fr-wikipedia-org-w..._6

Télécharger au format pdf ou txt
Télécharger au format pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1sur 9

Créer un compte Se connecter

Classe tous risques (film) 15 langues

Article Discussion Lire Modifier Modifier le code Voir l’historique Outils

Cet article est une ébauche concernant un film


français.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant


(comment ?) selon les conventions filmographiques.

Pour les articles homonymes, voir Classe tous risques.

Classe tous risques est un film policier


franco-italien réalisé par Claude Sautet, sorti
Classe tous risques
en 1960.

Ce film s'inspire des dernières années de la


cavale d'Abel Danos (renommé Abel Davos
dans le film), présenté comme un père
aimant et attentionné, dont on apprend
seulement qu'il est recherché par la justice
française, sans qu'il soit jamais précisé
pourquoi (Abel Danos, dit Le Mammouth ou
le Bel Abel, était le tortionnaire le plus brutal
de la Gestapo française). Ses anciens amis
truands, présentés comme des lâches sans
parole, rechignent à l'aider, ce qui contraste
avec le personnage sympathique d'Éric Stark
Affiche japonaise du film.
qui l'aide sans hésitation, sans contrepartie.
Réalisation Claude Sautet
Scénario José Giovanni
Synopsis [ modifier | modifier le code ]
d'après son roman
Claude Sautet
Gangster condamné à mort par contumace
Pascal Jardin
et recherché par la police, Abel Davos s'est
Musique Georges Delerue
réfugié en Italie avec sa femme Thérèse et
Acteurs Lino Ventura
leurs deux enfants. Il réussit avec Raymond
principaux Jean-Paul Belmondo
Naldi un hold-up à Milan mais les deux Michel Ardan
compères sont vite pourchassés, et décident Sandra Milo
de rentrer clandestinement en France. Le
Sociétés de Filmsonor
petit groupe débarque sur une plage déserte
production Mondex Films
de Menton, mais deux douaniers les Les Films Odéon
surprennent. S'ensuit une fusillade, au cours Zebra Films

de laquelle Thérèse et Raymond Naldi sont Pays de France


production Italie
tués. Resté seul avec ses enfants, Abel fait
Genre policier
appel à ses anciens amis de Paris, Riton et
Durée 104 minutes
Fargier et leur demande de venir les
Sortie 1960
chercher à Nice. Ceux-ci, ne pouvant venir
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
eux-mêmes car ils mènent maintenant une
vie à peu près normale, lui envoient un modifier

homme sûr, Éric Stark, au volant d'une


ambulance. Davos se lie d'amitié avec Éric qui le cache dans une chambre de bonne dans son
immeuble. Mais la situation de Davos ne fera que se compliquer et tout finira très mal pour lui
comme pour presque tous ses anciens amis. Éric Stark, lui, s'en tirera presque indemne et
trouvera l'amour avec une auto-stoppeuse qui l'avait aidé en jouant les infirmières quand il
avait ramené Abel Davos de Nice.

Fiche technique [ modifier | modifier le code ]

Titre : Classe tous risques


Réalisation : Claude Sautet
Scénario : Claude Sautet, José Giovanni et Pascal Jardin, d'après le roman Classe tous
risques de José Giovanni
Dialogues : José Giovanni
Musique : Georges Delerue
Décors : Rino Mondelini
Photographie : Ghislain Cloquet
Son : Jacques Lebreton
Montage : Albert Jurgenson
Production : Jean Darvey
Production déléguée : Robert Amon
Directeur de production : Jacques Planté
Sociétés de production : Mondex Films, Les Films Odéon, Filmsonor et Zebra Film
Sociétés de distribution : Cinédis (France), United Artists (États-Unis)
Pays d’origine : France et Italie
Langue originale : français avec quelques dialogues en italien
Format : noir et blanc — 35 mm — 1,66:1 — son monophonique
Genre : policier, drame
Durée : 105 minutes
Dates de sortie :
France : sortie à Paris le 23 mars 1960, sortie nationale le 10 avril 1960
Classification et visa CNC : tous publics, Art et essai (visa d'exploitation no 22432 délivré le
1
10 janvier 1990)

Distribution [ modifier | modifier le code ]

