dimensions des choix et contraintes. 23
Construction émergente
◦ Elle dépend du comportement des acteurs dans leur nouveau
cadre d’action autrement dit de la flexibilité accordée aux
utilisateurs pour adapter le SI à leurs objectifs particuliers.
◦ L’existence et l’importance de ces marges de manœuvre dépend
de deux facteurs :
Angle technique : soit les caractéristiques physiques et
matérielles des outils pour les utilisateurs : la marge de
manœuvre laissée à l’opérateur (paramètres généraux et
certains spécifiques)
Angle organisationnel : soit la capacité à proposer des
modifications dans les méthodes de travail, capacité à influencer
les procédures.
24
25
26
Fonctionnement des SI
: interne aux
organisations (systèmes individuels, à vocation
collective et multiutilisateurs), externe à
l’organisation (systèmes imbriqués ou ouverts)
27
L’organisation se caractérise par :
◦ Un ensemble d’individus : participants, acteurs
◦ Un accord, implicite ou explicite, sur un ou
plusieurs objectifs partagés par les différents
participants
◦ Une division du travail, définissant le rôle de
chaque participant
◦ Une coordination, plus ou moins formalisée, qui
assure la cohérence des comportements et donc
le respect des objectifs communs en dépit de la
division du travail
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29
LES USAGES DES SYSTEMES
D’INFORMATION
30
Quatre principaux types d’usage des SI:
◦ Applications fonctionnelles,
◦ Aide à la décision,
◦ Aide à la communication,
◦ et Aide à la gestion des connaissances.
31
◦ Définitions
◦ Caractéristiques
◦ Objectif
◦ Organisation
◦ Exemples
◦ Problématique de l’intégration des systèmes
d’information
32
Reix et al. (2011): « application » (informatique)
= ensemble de programmes (logiciels) articulés
entre eux, utilisés pour automatiser ou assister
des tâches de traitement de l’information dans
un domaine particulier
gestion.
34
35
Fournir l’information aux gestionnaires à différents
niveaux, en fonction des besoins.
36
Deux (2) principes dominants pour répondre
aux besoins d’information des gestionnaires :
37
◦ Gestion commerciale et marketing
◦ Gestion de la production
◦ Gestion comptable et financière
◦ Gestion des ressources humaines
38
Tableau des fonctionnalités d’un SI pour la gestion commerciale et
le marketing
39
Facteurs clés de succès
Transactionnel: Prise en compte des
exigences des relations avec la clientèle
Commodité pour le client (amélioration du
service par l’automatisation)
Respect des contraintes de temps (réduction
de délais…)
Etudes et recherche: Grande ouverture sur
l’environnement externe
Système de veille informationnelle (données
socio-économiques, études de marché,
surveillance des concurrents…)
40
Tableau des fonctionnalités d’un SI pour la gestion de la
production
41
Prise en compte des particularités de la
production
42
43
Exemple le plus ancien et le plus répandu d’un SI
formalisé et organisé.
44
Elle repose sur une base de données essentielles: la
base de données « personnel » décrivant chaque salarié
(qui peut être selon les cas soit partiellement soit
totalement automatisée)
45
Rôles de la base de données « personnel »
46
Facteurs clés de succès:
49
L’EVOLUTION VERS L’INTEGRATION
50
L’EVOLUTION VERS L’INTEGRATION
Architecture centralisée
Ce type d’architecture est adapté pour une entreprise individuelle
ou une petite entreprise où une seule personne centralise et tient
la comptabilité générale. Il n'y a qu'un seul journal et un seul
grand livre qu'il est difficile de partager. De plus, l'essentiel du
travail comptable est concentré sur les transactions
(Achats/Ventes) qui peut représenter jusqu'à 80% des
enregistrements comptables.
Architecture semi intégrée ou
totalement intégrée
Ce type d’architecture est adaptée pour une moyenne ou
grande entreprise où il est nécessaire de partager le
travail comptable entre plusieurs comptables.
Le système d’information doit donc permettre à tous les
comptables de travailler en même temps d’où la nécessité
de travailler selon une architecture Client/serveur.
