ECOLE MILITAIRE INTERARMEES

(EMIA)

La Carte d’Etat Major 

PRÉSENTATION

LECTURE SOMMAIRE
PRESENTE PAR :CNE Mamadou Kally SALL
1. DÉFINITION
LA CARTE EST LA REPRÉSENTATION PLANE ET
CONVENTIONNELLE DU SOL ET DES DÉTAILS DE SA
SUPERSTRUCTURE SUIVANT UN RAPPORT DE
RÉDUCTION APPELÉ ÉCHELLE.
 11. MOUVEMENTS DU SOL
CE SONT LES FORMES DU TERRAIN. ELLES CONSTITUENT LE NIVELLEMENT.
12. DÉTAILS DE SUPERSTRUCTURE
ILS CONSTITUENT LA PLANIMÉTRIE.
L’ÈCHELLE, LE NIVELLEMENT ET LA PLANIMÈTRIE SONT LES
TROIS ÈLÈMENTS CONSTITUTIFS DE LA CARTE.

LE DESSIN DE LA CARTE EST FAIT SUIVANT CERTAINES RÈGLES OU

CONVENTIONS DE FAÇON QUE L’ON PUISSE :
• TROUVER DES REPÈRES SURS QUI PERMETTENT DE SITUER SUR LA CARTE
TOUT POINT DU TERRAIN ;
• CONNAÎTRE LA DIRECTION À SUIVRE POUR SE RENDRE D’UN POINT A UN
AUTRE ;
• DÉTERMINER LA DISTANCE QUI SÉPARE CES POINTS ;
• DÉFINIR LA PENTE DU TERRAIN ET LES ALTITUDES DES DIVERS POINTS.
2. LA PLANIMÉTRIE
21. DÉFINITION
LA PLANIMÉTRIE EST CONSTITUÉE PAR L’ENSEMBLE DES DÉTAILS DE
SUPERSTRUCTURE NATURELS ET ARTIFICIELS, RÉPARTIS À LA SURFACE DU
SOL.

A) LES DÉTAILS NATURELS: CE SONT LES COURS D’EAU, LES RIVES

DES LACS, LES BOIS, LES FORETS ETC.
B) LES DÉTAILS ARTIFICIELS: CE SONT LES VOIES DE
COMMUNICATION ROUTIÈRES ET FERROVIAIRES, LES
CONSTRUCTIONS: MAISONS, PONTS, ETC. C’EST-À-DIRE
TOUT CE QUI A ÉTÉ FABRIQUÉ PAR L’HOMME
LA CARTE D’EM
 22. LES SIGNES CONVENTIONNELS
LE DESSIN REPRÉSENTATIF DE CES DÉTAILS OBÉIT À DES CONVENTIONS
RELATIVES À LA FORME, AUX DIMENSIONS ET À LA COULEUR DE L’OBJET A
REPRÉSENTER.
221. FORME
LE DESSIN RAPPELLE LA FORME HABITUELLE DE L’OBJET, GÉNÉRALEMENT
STYLISÉ ET TEL QU’IL SERAIT VU EN OBSERVATION AÉRIENNE VERTICALE.
 222. DIMENSION
LES DÉTAILS DEVRAIENT ÊTRE REPRÉSENTÉS À LEURS DIMENSIONS
RÉDUITES
À L’ÉCHELLE DE LA CARTE.
CEPENDANT CERTAINS DÉTAILS SERAIENT À L’ÉCHELLE DE LA CARTE D’UNE
DIMENSION TROP PETITE POUR ETRE DESSINÉS.
ON REPRÉSENTE ALORS CHACUN D’EUX PAR UN SIGNE CONVENTIONNEL
DONTLA DIMENSION N’A AUCUN RAPPORT AVEC LA DIMENSION RÉELLE DE
L’ÉLÉMENT FIGURÉ.
SUR LA CARTE AU 1/50 000, LA DIMENSION LIMITE CORRESPOND AU ¼ DE
MILLIMÈTRE, C’EST À DIRE À 12,50 m.
223. COULEUR
DANS LES CARTES POLYCHROMES, CERTAINES COULEURS, RAPPELANT
CELLES DES DÉTAILS REPRÉSENTÉS, ONT ÉTÉ ADOPTÉES :
BLEU POUR L’HYDROGRAPHIE ;
VERT POUR LA VÉGÉTATION.

