PR Ése Ntation 1

Télécharger au format pptx, pdf ou txt
Télécharger au format pptx, pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1sur 45

DATAS PLAN 1

 INTRODUCTION
 LES BASES DE DONNEES
DEFINITION
 LE FONCTIONNEMENT DES BASES DE DONNEES
QUELQUES TYPES DE BASE DE DONNEES
 LES OBJECTIFS DES BASES DE DONNEES
LE MODE CLIENT / SERVEUR
DATAS PLAN
2
LES SGBD
 DEFINITION
LE BUT D’UN SGBD
L’ENVIRONEMENT CLIENT / SERVEUR
LES TYPES D’ARCHITECTURES DU RESEAU
HISTORIQUE DES SGBD

 CONCLUSION
 INTRODUCTION
 LES BASES DE DONNEES
Les bases de données ont pris aujourd'hui une place essentielle dans
l'informatique, plus particulièrement en gestion. Au cours des trente
dernières années, des concepts, méthodes et algorithmes ont été développés
pour gérer des données sur mémoires secondaires ; ils constituent l'essentiel
de la discipline « Bases de Données » (BD).

Cette discipline est utilisée dans de nombreuses applications. Il existe un


grand nombre de Systèmes de Gestion de Bases de Données (SGBD) qui
permettent de gérer efficacement de grandes bases de données. De plus, une
théorie fondamentale sur les techniques de modélisation des données et les
algorithmes de traitement a vu le jour.
C’EST QUOI UNE DONNEE ?
 Une donnée est la représentation d'une information dans un
programme 
Ce pendent les données peu être liées à n’importe quel
objet réels considéré.

 DEFINITION
Une base de données (BD) est un ensemble structuré de données,
généralement volumineux et partagé entre plusieurs utilisateurs (ou
programmes).
 
 LE FONCTIONNEMENT DES BASES DE DONNEES

Les bases de données sont stockées sous forme de


fichiers ou d’ensemble de fichiers sur un disque
magnétique, une cassette, un disque optique ou tout autre
type d’appareil de stockage. Les bases de données
traditionnelles (hiérarchiques) sont organisées par champs
(Fields), enregistrements et fichiers. Un champ est une
seule pièce d’information. Un enregistrement est un
ensemble de champs. Un fichier est une collection
d’enregistrements.
 QUELQUES TYPES DE BASES DE DONNEES

Dans le cas d’une grande data base, les multiples utilisateurs


doivent être en mesure de manipuler les informations qu’elle
contient rapidement et n’importe quand. De plus, les grandes
entreprises ont tendance à cumuler de nombreux fichiers
indépendants comprenant des fichiers liés ou même des
données se superposant

Dans le cadre d’une analyse de données, il est nécessaire


que les données en provenance de plusieurs fichiers
puissent être liées. C’est pourquoi différents types de
bases de données ont été développé pour répondre à ces
exigences.
LES BASES DE DONNEES HIERARCHIQUES

Les bases de données hiérarchiques comptent parmi les plus


anciennes bases de données. Au sein de cette catégorie, les
enregistrements sont organisés dans une structure d’arborescence.
Chaque niveau d’enregistrements découle sur un ensemble de
catégories plus petites.
BASE DE DONNEES RESEAU

Les bases de données réseau sont également parmi les plus


anciennes. Plutôt que de proposer des liens uniques entre différents
ensembles de données à divers niveaux, les bases de données
réseaux créent des liens multiples entre les ensembles en plaçant
des liens, ou des pointeurs, sur un ensemble d’enregistrements ou un
autre. La vitesse et la polyvalence des bases de données réseau ont
conduit à une adoption massive de ce type de data bases au sein des
entreprises ou dans le domaine du e-commerce.
 
BASES DE DONNEES SQL( RELATIONNELLE)
Les bases de données relationnelles ont été inventées en 1970 par E.F.
Codd de IBM. Il s’agit de documents tabulaires dans laquelle les
données sont définies afin d’être accessibles et de pouvoir être
réorganisées de différentes manières.
Les bases de données relationnelles sont constituées d’un ensemble de
tableaux. Au sein de ces tableaux, les données sont classées par
catégorie. Chaque tableau comporte au moins une colonne
correspondant à une catégorie. Chaque colonne comporte un certain
nombre de données correspondant à cette catégorie.
BASES DE DONNEES SQL( RELATIONNELLE)

L’API standard pour les bases de données relationnelles est le


Structured Query Language (SQL). Les bases de données
relationnelles sont facilement extensibles, et de nouvelles catégories
de données peuvent être ajoutées après la création de la data base
originale sans avoir besoin de modifier toutes les applications
existantes.
BASE DE DONNEES ORIENTE OBJET

