02 - GBP
02 - GBP
02 - GBP
BUDGETAIRE
DE LA
Réalisé par : Encadré par :
PRODUCTION
Alaoui Hind
Pr. Sanae Benjelloun
Amrani Khawla
Boubekri Mustapha
FilalI Rotbi Aicha Année universitaire :
Fragou Wiam 2021-2022
Lakrimi Zakaria
Machrouh Mehdi
2-Budgétisation de la production
Répartition de la production dans le temps
Valorisation de la production : calcul des couts préétablis
Etude de cas
INTRODUCTION
Après avoir établi le budget des ventes, il est nécessaire d’adapter le programme de la production à la demande prévisionnelle
et d’effectuer les ajustements nécessaires.
Le problème clé que doit résoudre la gestion de la production est celui de la concordance entre la production et les ventes.
Pour cela, la gestion de la production, vise à optimiser la production (produire le plus possible, dans les meilleurs délais
possibles, et avec la qualité la meilleure possible) sous contraintes (les ressources de l’entreprise ne sont pas illimitées).
Elle s’intéresse en premier lieu, aux problèmes des quantités à produire sous la contrainte liée à l’utilisation des facteurs de
production. Elle vise donc, à déterminer une combinaison productive optimale, maximisant les bénéfices tout en minimisant
les coûts.
Elle s’intéresse, en deuxième lieu, à l’organisation dans le temps de la production.
Deux principaux systèmes de gestion de la production peuvent être distingués :
Le pilotage de la production par l’amont, selon le modèle taylorien (et fordien) ou les flux de productions sont poussées par
des prévisions commerciales. D’où, à partir des prévisions faites sur la demande finale, une planification du travail,
ressources, hommes, matières, …etc. est faite (méthode de la planification des besoins en composants).
Le pilotage de la production par l’aval, selon le modèle des flux tendus, où la production est tirée par la demande.
Gestion budgétaire de la
production
La gestion de production
Un ensemble d’activités qui permettent
d’organiser et de coordonner les flux physiques
et les flux d’information nécessaires à la
préparation, à la mise en œuvre et au contrôle du
processus de production.
PHASES D’ELABORATION
1 2 3
La détermination du Le contrôle
L’élaboration du
programme optimal budgétaire de la
budget de production
de production production
01
Prévision de la
production
QUESTION ?
Comment doit-on produire de sorte pour que puisse être respecté le budget
des ventes en prenant en considération les contraintes techniques de
fabrication ?
ETABLISSEMENT D’UN PROGRAMME DE
PRODUCTION
La détermination d’un programme
d’un programme de production optimal
est plus ou moins complexe selon le
nombre de produits concernés et selon le
nombre des contraintes prises en
considération.
EXEMPLE :
une entreprise fabrique par assemblage les différentes composantes, deux modèles de
produits A et B Pour lesquels on dispose des éléments prévisionnels suivants pour
l’année « N ». La capacité de production de l’entreprise est limitée à 9000 heures
d’assemblage sur l’année. Ce programme est il réalisable ? Sinon déterminer le
meilleur programme de fabrication.
Modèle A Modèle B
Possibilités de ventes (en quantités) 5000 3000
Temps d’assemblage nécessaire Une heure 2 heures
par unité fabriquée
Marge / coût variable par unité 40 70
fabriquée vendue
Corrigé :
La réalisation des objectifs de vente nécessite un temps d’assemblage de
11000 heures (5000 x 1) + (3000 x 2)
En l’absence d’investissement pour accroitre la capacité de production, ce programme n’est
pas réalisable.
Quel est alors pour l’entreprise le meilleur programme de fabrication et de vente
compatible à la fois avec les contraintes du marché et les contraintes de production.
- Contraintes de marché : A ≤ 5000 et B ≤ 3000 - Contraints de production : A+2B ≤ 9000 h
Le meilleur programme de production est celui qui maximise la marge sur coût variable, soit :
M = 40 A +70 B Maximale Fonction économique du programme
On doit calculer la marge non pas par unité produite mais par heure d’assemblage.
Pour le produit A : la marge par heure d’assemblage 40 ℎ/ 1 ℎ = 40
Pour le produit B : Cette marge est de 70 ℎ /2 ℎ = 35
Corrigé :
L’entreprise a intérêt à affecter prioritairement les heures d’assemblage à la production du
produit A, dont la marge est plus élevé d’où le programme optimal suivant :
Pdt A =5000 unités (limitation du marché) Heures restantes disponibles sont de (9000h –
5000h) = 4000h
Cela permet de fabriquer 2000 unités de B
Cette méthode peut être utilisée chaque fois que l’on a une seule contrainte de production
(ou facteur rare ).
L’allocation de ce facteur rare aux différentes productions doit alors se faire dans l’ordre
décroissant des marges par unité de facteur rare.