LES SIGNES CONVENTIONNELS SONT GROUPÉS EN TABLEAUX ET DIVISÉS

GÉNÉRALEMENT EN CINQ CATÉGORIES :
- LES VOIES DE COMMUNICATION (ROUTES, AUTOROROUTES, VOIES FERRÉES,
ETC..)
- L’HYDROGRAPHIE (COURS D’EAU, LACS, ÉTANGS, CANAUX, SOURCES, PUITS,
ETC..)
- LES CONSTRUCTIONS DE TOUTE NATURE (MAISONS, USINES, PONTS,
OUVRAGES D’ART, ETC..)
- LES CULTURES (BOIS, BROUSSAILLES, LANDES, VIGNES, VERGERS, ETC..)
- DIVERS (LIMITES D’ÉTAT, DE DÉPARTEMENT, D’ARRONDISSEMENT,
DE CANTON, DE COMMUNE, ABRÉVIATIONS)
 224. REMARQUES
LES ROCHERS SONT REPRÉSENTÉS EN GRIS FONCÉ POUR LES CARTES OÙ ILS
SONT IMPORTANTS ET NOMBREUX, ET EN NOIR POUR LES AUTRES CARTES.
LES DÉBLAIS ET REMBLAIS SE RAPPORTANT AUX VOIES DE COMMUNICATION
SONT REPRÉSENTÉS EN NOIR.

LES ESCARPEMENTS ET ARRACHEMENTS SE RAPPORTANT AU NIVELLEMENT

SONT REPRÉSENTÉS EN BISTRE.
 23. LES ÉCRITURES
AFIN DE FACILITER LA LECTURE, LES INDICATIONS DONNÉES PAR LES SIGNES
CONVENTIONNELS SONT LE PLUS SOUVENT COMPLÉTÉES PAR DES
DÉNOMINATIONS QUI CONSTITUENT LES ÉCRITURES DE LA CARTE ET DONT
LA GROSSEUR CORRESPOND À L’IMPORTANCE DES LIEUX OU DES OBJETS
QU’ELLES DÉSIGNENT.
LES LETTRES DROITES DÉSIGNENT LES VILLES, BOURGS, VILLAGES, HAMEAUX,
FERMES OU USINES ET EN GÉNÉRAL, TOUS LES LIEUX HABITÉS.
LES LETTRES PENCHÉES SE RAPPORTENT AUX MONTAGNES, FORÊTS, BOIS,
RIVIÈRES, COLS, VALLONS ET LIEUX-DITS DIVERS.
LES PARTICULARITÉS ISOLÉES ET OBJETS DIVERS SONT DÉSIGNÉS PAR
L’ÉCRITURE ITALIQUE DE 10 OU 8 DÉCIMILLIMÈTRES DE HAUTEUR.
LORSQUE LES DÉTAILS SONT TROP NOMBREUX, ON SE SERT D’ABRÉVIATIONS
CONVENTIONNELLES.
LA PLUPART DES CARTES PORTENT AU BAS OU SUR LE CÔTÉ DE LA FEUILLE
UN TABLEAU SOMMAIRE DES PRINCIPAUX SIGNES CONVENTIONNELS
UTILISÉS SUR LA CARTE.

3. LE NIVELLEMENT

LE NIVELLEMENT EST LA REPRÉSENTATION PLANE ET CONVENTIONNELLE

SUR LA CARTE DU RELIEF DU TERRAIN.

LE FIGURÉ DU TERRAIN DOIT RÉPONDRE AUX TROIS CONDITION SUIVANTES :

• PERMETTRE DE TROUVER l’ALTITUDE D’UN POINT QUELCONQUE ;

• EXPRIMER LA VALEUR DES PENTES ;
• FAIRE RESSORTIR LE RELIEF D’UNE MANIÈRE AUSSI EXPRESSIVE QUE
POSSIBLE.
IL EXISTE QUATRE PROCÉDÉS DE REPRÉSENTATION DU RELIEF :

• PROCÉDÉ DES COURBES DE NIVEAU ;

• PROCÉDÉ DE L’ESTOMPAGE ;

• PROCÉDÉ DES TEINTES HYPSOMÉTRIQUES ;

• PROCÉDÉ DES HACHURES.