Les objets créés à l’aide de langage de programmation orientés


objets sont généralement stockés sur des bases de données
relationnelles. Toutefois, en réalité, les bases de données orientées
objets sont plus adaptées pour stocker ce type de contenu.
Plutôt que d’être organisée autour d’actions, les bases de données
orientées objets sont organisées autour d’objets. De même, au
lieu d’être organisées autour d’une logique, elles sont organisées
autour des données. Par exemple, un enregistrement multimédia au
sein d’une BDD relationnelle peut être défini comme un objet de
données plutôt que comme une valeur alphanumérique.
 
 LES OBJECTIFS DES OBJECTIFS DES BQSES DE
DONNEES
Les objectifs que l’on assigne généralement aux bases de données et
aux systèmes qui les supportent sont les suivants :

 Indépendance physique de données et programmes

 l’indépendance Logique

Manipulation des données

 Efficacité des accès aux données

 Administration centralisée des données


 Non redondance des données

 Intégrité des données

 Le partage des données

 Sécurité des données


 LE MODE CLIENT SERVEUR

L'environnement client–serveur désigne un mode de
communication à travers un réseau entre plusieurs
programmes: l'un, qualifié de client, envoie des requêtes ;
l'autre ou les autres, qualifiés de serveurs, attendent les
requêtes des clients et y répondent. Par extension, le
client désigne également l'ordinateur ou la machine
virtuelle sur lequel est exécuté le logiciel client, et le
serveur, l'ordinateur ou la machine virtuelle sur lequel est
exécuté le logiciel serveur.
 DEVELOPPEMENT
 SGBD

Il permet de définir, manipuler, récupérer et gérer les données stockées


au sein de la BDD. Le DBMS extrait des informations de la BDD sur
demande de l’utilisateur, en fonction des requêtes effectuées. Pour
effectuer une requête, l’utilisateur peut entrer un mot-clé, ou effectuer
une commande de tri.
 
La puissance d’un DBMS est sa capacité à définir de nouvelles
relations à partir de relations basiques données par les tableaux
pour répondre aux requêtes. Généralement, l’utilisateur entre une
série de caractères, et l’ordinateur cherche les séquences
correspondantes pour fournir à l’utilisateur les matériaux sources
dans lesquels ces caractères apparaissent. Par exemple, un
utilisateur peut rechercher tous les enregistrements contenant un
champ lié à une personne portant le nom de famille Dupont.
LE BUT D’UN SGBD
Les SGBD sont les logiciels intermédiaires entre les
utilisateurs et les bases de données. Une base de données
est un magasin de données composé de plusieurs fichiers
manipulés exclusivement par le SGBD. Ce dernier cache la
complexité de manipulation des structures de la base de
données en mettant à disposition une vue synthétique du
contenu.
LE FONCTIONNEMENT DES SGBD

A l'aide du SGBD plusieurs usagers et plusieurs logiciels peuvent


accéder simultanément aux données. Le SGBD effectue les
vérifications pour assurer qu'aucune personne non autorisée n'ait
accès à des données confidentielles contenues dans la base de
données, il arbitre les collisions lorsqu'il y a plusieurs modifications
simultanées de la même information et comporte des mécanismes en
vue d'éviter des pertes de données à la suite d'une panne ; la
redondance désigne une situation de présence de plusieurs copies
de la même donnée dont la modification peut amener à des
incohérences se manifestant par des copies différentes.
 L’ENVIRONEMENT CLIENT / SERVEUR

L’environnement client serveur compte en général trois


types d’architectures; à savoir :

 L’architecture pair à pair


 L’architecture à 2 niveaux
 L’architecture à 3 niveaux
 L’architecture à N niveaux
L’architecture qui est la plus utilisée est l’architecture ANSI/SPARK
Grâce à ses trois niveaux d’abstraction qui assurent l’indépendance
logique et physique des données, autorisant la manipulation de
données, garantissant l’intégrité des données et optimisant l’accès aux
données.

