LES MÉDICAMENTS LES PLUS

PRÉSENTS A L’EXAMEN DE
1
L ’OIIQ
PRÉSENTÉ PAR LONLA KENGNE OLIVIER CLOVIS infirmier clinicien

11/08/2017
INTRODUCTIONS GENÉRALE
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!Vérifier les 7 bons

! 1. Bonne personne
! 2. Bon médicament
! 3. Bonne dose
! 4. Bon moment
! 5. Bonne voie d’administration
! 6. Bien inscrit FADM
! 7. Bon dossier et bon suivi

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3 Énumération des différents
médicaments
I. LE COUMADIN
II. L’HEPARINE
III. LA DOGOXINE / LANOXIN / DIGITALE
IV. LES ANTIARYTHMIQUES : amiodarone, diltiazen, quinidine, propanolol, sotalo
V. LA NITROGLYCÉRINE, DERIVÉS NITRÉS
VI. LES DIURÉTIQUES : LASIX, INDAPAMIDE, HYDROCHLOROTHIAZIDE,
MÉTOLAZONE
VII. LA LYRICA OU PREGABALINE
VIII. LE GRAVOL, OU DIMÉNHYDRINATE
IX. TYLÉNOL (Acétaminophène)
X. LES ANTIÉPILEPTIQUES : Phénytoine (Dilantin), l’acide valproique (Depakine)

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4 Énumération des différents
médicaments(SUITE)
xi. LE ZOFRAN / METOCLOPRAMIDE / MAXERAN
xii. LE LITHIUM
xiii. LA PREDNISONE / SOLUMÉDROL / DÉCADRON
xiv. ACP – ANALGESIE CONTROLÉE PAR LE PATIENT
xv. SYNTHROID / LÉVOTHYROXINE
xvi. DILAUDID / HYDROMORPHONE
xvii. LORAZEPAM / ATIVAN
xviii.OXAZEPAM / SERAX
xix. HALDOL / HALOPÉRIDOL

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5 Énumération des différents
médicaments(SUITE)

xx. RISPERDAL / RISPERIDONE

xxi. CELEXA / CITALOPRAM
xxii. MESYLATE DE BENZTROPINE / COGENTIN
xxiii.DONÉPÉZIL / ARICEPT / EXELON
xxiv. VITAMINE B1 / THIAMINE
xxv. AAS / ASA / ASAPHEN
xxvi. LE KAYEXALATE
xxvii.LA VITAMINE K
xxviii.ATORVASTATINE / ROSUVASTATINE / CRESTOR

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6 Énumération des différents
médicaments(SUITE)
!
xxix. METFORMINE / GLUCOPHAGE
xxx. DIABETA / GLYBURIDE / DIAMICRON
xxxi. CEFTRIAZONE
xxxii.VACOMYCINE
xxxiii.MAALOX / HYDROXYDE D’ALUMINIUN / HYDROXIDE DE MAGNÉSIUM
xxxiv.L’IRBERSATAN

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 I. LE COUMADIN
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!Le Coumadin également connu sous le nom

de Warfarine est un médicament faisant
partie de la classe des anticoagulants.
!Ce médicament aide donc à prévenir la
formation de caillots de sang et/ou empêche
les caillots existants de grossir et de se
propager.
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I. LE COUMADIN (suite)
! Lorsque le caillot est logé dans la jambe, le patient peut ressentir:
! de la rougeur
! de l’enflure
! de la douleur et des engourdissements.
il est cependant parfois sans symptômes.

Le caillot (thrombus) peut se déloger et aller bloquer d’autres vaisseaux

sanguins dans le corps et ainsi causer une embolie pulmonaire. Le caillot
peut aussi se former ailleurs dans le corps et entrainer un AVC (accident
vasculaire cérébral) et un infarctus du myocarde (crise cardiaque).
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 I. LE COUMADIN(suite)
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Le Coumadin agit en diminuant la quantité de vitamine K dans votre corps.

Les personnes traitées avec du Coumadin doivent faire analyser leur sang
régulièrement afin d’en mesurer l’état de coagulabilité (temps que le sang
prend pour faire des caillots). Cette mesure standardisée permet d’obtenir le
RNI (rapport international normalisé) ou INR en anglais. Avec le Coumadin,
on vise un RNI plus élevé, soit normalement entre 2 et 3.

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 10 I. LE COUMADIN(suite)

• Les effets secondaires : ! des signes d'un saignement (des selles sombres et
goudronneuses, un saignement dans un œil, du sang
! Nausées, Vomissements, diarrhées :
dans les selles, dans le vomi ou du vomi qui
! Boutons sur la peau et démangeaisons ressemble à du marc de café, du sang dans l'urine,
une toux ramenant une expectoration de sang);
! Crampes abdominales ou douleurs

! des ecchymoses inexpliquées

! des étourdissements, une faiblesse inaccoutumée, un

essoufflement

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 I. LE COUMADIN
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• Utilisez une brosse à dent souple;

Surveillance
• • Choisissez un rasoir électrique
infirmiers plutôt qu’un rasoir à lames;
Conseils en • Portez toujours un casque en vélo
ou en patins
cas prise de • Évitez les travaux manuels;
Coumadin: • Évitez de marcher les pieds nus.

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12 I. LE COUMADIN (suite)

Recommandations:
1. N’oubliez pas de mentionner à tout professionnel (médecin, infirmier, dentiste,
pharmacien) de la santé que vous prenez du Coumadin.

2. Il n’y a pas de problème à faire de l’exercice de façon régulière. Cependant, il est

recommandé d’éviter les sports de contact.

3. Vous devez être constant dans votre alimentation en maintenant un apport constant et
régulier en vitamine K présent dans les légumes verts (brocoli, choux fleurs, haricots verts,
asperge, poireau, concombre avec peau, cèleri, courgette, épinards, avocats)

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LE COUMADIN (suite)
4. Vous devez également être constant et modéré dans votre consommation
d’alcool.

5. Vous devez respecter les dates de vos prises de sang. Si vous êtes dans
l’impossibilité de vous rendre à votre prise de sang, vous devez nous en
aviser.

6. Si vous oubliez de prendre votre médicament et que vous vous en

apercevez le jour même, prenez-le immédiatement.
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14 II. L’HEPARINE

L'héparine appartient au groupe de médicaments appelés anticoagulants. Les

anticoagulants freinent le processus de coagulation du sang et cette action prévient la
formation de dangereux caillots dans les vaisseaux sanguins,

L'héparine s'utilise aussi pour prévenir la coagulation du sang durant une dialyse,
après la pose de lignes intraveineuses, au cours d'une opération à cœur ouvert et
dans le traitement contre une thrombose veineuse profonde et une embolie
pulmonaire. L'héparine est souvent employée après la survenue d'une crise
cardiaque et dans les cas d'angor instable (une douleur thoracique qui se produit
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même au repos). Son utilisation thérapeutique s'étend aussi au traitement prodigué
après la survenue d'accidents vasculaires cérébraux causés par des caillots sanguins.
15 II. L’HEPARINE(suite)

! L'héparine se donne en injection. Pour les injections

d’anticoagulants, la région abdominale est recommandée à l’exception
d’une zone de 5 cm autour de l’ombilic et de toute ligne cicatricielle.
Vous pouvez injecter de chaque côté de l’ombilic et en dessous mais pas
au-dessus dans la zone qui forme un U. Il y a beaucoup moins de
saignement dans cette zone. En cas d’impossibilité d’utiliser cette zone,
par exemple dans des chirurgies abdominales, on peut utiliser les
cuisses et les bras comme solution alternative.
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16 II. L’HEPARINE(suite)

! Effets secondaires:

1. La diminution du nombre de plaquettes (qui devrait être surveillé durant le

traitement par l'héparine) ;

2. des douleurs musculaires

3. Les autres effets secondaires qu'entraine l'héparine sont ceux liés à ses

effets anticoagulants à savoir des risques de saignement et d'hémorragie.

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17 II. L’HEPARINE(suite)

!Surveillances Infirmières:
! l'apparition de bleus ou de zones violacées sur la peau sans
cause apparente ;
! des règles anormalement abondantes ou des saignements
menstruels inattendus
! un saignement des gencives lors du brossage des dents
! des saignements du nez de cause inconnue
! du sang dans l'urine, des selles noirâtres, goudronneuses
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ou sanglantes
18 II. L’HEPARINE(suite)

! ANTIDOTE : sulfate de protamine

! Il ne faut pas masser le site après avoir injecté

! L’héparine demande une double vérification.

! Si le client est sujet aux ecchymoses, appliquer un sac de glace pendant 5

min après l’injection.

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19 III. LA DOGOXINE, LANOXIN, DIGITALE

! On l'utilise pour traiter les formes légères à modérées de l'insuffisance cardiaque

congestive de même que certains types d'anomalies du rythme cardiaque.

! Elle aide à atténuer les symptômes de l'insuffisance cardiaque congestive (par ex.
l'enflure des chevilles, des pieds et des mains; l'essoufflement, la fatigue fréquente)
en améliorant la capacité de pompage du cœur. La digoxine contribue également à
maintenir un rythme cardiaque normal chez des patients atteints de fibrillation
auriculaire.

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20 III. LA DOGOXINELANOXIN, DIGITALE

! Les effets secondaires sont :

! Bradycardie, fatigue
! Nausée, vomissement, diarrhée.
! Vision trouble
! Les surveillances infirmière sont :
! Ne pas donner médicament si FC < 60/min
! Mesurer régulièrement TA et FC
! Surveiller la digoxinemie
! Surveiller le taux de K+, CA+, MG+, car le taux sérique bas de ses ions augmente le risque d`effets
secondaire de digoxin
! Évaluer l`œdème, peser die.
! Bilan ingesta/excreta.
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21 III. LA DOGOXINE/LANOXIN/ DIGITALE

! La digoxine 3R:

!Ralenti la FC

!Régularise le rythme cardiaque.

