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I.

AVANT LE SYSTÈME DE BROTTEN


WOODS
A -Le système de l’ étalon-or

Definition: c’ est un système selon lequel la valeur


de chaque unité de compte correspond a un
poids fixe d’ or.
Début:1870
Fin : il a été suspendu en 1914et son
rétablissement fut impossible en 1918 .
B-Le système de l’ étalon de change-or:
C’ est un système selon lequel les réserves des pays sont constituées par l or et des de devises fortes en 1922 c’ était le livre sterling et le dollar américain
l or monnaie de réserve
le dollar et la livre sterling monnaie de règlement et monnaie de réserve
Début la conférence de Gênes 1922

FIN 1929 1939 la grande depression

La premiére guerre mondiale 1939 1944


Les consequences de la guerre

Les Etats Unis La grande bretagne


• L économie américaine est • l’économie est
prospere il souhaient faciliter l complètement dévastée par
expansion de leur économie par la guerre,
le commerce extérieur
• Le chomage
• Elle a dépasser la crise de1929
• La destruction de l infrastructure
• Une balance de paiement
excédentaire • Besoin de crédit pour la construction

• Des reserves d or considérables


• Épuisement de l or
Le compromis anglo américain

Plan white Plan keynz


• Un fond monétaire international • Une nouvelle banque
un bureau de change internationale de compensation
• La dévaluation des devises des • La garantie d une relle symétrie
pays déficitaires pas de symétrie les pays excédentaires vont aider
• Limiter les possibilités d les pays déficitaires
empreint • L octroi de crédit est facile
• La domination du dollar qui est • Une nouvelle monnaie
définie par rapport a l or internationale le bancor
Les principes de la conférences de brotten woods
• le libre-échange favorisait la coopération internationale, le libre-échange reposait sur la
convertibilité des monnaies.

• Le principe de parité

• Le principe de conditionnalité
Les organisations de la Conférence de Bretton Woods

Banque internationale pour la


Fonds monétaire international reconstruction et le développement
• le FMI rattache promouvoir la • organiser l'aide étrangère et de
stabilité des taux de change fournir des fonds pour
internationaux. reconstruire les infrastructures
• Un bureau de change dans les pays européens
d'après-guerre.
• Accorder les crédits
• Pour adhérer la BIRD il faut
• L'influence au sein des deux adhérer le FMI
organisations était, et est
toujours, basée sur des "quotas"
La faille du système : le paradoxe de Triffin
• Une orgnisation contradictoire
• Une stricte discipline monétaire des Etats Unis
• Alimenter le monde de dollar parceque c est la monnaie internationale
• LE PARADOXE DE TRIFFIN
• De1944 JUSQU A LES ANNEES 50
• UNE RARETE DU DOLLAR
• UNE BALANCE COMMERCIALE EXEDENTAIRE AU ETATS UNIS
• La productivité des pays est faible
• le plan Marshall
• l évolution de la balance des paiements des pays européens
• Un déficit de la balance des paiements américains
• L abondance du dollar la création de la monnaie l inflation
• Les pays européens demandent la conversion de leurs dollars en or mais ca n
était pas possible car les réserves d or des etats unis n était pas suffisant pour
repondre a ses dettes
APRES LA DEUXIEME GUERRE
MONDIALE
Depuis la révolution industrielle, le système monétaire international est essentiellement fondé sur l'or.
Toutes les monnaies ne sont pas convertibles mais compte tenu des sphères d'influence et du rôle déterminant de la livre sterling,
l'étalon-or permet un grand développement du commerce international et des échanges sans crise majeure.
Cet étalon-or permet d'assurer une confiance dans les monnaies émises en billets jusqu'aux deux Guerres Mondiales
qui induisent un financement massif des États par la création monétaire,
ou « planche à billets », ce qui crée de l'inflation et donc une défiance devant la monnaie en billets.
Dans les cas extrêmes du début du xxe siècle, la parité or-billets est abandonnée et provoque de l'hyperinflation.
Pour John Maynard Keynes, l'étalon-or n'est pas un système autorégulateur1 mais dépend de la volonté politique de respecter
ses règles et aussi de la capacité d'un pays puissant à les faire appliquer. Or après 1914 l'Angleterre n'a plus les moyens d'assumer
ce rôle et les États-Unis n'en ont pas le désir.
Par ailleurs, l'étalon-or fait reposer l'ajustement sur les pays qui ont des balances de paiement déficitaires2.
Or, Keynes — et c'est un de ses objectifs à Bretton Woods —
veut que le rééquilibrage soit assumé à la fois par les pays déficitaires et par les pays excédentaires.
La crise boursière puis bancaire qui frappe les États-Unis provoque l'explosion du système d'étalon change-or, chaque pays
cherchant son salut dans des mesures de protection nationale. En 1931, l'Allemagne établit un contrôle total des changes,
la Grande-Bretagne suspend la convertibilité de la livre en or et crée la zone sterling,
le Japon suspend la convertibilité du yen en or et instaure un contrôle total des changes
. En 1933, les États-Unis suspendent la convertibilité de leur monnaie en or et créent une Zone dollar.
En 1934, ils dévaluent de plus de 40 % le dollar par rapport à l’or
. La France abandonne la convertibilité du franc en or en 1936.
Des politiques nationales incohérentes transforment une récession économique survenue aux États-Unis en dépression économique m
Les politiques des différents gouvernements de l’époque, utilisant les dévaluations monétaires pour améliorer la compétitivité de leurs
exportations en vue de réduire le déficit de leurs balances commerciales, accélérèrent les spirales déflationnistes et eurent pour suite
une plongée des revenus nationaux, un rétrécissement de la consommation, un chômage de masse et un déclin global du commerce
Les échanges commerciaux devinrent alors limités à des échanges entre zones ou pays utilisant la même monnaie (échanges entre d
Cela eut pour effet d’entraver les flux financiers internationaux et de limiter les investissements, prolongeant d'autant la sous-activité g
Lorsque les perspectives de victoire se précisent, les Alliés réfléchissent à un nouveau système permettant d'éviter d'une part les secousses monétaires internationales qui avaient suivi la Première Guerre mondiale et d'autre part les erreurs qui avaient
transformé la crise de 1929 en grande dépression. Politiquement, les États-Unis craignent que les pays européens ayant le plus souffert de la guerre deviennent des lieux de révolte et offrent un terreau au communisme et au socialisme.
L’économie des États-Unis sort de la guerre confortée dans sa position d’économie la plus puissante au monde avec une industrie en croissance rapide et ayant accumulé de nombreux capitaux. Les États-Unis n’avaient pas été touchés par les ravages de
la guerre et s’étaient enrichis en vendant des armes aux autres Alliés et en leur prêtant des fonds. La production industrielle de 1945 a doublé par rapport à ce qu’elle était juste avant la guerre. En revanche, l’Europe et l’Extrême-Orient sont ruinés
militairement et économiquement.
Au sortir de la guerre, les États-Unis disposent de la plus grande partie des capitaux mondiaux et dominent la production manufacturière et les exportations. Ils produisent la moitié du charbon, les deux tiers du pétrole et plus de la moitié de l’électricité au
niveau mondial. Ils sont en mesure de produire de grandes quantités de navires, d’avions, de voitures, de produits chimiques, d’armes et d’autres produits manufacturiers. De plus, deux tiers des réserves mondiales d’or sont détenues par les États-Unis.
Les États-Unis décident donc d'organiser en 1944 une conférence dont le but est de créer un système monétaire capable de fournir un cadre solide à la reconstruction et à l'expansion économique du « monde libre », en faisant des États-Unis et du dollar
les piliers de la nouvelle architecture économique. Ils vont jouer respectivement les rôles que jouaient le Royaume-Uni et la livre avant la guerre de 1914.
la crise de 1929 et le chômage qu’elle a entraîné ont laissé de
sombres souvenirs.