Prise en compte de plusieurs
contraintes de production
La programmation
linéaire
Un programme linéaire (PL) est un problème
d’optimisation qui consiste à maximiser ou à
minimiser une fonction linéaire dont les variables
sont soumises à un ensemble de contraintes
exprimées sous forme d’équations ou d’inéquations
linéaires.
La forme canonique
Il s’agit d’exprimer sous une forme mathématique un programme énoncé
de façon littéraire.
la fonction
Variables d’action économique à les contraintes
optimiser (Objectif)
La résolution du programme linéaire
Une fois le programme linéaire est mis en forme, l’étape suivante consiste à
résoudre le modèle:
• les coûts marginaux des V.H.B. sont tous positifs (≥ 0) pour un problème de
minimisation.
Ceci veut dire qu’une solution optimale finie est atteinte.
On choisit d’abord, parmi les V.H.B., celle qui remplacera une des variables
de base :
La variable entrante (dans la base) xe est celle parmi les VHB qui
correspond au : plus grand coût marginal positif, pour un problème de
maximisation, plus faible coût marginal négatif, pour un problème de
minimisation.
La variable sortante (de la base) xs est celle du plus petit des rapports de
chaque terme de la colonne des valeurs par son coefficient ≥ 0
correspondant dans la colonne de la variable xe (les coefficients < 0 ne
sont pas pris en compte).
Une fois les deux variables, entrante et sortante, sont choisies, un autre
tableau sera construit par pivotage (étape suivante).
Pivotage
Variables de base : e1 = 50 ; e2 = 80 et e3 = 80
Variables hors base : x1 = x2 = 0
Exercice corrigé
• Variables de base : e1 = 10 ; x2 = 40 et e3 = 40
• Variables hors base : x1 = e2 = 0
Exercice corriger
• Variables de base : x1 = 20 ; x2 = 30 et e3 = 10
• Variables hors base : e1 = e2 = 0
• (T3) est optimal puisque les coûts marginaux des VHB sont tous négatifs (problème de maximisation). La fonction
objectif ne peut être améliorée davantage.
Le calcul des charges analyse les postes de travail en capacité et gère les flux entrant et sortant
dans chaque atelier. Il permet aux gestionnaires de repérer les goulots d’étranglement.
Les contrôles d’exécution ordonnancent la charge de travail entre les postes une fois les
problèmes de sous ou sur capacité réglés. Il planifie les priorités en termes d’ordres de fabrication.
Principe du calcul des besoins en composants
Chaque produit est composé d’ensembles, de sous-ensembles et de pièces. Ce sont ces composants de base que les
services de production doivent usiner. Le programme prévisionnel des ventes exprimées en nombre de produits
doit être transcrit en éléments de base dont la charge de travail est à répartir dans le temps et l’espace.
L’ensemble des éléments constitutifs du produit ainsi que la nature et la durée de l’opération qu’ils supportent
forme une nomenclature.
Exemple :
De façon générale, la fabrication d’un produit est composée de phases d’usinage et d’assemblage. Chaque étape de
fabrication est caractérisée par :
– un élément (ensemble, sous-ensemble ou pièce)
– une opération qui s’effectue sur l’élément
– une durée pour réaliser cette opération
Ces éléments, caractéristiques d’une nomenclature, permettent de définir des besoins dépendants et des besoins
indépendants.
Les besoins indépendants sont constitués de pièces ou produits achetés en l’état à l’extérieur. La prévision de
consommation de tels besoins repose sur une bonne prévision des ventes.
Les besoins dépendants sont constitués des sous-ensembles, pièces et matières nécessaires aux produits finis et
réalisés par l’entreprise elle-même. Pour de tels besoins, la prévision de consommation ne peut être obtenue que
par calcul.
La gamme de fabrication est un document indiquant, en plus de la nomenclature, le mode opératoire
pour fabriquer le produit, c'est-à-dire les temps machines et hommes, les quantités économiques de
stockage et de lancement de fabrication. C’est donc le support d’information essentiel pour gérer la
production, puisqu’il conditionne toutes les actions et assure la communication entre les services
concernés par le produit. L’exactitude et la mise à jour de ces fichiers techniques sont essentielles au
management des ressources productives.
P1 200 3 semaines
C1 70 3 semaines
M1 100 2 semaines
C2 50 3 semaines
P2 220 3 semaines
M2 150 2 semaines
Besoin brut 50 10 40 20 30
Stocks (20) 20 20 20
Besoin net 30 10 40 20 30
Lancement 30 10 40 20 30
Pièce P1
Période Sem. 1 Sem. 2 Sem. 3 Sem. 4 Sem. 5 Sem. 6 Sem. 7 Sem. 8
Sem.
Besoin brut 120 40 160 80 120
Sem.