!Renforce la contraction du myocarde.

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22 iv. LA NITROGLYCÉRINE, DERIVÉS NITRÉS

! Les nitrates peuvent servir à prévenir les douleurs thoraciques

(Angine) à réduire le nombre de crises angineuses, à soulager la

douleur au cours d’une crise et à traiter les symptômes d’insuffisance

cardiaque.

! Ce sont des vasodilatateurs, ce qui signifie qu’ils élargissent (dilatent)

les vaisseaux sanguins afin de faciliter la circulation du sang et de

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permettre à plus de sang riche en oxygène d’arriver au cœur.
23 iv. LA NITROGLYCÉRINE, DERIVÉS NITRÉS
(suite)

! Il existe différents types de nitroglycérine :

1. Vaporisateur sublingual à vaporiser sur ou sous la langue.

2. Timbre transdermique qui transmettent les nitrates par la

peau.

3. Comprimés : sublinguaux (à placer sous la langue) ou

buccaux (tenus sous la lèvre ou à l’intérieur de la joue en 11/08/2017

attendant leur dissolution).

24 iv. LA NITROGLYCÉRINE, DERIVÉS NITRÉS
(suite)
! Les effets secondaires:

!Étourdissements, chute de la pression

artérielle(hypotension hortostatique)
!Bradycardie,
!Maux de tête
!Nausées / Vomissements
! bouffé de chaleur
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25 iv. LA NITROGLYCÉRINE, DERIVÉS NITRÉS
(suite)
Surveillances infirmières
•Soulagement ou aggravation de la symptomatologie
•Mesurer régulièrement la TA et FC.
•Changer le site d’application, appliquer de préférence sur les
bras et la poitrine (nitro transdermique).
•S’abstenir d’inhaler durant l’administration du médicament
(puff de nitro)
•En cas de DRS on administre les puffs de nitroglycérine chaque
5 min max 3 puff. Mesurer la TA et la FC entre chaque dose.
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26 v. LES ANTIARYTHMIQUES : amiodarone, diltiazen,
quinidine, propanolol, sotalo
Les antiarythmiques sont des médicaments utilisés pour supprimer les
rythmes accélérés du cœur, appelés arythmies cardiaques, telles la
fibrillation auriculaire, le flutter auriculaire, la tachycardie ventriculaire et la
fibrillation ventriculaire.
Les problèmes liés au rythme cardiaque découlent d’un dérèglement du
système électrique du cœur. Les antiarythmiques préviennent et traitent les
anomalies liées aux battements cardiaques

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27 v. LES ANTIARYTHMIQUES : amiodarone, diltiazen,
quinidine, propanolol, sotalo ( SUITE)

Effets secondaires
• Hypotension, étourdissement.
• Bradycardie
• Nausée, vomissement

Surveillances infirmières
• Mesurer TA et FC avant D’administrer le médicament
• Ne pas donner médicament si FC < 50 /min
• Eviter café, thé (excitant)
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 vi. LES DIURÉTIQUES : LASIX, INDAPAMIDE,
28 HYDROCHLOROTHIAZIDE, MÉTOLAZONE

! Un diurétique est une substance qui entraîne une augmentation de la

sécrétion urinaire et qui peut être utilisée notamment pour traiter
l'hypertension artérielle, l'insuffisance cardiaque, certains œdèmes, ou
l'hyperkaliémie.

!Les effets secondaires:

" Etourdissements

" Déshydratations (faiblesse, perte d’élasticité de la peau, sècheresse de la

bouche, réduction de la quantité d’urine)
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 vi. LES DIURÉTIQUES : LASIX, INDAPAMIDE,
29 HYDROCHLOROTHIAZIDE, MÉTOLAZONE(SUITE)

!Surveillances infirmières

# Bilan ingesta / excreta, diète riche en K+(banane, pomme

de terre)
# Mesurer la TA et FC avant d’administrer le médicament
# Surveiller les œdèmes aux membres inférieurs et supérieurs
# Surveiller le taux sanguin de potassium K+
# Limiter le temps d’exposition au soleil

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 vii. LA LYRICA OU PREGABALINE
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! Elle appartient à la classe des médicaments appelés analgésiques. Elle s'utilise

pour soulager la douleur neuropathique associée à la neuropathie diabétique

(douleur provoquée par les nerfs que le diabète a endommagés) et aux

névralgies post zostériennes (douleurs persistant après la cicatrisation d'une

éruption cutanée due à un zona).

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31 vii. LA LYRICA OU PREGABALINE( suite)

!Les effets secondaires :

1. une constipation;
2. des étourdissements;
3. un gain de poids;
4. une perte d'énergie;
5. Une sécheresse de la bouche;
6. Une somnolence

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32 vii. LA LYRICA OU PREGABALINE( suite)

!Surveillances infirmières
! Toujours attendre une heure de temps avant d’administrer la Lyrica.

! Soulagement ou aggravation de la symptomatologie

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viii. LE GRAVOL, OU DIMÉNHYDRINATE,
! Appartient au groupe de médicaments appelés antiémétiques - antihistaminiques
! Ce médicament s'utilise pour prévenir et soulager le mal des transports, de même que la
nausée et les vomissements associés à la chimiothérapie, la radiothérapie et la chirurgie.

!Les effets secondaires:

!
1. De la constipation ;
2. Des étourdissements ;
3. Une sécheresse de la bouche ;
4. De la somnolence.

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 viii. LE GRAVOL, OU DIMÉNHYDRINATE

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(suite)
! Surveillances infirmières :
! Des convulsions ;
! Signes vitaux si détérioration de l’état de conscience;
! Apparition de confusion;
! Une respiration rapide et superficielle ;
! Présence de rétention urinaire.

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35 ix. TYLÉNOL (Acétaminophène)
(suite)
! L'acétaminophène appartient à un groupe de médicaments appelés
analgésiques (les antidouleurs) et antipyrétiques (les réducteurs de la
fièvre).
!Les effets secondaires :
1. des maux de gorge absents avant le traitement et non provoqués par
le trouble traité ;
2. des lésions, des ulcères ou des taches blanches sur les lèvres ou dans la
bouche ;
3. un saignement inaccoutumé ou des ecchymoses
4. une urine sanglante ou trouble
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36 ix. TYLÉNOL (Acétaminophène)
(suite)
Surveillances infirmières:
!Des symptômes d'une insuffisance hépatique;
!Précautions contre un surdosage: un surdosage
d'acétaminophène peut mener à une atteinte
hépatique susceptible de menacer la vie.

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37 x. LES ANTIÉPILEPTIQUES : Phénytoïne (Dilantin), l’acide

valproïque (Dépakine)

! Ces médicaments diminue le nombre et la gravité des crises

convulsives. C’est un anticonvulsivant et il prévient les crises
convulsives.

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38 x. LES ANTIÉPILEPTIQUES : Phénytoïne (Dilantin), l’acide

valproïque (Dépakine) (suite)

!Les effets secondaires :
! Des maux de tête, des étourdissements
! De la confusion; la somnolence
! De la difficulté à dormir;
! De la douleur musculaire et osseuse;
! Nausée / Vomissement;

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39 x. LES ANTIÉPILEPTIQUES : Phénytoine (Dilantin),
l’acide valproique (Depakine) ( SUITE )

!Surveillances infirmières
! être assidu a ses contrôles sanguins.
! évitez de conduire jusqu’à ce que l’effet du médicament soit stabilisé.
! Un arrêt soudain du traitement pourrait accroître le nombre ou la
gravité des crises convulsives, réduire la dose graduellement avant de
l'arrêter complètement.

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40 xi. LE ZOFRAN (ondasétron)/
MAXERAN (métoclopramide)
! Ils appartiennent a la classe des médicaments appelés antiémétiques

! Elle s'avère également utile dans le traitement de la nausée et des

vomissements

! Les Effets Secondaires :

! Des maux de tête, de l'agitation,
! De l'insomnie, des étourdissements,
! Une augmentation de la motilité gastrique (maxéran),
! Des spasmes musculaires (torticoli, mouvements involontaires des yeux,)

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41 xi. LE ZOFRAN / METOCLOPRAMIDE /
MAXERAN ( suite)
! Surveillance Infirmière:
! Le risque de dyskinésie tardive, Ce trouble du mouvement se
caractérise par des mouvements musculaires anormaux,
principalement au niveau du visage (langue, mâchoires,
bouche, lèvres). Le risque augmente avec la durée du
traitement et est plus élevé chez les aînés.
! Il faut éviter de prolonger le traitement par métoclopramide
au-delà de 12 semaines à moins d'avoir établi que les bienfaits
dépassent les risques.
!

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42 xii. LE LITHIUM

! S’UTILISE POUR TRAITER LES ÉPISODES MANIAQUES DU TROUBLE BIPOLAIRE.

! Les personnes atteintes du trouble bipolaire l'utilisent aussi pour prévenir les
épisodes maniaques ou en réduire la fréquence. Ce médicament a un effet «
stabilisateur » sur les nerfs, qui en retour, permet de réduire les fortes fluctuations
de l’humeur associées au trouble bipolaire.