52
Chaque comptable peut alors se spécialiser dans un
domaine « compte principal ». Le SI intégré permet
donc, une plus grande productivité et rapidité dans le
traitement des informations comptables.
Dans ce système, le journal classique est divisé en
53
Personnel / Paie
Personnel / Paie
Vente / Clients
Banque / caisse
Vente / Clients
Serveur
contenant le
système
d’information
Achats / Fournisseurs GC
Achats / Fournisseurs
54
55
56
Systèmes intégrés, ou Systèmes fédérés
◦ Systèmes intégrés: intégration a priori=analyse des
besoins en information d’une organisation comme un
ensemble de processus interdépendants (naissance
Progiciels de Gestion Intégrée (PGI)).
◦
◦ systèmes fédérés: intégration a postériori induite par
les difficultés intrinsèques relatives aux systèmes
intégrés; aménagement des relations entre systèmes
conçus de manière indépendante pour constituer un
système « fédéré » ou méta-système
57
SI & AIDE A LA DECISION
58
« L’observation d’une organisation montre
que son fonctionnement repose sur la prise
de décisions variées à la fois dans leur niveau
(opérationnelles ou stratégiques) et dans leur
fréquence (répétitives ou exceptionnelles)
(Reix, 2011, page 108)
59
Trois visions théoriques : optimiser, négocier, ou construire du
sens
60
Au début des années 70, Mintzberg a mis au point
un nouveau modèle de gestion…
…ce modèle considère la gestion comme
l’exécution de rôles de gestion.
Un gestionnaire est dans une position qui lui donne
l’autorité d’endosser les rôles suivants :
Décision Choix
Mais avant de faire ce choix…il existe tout un processus de
prise de conscience du problème, d’investigation et
d’analyse qui précède la phase finale de choix puis suivi par
la phase d’évaluation.
Problème
à
résoudre
Un problème en gestion = un écart entre la situation
réelle et la situation prévue ou espérée
Processus de prise de Décision
1. Intelligence ;
2. Modélisation ;
3. Choix, et;
4. Évaluation.
Modèle IMC
INTELLIGENCE
Identification du problème
MODÉLISATION
Recherches des actions possibles
CHOIX
Application de règles pour choisir
une action
ÉVALUATION
Test du choix retenu
1. Intelligence :
répondre à la question « de quoi s’agit-il?, le
mot intelligence correspond ici au sens
militaire du terme : recherche et
renseignement.
C’est une phase de sondage de l’environnement
et de repérage des événements requérant des
décisions.
Modèle IMC
2. Modélisation :
C’est une phase de conception et de formulation
des voies de solutions possibles…
Il s’agit de définir des scénarii de réponse à
travers des modèles d’action
3. Choix :
C’est une phase de prise de position et de
sélection d’un choix entre ceux possibles,
explorés durant la phase précédente.
Modèle IMC
2. Évaluation
C’est une phase importante dans la mesure où
elle détermine si le choix retenu est adapté
donc validé, sinon il est remis en cause et
entraîne un retour en arrière vers une ou
plusieurs phase du processus IMC
?
En quoi le système d’information peut
il aider les gestionnaires tout au long
de ce processus de prise de décision
70
SI & Aide à la Décision
1.Intelligence :
Un SIAD permet à l’aide d’un ordinateur, de
rechercher des données, de faire des traitements et
de déceler toute anomalie ou détecter tout écart …
Un ordinateur équipé d’un logiciel d’alerte peut alerter
le décideur soit par un message, soit en éditant un
mail d’une situation de dépassement, d’insuffisance,
de rupture,…
Outre cette fonction, un ordinateur permet le
stockage des données et leurs restitution pour toute
éventuelle réutilisation dans des cas similaires.