 31. LE PROCÉDÉ DES COURBES DE NIVEAU 
 
DANS LE PROCÉDÉ DES COURBES DE NIVEAU LE FIGURÉ DU RELIEF EST
REPRÉSENTÉ PAR DES LIGNES DONT CHACUNE D’ELLE RELIE LES POINTS DE
MÊME ALTITUDE.
CES LIGNES CONVENTIONNELLES SONT APPELÉES COURBES DE NIVEAU.
IL EST POSSIBLE DE DÉFINIR CES COURBES COMME ÉTANT LES PROJECTIONS
HORIZONTALES SUR UN PLAN DES INTERSECTIONS DU TERRAIN PAR DES
PLANS HORIZONTAUX RÉGULIÈREMENT ESPACÉS EN ALTITUDE.
CETTE DIFFÉRENCE D’ALTITUDE CONSTANTE ENTRE LES COURBES DE NIVEAU
EST APPELÉE ÉQUIDISTANCE.
LE PROCÉDÉ DES COURBES DE NIVEAU PERMET :
DE DÉTERMINER RAPIDEMENT, SOIT PAR LECTURE DIRECTE, SOIT PAR
INTERPOLATION, L’ALTITUDE D’UN POINT QUELCONQUE ;
D’ESTIMER LES PENTES, CAR PLUS LES COURBES SONT RAPPROCHÉES, PLUS
LA PENTE EST FORTE, ET INVERSEMENT ;
DE FAIRE RESSORTIR LES FORMES DU TERRAIN, CAR LA FORME ELLE-MÊME
DES COURBES DE NIVEAU TRADUIT CELLE DU MOUVEMENT CONSIDÉRÉ.
POUR FACILITER LA LECTURE DES CARTES, LES COURBES DE NIVEAU DE CÔTE
RONDE SONT TRACÉES EN TRAITS PLUS ÉPAIS.
ELLES SONT APPELÉES COURBES MAÎTRESSES.
POUR PRÉCISER LES DÉTAILS DU NIVELLEMENT SITUES ENTRE DEUX
COURBES ÉQUIDISTANTES ON UTILISE DES COURBES INTERCALAIRES,
SOUVENT DISCONTINUES, QUI SONT TRACÉES EN POINTILLÉS.
CES COURBES RÉDUISENT DE MOITIÉ L’ÉQUIDISTANCE.

ON DISTINGUE 3 TYPES DE COURBES DE NIVEAU:

 LES COURBES DE NIVEAU ORDINAIRES (EN TRAIT
NORMAL)
 LES COURBES MAÎTRESSES (EN TRAIT PLUS ÉPAIS
ET REPRÉSENTÉES TOUS LES 50M D’ALTITUDE)
 LES COURBES INTERCALAIRES (EN POINTILLÉS ET
SEULEMENT REPRÉSENTÉES ENTRE DEUX
COURBES ORDINAIRES LORSQUE LE TERRAIN EST
TRÈS PLAT C’EST-À-DIRE PEU DE COURBES
ORDINAIRES) .CES COURBES RÉDUISENT EN
MOITIÉ L’ÉQUIDISTANCE
 32. LE PROCÉDÉ DE L’ESTOMPAGE
CE PROCÉDÉ CONSISTE À OMBRER PLUS OU MOINS CERTAINES PENTES.
POUR CELA, ON SUPPOSE QUE LA LUMIÈRE ARRIVE À 45° SUR LE RELIEF ET
VIENT DU NORD-OUEST.
LES OMBRES SONT PLUS OU MOINS ACCENTUÉES SELON LA PENTE ET
PERMETTENT DE FAIRE RESSORTIR LE RELIEF DES RÉGIONS ACCIDENTÉES.
Carte sans estompage Carte avec estompage
 33. LE PROCÉDÉ DES TEINTES HYPSOMÉTRIQUES
CE PROCÉDÉ CONSISTE À COLORIER L’INTERVALLE ENTRE DEUX COURBES
CONSÉCUTIVES.
LA TEINTE EST DONC CONSTANTE SUIVANT L’HORIZONTALE, MAIS VARIABLE
AVEC L’ALTITUDE.
LES TEINTES SONT GRADUÉES, ELLES PARTENT DU VERT DANS LES PARTIES
BASSES, POUR PASSER AU JAUNE, AU BISTRE CLAIR, AU BISTRE FONCÉ DANS
LES RÉGIONS ÉLEVÉES.
CE PROCÉDÉ DONNE DU RELIEF UNE IMAGE FACILE À SAISIR, MAIS IL NE
PERMET PAS LA DÉTERMINATION DES CÔTES ET DES PENTES ET LES
SERVITUDES DE L’IMPRESSION LIMITENT RAPIDEMENT LE NOMBRE DES
TEINTES UTILISABLES.
 34. LE PROCÉDÉ DES HACHURES
DANS CE PROCÉDÉ, LE TERRAIN EST TOUJOURS COUPÉ EN TRANCHES
D’ÉGALE ÉPAISSEUR MAIS, AU LIEU DE TRACER LE CONTOUR DES SECTIONS
HORIZONTALES, CE SONT LES LIGNES DE PLUS GRANDE PENTE QUI SONT
REPRÉSENTÉES.

ON OBTIENT AINSI UNE MEILLEURE IMPRESSION DU RELIEF, MAIS IL N’EST PAS

FACILE DE DÉFINIR LES ALTITUDES.
DE PLUS CE PROCÉDÉ A L’INCONVÉNIENT DE SURCHARGER LA CARTE.
IL N’EST PLUS UTILISÉ DEPUIS 1980, TOUTES LES CARTES DE CE TYPE SONT
REMPLACÉES PAR DES ÉDITIONS AVEC LA REPRÉSENTATION DU RELIEF PAR
COURBES DE NIVEAU.
SUR LES ANCIENNES CARTES MILITAIRES EN HACHURES ONT ÉTÉ REPORTÉES
DES COURBES DE NIVEAU POUR PERMETTRE DES CALCULS.
4. L’ÉCHELLE
POUR ÊTRE D’UN EMPLOI COMMODE LES CARTES SONT DES IMAGES TRÈS
RÉDUITES DU TERRAIN.
LA RÉDUCTION EFFECTUÉE POUR PASSER DES DISTANCES MESURÉES SUR LE
TERRAIN AUX LONGUEURS QU’ELLES REPRÉSENTENT SUR UNE CARTE A UNE
VALEUR FIXE QUE L’ON APPELLE L’ÉCHELLE.
41. DÉFINITION
L’ÉCHELLE EST LE RAPPORT LINÉAIRE CONSTANT QUI EXISTE ENTRE LA
LONGUEUR « l » D’UNE LIGNE MESURÉE SUR LA CARTE ET LA LONGUEUR « L »
DE LA LIGNE CORRESPONDANTE DU TERRAIN MESURÉE SUIVANT
L’HORIZONTALE.
42. L’ÉCHELLE NUMÉRIQUE
C’EST UNE FRACTION DE LA FORME : 1/N
EXEMPLE : 1/50 000
LES CHIFFRES DE CETTE FRACTION INDIQUENT QUE LES DISTANCES DU
TERRAIN SONT REPRÉSENTÉES SUR LA CARTE PAR DES LONGUEURS 50
000
FOIS PLUS PETITES.
EXEMPLE : 2 000 m SONT REPRÉSENTÉS À L’ÉCHELLE 1/50 000 PAR UNE
LONGUEUR DE :
2 000/50 000 = 0,04 m, SOIT 4 cm
CETTE DISTANCE DE 2 km SERAIT REPRÉSENTÉE PAR UNE LONGUEUR DE 8 cm
SUR UNE CARTE AU 1/25 000.
L’ÉCHELLE EST D’AUTANT PLUS GRANDE QUE LE DÉNOMINATEUR EST PETIT.
LES CARTES SONT CLASSÉES EN TROIS CATÉGORIES :