! Le lithium commence à agir en 5 à 7 jours, mais il est possible qu'il mette jusqu'à
3 semaines pour maîtriser les symptômes maniaques (par ex. l'insomnie, le
manque de discernement, l'hyperactivité, les sentiments de grandeur, l'agressivité
et parfois l'hostilité).
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43 xii. LE LITHIUM (suite)

! Effets Secondaires( signes de toxicitÉ)

! -Maux d’estomac, nausée, diarrhée ou vomissements
! -Prise de poids
! -Tremblement (agitation) des mains
! -Éruptions cutanées, perte de cheveux, Acné
! -Somnolence, faiblesse, confusion, problèmes de concentration

11/08/2017
44 xii. LE LITHIUM (suite)

! Surveillance infirmière:
# La lithémie (taux de lithium dans le sang)
# Éviter des transpirations abondantes après un exercice physique intense
et prolongé, des séances de sauna ou en raison des températures élevées
# Une grippe ou de la fièvre, des selles molles (diarrhée) ou des
vomissements
# Suivre un régime alimentaire à faible teneur en sel ou en sodium; vous
devriez essayer de respecter ce régime de manière constante
# Suivre un régime alimentaire sain et bien équilibré et faites de l’exercice
régulièrement.
11/08/2017
45 xiii. La prednisone

! La prednisone appartient au groupe de médicaments

appelés corticostéroïdes. Elle s'utilise pour traiter des
troubles divers. Le plus souvent, elle est prescrite pour
traiter les réactions allergiques, les crises d'asthme graves
et l'arthrite, la colite ulcéreuse
! Elle agit en diminuant l'enflure, l'inflammation et
l'irritation, en inhibant la réponse immunitaire de
l'organisme ou en remplaçant les stéroïdes lorsque le
corps n'en produit pas suffisamment

11/08/2017
46 xiii. La prednisone( suite)

!Effets Secondaires:
! De la diarrhée, la nausée, des vomissements
! une peau mince et luisante, remplissage ou l'arrondissage du visage
! Une prise de poids, une enflure des pieds ou de la partie inférieure
des jambes);
! Un retard de croissance (pour les enfants);
! Des symptômes d'un taux de sucre sanguin élevé (par ex. des
émissions de l'urine fréquentes, une soif accrue, un appétit excessif,
une perte de poids inexpliquée, des infections, une haleine fruitée);
! La lenteur excessive de la guérison des plaies.
! Une altération du système immunitaire.
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47 xiii. La prednisone( suite)

! Surveillances Infirmières
! Électrolytes et liquides
! Limiter votre consommation de sel et prendre des suppléments de potassium,
! Votre corps pourrait retenir une plus grande quantité de liquide
! Problèmes oculaires
! Un traitement de longue durée par la prednisone peut entraîner un glaucome et
des lésions éventuelles du nerf optique, ou encore des cataractes.
! Sucre sanguin élevé
! La prednisone peut faire augmenter le taux de sucre sanguin, par conséquent
faudrait surveiller la glycémie capillaire
! Ostéoporose

11/08/2017
48 xiv. ACP – ANALGESIE CONTROLÉE
PAR LE PATIENT
! C’est un moyen efficace pour soulager la douleur après une opération
chirurgicale.
! Elle sert souvent à soulager la douleur dont souffrent les opérés et les
cancéreux en phase terminale et des parturientes.
! Narcam a garder a proximité d’un patient ayant l’ACP
! Effets Secondaires:
! Des nausées, vomissements,
! Des démangeaisons,
! De la somnolence,
! Un ralentissement de la respiration ou de la constipation.
11/08/2017
49 xiv. ACP – ANALGESIE CONTROLÉE
PAR LE PATIENT (suite)
! Surveillances Infirmières

1. L’intensité de la douleur - Le degré de soulagement du patient

2. Le degré de sédation (échelle de Pasero),
3. L’augmentation du degré de sédation est un meilleur indicateur de
la dépression du SNC que la diminution de la fréquence respiratoire
4. L’état respiratoire (fréquence, rythme, amplitude, ronflements,
saturation pulsatile en oxygène)
5. Il faut craindre la dépression respiratoire consécutive a la dépression
du SNC, car elle peut être mortelle.
11/08/2017
50 xv. SYNTHROID –
LÉVOTHYROXINE
La glande thyroïde, Une glande est un organe qui sécrète des hormones T3
et T4. Le rôle de la thyroïde est primordial. Elle agit comme chef
d’orchestre de plusieurs fonctions hormonales, et régule la « vitesse » du
fonctionnement de certaines cellules et organes du corps.
C’est un supplément en hormone thyroïdienne utilisé pour traiter les
personnes dont la glande thyroïde ne produit pas suffisamment
d'hormones.
La lévothyroxine réduit les symptômes d'hypothyroïdie tels que la prise
de poids, la sensibilité au froid, le manque d'énergie et la sécheresse
cutanée.

11/08/2017
51 xv. SYNTHROID –
LÉVOTHYROXINE(suite)
! En vue de dépister ou de confirmer un diagnostic d’hypothyroïdie, on
évalue les niveaux d’une certaine hormone dans votre sang, appelée la
TSH (thyroid stimulating hormone)

! EN CAS D’HYPERTHYROÏDIE, les taux de cette hormone seront élevés.

Cela s’explique par le fait qu’une autre glande, l’hypophyse, tente
d’envoyer un message à la thyroïde de produire plus d’hormones
thyroïdiennes, mais en vain… Les deux hormones principales produites
par la thyroïde, la T3 et la T4, seront retrouvées en plus faible quantité
dans le sang, témoignant de la difficulté de la thyroïde à les produire

11/08/2017
52 xv. SYNTHROID –
LÉVOTHYROXINE(suite)
!Effets Secondaires( D’HYPERTHYROÏDIE)
- Une douleur thoracique,
- Des battements de cœur irréguliers ou un essoufflement;
- Des vomissements, diarrhée
- Une augmentation de l'appétit
- Une perte de poids
- De la nervosité ou de l'irritabilité
- des troubles du sommeil
! 11/08/2017
53 xv. SYNTHROID –
LÉVOTHYROXINE(suite)
!Surveillances Infirmières
!Glycémie capillaire,
La lévothyroxine cause une élévation du taux de sucre
sanguin.
!Maladie cardiaque
Ce médicament est susceptible d'augmenter le travail que le
cœur doit fournir
!Vérifier les taux d’hormones thyroïdiennes périodiquement
par des prises de sang.
11/08/2017

!
54 SYNTHROID – LÉVOTHYROXINE(suite)

! HYPOTHIROIDIE
!Effets secondaire:
# constipation
# une fatigue intense, qui dure ;
# une frilosité anormale et une hypothermie ;
# une prise de poids
# une baisse de l’appétit ;
# un ralentissement du rythme cardiaque (bradycardie) ;
# une peau pâle et sèche ; 11/08/2017

# des ongles et des cheveux fragiles et cassants ;

# une voix enrouée
55 SYNTHROID – LÉVOTHYROXINE(suite

! EN RÉSUMÉ:
! EFFETS SECONDAIRE DE L’HYPOTHIROIDIE= CONTRAIRE DES
MANIFESTATIONS DE L’HYPERTHIROIDIE

! HYPOTHIROIDIE: T3↓ T4 ↓ TSH ↑

! HYPERTHIROIDIE: T3↑ T4↑ TSH↓

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56 xvi. DILAUDID / HYDROMORPHONE

! L'HYDROMORPHONE: appartient à la famille des médicaments appelés

analgésiques opioïdes (des narcotiques analgésiques).

!Effets Secondaires
! De la constipation;
! De la somnolence;
! De la nausée ou des vomissements;
! Une sécheresse de la bouche;
! Des troubles du sommeil;

11/08/2017
57 xvi. DILAUDID / HYDROMORPHONE (suite)

! Surveillances Infirmières

! Dépendance : ce médicament peut créer une dépendance s'il est employé

pour une période prolongée
! L'interruption soudaine de la prise de l'hydromorphone peut entraîner des
symptômes de sevrage
! Difficulté respiratoire ( SURVEILLER LES RISQUES DE DÉPRESSION
RESPIRATOIRE)
! Pression artérielle basse, l'hydromorphone peut entraîner une baisse
considérable de la pression artérielle
11/08/2017
58

xvii. LORAZEPAM / ATIVAN

! Le lorazépam appartient à la classe de médicaments appelés
benzodiazépines, il exerce une action dépressive sur le système nerveux
central (SNC).
! Il s'utilise pour le soulagement rapide des symptômes de l'anxiété. Le
lorazépam peut être utilisé comme traitement initial dans le contrôle des
crises d'épilepsie successives (Crises convulsives).
!Effets Secondaires
! Des étourdissements ou une sensation de tête légère
! De la somnolence
! Des difficultés d'élocution.
11/08/2017
59

xvii. LORAZEPAM / ATIVAN (suite)

! Surveillance Infirmière
! Les patients doivent aussi s’abstenir de consommer de l’alcool pendant
la durée du traitement par le lorazépam à cause des risques de
potentialisation.
! Aînés : les aînés sont plus susceptibles d'être touchés par les effets
secondaires du lorazépam comme la sédation (un assoupissement) et
l'incoordination
! Affection du poumon : les personnes atteintes d'une affection du
poumon sous-jacente (par ex. une maladie pulmonaire obstructive
chronique, l'apnée du sommeil) ce médicament pourrait influer sur leur
affection.

11/08/2017
60

xvii. LORAZEPAM / ATIVAN (suite)

Surveillances Infirmières (suite)

! Dépression: les personnes qui souffrent déjà d'un état dépressif
pourraient observer la survenue ou l'aggravation de symptômes de
dépression pendant qu'elles emploient ce médicament.

! Somnolence ou vigilance réduite: évitez les activités exigeant de la

vigilance, comme conduire un véhicule, faire fonctionner des
machines, ou accomplir des tâches dangereuses, 11/08/2017
61

xviii. OXAZEPAM / SERAX

! Ce médicament fait partie de la famille des benzodiazépines.
Habituellement, on l'utilise pour combattre la nervosité et l'anxiété ou pour
aider à dormir.