SI & Aide à la Décision
2.Modélisation :
Un SIAD à travers une base de données de modèles
de tableaux de calculs, de logiciels de traitement,
permet une aisance dans l’utilisation du modèle,
dans la modification, dans l’enregistrement des
versions et de garder une traçabilité quant aux
modèles utilisés
3.Choix \ évaluation :
Une fois le modèle adapté est choisi ou conçu, on
passe au test du choix retenu en procédant d’une
manière rétroactive. Autrement dit, l’essor des
systèmes d’information a permis l’évaluation des
choix et le test des scénarii envisageables avant
toute prise de décision.
SI & Aide à la Décision
74
75
76
77
AIDE À LA
COMMUNICATION
78
COMMUNIQUER:
◦ Transmettre, échanger, et construire du sens
◦ Activité la plus importante d’une organisation
79
Schéma de base du processus de communication (C. Shannon)
80
La conception étendue : communiquer c’est « échanger » (N.
Wiener)
81
Toute communication est une véritable construction sociale
82
coordination intra et inter-organisationnelle
83
Structure élémentaire de la hiérarchie
84
Communication et Modes de coordination
85
Coordination par ajustement mutuel
86
Coordination par Supervision directe
87
Choix d’un mode pertinent de communication
Définir avec qui ? pourquoi ? Communiquer
88
Caractéristiques principales d’un outil de communication
89
Technologies: favorisent efficience et efficacité
90
Choix des médias : usages pathologiques du courrier électronique
91
Technologies d’aide à la communication développées dans un contexte
d’innovation technologique extrêmement rapide :
◦ Internet: le réseau des réseaux:
Hiérarchie de réseaux interconnectés qui propose de nombreux services… à un très
faible coût.
◦ Commerce électronique.
92
Paramètres fondamentaux de la situation de travail en groupe
93
Aide au travail collaboratif: faciliter et mémoriser les
interactions entre groupes de travail pour l’atteinte de
l’objectif commun.
94
Principe de fonctionnement de l’EDI
95
Les trois types de marchés en ligne
(Pick et al., 2001, p. 85)
96
AIDE À LA GESTION DES
CONNAISSANCES
97
Les données sont des ensembles de symboles utilisés
pour conserver ou communiquer ; l’interprétation de
ces symboles produit de l’information, cette
information peut être porteuse de connaissances
pour un individu
◦ la connaissance est le résultat d’un processus cognitif
98
Du tacite au tacite: socialisation. La connaissance tacite se
transmet par une interaction forte au sein d’un groupe
(observation, imitation, partage d’expériences).
Du tacite à l’explicite: formalisation. Des pratiques sont
explicitées dans un discours (oral ou écrit) en utilisant un langage
commun.
De l’explicite au tacite: intériorisation. La connaissance explicite
est mise en pratique de manière répétée; elle s’incarne sous
forme de séquences pouvant atteindre la caractère automatique
de l’acte réflexe.
De l’explicite à l’explicite: combinaison. En utilisant un langage
commun, des connaissances explicites sont rapprochées,
combinées pour produire, par l’induction ou la déduction, des
connaissances nouvelles.
99
Analyse de la compétitivité (théorie des ressources) :
connaissance = véritable actif stratégique.