Stocks (200) 200 80 40
Stocks (70) 70 10
Besoin net 10 80 40 60
Lancement 10 80 40 60
Besoin brut 8 64 32 48
Stocks (100) 92 28
Besoin net 4 48
Lancement 4 48
Pièce C2
Période Sem. 1 Sem. 2 Sem. 3 Sem. 4 Sem. 5 Sem. 6 Sem. 7 Sem. 8
Besoin brut 30 10 40 20 30
Stocks (50) 50 20 10
Besoin net 30 20 30
Lancement 30 20 30
Pièce P2
Période Sem. 1 Sem. 2 Sem. 3 Sem. 4 Sem. 5 Sem. 6 Sem. 7 Sem. 8
Besoin brut 60 40 60
Besoin net 0 0 0
Lancement - - -
Matière M2
Période Sem. 1 Sem. 2 Sem. 3 Sem. 4 Sem. 5 Sem. 6 Sem. 7 Sem. 8
Besoin brut 72 48 72
Stocks (150) 78 30
Besoin net 42
Lancement 42
3. Les méthodes de chargement et les goulots d’étranglement
La notion de goulot d’étranglement est liée au concept de chargement des ateliers et à un manque de capacité
pour satisfaire les besoins de fabrication répertoriés. Intéressons-nous d’abord aux problèmes de chargement des
ateliers avant d’envisager l’allocation entre les différents produits en cas de sous-capacité.
Les goulots d’étranglement résultent de l’existence d’un facteur rare, tel qu’une insuffisance de main-d’œuvre, de
temps-machine ou de matières premières. Dans le contexte actuel, la main-d’œuvre, à moins de requérir une
spécialisation extrême, ne constitue guère un obstacle. Les matières premières et les heures-machine peuvent
être plus problématiques, même si, en France, les entreprises connaissent plutôt à l’heure actuelle une crise de la
demande que de leurs capacités. Cela étant, quand un facteur de production vient à manquer dans l’entreprise, il
faut se poser la question de savoir quel produit privilégier. La solution passe par un minimum de méthodologie.
3.1 Tableau de chargement des ateliers
Les points seront développés dans le cadre d’une application
Exemple :
Dans deux ateliers A1 et A2, trois produits X, Y et Z doivent être usinés. Le temps (exprimé en heures) nécessaire à
l’usinage de chacun des produits dans les ateliers est résumé dans le tableau suivant :
Les temps de chargement des différents postes de travail sont de 2 000 heures par an dans l’atelier A1 et de 2 100
heures par an dans l’atelier A2. Il faut compter 10 % pour les temps de réglage et de changement d’outil pendant
lesquels les machines ne sont pas en état de marche. Le nombre maximum de postes utilisables est de 20 pour
l’atelier A1 et de 18 pour l’atelier A2.
budget des ventes prévoit 7 000 X, 6 000 Y et 4 000 Z. Les lots de fabrication doivent respecter la
proportion des ventes (hypothèse de production simultanée).
TAF : Établir un programme de chargement qui permet les ventes en quantités maximales.
1re étape : calculer des capacités nécessaires à la production maximale.
Démarche générale Il s’agit de saturer les capacités de l’atelier qui constitue le goulot d’étranglement en
produisant des quantités différentes de X, Y et Z. Il n’y a donc plus l’hypothèse de production simultanée.
Solution
Ce programme assure une utilisation optimale des heures de l’atelier A2 et est compatible avec les
capacités de l’atelier A1. Il est facile de vérifier que le nombre d’heures de fonctionnement dans
cette hypothèse s’élève à 31 008 heures pour A1 et donne un taux de chargement inférieur (0,86
au lieu de 0,92 précédemment).
La
budgétisation
de la
production
i. Notions et Définitions
L’ordonnancement
des taches
La gestion de la main
d’œuvre
Application1: L’ordonnancement des taches
A Aucune 6
B A 10
C A 6
D Aucune 3
E A,C 14
F A,C,E 5
G A,B,C,J 9
H D 15
I A,B,C,E,F,G,J 7
J A, C 7
Travail à faire :
1. Etablir une présentation sagittale des différentes taches puis un diagramme de PERT.
2. Calculer les dates de début au plus tôt et les dates de début au plus tard et déterminer le chemin
critique.
Solution :
la représentation sagittale est la suivante :
Le dictionnaire des taches se représente comme suit:
La représentation sagittale, nécessite la suppression des redondances pour obtenir le
dictionnaire des sommets immédiatement antérieurs, c’est-à-dire adjacents.
Remarque : le terme « antérieur » ou précédent signifie avant (c’est-à-dire pas
nécessairement adjacent)
Dans notre exercice d’application :
La détermination des niveaux :
Et on déduit le digramme de PERT :
les dates « au plus tôt » se comptent à partir de l'étape initiale par additions
successives des durées des tâches. Les dates « au plus tard » se calculent
à partir de l 'étape finale en retranchant successivement les durées des
tâches.
Sachant qu’une tâche ou activité du chemin critique ne peut pas être
débutée avant que l’activité qui la précède et qui a un lien de dépendance
avec elle, soit terminée.