!Effets Secondaires
! Il peut provoquer des pertes de mémoire
! la bouche sèche
! Des étourdissements - levez-vous lentement.
! Nausée / vomissement / diarrhée
! Constipation
11/08/2017
62

xviii. OXAZEPAM / SERAX (suite)

! Surveillance Infirmière

! La prise d'alcool peut augmenter l'effet du médicament.

! La sédation et l'altération de la coordination causées par l'oxazépam peuvent être

plus marquées chez les aînés.

! L’oxazépam traverse le placenta durant la grossesse et peut causer du tort à l'enfant

à naître

! l'oxazépam peut déprimer la respiration.

11/08/2017
63

xix. HALDOL HALOPÉRIDOL

! Ce médicament s'utilise pour le traitement de la psychose aiguë et chronique et
de troubles psychotiques, notamment la schizophrénie et les états maniaques. Il
peut également être utilisé dans le traitement du comportement agité de
certaines personnes et pour maîtriser les éclats verbaux des personnes.

!Effets Secondaires
! Nausée, Vomissement
! Constipation
! Des étourdissements, en particulier en se levant d'une position assise ou
couchée 11/08/2017

! Une sécheresse de la bouche ou un écoulement de salive.

64

xix. HALDOL HALOPÉRIDOL (SUITE)

!Surveillance Infirmière
! Effets cardiovasculaires: des cas de mort subite ou d'altération des battements
cardiaques ont été signalés chez des personnes qui ont reçu de l'halopéridol, en
particulier à des doses excédant les doses recommandées, Surveiller la prolongation du
segment QT ou un déséquilibre des électrolytes (en particulier le potassium et le
magnésium)
! Étourdissements lors du passage à la position debout.
! Mouvements désordonnés: l'emploi de l'halopéridol a été associé à des cas de
dyskinésie tardive (DT),
! Numération globulaire FSC; ce médicament peut réduire le nombre de neutrophiles, de
globules rouges, de plaquettes
! Troubles convulsifs: l'utilisation d'halopéridol peut augmenter la fréquence des 11/08/2017
convulsions.
65 xx. RISPERDAL / RISPERIDONE

! Il appartient au groupe de médicaments appelés agents antipsychotiques. Ces médicaments s'utilisent

pour traiter des troubles mentaux et émotionnels comme la schizophrénie et le trouble bipolaire.

! On utilise également la risperidone pour le traitement à court terme de certains problèmes

comportementaux (comme l’agressivité verbale ou physique, la méfiance et l’agitation).

!Effets Secondaires
! Nausée / Vomissement / Diarrhée
! Constipation
! Une sècheresse de la bouche
! Une rigidité musculaire / Tremblements

11/08/2017
66 xx. RISPERDAL / RISPERIDONE(suite)

! Surveillance Infirmière
! Syndrome malin des neuroleptiques (SMN) : la rispéridone, comme les autres
médicaments antipsychotiques, peut provoquer un syndrome potentiellement
mortel.
! Somnolence ou vigilance réduite; la rispéridone peut interférer avec des activités
qui demandent de la vivacité d'esprit.
! Faible nombre de globules blancs : la rispéridone peut provoquer une réduction du
nombre de globules blancs.
! Dyskinésie tardive (DT); un syndrome caractérisé par des mouvements
involontaires répétitifs et parfois irréversibles des muscles du visage et de la
langue.
! Contrôle de la température corporelle
11/08/2017
67 xxi. CELEXA / CITALOPRAM

! Elle s'utilise pour soigner une dépression, il peut s'écouler

plusieurs semaines avant que son efficacité atteigne son seuil
maximal.
! Effets Secondaires
! Nausée / Vomissement / Diarrhée
! Une sécheresse de la bouche
! De la somnolence, de la fatigue

11/08/2017
68 xxi. CELEXA / CITALOPRAM(suite)

!Surveillance Infirmière
!Fréquence cardiaque; le citalopram peut ralentir le
rythme cardiaque de certaines personnes, ce qui est
susceptible d’aggraver les symptômes de la maladie
cardiaque.
!Somnolence ou vigilance réduite; Évitez les activités qui
nécessitent de la vigilance, du jugement et de la
coordination physique.
!Diabète; le citalopram peut abaisser le taux de sucre
sanguin (une hypoglycémie). 11/08/2017

!
69 xxii. MESYLATE DE BENZTROPINE /
COGENTIN
! Il appartient au groupe de médicaments appelés médicaments «
antiparkinsoniens » et est utilisé pour le traitement d’effets secondaires liés
aux mouvements induits par les médicaments antipsychotiques, (effets
secondaires parkinsoniens ou « extrapyramidaux »)

!Effets Secondaires
! Sécheresse de la bouche
! Étourdissement, vertiges, hypotension artérielle
! Constipation
! Maux d’estomac, nausée, vomissements.
11/08/2017
70 xxii. MESYLATE DE BENZTROPINE /
COGENTIN
(suite)
!Surveillances Infirmières

! Somnolence ou vigilance réduite: la benztropine peut diminuer les capacités

mentales ou physiques nécessaires à l'exécution de certaines activités dangereuses

! Transpiration: la benztropine peut altérer la capacité de transpirer de quelques

personnes

11/08/2017
71 xxiii. DONÉPÉZIL / ARICEPT

! Ce médicament s'utilise pour traiter les symptômes des personnes

atteintes de la maladie d'Alzheimer dont l'intensité est légère à forte. Il
agit dans le cerveau pour améliorer la réflexion, la mémoire,
l'attention et la capacité d'accomplir des tâches toutes simples
! Effets Secondaires
! Nausée / Vomissement / Diarrhée/troubles du sommeil;/Une perte d'appétit;
Surveillances Infirmières
! Épilepsie: il est possible que le donépézil augmente le risque de crises convulsives
pour les personnes qui y sont prédisposées.
! Maladie cardiaque; Le donépézil pourrait ralentir la fréquence cardiaque.
11/08/2017
72 xxiv. VITAMINE B1 / THIAMINE

! LA VITAMINE B1 PARTICIPE À LA DÉGRADATION DE L’ALCOOL PAR LE FOIE. LA

VITAMINE B1 EST INDISPENSABLE AU BON FONCTIONNEMENT DU CERVEAU ET DE
L’ENSEMBLE DU SYSTÈME NERVEUX, QUI UTILISENT ESSENTIELLEMENT DES
GLUCIDES EN GUISE DE CARBURANT.

! ELLE EST AUSSI IMPORTANTE POUR LES MUSCLES.

! SEVRAGE ALCOOLIQUE OU PRÉVENTION DE LA CARENCE EN CAS D’ALCOOLISME

CHRONIQUE +++ ; LA CARENCE EN VITAMINE B1 DOIT ÊTRE CORRIGÉE LE PLUS TÔT
POSSIBLE, DE MANIÈRE À PRÉVENIR LES COMPLICATIONS NEUROLOGIQUES ET
PSYCHIATRIQUES : L’ENCÉPHALOPATHIE DE GAYET-WERNICKE (QUI SE TRADUIT
PAR DE LA CONFUSION, DES DIFFICULTÉS À MARCHER, DES TROUBLES DE LA
MÉMOIRE) ET LE SYNDROME DE KORSAKOFF (À L’ORIGINE DE TROUBLES MENTAUX).
11/08/2017
73 xxiv. VITAMINE B1 / THIAMINE(suite)

! Effets Secondaires:

! La vitamine B1 ne présente pas de toxicité, puisque la quantité que le corps est capable

d’assimiler est limitée. L’excédent éventuel de vitamine B1 est éliminé dans les urines

! Surveillances Infirmières:

! L’assimilation de la Vit B1 est réduite en cas de consommation excessive d’alcool ou

d’usage prolongé de médicaments anti-acides (prescrits en cas de reflux gastro-

œsophagien ou d’ulcère de l’estomac)

11/08/2017
74 xxv. AAS / ASA / ASAPHEN

! Ce médicament est un antiplaquettaire qui « éclaircit » le sang. Habituellement, on l'utilise pour

la prévention des maladies cardiovasculaires. On l'emploie aussi en appoint dans le traitement de
l'infarctus. Il s’utilise pour soulager la douleur, la fièvre et l'inflammation (la polyarthrite
rhumatoïde, péricardite).

! Effets Secondaires
! Des nausées et des vomissements
! Des brûlures d'estomac

! Entraîner la formation d'ulcères de l'estomac

11/08/2017
75 xxv. AAS / ASA / ASAPHEN(suite)

Surveillance Infirmière
• Le saignement de l'estomac
• Des saignements ou des ecchymoses inhabituels
ou abondants
• Du sang dans l’urine ou les selles ou des selles
noires qui ressemblent à du goudron
11/08/2017
76 xxvi. LE KAYEXALATE

On l'utilise pour réduire les élévations des taux

de potassium sanguins (hyperkaliémie).

Effets Secondaires

• Perte d’appétit
• Nausée, Vomissements, Diarrhée
• Constipation

11/08/2017
77 xxvi. LE KAYEXALATE(suite)

• Baisse des taux de potassium, qui

entraine des symptômes comme de
Surveillance la confusion, des irrégularités du
rythme cardiaque et de la faiblesse
Infirmière ou des crampes musculaires.
• La présence de maladie obstructive
des intestins.

11/08/2017
78 xxvii.LA VITAMINE K

! Elle joue un rôle dans la coagulation sanguine et dans le

métabolisme de la fixation du calcium sur les os.
! Effets Secondaires
! Même à des doses très élevées, la vitamine K ne cause pas d’effets
indésirables notables
! Surveillances Infirmières
! Si vous prenez des anticoagulants de façon régulière, il est
recommandé d’éviter de changer votre consommation de vitamine
K (aliments ou suppléments) de façon importante pour assurer la
11/08/2017

stabilité de l’effet de ces médicaments.