421. LES CARTES À GRANDE ÉCHELLE

• PLAN DIRECTEUR AU 1/10 000
1 mm DE LA CARTE REPRÉSENTE 10 m
• PLAN DIRECTEUR AU 1/20 000
1 mm DE LA CARTE REPRÉSENTE 20 m
• CARTE AU 1/25 000
1 mm DE LA CARTE REPRÉSENTE 25 m

422. LES CARTES À MOYENNE ÉCHELLE

• CARTE AU 1/50 000
1 mm DE LA CARTE REPRÉSENTE 50 m
• CARTE AU 1/100 000
1 mm DE LA CARTE REPRÉSENTE 100 m
 423. LES CARTES À PETITE ÉCHELLE
• CARTE AU 1/200 000
1 mm DE LA CARTE REPRÉSENTE 200 m
• CARTE AU 1/500 000
1 mm DE LA CARTE REPRÉSENTE 500 m
• CARTE AU 1/1 000 000
1 mm DE LA CARTE REPRÉSENTE 1 km

- ON PASSE PAR SIMPLE MULTIPLICATION D’UNE DISTANCE MESURÉE EN

MILLIMÈTRES SUR LA CARTE À LA DISTANCE CORRESPONDANTE SUR LE
TERRAIN.
EXEMPLE : 18 mm MESURÉS SUR LA CARTE AU 1/50 000 VALENT :

18 x 50 000 = 900 000 mm = 900 m

18 x 50 = 900 m

- ON PASSE PAR SIMPLE DIVISION D’UNE DISTANCE MESURÉE EN MÈTRES SUR

LE TERRAIN À LA LONGUEUR CORRESPONDANTE SUR LA CARTE.

EXEMPLE : UNE DISTANCE DE 6400 m SERA REPORTÉE SUR UNE CARTE AU

1/50 000 PAR :

6400 / 50 = 128 mm
ON CHOISIT L’ÉCHELLE D’UNE CARTE SUIVANT L’UTILISATION QUE L’ON VEUT
EN FAIRE.
PLUS L’ÉCHELLE ADOPTÉE SERA GRANDE ET PLUS ON POURRA FAIRE
FIGURER DE DÉTAILS SUR UNE CARTE, MAIS PLUS LA SUPERFICIE DU TERRAIN
REPRÉSENTÉ SUR UNE MÊME FEUILLE SERA PETITE.

L’ÉCHELLE EST INDIQUÉE DANS LA MARGE DE CHAQUE FEUILLE.

IL EST INDISPENSABLE DE CONNAÎTRE LA VALEUR DE CETTE CONVENTION

POUR EFFECTUER DES MESURES DE DISTANCES SUR LA CARTE.
 43. L’ÉCHELLE GRAPHIQUE
C’EST UN DESSIN, FIGURÉ EN GÉNÉRAL AU BAS DE LA CARTE, QUI MATÉRIALISE
L’ÉCHELLE NUMÉRIQUE.
ELLE EST CONSTITUÉE PAR UNE LIGNE DIVISÉE EN SEGMENTS, REPRÉSENTANT
L’UNITÉ DE MESURE RÉDUITE À L’ÉCHELLE DE LA CARTE.

LE SEGMENT DE GAUCHE, APPELÉ TALON, EST DIVISÉ EN SOUS-MULTIPLES DE

L’UNITÉ DE MESURE.
POUR LA CARTE AU 1/50 000 :
• L’ÉCHELLE EST DIVISÉE EN KILOMÈTRES ;
• LE TALON EST DIVISÉ EN HECTOMÈTRES.
CETTE ÉCHELLE GRAPHIQUE EST UTILISÉE LORSQU’ON NE POSSÈDE PAS DE
DOUBLE DÉCIMÈTRE, POUR MESURER LA DISTANCE TOPOGRAPHIQUE ENTRE
DEUX POINTS, A L’AIDE D’UNE BANDE DE PAPIER.
QUESTIONS ?