Lino Ventura : Abel Davos, le gangster en cavale


Jean-Paul Belmondo : Éric Stark, le jeune convoyeur
Sandra Milo : Liliane, la jeune femme de la troupe de théâtre
Marcel Dalio : Arthur Gibelin, le receleur
Jacques Dacqmine : le commissaire Blot
Claude Cerval : Raoul Fargier, un ancien complice d'Abel
Bernard Dhéran : Blastone, le directeur de la troupe théâtrale
Michel Ardan : Henri Vintran, dit : Riton, un ancien complice d'Abel
Stan Krol : Raymond Naldi, le complice d'Abel
Simone France : Thérèse Davos, la femme d'Abel
René Génin : M. Chapuis, gardien de musée
Jeanne Pérez : Jacqueline Chapuis
Charles Blavette : M. Bénazet
Philippe March : Jean Martin, dit Petit Jeannot
Betty Schneider : la petite bonne
Évelyne Ker : la fille de Gibelin
Sylvain Lévignac : Jacques Imbert, le détective de l'agence privée
Michèle Méritz : Sophie Fargier, la femme de Raoul
Jean-Pierre Zola : Bacérès, détective privé
France Asselin : Denise Vintran, la femme d'Henri
Corrado Guarducci : Ferrucci, l'intermédiaire italien
Robert Desnoux : Pierrot, le fils aîné des Davos
Thierry Lavoye : Daniel, le second fils des Davos
Marcel Bernier : un inspecteur
Albert Daumergue : un homme chez Riton
Marcel Gassouk : un homme au bureau de poste
Laure Paillette : la dame de l'ascenseur

Production [ modifier | modifier le code ]


Genèse et développement [ modifier | modifier le code ]

La genèse de Classe tous risques naît de la rencontre entre Lino Ventura et Claude Sautet.
Trois ans auparavant, en 1958, Sautet met en scène Bonjour sourire, son premier film en tant
que réalisateur. Mais ce dernier, qui remplaçait Robert Dhéry, ne le considère pas comme son
2, 3 4
premier film personnel . Peu après, Sautet est retourné au poste d'assistant réalisateur . Il
apporte également son aide à des scénarios, notamment en les débloquant quand il le faut et
4
reprend quelques dialogues . Sur le tournage du Fauve est lâché de Maurice Labro, pour
lequel il officie en tant que coscénariste et assistant-réalisateur, il fait la connaissance de
4
Ventura . Lorsque de fréquents désaccords entre Ventura et Labro poussent le réalisateur à
quitter le tournage avant son terme, Sautet, qui s'est rapproché de Ventura, s'attelle à diriger
les dernières scènes du film. Ayant apprécié le film, le réalisateur Jacques Becker, qui a tourné
le premier film avec Ventura, Touchez pas au grisbi, conseille à l'acteur de poursuivre cette
5
collaboration en adaptant le roman de José Giovanni, Classe tous risques . Ventura se
passionne pour le livre de Giovanni, Sautet en apprécie et l'écriture, et le thème du gangster
6, 7
traqué qui tient à rester un bon père de famille .

Alors que Ventura tient le rôle de Danos, Sautet trouve en Jean-Paul Belmondo le jeune acteur
idéal pour interpréter Éric Stark. Sautet a remarqué Belmondo, alors peu connu du grand
8
public, grâce au film Les Tricheurs de Marcel Carné . Néanmoins, les producteurs refusent
d'engager ce jeune acteur alors inconnu avec un physique si particulier, préférant davantage
8
Laurent Terzieff ou Gérard Blain . Mais c'est sans compter la détermination de Sautet, qui,
grâce au soutien de Ventura à l'origine du projet et qui a son mot à dire, arrive à imposer la
8
présence de Belmondo dans le film .

Tournage [ modifier | modifier le code ]

9
Le tournage de Classe tous risques se déroule du 7 octobre au 8 décembre 1959 .
Principalement tourné aux studios Francœur pour les scènes d'intérieur, les prises de vue en
extérieur ont lieu dans des quartiers de Paris et des sites de la Côte d'Azur (Le Cros-de-
Cagnes et Nice).

Commentaires [ modifier | modifier le code ]