79 xxviii.ATORVASTATINE / ROSUVASTATINE
/ CRESTOR
! Il Appartient au groupe de médicaments appelés inhibiteurs
de l'HMG-CoA réductase, Elle s'utilise pour améliorer le taux
de cholestérol total en abaissant le taux de mauvais
cholestérol et en élevant le taux de bon cholestérol.
! Les personnes ayant un taux de cholestérol élevé courent un
plus grand risque d'être atteintes d'une affection comme le
risque de crises cardiaques, d'accident vasculaire cérébral et
d'angioplastie

11/08/2017
80 xxviii.ATORVASTATINE / ROSUVASTATINE
/ CRESTOR(suite)
! Effets Secondaires
! Nausée, douleurs gastriques, constipations
! Étourdissements, maux de tête.
! Troubles de sommeil.

! Surveillances Infirmières
! Dommage musculaire: de graves dommages de nature musculaire ont été associés
à l'emploi des statines, surtout quand elles avaient été prises à de plus fortes doses.
! Fonction hépatique: l'utilisation du rosuvastatine peut causer une détérioration de
la fonction hépatique, notamment une insuffisance hépatique.

11/08/2017
 xxix.
81 METFORMINE / GLUCOPHAGE

! La metformine appartient à la classe de médicaments appelés hypoglycémiants oraux. La

metformine agit en diminuant la quantité de glucose formée dans le foie et en facilitant le
passage de ce glucose dans les cellules du corps.

!Effets Secondaires
• Nausée, Vomissements, Diarrhée
• Perte de poids / Perte d’appétit
• Gout métallique dans la bouche.
" Signes et Symptômes d’hypoglycémie: (des difficultés de concentration,
de la somnolence, une peau froide et pâle, une vision floue, des
tremblements accusés)

11/08/2017
xxix.
82 METFORMINE / GLUCOPHAGE(suite)

!Surveillances Infirmières
! Surveillance du taux de sucre sanguin,
! Taux de vitamine B12 : ce médicament peut diminuer le taux de vitamine
B12 (essentielle à la fabrication des globules rouges, au bon fonctionnement
des neurones).
! Régime alimentaire : un traitement par la metformine doit être suivi en
association avec un régime alimentaire approprié.
! Chirurgie : interrompre temporairement la prise de ce médicament
lorsqu’on se préparez à subir une intervention chirurgicale importante.

11/08/2017
83 xxx. DIABETA / GLYBURIDE

! Appartient à la famille des médicaments dérivés de la sulfonylurée. Il s'utilise

pour traiter les taux élevés de sucre sanguin (une hyperglycémie) des personnes
atteintes du diabète de type 2.

! IL augmente la libération de l'insuline (une hormone produite par le pancréas qui

permet au sucre de pénétrer dans les cellules où il devient une source d'énergie) et
aide l'organisme à utiliser l'insuline plus efficacement.

11/08/2017
84 xxx. DIABETA / GLYBURIDE(suite)

Effets Secondaires

$Nausée / Vomissements / Diarrhée,

$Une augmentation du volume d'urine ou des émissions d'urine
plus fréquentes.
$Des étourdissements, la somnolence, une fatigue ou une
faiblesse inaccoutumée,
$Un appétit accru ou diminué,
$Vision trouble,
$Des difficultés de concentration,

11/08/2017
85 xxx. DIABETA / GLYBURIDE(suite)

!Surveillances Infirmières
• Complications du diabète : une maladie du rein, des nerfs ou de l'œil.
• Régime alimentaire et l'activité physique : l'utilisation du glyburide doit se
faire conjointement avec l'adoption d'un régime alimentaire et d'un
programme d'exercice appropriés.
• Taux de Sucre sanguin: comme avec tout autre médicament à base de
sulfamide, comme le gliclazide ou le glimépiride, une hypoglycémie pourrait
se produire.
• Diminution de la réponse : il se pourrait que le glyburide devienne
éventuellement moins efficace en raison d'une aggravation du diabète.
11/08/2017
86 xxxi. CEFTRIAZONE

! Appartient à la famille des antibiotiques connus sous le nom de céphalosporines. On

l'utilise pour prévenir ou traiter certaines infections provoquées par des bactéries.
! La ceftriaxone est souvent utilisée pour traiter les infections du poumon, des voies
urinaires, de la peau, de l'abdomen, des os, des articulations et des membranes qui
entourent le cerveau (méningite).

! Effets Secondaires:
! Des étourdissements, maux de tête,
! Une légère diarrhée,
! Une douleur, une rougeur et une enflure au point d'injection.
! Fièvre, frissons
11/08/2017
87 xxxi. CEFTRIAZONE(suite)

!Surveillances Infirmières
! Analyses de sang : la longueur du traitement à recevoir, peuvent amener certaines
analyses sanguines pendant la prise de la ceftriaxone,

! Prolifération des organismes : le traitement avec cet antibiotique peut favoriser la

prolifération de champignons normaux ou de bactéries non tués par l'antibiotique,

! Désordres de l'estomac et des intestins : en cas de problèmes de l'estomac et de l'intestin

(en particulier d'une colite).

11/08/2017
88 xxxii. VACOMYCINE

! Appartient au groupe de médicaments appelés antibiotiques.

! La présentation orale s'utilise pour traiter certaines infections du tractus gastro-intestinal.

! On utilise la présentation intraveineuse (IV) de ce médicament pour traiter les infections graves ou
possiblement mortelles qui n'ont pas été traitées efficacement par d'autres antibiotiques.

!Effets Secondaires
! De la nausée, des vomissements,
! Des étourdissements, une chute de la pression artérielle, des bouffées de chaleur.

! Une altération du goût;

11/08/2017
89 Xxxii - VANCOMYCINE

! Surveillances Infirmières
• Réactions associées aux perfusions : l'administration intraveineuse de vancomycine
peut provoquer une réaction se caractérisant par une baisse importante de la
tension artérielle, de la nausée, des frissons, de la fièvre, de l'essoufflement et des
démangeaisons,,
• Surveillance du taux de vancomycine sanguin : à des fins de confirmation de l’effet
clinique et de prévention de graves effets secondaires dépendant du dosage,
comme l’ototoxicité et la néphrotoxicité, est nécessaire pour la vancomycine.
• Toujours respecter scrupuleusement les heures d’administration de la vancomycine et
Éviter de décaler les heures.

11/08/2017
90 xxxiii. MAALOX / HYDROXYDE D’ALUMINIUN /
HYDROXIDE DE MAGNÉSIUM

! Le mélange d'hydroxydes de magnésium et d'aluminium

est utilisé pour soulager les brûlements d'estomac.
! Effets Secondaires
! Constipation
! Diarrhée / Nausée
! Ce médicament peut aussi diminuer l'acidité urinaire et
ainsi prédisposer aux infections urinaires.
! Surveillances Infirmières
! Le maalox peut réduire l’absorption d’autres
médicaments, il est préférable de le prendre a au moins
deux d’intervalle entre les autres traitements.
! Prendre le médicament une heure et demie après les 11/08/2017

repas ou directement au moment de l’apparition de

douleurs.
91 xxxiv.BÉNADRYL / DIPHENHYDRAMINE

! La diphenhydramine appartient au groupe de médicaments appelés

antihistaminiques. Les antihistaminiques s'utilisent pour traiter les
symptômes causés par les allergies notamment une irritation oculaire et
un larmoiement, des éternuements, un écoulement nasal, des éruptions
et irritations cutanées.

!Effets Secondaires
! Nausée
! Une sécheresse de la bouche,
! La somnolence, des étourdissements. 11/08/2017

! La constipation
92 xxxiv.BÉNADRYL
DIPHENHYDRAMINE(suite)
!Surveillances Infirmières

! Somnolence ou vigilance réduite; Évitez de conduire ou de faire

fonctionner des machines

! Affections cutanées : on ne doit pas appliquer la crème sur les

éruptions causées par la varicelle ou la rougeole, ni sur de grandes
surfaces cutanées.

11/08/2017
93
xxxv. L’IRBERSATAN

! L'irbésartan appartient à la famille des médicaments appelés

bloqueurs des récepteurs de l'angiotensine II. Ces médicaments
s'utilisent pour abaisser une pression artérielle élevée en relâchant
les vaisseaux sanguins.
! Effets Secondaires:
! Des étourdissements, des maux de tête.
! Une diarrhée, des brûlures d'estomac;
! Une enflure des chevilles.

11/08/2017
 Pression artérielle basse

94
xxxv. L’IRBERSATAN (suite)

! Surveillances Infirmières:
! Pression artérielle basse : il arrive parfois que la pression artérielle baisse
plus bas que prévu après la prise de l'irbésartan
! Somnolence ou vigilance réduite : l'irbésartan, comme les autres
médicaments utilisés pour le traitement de l'hypertension artérielle, peut
provoquer des étourdissements et une sensation de tête légère
! Taux de potassium : l'utilisation de ce médicament peut modifier les taux
de potassium sanguins.

11/08/2017
95 LES MÉDICAMENTS LES PLUS PRÉSENTS A
L’EXAMEN DE L ’OIIQ

!Fin de présentation

11/08/2017
L[ tr[nsfusion s[nguin_
Cours prép[r[toir_s _x[m_n oiiq
 tr[nsfusion s[nguin_

Qu’_st-]_ qu’un_ tr[nsfusion s[nguin_?

!Un_ tr[nsfusion s[nguin_ _st un tr[it_m_nt qui ]onsist_ à ^onn_r ^u
s[ng ou ^_s pro^uits s[nguins à un_ p_rsonn_ lorsqu_ ]’_st jugé
né]_ss[ir_ p[r un mé^_]in.