Le chemin critique du projet est la plus longue séquence de tâches qui doit
être accomplie pour que le projet soit terminé à la date d'échéance.
Pour identifier le chemin critique, il faudra d’abord identifier les tâches
critiques. Ce sont celles qui ont la plus longue durée.
Et on déduit le diagramme de PERT :
La répartition d’un
programme de
production :
01
Par centre de
responsabilité :
Cette répartition désigne une
ventilation de programme de
01
production global ; en quantité par
atelier ou par service ;
et l’effectuation de cette dernière
est liée ;aux potentiels possédés par
chaque usine.
Ce qui permet à
l’entreprise de
01
déterminer ; les couts qui
se rapportent à chaque
atelier et à chaque
service.
02 Par période :
La ventilation du budget de production
global ,par période se justifie par la
02
nécessité de vérifier sur la très courte
période la comptabilité entre les ventes
et la production sur subsiste.
Généralement la période retenue est le
mois.
La valorisation d’un
programme de production
T.A.F:
Pour matières :
Pour MOD :
Coût unitaire préétabli de l’uo = Budget standard du centre / activité normale du centre
Le budget flexible des charges indirectes :
un budget flexible et un budget standard calculé en fonction de plusieurs niveaux
d’activités possibles
L’objectif est de prévoir le coût total d’un centre de travail sous plusieurs hypothèses
d’activité.
On représente l’équation du budget flexible par :
Y=aX+b
Avec :
a : coût variable unitaire préétabli
b: total des charges fixes
X : niveau d’activité
a) La convention de signe :
Ecart = coût réelle - coût préétabli
les coût préétablis sont déterminé pour une production normal, les coûts réels
correspondent à la production réelle qui est peut-être différente.
les écarts entre les consommations n'ont de sens que s'ils résultent de la
comparaison de coûts correspondant à des productions de même niveau.
Les prévisions doivent être ajustées à la production réelle les écarts
sur coûts sont toujours calculé au niveau de la production réelle
2) Analyse des écarts sur charges directes :
En matière d’analyse des écarts en distingue principalement deux écarts
Écart sur volume: mesure l’erreur commise par les prévisionniste lors de l’établissement des budgets
L'écart global ( écart économique ou écart relative à la production réelle ) est un élément constitutif de
l'écart total au même titre que l'écart sur volume. Il résulte de la confrontation du coût constaté de la
production réelle au coût préétabli de la production réelle comme le décrit le schéma suivant:
Remarque:
On doit distinguer entre quantité préétabli et quantité standard
La quantité standard est calculée sur la base d’un budget standard ( activité normal )
La quantité préétabli sert à des prévisions de consommation de la production réelle
Exercice:
L’entreprise MAC a une production mensuelle considérée comme normale de 250
pièces. Etablie sur cette base de production, la fiche de coût de revient prévoit par unité
de produit fini : 10 Kg de matière première à 120 DH le Kg. Or, pour ce mois,
• La fabrication des pièces a utilisé 2160 Kg de matière première
• Le coût d’achat d’un Kg de matière première a été de 124 DH
• La production a été de 200 pièces.
Travail à faire
Calculer Les différents types d’écarts sur matière première
Corrigée :
Retenons les notations suivantes:
Qr : quantité réellement consommée de la matière première
Qp : Quantité préétablie de matières premières adaptées à la production
réelle.