es contraintes entraînées par le rôle international de leur


monnaie ne sont plus supportables. La Grande-Bretagne a déjà
renoncé à être la banque centrale du monde. Il faut inventer un autre
système qui facilite les règlements sans que ce pays soit impliqué

directement dans leur compensation


• la Grande-Bretagne s’attend à être débitrice après la guerre,
puisqu’elle devra reconstruire son économie alors qu’elle a dû
liquider une bonne partie de ses investissements à l’étranger, et
d’abord les titres les plus sûrs et les plus rentables. Elle souhaite
donc des procédures de crédit faciles ;
• enfin, elle a perdu le peu d’or qu’elle possédait, dès les premiers
mois de la guerre, pour régler ses achats de matériel militaire que les
États-Unis exigeaient qu’elle paie comptant. Elle tient donc à
ce que le métal n’ait plus aucun rôle.
Le plan Keynes de 1943
la crise de 1929 et le chômage qu’elle a entraîné ont laissé de
sombres souvenirs.

es contraintes entraînées par le rôle international de leur


monnaie ne sont plus supportables. La Grande-Bretagne a déjà
renoncé à être la banque centrale du monde. Il faut inventer un autre
système qui facilite les règlements sans que ce pays soit impliqué

directement dans leur compensation


C’est à Keynes, précisément, que les autorités britanniques
demandent de réfléchir à une nouvelle organisation des relations
monétaires. L’idée de Keynes est de décharger son pays de son rôle
monétaire, sans pour autant le conférer aux États-Unis.
• Une nouvelle monnaie, une nouvelle
institution, et bien sûr des règles adaptées
L' Union internationale de compensation ( ICU ) était l'une des institutions proposées à la création lors de
la Conférence monétaire et financière des Nations Unies de 1944 à Bretton Woods, dans le New Hampshire , aux États-Unis , par l'économiste
britannique John Maynard Keynes . Son objectif était d'établir une réglementation des changes, un rôle finalement assumé par le
Fonds monétaire international (FMI).
• L'Union internationale de compensation (ICU) serait une banque mondiale dont le rôle serait de régler les échanges commerciaux entre les nations,
à l'instar d'un échange commercial dont chaque pays serait membre. Tout le commerce international serait libellé dans une unité de compte spéciale,
le bancor proposé . Le bancor devait avoir un taux de change fixe avec les monnaies nationales et aurait été utilisé pour mesurer la
balance commerciale entre les nations. Les biens exportés ajouteraient des débiteurs au compte d'un pays, tandis que les biens importés les
soustrairaient. Chaque pays serait incité à maintenir son solde bancaire proche de zéro par l'une des deux méthodes suivantes : dans le cas d'un
solde bancaire excessivement positif, une partie de son excédent serait prélevée et appliquée au fonds de réserve de la Clearing Union . Dans le cas
d'un solde bancaire excessivement négatif, le taux de change de leur monnaie serait abaissé, rendant les importations plus chères et les
exportations moins chères. De cette manière, les nations seraient encouragées à acheter les produits des autres nations.
Le compromis anglo américain

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