!Import[nt: l[ tr[nsfusion ^ur_ génér[l_m_nt 4h_ur_s [ p[rtir ^u

mom_nt ou l_ préposé _st [ll_r l_ ]h_r]h_r [ l[ \[nqu_ ^_ s[ng
 tr[nsfusion s[nguin_

• Règl_ pré-tr[nsfusion

!vérifi_r l’or^on[n]_ mé^i][l

!]omplété l[ r_quêt_ s_lon l[ pro]é^ur_ ^_ l’ét[\liss_m_nt

 tr[nsfusion s[nguin_

• AVANT D’ALLER CHERCHER LE PRODUIT SANGUIN:

!S'[ssur_r qu’un []]ès v_in_ux soit ^isponi\l_ _t p_rmé[\l_(n_ ^oit s_rvir
qu’[ l’[^ministr[tion ^u pro^uit s[nguin)

!Vérifi_r l_s sign_s vit[ux: T˚,T@,POULS,RESPIR@TION,ET SPO2

! SI T˚≥38,0 C˚ ou si ]h[ng_m_nt ]liniqu_ ^[ns l[ ]on^ition ^u

r_]_v_ur, [vis_r l_ mé^_]in
 tr[nsfusion s[nguin_

!s_ prés_nt_r [ l[ \[nqu_ ^_ s[ng [v_] un ]oupon [^r_ssogr[phié [u

nom ^u r_]_v_ur sur l_qu_l _st ins]rit l_ nom ^u pro^uit

!prép[r_r l_ ^ispositif ^’[^ministr[tion [u ]h_v_t ^u r_]_v_ur [fin qu_

tout soit prêt pour l’inst[ll[tion ^u pro^uit s[nguin ^_s s[ ré]_ption
 tr[nsfusion s[nguin_
• tr[nsfusion:
![^ministr_r l_ pro^uit s[nguin ^és s[ ré]_ption

!r_m[rqu_ _n [u]un t_mps, l_s pro^uits s[nguins n_ ^oiv_nt êtr_

g[r^é [u réfrigér[t_ur sur l_s unités ^_ soins

!l[ vérifi][tion ^_s ]on]or^[n]_ ^u r_]_v_ur, ^u pro^uit _t ^u

\or^_r_[u ^’émission ^oit s_ f[ir_ [ ^_ux prof_ssionn_ls [utorisés
 tr[nsfusion s[nguin_

!nom, prénom _t numéro ^_ ^ossi_r

!Nom ^u pro^uit
!Group_ s[nguin
!Numéro ^u ^on /lot,^[t_ _t h_ur_ ^_ pér_mption
!Qu[lit[tif ^u pro^uit [sso]iés [u ^ir_]tiv_s
!@sp_]t ^u pro^uit _t son ]ont_n[nt
!Br[]_l_t ^’i^_ntifi][tion [u ]h_v_t
 tr[nsfusion s[nguin_

• P[rmi l_s vérifi][t_urs un ^oit êtr_ l_ tr[nsfus_ur

• Sign_ vit[ux(^ép_n^ ^_s ét[\liss_m_nts)
• Dé\ut :10h
• 1h [près l_ ^é\ut(11h)
• 2h [près l_ ^é\ut(12h)
• 3h [près l_ ^é\ut(13h)
• Fin :14h
• 1h [près l[ fin(15h)
• 4h [près l[ fin(18h)
 tr[nsfusion s[nguin_

• Génér[l_m_nt ont ^é\ut_ l[ tr[nsfusion [ 30]]/h ^[ns l_s 15

pr_mièr_ minut_ puis ont progr[mm_ l[ pomp_ s_lon l_ ^é\it
ins]rit sur l_ \or^_r_[u ^_ tr[nsfusion
 tr[nsfusion s[nguin_

• P_n^[nt l[ tr[nsfusion quoi o\s_rv_r:

!Ét[t génér[l ^u r_]_v_ur

!Sit_ ^_ p_rfusion

!Dé\it ^_ p_rfusion
 tr[nsfusion s[nguin_
• SIGNES DE RE@CTION TR@NSFUSIONNEL
!Fièvr_(n_ répon^[nt p[s [u [ntipyrétiqu_)
!Prurit
!Doul_ur lom\[ir_
!Frisson, ^yspné_ ,^étr_ss_ r_spir[toir_
!S[ign_m_nt génér[lisé
!Chut_ ^_ t_nsion
 tr[nsfusion s[nguin_
• Con^uit_ [ t_nir _n ][s ^_ RE@CTION TR@NSFUSIONNEL

!@rêt_ l[ tr[nsfusion
!F[ir_ un n[]l_0.9 [u mêm_ ^é\it qu_ l_ s[ng
!@vis_ l_ mé^_]in
!@vis_ l[ \[nqu_ ^_ s[ng(m[téri_ls ^_ tr[nsfusion)
!@ssur_r l[ ]on^ition ]liniqu_ ^u p[ti_nt
!Ré^ig_r un r[pport ^’in]i^_nt []]i^_nt
 tr[nsfusion s[nguin_
• Ex_mpl_: p[ti_nt Confusion : [rr[]h_ l[ son ][thét_r périphériqu_
[près l_ ^é\ut ^_ l[ tr[nsfusion
• Con^uit_ [ t_nir:
![rrêt_r l[ pomp_
![]]ès v_in_ux
!R_^é\ut_r l[ tr[nsfusion _n t_n[nt ]ompt_ ^u t_mps r_st[nt
Ex_mpl_ : ^é\ut tr[nsfusion à 14h

P[ti_nt @rr[]h_ l_ j_l]o( vous [v_z pris 1h pour inst[ll_r l_

j_l]o)
Qu_stion : [ qu_l ^é\it r_^é\ut_r[ l[ tr[nsfusion?
Si m[ tr[nsfusion ^oit finir _n 4h _t qu_ j’[i p_r^u 40 minut_ pour
inst[ll[tion ^_ j_l]o [lors pour trouv_r mon t_mps ré_l j_ ^oit
utilis_r ]_tt_ formul_
T_mps ^_ l[ tr[nsfusion(4h)-t_mps p_r^u(1h)=3h.
Dé\it= volum_ :t_mps multiplié p[r l_ ][li\r_
L[ pomp_ volumétriqu_ fon]tionn_ _n ML/H
D : volum_ r_st[nt :3h= ML/H
60 minut_=1H
1H= 3600S
 volume restant
!é#$% &
%3456

_x_mpl_: [près inst[ll[tion j_l]o; volum_ r_st[nt 300ml

7889:
!é#$% & 7;
=100ml/h
Toujours \i_n lir_ l’or^onn[n]_ ^_ tr[nsfusion
 tr[nsfusion s[nguin_

• Fin ^_ prés_nt[tion
PREVENTION DES
INFECTIONS
Cours preparation examen oiiq
 Quelques definitions
• Eclosion: taux anormal d’incidence d’une maladie
infectieuse dans une region geographique donnee,
durant une periode determinee.
• Immunodeprimee: se dit d’une personne qui presente une
suceptibilite accrue a l’infection due au fait qu’elle est
atteinte d’une immunodeficience congenitale,acquise ou
attribuable a des agents chimiotherapeutique ou a des
cancers hematologiques
 PREVENTION DES INFECTIONS

• Isolement: procedure qui consiste a separer les personnes

infectees de celles qui ne sont pas pendant la periode de
contagiosite.

• Precaution:interventions qui visent a reduire,voir a

eliminer,le risque de transmission de micro-organismes
d’un patient-e a un autre:patient-travailleur
 Pratique de base

• Lavage des mains:

• Avant et apres tout contact avec un-e patient-e
• Apres tout contact avec du sang, des liquides biologiques,des
secretions, des excretions,des surfaces,des objets et du
materiel contamines ou souilles;
• Apres avoir retirer les gants
• Apres s’etre mouchee ou etre allee aux toilettes.
• Gants , blouse,lingerie,article de soins,materiel piquant
PREVENTION DES INFECTIONS
PREVENTION DES INFECTIONS
PREVENTION DES INFECTIONS
PREVENTION DES INFECTIONS
 SARM

• SARM(staphylococcus aureus resistant a la méthicilline)

• Mode de transmission:Par contact direct ou indirect

• Le SARM se transmet principalement d’un usager porteur a un autre
usager par les mains contaminées du personnel soignant.
• Mode de protection: lavage des mains, gant,jacquette
• Prelevement: aux niveau des narines
• La meilleure facon de prévénir de l,acquisition ou la transmission du
SARM est l’hygiene des mains pour tous
 SARM
• DÉPISTAGE
!A l’admission pour tous
Sites a prélever:
!Les deux narines
!La région péri anale
!Pourtour de la stomie(ex:trachéostomie,
Colostomie
!Les expectoration si l’usager aune toux productive
!Les plaies chronique
 SARM

• TECHNIQUE DE PRÉLEVEMENT SARM

!Narine: introduire l’écouvillon de 2cm, dans une narine,

effectuer 5 tours, puis l’introduire dans l’autre narine et
recommencer
!Région péri-anale:passer un écouvillon au pourtour de l’anus
!Expectoration: pot de culture
!Plaie chronique: technique idem a la culture de plaie sauf ne
pas nettoyer la plaie avant de faire le prélèvement
 ERV

ERV (Entérococcus resistant a la vancomycine)

Mode de transmission: contact direct ou indirect.

