Chapitre 8
Chapitre 8
Chapitre 8
LINÉAIRE SOUS
“Dans le cadre du cours : Modélisation, Optimisation et Simulation“
CONTRAINTES
Réalisé par : Encadré par :
MANGOUG Salma OUGADOUZ Ayman Mme SEMLALI HASSANI Nawal
MCHACHI Ayoub RAMDANI Mouna
MESROUR Khadija SAIDI Salah Eddine
MORSLI Ikram SALMI Ghita
MOUAKKIT Soufiane SARR Aliou
MOUZDAHIR Ayoub SERIDI Mehdi
NFAOUI Mariam ZRIKI Mohamed
Programmation non linéaire sous contraintes
Ce chapitre traite de problèmes plus difficiles impliquant la minimisation (ou la maximisation) d’une
fonction objectif non linéaire soumise à des contraintes linéaires ou non linéaires.
Une méthode permettant de gérer une ou deux contraintes d’égalité linéaires ou non linéaires est de résoudre
explicitement pour une variable et éliminer cette variable du problème formulation. Ceci se fait par substitution
directe dans les équations de fonction objectif et de contrainte du problème.
I. MÉTHODE DE SUBSTITUTION DIRECTE
Exemple 1:
Une fois 𝑥2∗ obtenue, 𝑥1∗ peut être directement déduit via la contrainte :
I. MÉTHODE DE SUBSTITUTION DIRECTE
Exemple 1:
II. CONDITIONS DU PREMIER ORDRE
NÉCESSAIRES POUR UN EXTREMUM LOCAL
Exemple 1: Interprétation graphique d’un problème d’optimisation sous contrainte
II. CONDITIONS DU PREMIER ORDRE
NÉCESSAIRES POUR UN EXTREMUM LOCAL
Exemple 1: Interprétation graphique d’un problème d’optimisation sous contrainte
L’équation devient :
II. CONDITIONS DU PREMIER ORDRE
NÉCESSAIRES POUR UN EXTREMUM LOCAL
Exemple 1:
Soit :
En subsituant,
𝜆 3𝜆
𝑥1 = − et 𝑥2 = −
4 10
D’où l’équation devient:
𝜆∗ = −4,286
𝑥1 = 1,071
𝑥2 = 1,286
Optimisation avec Contraintes
d’égalité
But:
Avec : λ=(λ1, λ1,…., λl) ; Les coefficients λ1, λ2, . . . , λℓ introduits dans l’énoncé
ci-dessus sont appelés les multiplicateurs de Lagrange.
Application
• Déterminons la distance de l’origine du plan à la courbe d’équation
cartésienne : x2y=16
Problème:
• Objectif: minimiser la distance considéré ou son carré, exprimée
comme suit:
Min f(x,y)= x2+y2
Et g(x,y)=x2y-16=0
• le Lagrangien :
L(x,y, λ)=f(x,y)- λg(x,y)=x2+y2- λ(x2y-16)
• Recherchons les points stationnaires :
Avec : λ=(λ1, λ1,…., λl) ; Les coefficients λ1, λ2, . . . , λℓ introduits dans l’énoncé
ci-dessus sont appelés les multiplicateurs de Lagrange.
Application
• Déterminons la distance de l’origine du plan à la courbe d’équation
cartésienne : x2y=16
Problème:
• Objectif: minimiser la distance considéré ou son carré, exprimée
comme suit:
Min f(x,y)= x2+y2
Et g(x,y)=x2y-16=0
• le Lagrangien :
L(x,y, λ)=f(x,y)- λg(x,y)=x2+y2- λ(x2y-16)
• Recherchons les points stationnaires :
• La fonction lagrangienne :
• Si la fonction objectif f(x) et les fonctions de contrainte d'inégalité gj sont convexes, et les fonctions de
contrainte d'égalité hj sont linéaires alors la région réalisable du problème est convexe et tout minimum
est un minimum global.
Et :
Et optimal si :
Les conditions d'optimalité de second ordre :
• Les conditions nécessaires à Kuhn-Tucker sont satisfaites pour tous minimum local ou maximum .
Si (x *, h *, u *) est un point de Kuhn-Tucker pour le problème, et les conditions de suffisance de
second ordre sont satisfaites à ce point, l'optimalité est garantie.
Minimiser :
Avec :
• Les contraintes d'égalité sont indépendantes les KTC sont les conditions nécessaires et
suffisantes pour une solution optimale .
• Si Q est défini positif, la fonction objectif du problème quadratique est convexe.
• La région réalisable d’un PQ étant définie par des contraintes linéaires, elle est toujours convexe, le QP est
alors un problème de programmation convexe, et toute solution locale est une solution globale. En outre,
les KTC constituent les conditions suffisantes pour un minimum, et une solution répondant à ces
conditions produit l'optimum global.
• Si Q n'est pas défini positif, le problème peut avoir une solution sans bornes ou des minima locaux.
PROGRAMMATION QUADRATIQUE :
x* est un point stationnaire pour AL(x*, 𝝀*, r), quelque soit la valeur de r. Si
𝜵²AL est définie positive alors x* est un minimum local.
Il est à noter que les points stationnaires ne sont pas tous des minimums.
Méthode de barrières
• La méthode de barrières est similaire à la méthode des pénalités. Elle
part d’une solution admissible et tente d’empêcher de sortir de la
région admissible.
• La fonction des barrières B(x,r) = f(x) –r ln(g(x)).
• Si x s’approche de la limite des contraintes, g(x) tend vers 0 et –r
ln(g(x)) tend vers l’infini. Lorsque r approche zéro, x1(r) et x2(r)
convergent vers des valeurs optimales 1,5 et 2,5 et la valeur de la
contrainte tend vers 0.
• La méthode des barrières n’est pas directement applicable à des
problèmes d’égalité de contraintes mais ces dernières peuvent être
fusionnées en utilisant un terme de pénalisation et un autre terme de
barrières pour les contraintes d’inégalité.
programmation linéaire
successive.
(PLS)
Les méthodes de programmation linéaire successive (PLS) résolvent une
séquence d'approximations de programmation linéaire à un problème de
programmation non linéaire.
Rappelons que si gi(x) est une fonction non linéaire et que x0 est la valeur
initiale de x, alors les deux premiers termes du développement en série de
Taylor de gi(x) autour de x0 sont :
• Maximiser : 2x + y
• S.a : x2 + y2 ≤ 25
X2 – y2 ≤ 7
• Et : x ≥ 0, y ≥ 0
un point de départ initial de (xc, yc) = (2,2)
La figure 8.7 illustre les deux contraintes non
linéaires et un contour de fonction objectif avec
une valeur objective de 10.
Maximum :
S.a :
Sa solution optimale est à (∆x, ∆y) = (1, 1), ce qui donne (xn, yn) = (3, 3). Ce point
est entièrement déterminé par les limites de l’étape. Ceci est un point amélioré,
comme on peut le voir en évaluant les fonctions originales. Nous définissons donc
xc = xn et répétons ces étapes pour obtenir le prochain LP.
La réorganisation des termes dans le PL linéarisé donne le sous-problème PLS suivant :
• Sortie:
une approximation x* de la solution
Algorithme
SQP avec contraintes d’inégalité
• LSGRG2: est une extension de GRG2 qui étend la taille limite des
problèmes résolus jusqu’à 1000 variables et contraintes.
• Points de départ
pour les modèles de processus physiques, l’utilisateur devrait éviter
points de départ qui ne représentent pas des conditions de
fonctionnement réalistes.