Selon la biographie de José Giovanni, le personnage d'Abel Davos est inspiré d'Abel Danos,
dit « le Mammouth » en raison de sa forte corpulence, que ce dernier a connu à la prison de la
Santé. Danos, tueur à gages avant la guerre, a été de 1941 à 1944, un des bourreaux de la
Gestapo française de la rue Lauriston, aussi appelée « la Carlingue », menée par Henri Lafont
et Pierre Bonny, qui se livrait à des actes de collaboration active tout en s'enrichissant. Danos
a été fusillé pour collaboration en 1952.
Interrogé en 1994 par Michel Boujut qui lui demande s'il savait en faisant son film qui était
exactement le modèle de José Giovanni, Claude Sautet répond : « L'aurais-je su que je
n'aurais peut-être pas fait le film. J'ignorais en effet qu'Abel Danos — Davos dans le film —
10
avait fait partie de la bande de Bonny-Lafont pendant l'Occupation ». À l'époque du
tournage, les revues d'Histoire destinées au grand public, notamment Historia, publiaient
régulièrement des articles sur les aspects les plus noirs de la collaboration, et le pseudonyme
adopté est transparent. On pourrait donc s'étonner qu'il ne se soit trouvé personne, parmi ses
anciens amis communistes, qui l'ait mis en garde contre l'apologie d'un homme qui a tué de
nombreux communistes, hommes et femmes, sous la torture. Mais, parmi les critiques de
cinéma de l'époque, aucun ne semble avoir fait le lien, il n'y eut aucune indignation, et cela
n'est jamais évoqué pour expliquer le succès relatif de ce film.

Le complice d'Abel Davos dans sa fuite hors d'Italie, Raymond Naldi, est un avatar de
Raymond Naudy, dit « Le Toulousain », un ancien FFI, devenu le compagnon de Danos dans
le « Gang des Tractions Avant ».

Le commissaire Blot est inspiré du commissaire Georges Clot, responsable à la Libération de


la cellule anti-Gestapo de la police judiciaire.

Petite invraisemblance : quand Éric Stark s'arrête à une station-service pour faire un plein, il
continue à fumer près des pompes et de son réservoir sans que le pompiste lui en fasse la
remarque.

Autour du film [ modifier | modifier le code ]

Le nom du personnage principal, Abel Davos, fait référence à l'oncle de José Giovanni,
11
gangster et membre de la Carlingue .
Le hold-up des dix premières minutes a été tourné en caméra cachée, sans que Claude
Sautet, adepte des méthodes de la Nouvelle Vague, ait prévenu qui que ce soit, ce qui,
dans une des avenues les plus passantes de Milan, ne fut pas sans poser certains
problèmes : les acteurs furent pourchassés par des piétons et il y eut un problème
cardiaque dans la foule.

Sortie et accueil [ modifier | modifier le code ]

Réception critique [ modifier | modifier le code ]

« Sautet mène son film avec une rapidité sèche, dénuée de sensiblerie, dans une atmosphère
pluvieuse et sombre. La solitude de Ventura évoque bien des personnages du cinéaste.
Notamment le Michel Serrault de Nelly et monsieur Arnaud. Ou Daniel Auteuil, ce Cœur en
12
hiver. — Pierre Murat »
« Réalisation nerveuse, violente, donnant aux personnages beaucoup de relief et de vie, et à
chaque scène une authenticité qui fait tout l'intérêt du film, et qui sauve de la banalité un
13
scénario conventionnel . »

« Très inspiré par le cinéma noir américain, Sautet, pour son premier film assumé, réalise une
œuvre nette, directe, au rythme soutenu, avec deux truands mythiques ; Davos, le vieux
routier, et Stark, le jeune voyou. Deux acteurs superbes dans un film classique, mais
14
nerveux . »

Box-office [ modifier | modifier le code ]

Avant d'être distribué en province le 10 avril 1960, Classe tous risques sort dans les salles
15
françaises le 23 mars 1960 d'abord à Paris dans trois salles (le Berlitz, le Paris et le Wepler ).
16
Le film, écopant d'une interdiction aux moins de 13 ans , prend la tête du box-office parisien
avec plus de 56 000 entrées, délogeant À bout de souffle, qui occupait la tête du podium la
17
semaine précédente . Le long-métrage reste la semaine suivante en tête du box-office
18
parisien avec 43 825 entrées, portant le cumul à 100 505 entrées . Après une troisième
semaine passé en troisième place du box-office où il enregistre plus de 32 000 entrées
17
supplémentaires, le film quitte rapidement le circuit des exclusivités parisiennes .

Le film peine à fonctionner sur l'ensemble du territoire français, où il fait une carrière dans les
salles en dehors du top 30 hebdomadaire, bien qu'y figurant de manière sporadique (six fois
entre le 20 avril au 25 octobre 1960, dont une dixième place en quatorzième semaine
d'exploitation), avant de terminer sa première année en salles avec 875 971 entrées et une
19
69e place du box-office annuel . L'accueil public relativement médiocre peut s'expliquer par la
sortie quasi simultanée d'À bout de souffle, avec également Jean-Paul Belmondo en tête
d'affiche, qui retient toute l'attention et connaît un véritable succès en salles et éclipsant ainsi
20 21
Classe tous risques , dont le revers commercial vient à ruiner ses producteurs . En 1961, le
long-métrage enregistre 191 887 entrées, tandis que 72 260 spectateurs ont vu Classe tous
22
risques en 1962, portant le cumul à 1 140 118 entrées depuis sa sortie initiale .