L’ERV se transmet principalement d’un usager porteur a un
autre usager par les mains contaminés du personnel
soignant.
 ERV

!L’ERV se trouve principalement dans les selles et persiste

d’avantage dans l’environnement comparativement au SARM
!Dépistage: a l’admission pour tous
Site a prélever:
!Intra-rectal et/ou a l’intérieur de l’iléostomie ou de la
colostomie
!Plaies chroniques
Technique de prélèvement ERV
• Intra-rectal: introduire un écouvillon a l’intérieur du
rectum(doit y avoir la présence de selles sur l’écouvillon)
• Contre-indication pour la clientèle en neutropénie car
risque d’infection, dans ce cas prélever un échantillon de
selle
 Clostridium difficile
Signes cliniques:
! diarrhees acqueuse avec odeur(crottins de cheval)
!fievre,
!douleurs abdominales diffuse
!Leucocytose
!Illéus, surtout chez les personnes agées
!Sang occulte, mucus ou pus dans les selles.
 Clostridium difficile

Mode de transmission: Par contact direct et

indirect(oral/fecal)
• Materiel infectieux: selles
• Mode de protection: lavage des mains, gants, jacquette
 Clostridium difficile

• Notes au dossier: bien noter les

symptômes(début,qualifier,quantifier) afin d’assurer un
suivi adéquat auprès de l’usager.

• Suspendre:
l’usage des laxatifs et des anti diarrhéique
 Clostridium difficile
L’ordonance collective infirmière permet de procéder a un
prélèvement de selle pour le dépistage du clostridium difficile:
≥ 3 selles molles ou liquides dans un mêmes 24 heures, sans
autre cause évidente
- rappelez-vous: on dépiste = on isole
• On cesse l’isolement après 72 heures de retour de selles a la
normales
 tuberculose
• Signes cliniques: perte de poid fievre,sueurs nocturnes,douleurs pulmonaires
,toux,expectoration de sang

• Mode de transmission: inhalation de microgouttelettes aeriennes.

• Materiel infectieux:secretions repiratoires produites, entre autres par la toux,les
eternuements et les expectorations

• Precautions : aeriennes jusqu’a au moins 2 a 3 semaines de traitement Efficace et

apres 3 frottis des expectorations prelevees a au moins 24 heures d’intervalle.

• Isolement: chambre a un lit a pression negative, porte fermee, masque a haut pouvoir
filtrant(N-95), jaquette a manche longue,gants lavage des mains.

• Test diagnostique: crachats, tuberculines, analyse d’urine, radiographie des poumons

 Varicelle -zona
• Signes clinique varicelle: fievre avec eruption vesiculaire puis
formation de croutes;
• Signes cliniques zona:lesions cutanees vesiculaires et nevralgies(la
douleur associee peut etre tres intense)
• Mode de transmission:par voie aerienne,par projection de
gouttelettes infectees provenant du nez et de la gorge; par contact
direct et indirect
• Precautions:aerienne et contact, j’usqua ce que toutes les lesions
soient seches et croutees
• Materiels; gants,masque N95,jacquettes,chambre a pression
negative ,
• Remarque: seul le personnel et les visiteurs immunises(vaccinees et
ayant eu la maladie ) peuvent penetrer dans la chambre
 GARTRO-ENTÉRITE

!Ce virus est très contagieux

!La période d’incubation est de 24 a 48heures
!Les symptômes durent de 1a 3 jours
-nausées, vomissement, selles liquides
!Précautions additionnelles:
-contact, contact-goutelettes(s’il ya vomissement)
 Gastro-entérite

!Si vous présentez des symptômes de gastro-entérite la

désinfection des lieux doit être effectuée
 INFLUENZA

• Mode de transmission

!Gouttelettes infectées, 24 heures avant l’apparition des

symptômes et jusqu’a 7 jours après le début des
symptômes
 INFLUENZA

! INFLUENZA A OU B
! Très contagieux, ce virus est aussi appelé gripe
! Les usagers atteints d’influenza présentent généralement un syndrome d’allure
grippale):
"Apparitions brusque des symptômes
"température≥ 38,5
"Céphalée
"Fatigue importante
"Courbatures
"Peut être accompagné de toux
 INFLUENZA

• PRÉVENIR L’INFLUENZA ET SES COMPLICATIONS

!il est donc impossible de contracter la grippe par le

vaccin
 GONORHRÉE

• C’est une infection causée par une bactérie.

• Elle se transmet au cours de relations sexuelles orales,
vaginales, et anales.
• Les jeunes de 15 à 24 ans représentent la majorité des cas
déclarés de gonorrhée au Québec.
• Les personnes infectées par la gonorrhée sont souvent
également infectées par la chlamydia.
 GONORHÉE

Symptômes et complications
• des douleurs en urinant;
• des écoulements anormaux du vagin, du pénis ou de l’anus;
• des douleurs au rectum ou au bas du ventre;
• des douleurs lors des relations sexuelles;
• des maux de gorge ou une pharyngite dans le cas d’une
transmission orale-génitale
 GONORHRÉE

• Conséquences possibles sur la santé :

• l’infertilité;
• des douleurs dans le bas du ventre;
• des difficultés à devenir enceinte;
• des difficultés durant la grossesse;
• un risque accru de contracter ou de transmettre le VIH.
 GONORHÉE
• Dépistage
• Lorsqu’il n’y a pas de symptôme, un prélèvement d’urine
suffit. Les gars n’ont donc pas à craindre le coton-tige.
• En présence de symptômes, il est nécessaire de faire un
prélèvement au niveau du col de l’utérus, de l’urètre, de
l’anus ou de la gorge, lors d’un examen médical.
• Traitement
• La gonorrhée se traite à l’aide d’antibiotiques.
• Durant toute la période de traitement, il faut éviter d’avoir
des relations sexuelles. Si tu souhaites malgré tout avoir des
relations sexuelles, le condom s’impose.
 GONOHRÉE

• Protection
• Lorsque tu as des relations sexuelles, utilise un condom.
• Le condom doit être utilisé avant tout contact du pénis avec la
bouche, le vagin ou l’anus.
• Le condom doit être utilisé du début à la fin de la relation
sexuelle.
 SYPHILIS

• C’est une infection causée par une bactérie.

• Elle se transmet principalement de deux façons :
• au cours d’une relation sexuelle orales, anales , et vaginales
• à l’occasion d’un contact intime (peau à peau) avec une lésion.
• Le risque qu’une personne infectée transmette l’infection
est plus élevé la première année qu’elle l’a contractée.
 SYPHILIS

• Symptômes et complications
• des ulcères non douloureux, généralement situés aux
organes génitaux, à l’anus, à la bouche ou à la gorge. Ces
ulcères guérissent spontanément en quelques semaines,
mais l’infection demeure dans l’organisme.
 SYPHILIS

• À un stade plus avancé de la syphilis :

• des symptômes similaires à ceux de la grippe tels que la fièvre,
la toux, des maux de tête, des douleurs et des courbatures, de
la fatigue, des nausées et des vomissements;
• l’apparition de rougeurs ou de boutons sur la paume des mains,
la plante des pieds ou ailleurs sur le corps;
• ces symptômes disparaissent spontanément quelques mois
après leur apparition, mais l’infection demeure dans
l’organisme.
 SYPHILIS

• Conséquences possibles sur la santé :

• Des dommages au cœur, au cerveau, aux os et au foie.
• Un risque accru de contracter ou de transmettre le VIH.
 SYPHILIS
• Dépistage
• Le test de dépistage se fait à l’aide d’une prise de sang.
• Traitement
• La syphilis se traite à l’aide d’antibiotiques.
• Il faut éviter d’avoir des relations sexuelles jusqu’à ce que les
prises de sang démontrent que l’infection est guérie, ce qui
peut prendre plusieurs mois. Si tu souhaites malgré tout avoir
des relations sexuelles, le condom s’impose.
 SYPHILIS

• PROTECTION
• Lorsque tu as des relations sexuelles, utilise un condom.
• Le condom doit être utilisé avant tout contact du pénis avec la bouche, le
vagin ou l’anus.
• Le condom doit être utilisé du début à la fin de la relation sexuelle.
• Pour éviter une transmission par le sang, la meilleure solution
demeure évidemment de ne pas s’injecter ou inhaler de drogues.
• Si tu consommes des drogues par injection ou par inhalation, évite
d’utiliser du matériel usagé.
 LA CHLAMYDIA

• C’est une infection causée par une bactérie.

• Elle se transmet au cours de relations sexuelles orales
vaginales, et anales
• Les jeunes de 15 à 24 ans représentent la majorité des cas
déclarés de chlamydia au Québec.
• La majorité des personnes infectées par la chlamydia n’ont pas
de symptôme.
• S’ils se manifestent, les symptômes sont :
• des douleurs en urinant;
• des écoulements anormaux du vagin, du pénis ou de l’anus;
• des douleurs dans le bas du ventre;
• des douleurs lors des relations sexuelles.
 CLAMYDIA

• Conséquences possibles sur la santé :

• l'infertilité;
• des douleurs au bas du ventre;
• des difficultés à devenir enceinte;
• des difficultés durant la grossesse.
• Une infection causée par la chlamydia augmente le risque
de contracter ou de transmettre le VIH.
 CLAMYDIA
• Dépistage
• Lorsqu’il n’y a pas de symptôme, un test d’urine suffit. Les gars
n’ont donc pas à craindre le coton-tige.
• En présence de symptômes, il est nécessaire de faire un
prélèvement au niveau du col de l’utérus ou de l’urètre lors d’un
examen médical.
• Traitement
• La chlamydia se traite à l’aide d’antibiotiques.
• Durant toute la période de traitement, il faut éviter d’avoir des
relations sexuelles. Si tu souhaites malgré tout avoir des relations
sexuelles, le condom s’impose.
 CLAMYDIA

• Lorsque tu as des relations sexuelles, utilise un condom.