Qstd : Quantité préétablie de matières premières pour une production normale
qstd : Quantité préétablie ( standard ) de matières premières pour une seul pièce
Cr : coût unitaire réelle de la matière première
Cp :coût unitaire préétabli de la matière première
P°n : production normale ( 250 pièce )
P°r : production réelle ( 2000 pièce )
Calcule des coût :
Coût réelle = Qr x Cr = 2160 x 124 = 267840 DH
coût préétabli de la production prévue = Qstd x Cp = (q std x P°n) x Cp
= (10 x 250 ) x 120 = 300000 DH
coût préétabli sur la production réelle = Qp x Cp = (q std x P°r) x Cp
= (10 x 200 ) x 120 = 240000 DH
Calcule des écarts :
Écart total = coût réelle – coût préétabli de la production prévue
=267840 – 300000 = -32160 écart favorable
Écart sur volume = coût préétabli sur la production réelle – coût préétabli sur la production prévue
=240000 – 300000 = -60000 écart favorable
Coût globale = coût réelle – coût préétabli de la production réelle
=267840 – 240000 = 27840 écart défavorable
Décomposition de l’écart globale en sous écart :
Coût unitaire préétabli de l’uo = Budget standard du centre / activité normale du centre
Application numérique
Coût préétabli de l’unité d’œuvre = (18 000 + 22 800) / 300
Coût préétabli de l’unité d’œuvre = 40 800 / 300
Coût préétabli de l’unité d’œuvre = 136 DH
2. Calcul du coût réel des unités d’ouvre et du coût préétabli des unités d’œuvre
imputé à la production réelles
Le calcul du coût réel des unités d’ouvre et du coût préétabli des unités d’œuvre imputé
à la production réelles se fait en utilisant les formules suivantes :
Coût réel des unités d’œuvre
Coût réel des unités d’œuvres = Cur x Ar
Coût préétabli des unités d’œuvre imputé à la production réelles
Coût préétabli des unités d’œuvres imputé à la production réelle = Coût préétabli de
l’unité d’ouvre x Quantité préétablie des unités d’œuvre adaptée à la production
réelle Coût préétabli des unités d’œuvres imputé à la production réelle = Cup x
Ap
• Ap= Rendement standard x Production réelle
• Avec : Ar : Activité réelle du centre; Ap : Activité préétablie pour obtenir la
production réelle; Cur : Coût unitaire réel de l’unité d’œuvre; Cup : Coût unitaire
préétabli ou standard de l’unité d’œuvre
Calculons l’activité préétablie pour obtenir la production réelle. Ainsi, on peut
résumer les calculs dans le tableau suivant :
Eléments Coût réel des unités d’œuvre Coût préétabli des unités
(Cur x Ar) d’ouvre adapté à la
production réelle (Cup x Ap)
Application numérique (Cur x Ar) Coût préétabli des 136 x 275 = 37 400 DH
unités d’ouvre adapté à la
production réelle (Cup x Ap)
Application numérique 250 x
157 = 39 250 DH
Application numérique :
Ecart économique sur charges indirectes du centre A = 39 250 – 37 400
Ecart économique sur charges indirectes du centre A = 1 850 DH (Défavorable)
4. Analyse de l’écart économique sur charges indirectes de l’atelier A :
Ecart sur budget (E/B):
Ecart sur budget = Coût réel du centre –Budget flexible pour l’activité réelle
E/B = Coût réel du centre – ((Cuvp x Ar) + FFp)
Application numérique :
• Coût total réel du centre = 39 250 DH.
• Budget flexible pour l’activité réelle = [(22 800/300) x 250] + 18 000
Budget flexible pour l’activité réelle = 76 x 250 + 18 000 = 37 000 DH
• Ecart sur budget = 39 250 – 37 000 = 2 250 DH (Défavorable)
Ecart sur activité (E/A) :
Ecart sur Activité = Budget flexible pour l’activité réelle – Budget standart pour
l’activité réelle
E/A = [(Cuvp x Ar) + FFp] – [(Cup x Ar)]
Application numérique :
Budget flexible pour l’activité réelle = 37 000 DH
Coût standard des unités d’œuvre réelle = Coût préétabli unitaire x Nombre des unités
d’œuvre réelles (Activité réelle de l’atelier A).
Coût standard des unités d’œuvre réelle = 136 x 250 = 34 000 DH
Ecart sur activité = 37 000 – 34 000 = 3 000 DH (Défavorable)
Ecart sur rendement (E/R):
Ecart sur Rendement = Budget standard pour l’activité réelle – Budget standard de
l’activité préétablie pour obtenir la production réelle
E/R = [(Cup x Ar)] – [(Cup x Ap)]
E/R = Cup (Ar – Ap)
Coût préétabli des unités d’œuvre réelle = 34 000 .
Coût préétabli de l’activité préétablie pour obtenir la production réelle = Coût
unitaire préétabli x Activité préétablie pour obtenir la production réelle
On a déjà calculé l’activité préétablie pour obtenir la production réelle qui est de
275 heures et on dispose aussi du coût unitaire préétabli qui est de 136 D. Donc le
coût préétabli de l’activité préétablie pour obtenir la production réelle est égale à
136 x 275 = 37 400 D.
Ecart sur rendement = 34 000 – 37 400 = - 3 400 DH. (Favorable)
Vérification :
Ecart sur rendement = Cup x (Ar – Ap) avec Ap : Activité préétablie pour obtenir la
production réelle
Ecart sur rendement = 136 x (250 – 275) = - 3 400 DH (Favorable).
Vérification E/B + E/A + E/R = 2 250 + 3 000 – 3 400 = 1 850 DH
La programmation linéaire
Exercice 1 :
Une entreprise fabrique deux produits A et B. Leur production implique un passage dans deux
ateliers successifs : atelier 1 et atelier 2. Les temps de passage ainsi que la capacité maximale des
ateliers, sont communiqués dans le tableau ci-dessous.
Atelier 1 Atelier 2
Produit A (en h) 3 4
Produit B (en h) 5 3
Capacité mensuelle (en h) 15 000 12 000
La zone à rayures correspond à la zone d’acceptabilité, c’est-à-dire la zone qui rassemble tous les programmes de
production compatibles avec les contraintes.
Il s’agit d’un polygone à cinq sommets : P1, P2, P3, P4 et P5.