10
0
Gestion des Connaissances (GC)=(1) génération et
stockage des connaissances, et (2) diffusion puis
application des connaissances (Figure 6)
10
1
« L’une des principales contraintes qui pèsent
sur l’entreprise est sa capacité limitée à
rassembler, stocker et utiliser les
connaissances » (Cyert et March, 1970 , p.95)
Technologies de l’information=support du
processus de GC (Tableau 4) Implantation de
SI: « systèmes de gestion des connaissances »
(SGC) ou « knowledge management systems
(KMS)
10
2
10
3
Regroupement des systèmes d’aide à la
gestion des connaissances en deux (2) grands
types:
10
4
SGC intégrateurs ou « modèle de l’entrepôt »
10
5
SGC interactifs ou « modèle du réseau »
10
6
LE MANAGEMENT DES SI
10
7
Généralités
10
8
SI=construction durable mobilisant des
ressources importantes ; d’où
10
9
SI:
◦ de support des activités…
◦ … à instrument de base de la stratégie lié aux
évolutions technologiques (qualité et quantité)
11
0
Raisons: SI=ressource stratégique + source AC
Evolution des SI fonction de l’amélioration de l’offre
de technologie, et d’un accroissement de la demande
11
1
Exploitation locale (application automatisée de gestion
des salaires);
Intégration interne: (une application permettant de
prévoir les ventes et de gérer la production);
Nouvelle conception des processus de gestion (refonte de
la gestion des approvisionnements par le recours à une
place de marché électronique);
Redéfinition du réseau d’affaires (les TI utilisées pour
aménager un nouveau réseau de relations d’affaires avec
les fournisseurs, les sous-traitants, les clients);
Redéfinition du champ d’activité (presse en ligne)
11
2
SI=ressource stratégique objectifs à assigner au SI
11
3
Organisation=espace de traitement et
d’utilisation de l’information
Efficacité de son fonctionnement: équilibre entre
besoins en traitement de l’information, et capacité
de traitement de l’information
Besoins liés aux caractéristiques des activités, à la nature de
l’environnement, et à l’interdépendance des unités
11
4
11
5
Implications du modèle :
11
6
Hypothèse: meilleur est l’ajustement entre la
stratégie générale et le développement des SI,
plus grande est la performance de l’entreprise
Deux dimensions :
intégration stratégique=relations entre éléments
externes et éléments internes
11
7
11
8
RAISON DE DEVELOPPEMENT: caractère dynamique et
complexité de la mise en cohérence de la stratégie,
de la structure et du SI
11
9
12
0
Vision limitée de la cohérence des approches
traditionnelles de planification Développement de
l’évolution vers l’alignement stratégique par le recours
au concept de facteurs clés de succès (figure 9)
12
1
Produit de la démarche de planification
Deux aspects:
◦ (1) Traduction des objectifs stratégiques de
l’organisation au travers de SI (mise en pratique de
l’impératif de cohérence sur le plan des objectifs)
12
2
Base des capacités en TI, comprenant à la fois
des éléments matériels et immatériels
◦ Capacité en TI délivrée par l’infrastructure
technologique=ensemble de services généraux
partageables par toutes les applications
Fourniture des services: utilisation des composants
techniques et des connaissances et compétences des
spécialistes constituant l’aspect humain de la ressource
12
3
12
4
12
5
126
Arbitrage risques-moyens: choix d’une stratégie
d’incorporation des technologies nouvelles (stratégie
innovatrice, stratégie attentiste, stratégie suiviste)
127
128
Externalisation : Choix stratégique de gestion des
SI induit par les coûts de transaction, les
ressources, la flexibilité. Cependant, on peut
externaliser l’activité SI sans pour autant la
délocaliser (Tableau 6)
129
130
DEVELOPPEMENT COMPETENCES UTILISATEURS: Processus
d’appropriation de la technologie
131
ADOPTION ET ASSIMILATION DE LA TECHNOLOGIE
Assimilation de la technologie=processus
d’apprentissage (individuel et organisationnel)
conduisant à son appropriation (Tableau 7)
132
133
Objectif du modèle d’assimilation : faciliter
l’utilisation maximale des capacités de la TI
pour accroître l’efficacité de l’organisation
=phénomène d’infusion qui peut être
appréhendé par trois dimensions:
134
REPONSES MANAGERIALES A LA PROBLEMATIQUE DE
L’ASSIMILATION
Développement des compétences des
utilisateurs=combinaison des apprentissages
formalisés (incorporés dans les logiciels) et par
l’expérimentation (l’individu apprend par
essais-erreurs, improvisation,…)
◦ Objectif général d’optimisation d’apprentissages
combinés: perspective générale de changement
organisationnel par les TI
◦ Possibilités managériales d’action sur les
compétences TI : création d’un climat favorable à
l’utilisation des TI, action sur les connaissances et les
attitudes individuelles, et développement de la
créativité des utilisateurs
135
Gestion d’un Projet SI: conception et conduite
(savoirs de l’ingénieur et management)
◦ FOCUS: considérations managériales
SI en usage= résultat d’un processus séquentiel
de construction: délibérée puis émergente
Construction délibérée: organisée sous forme de
projet « comme une démarche spécifique qui
permet de structurer méthodiquement et
progressivement une réalité à venir
SI à construire= conjonction de deux dimensions:
Projet et Objet (Figure 13)
136
137
Gestion Projet SI = Problématique de l’Intégration de trois
perspectives (Figure 14)
138
Méthode de construction :
◦ Présentation d’une démarche progressive :
succession des étapes avec les tâches et résultats à
atteindre ;
◦ Définition de modèles permettant de décrire les
données à traiter, ce que doit être le futur SI ;
◦ Recours à des outils (manuels mais logiciels
aujourd’hui) facilitant le travail des constructeurs.