• Le condom doit être utilisé avant tout contact du pénis avec la
bouche, le vagin ou l’anus.
• Le condom doit être utilisé du début à la fin de la relation
sexuelle.
• Si tu es infecté par la chlamydia, il est important d’aviser
tes partenaires afin qu’eux aussi puissent aller passer des
tests de dépistage et recevoir un traitement.
 VIH/SIDA

• Le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) s’attaque

au système immunitaire.
• Le rôle du système immunitaire est de défendre
l’organisme contre les infections. Lorsqu’une personne
est atteinte, son corps devient alors plus vulnérable aux
maladies et aux infections.
 VIH/SIDA
• Le VIH se transmet principalement de 4 façons :
• au cours d’une relation sexuelle avec pénétration du pénis dans le vagin,
l’anus;
• par le sang lors du partage de matériel d’injection ou d’inhalation de
drogues;
• par le sang, lors d’un tatouage ou d’un perçage avec du matériel
contaminé;
• de la mère infectée à son enfant pendant la grossesse, l’accouchement ou
l’allaitement.
• Le virus peut être contracté tant par des hommes que par des
femmes, peu importe leur orientation sexuelle ou leur origine
ethnique.
• Aucun médicament ne permet de guérir complètement du VIH.
 VIH/SIDA
• Souvent, les personnes infectées par le VIH n’ont pas de
symptôme.
• S’ils se manifestent, les symptômes sont :
• de la fièvre;
• de la fatigue;
• des maux de tête ou de gorge;
• des douleurs musculaires ou articulaires;
• des ganglions enflés au cou, aux aisselles ou à l’aine;
• une perte de poids importante;
• de la diarrhée.
 VIH/SIDA

• Conséquences possibles sur la santé :

• Le VIH est une infection qui affaiblit le système immunitaire.
La personne infectée devient plus vulnérable à des maladies
qui ne sont pas dangereuses en général pour les personnes en
bonne santé. Par exemple, elle peut décéder de la grippe.
• La personne infectée peut subir de graves complications
comme des pneumonies, des cancers.
• Une personne qui vit avec le VIH est plus susceptible de
développer certains types de cancers.
 VIH/SIDA

• Être infecté par le VIH augmente le risque de contracter

une autre ITSS.
• Si l’infection par le VIH n’est pas traitée, elle peut évoluer
vers le sida, soit le syndrome d’immunodéficience
acquise.
 VIH/SIDA

• Dépistage
• Le test de dépistage se fait à l’aide d’une prise de sang.
• Traitement
• Il n’y a aucun traitement pour guérir l’infection par le VIH ou le sida.
• Des médicaments peuvent limiter la gravité des dégâts causés par
l’infection au VIH, mais ils ne font pas disparaître le virus de l’organisme.
• Pour être efficace, cette médication doit être prise tout au long de la vie.
• Une personne qui vit avec le VIH doit également être suivie de très près
par un médecin.
 VIH/SIDA

• PROTECTION
• Lorsque tu as des relations sexuelles, utilise un condom.
• Le condom doit être utilisé avant tout contact du pénis avec la
bouche, le vagin ou l’anus.
• Le condom doit être utilisé du début à la fin de la relation
sexuelle.
 VIH/SIDA

• Pour éviter une transmission par le sang, la meilleure

solution demeure évidemment de ne pas s’injecter ou
inhaler de drogues.
• Si tu consommes des drogues par injection ou par
inhalation, évite d’utiliser du matériel usagé.
• Si tu es infecté par le VIH, il est important d’aviser tes
partenaires afin qu’eux aussi puissent aller passer des
tests de dépistage et recevoir un traitement.
 HEPATITE B ET C

• Les hépatites B et C sont des inflammations du foie causées

par un virus.
• L’hépatite B se transmet principalement :
• au cours de relations sexuelles avec pénétration du pénis dans la
bouche, le vagin ou l’anus;
• par le sang lors du partage de matériel d’injection ou d’inhalation de
drogues;
• par le sang lors d’un tatouage ou d’un perçage avec du matériel
contaminé.
 HEPATITE B ET C

• L’hépatite C se transmet principalement :

• par le sang lors du partage de matériel d’injection ou d’inhalation
de drogues;
• par le sang lors d’un tatouage ou d’un perçage avec du matériel
contaminé.
 HEPATITE B ET C
• La majorité des personnes infectées par une hépatite B ou
une hépatite C n’ont pas de symptôme.
• S’ils se manifestent, les symptômes de l’hépatite B sont :
• de la fatigue;
• de la fièvre;
• des douleurs au ventre;
• une perte d’appétit;
• des nausées avec ou sans vomissements;
• parfois, une jaunisse.
 HEPATITE B ET C

• S’ils se manifestent, les symptômes de l’hépatite C

sont :
• de la fatigue;
• une perte d’appétit;
• des maux de cœur ou de ventre;
• une jaunisse, dans certains cas.
 HEPATITE B ET C

• Conséquence des hépatites B et C sur la santé :

• Il est possible de développer une cirrhose ou un cancer du
foie.
 HEPATITE B ET C

• Particularités de l’hépatite B :
• Très souvent, le virus de l’hépatite B disparaît de lui-même et la
personne infectée devient alors immunisée contre ce virus.
Lorsqu’il demeure présent dans l’organisme, on dit de la
personne qu’elle est « porteuse » du virus.
• Si la personne ne guérit pas, elle devient alors porteuse du
virus de l’hépatite B et peut transmettre l’infection toute sa vie.
 HEPATITE B ET C

• Particularités de l’hépatite C :
• La majorité des personnes infectées par le virus de
l’hépatite C deviendront porteuses du virus. Dans certains
cas, il arrive parfois que le virus disparaisse de lui-même.
• Si la personne ne guérit pas, elle devient alors porteuse
du virus de l’hépatite C et peut transmettre l’infection
toute sa vie.
 HEPATITE B ET C

• Dépistage
• Le test de dépistage des hépatites B et C se fait à l’aide d’une
prise de sang.
• Traitement de l’hépatite B
• Des traitements peuvent limiter la gravité de l’infection et,
parfois, permettre la guérison.
• Traitement de l’hépatite C
• Chez le porteur chronique, des traitements peuvent limiter la
gravité de l’infection et, bien souvent, permettre la guérison.
 HEPATITE B ET C
• Il existe un vaccin contre l’hépatite B, mais aucun contre
l’hépatite C.
• Lorsque tu as des relations sexuelles, utilise un condom.
• Le condom doit être utilisé avant tout contact du pénis avec la
bouche, le vagin ou l’anus.
• Le condom doit être utilisé du début à la fin de la relation sexuelle.
• Pour éviter une transmission par le sang, la meilleure solution
demeure évidemment de ne pas s’injecter ou inhaler de
drogues.
• Si tu consommes des drogues par injection ou par inhalation,
évite d’utiliser du matériel usagé.
 VPH

• Le virus du papillome humain (VPH) est une infection causée par un virus.
• Elle se transmet :
• au cours d’une relation sexuelle avec ou sans pénétration du pénis dans la
bouche, le vagin ou l’anus;
• lors d’un contact intime (peau à peau) avec une personne infectée présentant des
lésions ou non.
• C’est une des ITS les plus fréquentes au Québec.
• Les jeunes de 15 à 24 ans sont particulièrement touchés par le VPH
puisqu’il se transmet surtout dans les premières années de l’activité
sexuelle.
 VPH

• Très souvent, l’infection au VPH ne provoque aucun

symptôme.
• S’ils se manifestent, les symptômes sont :
• des petites bosses qui ressemblent à des verrues (condylomes)
sur les organes génitaux, autour de l’anus et, plus rarement,
dans la bouche;
• de l’irritation et des démangeaisons;
• des lésions non visibles à l’œil peuvent se développer au col de
l’utérus.
 VPH

• Conséquences du VPH sur la santé

• Certaines de ces lésions peuvent devenir cancéreuses.
• Dépistage
• Des condylomes
• Il n'y a pas de tests de dépistage de l'infection lorsqu'il n'y a pas de
lésions apparentes.
• En présence de lésions, l'examen médical permet de poser un
diagnostic.
• Des lésions précancéreuses et cancéreuses au niveau du col de
l’utérus
• La détection de ces lésions se fait lors du test de Pap, effectué au
cours d’un examen gynécologique. Le test de Pap permet de
dépister des lésions pouvant indiquer qu’un cancer pourrait se
développer.
 VPH
• Traitement
• La plupart du temps, les lésions ou les condylomes causés par
le VPH au col de l’utérus disparaissent naturellement dans un
délai de 18 mois.
• La disparition des condylomes ne veut cependant pas dire
que l’infection est guérie.
• Pour éliminer les condylomes, plusieurs traitements sont
possibles (application de produits chimiques, traitement au
laser ou à l’azote liquide, etc.).
• Des traitements existent également pour éviter le
développement d’un cancer.
 VPH

• PROTECTION
• Le vaccin contre le VPH est offert gratuitement aux filles
de moins de 18 ans.
• Lorsque tu as des relations sexuelles, utilise un condom.
• Le condom doit être utilisé avant tout contact du pénis avec la
bouche, le vagin ou l’anus.
• Le condom doit être utilisé du début à la fin de la relation
sexuelle.
 VPH

• Même si un condom est utilisé, la transmission demeure possible

pour les zones infectées comme les cuisses, les fesses, les testicules,
etc. Autrement dit, les zones qui ne sont pas couvertes par le
condom.
• Le vaccin contre le VPH protège uniquement contre certains types de
VPH et n’offre aucune protection contre les autres ITS.
• Comme les symptômes peuvent prendre beaucoup de temps avant
de se manifester, il est important pour les filles de se soumettre
régulièrement à un PAP TEST , selon les recommandations de leur
médecin.
Infection Modes de transmission
Chlamydia Sexuel
Gonorrhée Sexuel
Hépatite B Sexuel et sanguin
Hépatite C Sanguin

Syphilis Sexuel et sanguin

VIH/sida Sexuel et sanguin

Virus du papillome humain (VPH) Sexuel et contact peau à peau