Le domaine des solutions acceptables (polygone admissible) est délimité par les droites passant par les points : P1 (0 ; 3
000), P2 (1 363,64 ; 2 181,82), P3 (2 000 ; 1 333), P4 (2 000 ; 0), P5 (0 ; 0).
Corrigé :
Recherche de l’optimum selon la méthode des droites parallèles :
La solution maximale est le sommet par lequel passe la parallèle la plus éloignée du point d’origine (0,0), de
la fonction objectif.
la solution optimale P3 (2 000, 1 333), est telle que la marge sur coûts variables est de 266 650 dh.
À titre indicatif, selon la méthode d’énumération des sommets :
Il suffit de calculer la valeur de la fonction économique (Max M/CV = 100X + 50Y) pour les points
correspondant aux différents sommets :
-P1 (0 ; 3 000) : M/CV= (100 x 0) + (50 x 3 000) = 150 000
-P2 (1 363,64 ; 2 181,82) : M/CV= (100 x 1 363,64) + (50 x 2 181,82) = 245 455
-P3 (2 000 ; 1 333,33) : M/CV= (100 x 2 000) + (50 x 1 333) = 266 650
-P4 (2 000 ; 0) : M/CV = (100 x 2 000) + (50 x 0) = 200 000
-P5 (0 ; 0) : M/CV = 0
La marge sur coût variable la plus élevée (266 650) s’obtient au point P3. Le programme optimum
correspond à la production de 2 000 produits A et de 1 333 produits B.
Exercice 2 :
Une entreprise réalise deux produits x et y. Leur fabrication nécessite le passage dans un atelier A.
Leur temps de passage en heure est donné dans le tableau ci-après :
A 2h 1h 800 h
Par ailleurs, les prix de vente des deux produits x et y sont respectivement, 160 DH et 120 DH.
Les charges variables étant de 85 DH pour x et 57,50 DH pour y.
Compte tenu du marché, l’entreprise ne peut vendre plus de 300 unités du produit x et 500 Unités du
produit y.
Travail demandé : A l’aide de la méthode de simplexe, quel est le programme optimum qui maximise la
marge sur coûts variables ?
Corrigé :
Les étapes à suivre pour déterminer le programme optimum de production :
• 1re étape: Écrire le système sous forme standard :
il s’agit de convertir le programme établi sous forme canonique (système d’inéquations) sous la forme standard
(système d’équations avec variables d’écarts positives ou nulles).
Les variables d’écart (ei), introduites au cours de cette transformation concernent les contraintes techniques
et commerciales disponibles qu’il convient de saturer, autres que les contraintes de positivité.
L’écart permet l’égalité entre la capacité et la consommation du facteur h pour une production x , y.
e1 2 1 1 0 0 800
e2 1 0 0 1 0 300
e3 0 1 0 0 1 500
Max B 75 62,5 0 0 0 0
Corrigé :
Interprétation du tableau :
Variables hors base : x = 0 , y = 0
Variables dans la base : e1 = 800 ; e2 = 300 ; e3 = 500
Il s’agit de la solution admissible de départ qui respecte toutes les contraintes : ne rien produire.
La production est donc nulle (x=0, y=0) et la valeur de la fonction objectif est égale à 0.
Les capacités disponibles des facteurs sont intactes (ainsi e1 = 800 signifie qu’il reste 800 h).
Cette solution peut être améliorée puisque les coefficients de la ligne MaxB ne sont pas négatifs ou nuls.
Pour la détermination du pivot :
La variable qui entre dans la base est celle dont le coefficient positif de la dernière ligne est le plus grand.
La variable qui sort de la base est celle dont la résultante ( R ) positive est la plus petite. La résultante est la
production maximale sous contrainte de chaque facteur de production.
Le pivot est situé à l’intersection de la variable entrante et de la variable sortante.
Corrigé :
• 3eme étape: Choisir la variable entrante dans la base. Pour cela choisir le coefficient le plus fort de la
fonction économique. x entre dans la base (puisque sa marge est égale à 75dh, donc vaut mieux pour
améliorer la solution de base commencer par produire x).
e1 2 1 1 0 0 800
e2 1 0 0 1 0 300
e3 0 1 0 0 1 500
Max B 75 62,5 0 0 0 0
• 4eme étape: Choisir la variable sortante de la base (rapport : second membre/coefficient de la variable
choisie). Retenir le plus faible.
Compte tenu des contraintes à respecter, la production maximale de produits x est contrainte à 300.
e2 sort donc, de la base.
La variable qui entre en base prend la place de celle qui sort.
Corrigé :
Variable de la base x Y e1 e2 e3 Valeur variable de la base
(Second membre)
Max B 75 62,5 0 0 0 0
• 5eme étape: Encadrer le pivot, à l’intersection de la variable qui entre et de la variable qui sort. Il
s’agit de 1. Et diviser la ligne du pivot (Lp )par le pivot (1) pour obtenir (L’p).