139
140
QUELLES POURRAIENT ÊTRE LES INCIDENCES DES
MODIFICATIONS A CHACUN DES NIVEAUX SUR LE SI ?
141
POURQUOI CONTRÔLER UN SI?
144
◦ Pratiques d’audits spécifiques =complément et
vérification du contrôle interne institutionnalisé
146
(1) DIFFERENTES APPROCHES DE LA MESURE
◦ Mesures objectives
Utilisation des données comptables: caractériser
l’efficacité (résultats/objectifs) et l’efficience
(résultats/moyens)
SI: efficacité analysée du point de vue de l’impact de
l’utilisation
Mesures objectives: efficience=suivi de l’évolution des
coûts du système en raison des difficultés à quantifier les
résultats d’un SI.
◦ Mesures perceptuelles
Perceptions de l’utilisateur du SI: satisfaction et
utilisabilité
147
(2) OPERATIONALISATION DES INDICATEURS
148
◦ Mesure des déterminants du succès
Qualité de l’information: Qualité intrinsèque, Qualité
contextuelle, Qualité représentationnelle, et Accessibilité)
Qualité du système: vision « ergonomique » de l’utilisateur
(facilité d’apprentissage et d’utilisation, convivialité de
l’interface, et temps de réponse + fiabilité, sécurité)
Qualité de service: Aspect physique/tangible, Fiabilité,
Réactivité, Accueil, Empathie)
149
Difficulté d’appréhension de l’impact des TI sur la
performance due au phénomène de dilution:
◦ Temps, changements de niveau entre investissements et
utilisation des applications TI;
◦ Existence de processus de transformation des investissements
(construction, utilisation, concurrentiel)
Approches d’analyse:
◦ Contribution des SI à la performance locale,
◦ Contribution des SI à la performance organisationnelle globale.
150
(1) CONTRIBUTION DU SI A LA PERFORMANCE LOCALE
151
Modèles fondés sur l’utilisation
152
Modèles fondés sur l’adéquation tache-technologie
153
(2) CONTRIBUTION DU SI A LA PERFORMANCE
ORGANISATIONNELLE
Ne pas limiter l’analyse au seul niveau local
◦ Raisons: Gains éventuels de performance au niveau
d’autres processus clients dans l’organisation, de
certaines technologies qui portent sur l’ensemble de
l’organisation, et de la définition du budget TI en
général au niveau de l’organisation
◦ Difficultés: Phénomène de dilution des impacts,
utilisation des TI à des fins technologiques
(concurrence)
154
◦ Analyse de traçabilité des impacts des TI: séparer les
effets imputables aux TI de ceux incombant aux
autres facteurs
155
◦ Analyse fondée sur la complémentarité des
ressources
15
6
Vulnérabilité des SI due aux TI
◦ Problèmes de sécurité des transactions et des
paiements
◦ Augmentation considérable des risques
d’intrusion, donc de piratage ou de destruction
◦ D’où nécessité de sécurité des SI
15
7
(1) NOTION DE SECURITE D’UN SI
◦ Définitions générales:
15
8
CRITERES DE SECURITE: Pouvoir évaluer la sécurité
à l’aide d’indicateurs
15
9
(2) ORGANISATION DE LA SECURITE D’UN SI
16
0
◦ Mesures de sécurité
Liées aux causes des sinistres qui constituent le point de
départ utile à la recherche de solutions concrètes
16
1
16
2