Elle permet de spécialiser les serveurs dans une tâche précise, ce


qui donne un avantage de flexibilité, de sécurité et de performance :

o un client qui demande une ressource via une interface utilisateur


(généralement un navigateur web) chargée de la présentation de
la ressource ;
o un serveur d'application (appelé middleware) qui
fournit la ressource, mais en faisant appel aux
ressources d'un autre serveur ;

o un serveur de données qui fournit au serveur d'application


les ressources requises pour répondre au client.
HISTORIQUE DES SGBD

o Jusqu'en 1960 les informations étaient enregistrées dans des


fichiers manipulées par les logiciels applicatifs. L'idée des bases de
données a été lancée en 1960 dans le cadre du programme
Apollo. Le but était de créer un dispositif informatique destiné à
enregistrer les nombreuses informations en rapport avec le
programme spatial, en vue de se poser sur la lune avant la fin de
la décennie. C'est dans ce but que IBM, conjointement avec
Rockwell met sur le marché le logiciel Information Management
System (IMS). Avec ce SGBD, les informations sont enregistrées
dans des bases de données organisées de manière hiérarchique.
o À la même époque, General Electric, avec l'aide de Charles
Bachmann met sur le marché le logiciel Integrated Data Store.
Avec ce SGBD les informations sont enregistrées dans des
bases de données organisées selon un modèle réseau, ce qui
permet d'enregistrer des informations ayant une organisation
plus complexe que le modèle hiérarchique.
 
o En 1965, Dick PICK développe le système d'exploitation Pick, qui
comporte un SGBD et le langage Databasic de Charles Bachman. En
2002 la technologie de Pick est utilisée dans des produits
contemporains tels que JBase.
 
o En 1967, le consortium CODASYL forme un groupe de travail, le
database task group (DBTG), qui travaille à la normalisation de
deux langages informatique en rapport avec les bases de
données: le DML et le DDL.
o Les organisations hiérarchiques et réseau des années 1960 manquaient d'indépendanc
vis-à-vis du format des fichiers, ils rendaient complexe la manipulation des données e
leur manquait une base théorique. En 1970 Edgar Frank Codd, employé de IBM publie
livre A relational model of data for large shared data banks, un ouvrage qui présente les
fondations théoriques de l'organisation relationnelle. Sur la base des travaux d’E.F Codd
IBM développe le SGBD System R, qui sera mis sur le marché à la fin des années 1970
Il est destiné à démontrer la faisabilité d'un SGBD relationnel. Le langage informatique
propre à ce SGBD est le Structured Query Language (SQL), défini par IBM et destiné à
manipulation des bases de données relationnelles.
 
o Charles Bachman reçoit le prix Turing en 1973 pour ces
contributions à la technologie des bases de données et Edgar
Frank Codd reçoit le prix Turing en 1981 pour les mêmes
raisons.
o En 1978, ANSI publie la description de l'architecture ANSI/Sparc
qui sert de modèle de référence en rapport avec l'indépendance
des données des SGBD.
 
o Les deux SGBD ténors du marché de 2010 que sont IBM DB2 et
Oracle Database ont été mis sur le marché en 1979 et sont tous deux
basés sur le modèle relationnel. La même année le langage SQL est
normalisé par ISO. 

o Les moteurs de recherche et les datawarehouse sont des


applications informatiques apparues dans les années 1990, qui ont
influencé le marché des SGBD. Les moteurs de recherche ont
nécessité le traitement d'informations non structurées et écrites en
langage naturel. Et les datawarehouse ont nécessité la collecte et
la consolidation de très grande quantité d'informations en vue de
réaliser des tableaux de synthèse.
Les modèles d'organisation orienté objet et objet-relationnel sont
apparus dans les années 1990. Les premiers SGBD objet
relationnel ont été Postgres, Informix et Oracle Database en
1995. Le standard relatif au langage SQL a été modifié en 1999
pour pouvoir s'appliquer à ce type de SGBD.
 CONCLUSION
Les nouvelles fonctionnalités que nous
venons de présenter sont progressivement
intégrées dans les SGBD commercialisés.
On peut être étonné que cette intégration
ne soit effective que plusieurs années après
l’apparition des concepts correspondants.

Au-delà de critères techniques liés aux performances du


matériel et du logiciel peuvent intervenir des facteurs d’ordre
organisationnel, commercial voire sociologique. Par exemple,
l’expression des contraintes d’intégrité proposée dans les
années 70, n’est apparue, dans certains SGBD, qu’au début
des années 90.
Un autre exemple concerne les BD réparties
qui ont connu un important effort de recherche
dans les années 70 ; malgré la
commercialisation de SGBD répartis
(ORACLE, INGRES...) depuis les années 80,
beaucoup d’entreprises hésitent encore à
mettre en œuvre ces systèmes afin de ne pas
remettre en cause une organisation
informatique centralisée, souvent
contraignante, mais à laquelle le personnel est
habitué.

Vous aimerez peut-être aussi