Variable de la base x Y e1 e2 e3 Valeur variable de la base
e1 2 1 1 0 0 800 800/2 = 400
x 1
0 0 1 0 300 300/1 = 300
e3 0 1 0 0 1 500 500/0 = infini
Max B 75 62,5 0 0 0 0
Corrigé :
• 6eme étape: Les autres lignes peuvent alors être déterminées à l’aide des coefficients de la colonne de la
variable qui entre dans la base et de la ligne du pivot (L’p). Ainsi : Les coefficients de la colonne de la
variable qui entre sont de 2, 0, et 75; Ainsi :
L’1 = L1 – 2 L’p
L’2 = L’p (= Ligne du pivot /pivot )
L’3 = L3 – 0 L’p
L’4 = L4 – 75 L’p
e1 0 1 1 -2 0 800-600=200 200/1 = 2 00
x 1 0 0 1 0 300 300/0 = infini
e3 0 1 0 0 1 500 500/1 = 500
y 0 1 0 0 2 500
x 1 0 0 0 -1 150
e2 LIGNE DE PIVOT 0 0 -1/2 1 1/2 150
Nous sommes à l’optimum car les coefficients de la fonction économique sont tous nuls ou négatifs.
Donc la condition de sortie est saturée, la solution qui rend le programme de production optimum est
une production de 150 unités de produit X et 500 unités de produit Y.
Le maximum de marge sur coût variable sera de 42 500€.
Exercice 3 :
L’entreprise BM réalise deux produits X et Y. Leur fabrication nécessite le passage dans un atelier A. Leur
temps de passage en heure est donné dans le tableau ci-après :
Produits Capacité de
Atelier X Y l’atelier (en h
machine)
A 4h 1h 800
Par ailleurs, les prix de vente des deux produits X et Y sont respectivement 200 DH et 120 DH.
Les charges variables étant de 90 DH pour X et 66 DH pour Y.
Compte tenu du marché, l’entreprise ne peut vendre plus de 300 unités de X et plus de 600 unités de Y.
Travail demandé
Déterminer le programme optimal qui maximise la marge sur coûts variables par la méthode graphique.
Corrigé :
La contrainte technique :
4x + y ≤ 800
La contrainte liée au marché :
x ≤ 300 et y ≤ 600
La contrainte de non-négativité :
x ≥ 0 et y ≥ 0
M/CV = Prix de vente – CV
Pour X :
M/CV = 200 – 90 = 110 dh
Pour Y :
M/CV = 120 – 66 = 54 dh
10 Graphe
9 D1 D2 D3
8 A
7
D I
6
M
5
1 cm = 100 unités 4
0
0 1
B
2 3 4 5 6 7 8 9 10
Le polygone
admissible
Corrigé :
Pour maximiser la marge sur coût variable, il faut produire 50 unités de produit X et
600 unités du produit Y, soit Z = 110*50 + 54*600 = 37900 DH
Exercice 4 :
L’entreprise A fabrique par assemblage de différents composants, deux produits X et Y pour lesquels on
dispose des éléments prévisionnels suivants pour l’année N.
Modèle X Modèle Y
Modèle X Modèle Y
On constate que l’entreprise a intérêt à affecter les heures d’assemblage à la production du produit X
qui procure la plus grande marge horaire ;
On produit donc X au maximum soit : 5000 U.
Les heures restantes disponibles seront affectées à la fabrication de Y soit : 9000 – 5000 = 4000
heures
Cela permet de fabriquer : 4000/2 = 2000 unités de Y.
Partie 2
Le Diagramme de PERT
Exercice 5 :
La réalisation d’un projet nécessite la réalisation de 10 tâches dont les conditions d’antériorité et la durée
sont précisées dans le tableau suivant :
Travail à faire :
1. Faire une présentation sagittale, par une suite de flèches, de l’ensemble des tâches (diagramme de
PERT).
2. Calculer les dates de début au plus tôt et les dates de début au plus tard et déterminer le chemin
critique.
Corrigé :
1. Les principales représentations des graphes se font par une suite de flèches : une représentation
sagittale; ou par une succession de tâches : sous forme de dictionnaires de tâches ou de matrices.
Représentation sagittale :
2. Niveau 1 : sont de niveau 1 les sommets dont la colonne P(x) est entièrement barrée.
Niveau 1 : B, C, H
Ces sommets sont barrés dans les deux colonnes
Corrigé :
3. Niveau 2
4. Niveau 3
Corrigé :
5. Niveau 4
La représentation sagittale, nécessite la suppression des redondances pour obtenir le dictionnaire des
sommets immédiatement antérieurs, c’est-à-dire adjacents.
Remarque : le terme « antérieur » ou précédent signifie avant (c’est-à-dire pas nécessairement adjacent)
Dans notre exercice d’application :
Corrigé :
La démarche consisté à rechercher les antécédents des tâches antérieurs :
Corrigé :
Le Diagramme de GANTT
Exercice 6 :
Une entreprise a décidé la construction d’un entrepôt.
Ci-dessous la liste des tâches et coûts prévus, le planning et l’état des réalisations établi 20 semaines après le
démarrage du projet.
Liste des tâches et coûts prévus
Travail à faire :
1. Établir le planning prévisionnel des travaux sur un digramme de Gantt. En déduire la date prévisionnelle
de fin des travaux.
2. Analyser l’état d’avancement réel du projet et en déduire la date de fin probable des travaux dans
l’hypothèse où les tâches non débitées respecteront les durées prévues et que les tâches en cours suivront
le même rythme. Respecter le résultat de cette analyse sur le diagramme de Gantt.
3. En supposant que la tâche D sera poursuivie au même rythme (durée et coûts) que durant ses deux
premières semaines de réalisation, indiquer quelle devrait être la durée totale du projet et réestimer son
budget total.
Corrigé :
1. Diagramme de Gantt (l’analyse se situe à la fin de la semaine 20)
Il s’agit d’une représentation des tâches du projet par des barres horizontales sur un graphique.
Remarque :
Pour la tâche D : la durée réalisée est de 2 semaines, elle est égale à 25% de sa durée totale réelle. Cette
dernière s’élève donc à 8 semaines (25 x 4 = 100%), d’où la date de début au plus tôt pour cette tâche est la
19ème semaine et la date de fin au plus tard est la 26ème .
Corrigé :
2. Analyser l’état d’avancement réel du projet et en déduire la date de fin probable des travaux dans
l’hypothèse où les tâches non débutées respecteront les durées prévues et que les tâches en cours
suivront le même rythme. Respecter le résultat de cette analyse sur le diagramme de Gantt.
Le Contrôle Budgétaire
Exercice 7 :
L’entreprise MAC est une PME industrielle spécialisée dans la fabrication d’équipements
électroniques. Elle fabrique actuellement deux modèles de produits A et B.
Pour le contrôle de sa gestion, l’entreprise établit des budgets et des coûts de revient selon la
méthode des centres d’analyse.
A partir des prévisions relatives à l’activité d’un mois considéré comme normal, on vous
communique les données suivantes :
• Ventes :
4000 appareils A au prix de 500 dh l’unité.
8000 appareils B au prix de 300 dh l’unité.
• Charges directes par unité produite et vendue :
Eléments de coût Quantités unitaires Prix unitaires
A B
Matières premières 30 kg 10 kg 2 dh
MO usinage 6h 4h 18 dh
MO montage 10 h 5h 20 dh
Char. Directes de 5% du chiffre d’affaires 5% du chiffre d’affaires
distribution
• Charges indirectes :
Elle sont réparties entre les différents centres de la manière suivantes :
Centres Usinage Montage Distribution Administration
Charges 180 000 208 000 176 000 144 000
totales
Nature d’UO Kg MP H MO 100 dh du CA -
N.B: la répartition des frais du centre d’administration se fait par moitié entre
les produits A et B.
Total des 165 600 223 500 172 550 150 000
charges
Le contrôle budgétaire :
Travail demandé :
1. Etablir la fiche des coûts unitaires standards des deux produits ;
2. Présenter les budgets standard, flexible et réelle du produit A ;
3. Calculer, pour le produit A, l’écart sur volume et l’écart économique sur les charges directes (matières
premières). Analyser l’écart global en sous-écarts et commenter les résultats obtenus.
Corrigé
Corrigé : :
1. Fiche des coûts unitaires standards des produits :
Eléments de coûts Produit A Produit B
Qté PU MT Qté PU MT
Matières premières 30 2 60 10 2 20
MOD usinage 6 18 108 4 18 72
MOD montage
25% 10 20 200 5 20 100
Centre usinage 120000 0,9 108000 105000 0,9 94500 103950 0,92 95634
Centre montage 40000 2,6 104000 35000 2,6 91000 36120 3 108360
Ecart sur quantité = (Qr – Qp)*Cp = (103 950 – 105 000)*2 = -2100 Ecart favorable
Ecart sur prix = (Cr – Cp)*Qr = (1,8 – 2)*103 950 = -20 790 Ecart favorable
Commentaires :
L’écart sur volume favorable (- 30 000) s’explique par une utilisation moins élevée que celle prévue de la
matière première.
L’écart économique est décortiqué en deux sous-écarts :
• L’écart sur quantité est favorable (- 2100), l’entreprise a prévu l’utilisation de 105 000 kg de matière
mais elle n’a utilisé que 103 950 kg.
• L’écart sur prix est favorable (-20 790), le prix d’achat de la matière a diminué, cela peut être du à la
force de négociation du service approvisionnement auprès des fournisseurs.
Conclusion