Il sera néanmoins réhabilité trois ans plus tard, à l'initiative du cinéma Mac Mahon et du
23
magazine Présence du cinéma, qui organisent et promeuvent sa ressortie avec succès
24
(368 397 entrées pour un cumul de 1 559 572 entrées en 1965 ), permettant au film de
totaliser un cumul de 1 726 839 entrées (dont 502 775 entrées sur Paris) grâce aux reprises
25
en salles .

Box-office détaillé de la première année d'exploitation du film, semaine par


semaine, en France
Sources : « BO hebdo France 1960 » [archive] sur Box-Office Archives, d'après le CNC.

[afficher]
Notes et références [ modifier | modifier le code ]

1. ↑ « Classe tous risques : Visas et Classifications [archive] », CNC, 10 janvier 1990 (consulté le
5 janvier 2021).
2. ↑ « Bonjour sourire [archive] », Cinémathèque française (consulté le 3 septembre 2020).
3. ↑ « Les choses de la vie ont 50 ans ! [archive] », sur lequotidienducinema.com, 27 mars 2020
(consulté le 3 septembre 2020).
4. ↑ a b et c « Classe tous risques - Manifestations [archive] », sur 2014.festival-lumiere.org, 2014
(consulté le 5 février 2021).
5. ↑ Binh et Rabourdin 2005, p. 48.
6. ↑ Binh et Rabourdin 2005, p. 56.
7. ↑ « Lino Ventura et Claude Sautet pour "Classe tous risques" [archive] », Institut national de
l'audiovisuel, 22 mars 1960 (consulté le 19 septembre 2020).
8. ↑ a b et c Définitivement Belmondo [archive] sur Google Books (consulté le 3 février 2021).
9. ↑ « Classe tous risques - Fiche Film [archive] », sur bifi.fr (consulté le 2 juin 2023).
10. ↑ Citation d'après la biographie de Michel Boujut commentée sur le site d'Arte. [archive]
11. ↑ Bertrand Tessier, Jean-Pierre Melville : Le solitaire, Fayard, 2 novembre 2017, 272 p.
(ISBN 9782213708119, lire en ligne [archive])
12. ↑ Télérama archives lire en ligne [archive]
13. ↑ Répertoire Général des Films 1960, édition Penser-Vrai, dépôt légal no 691 - 3e trimestre 1960
14. ↑ Claude Bouniq-Mercier - Guide des Films, éditions Robert Laffont, 1990
15. ↑ « Jaquette DVD de Classe tous risques [archive] », sur CinémaPassion (consulté le 7 janvier 2021).
16. ↑ « Classe Tous Risques (1960) - Trailer [archive] », sur YouTube (consulté le 5 janvier 2021) (la
classification initiale est indiqué vers 3:57).
17. ↑ a et b Renaud Soyer, « CLASSE TOUS RISQUES : Box-office [archive] », sur Box Office Story,
9 octobre 2014 (consulté le 7 janvier 2021).
18. ↑ Renaud Soyer, « BOX OFFICE PARIS DU 30/03/1960 AU 05/04/1960 [archive] », sur Box Office
Story, 4 mai 2008 (consulté le 8 janvier 2021).
19. ↑ « BO Annuels 60's - (page 11) [archive] », sur eklablog.com (consulté le 2 juin 2023).
20. ↑ « « Le Paris de Claude Sautet » par Hélène Rochette [archive] », sur nautesdeparis.fr,
11 octobre 2020 (consulté le 8 janvier 2021).
21. ↑ « 1987, Claude Sautet raconte ses débuts difficiles [archive] », sur INA, 21 juillet 2020 (consulté le
7 septembre 2020).
22. ↑ Fabrice BO, « Fiches Films 1960 (3) », sur Les Archives du Box Office, 8 août 2011 (consulté le
11 août 2021).
23. ↑ Binh et Rabourdin 2005, p. 49.
24. ↑ Franck P., « Entrées Annuelles 1965 - Top 101-150 [archive] », sur Les Archives du Box-office,
8 octobre 2017 (consulté le 3 décembre 2023).
25. ↑ 1960: toutes les données chiffrées / le Box–office, CNC, p. 28, 8 février 2012 (lire en ligne) [archive]
(consulté le 8 janvier 2021).

Annexes [ modifier | modifier le code ]

Bibliographie [ modifier | modifier le code ]


Yves Singer, Téléciné, no 89, Paris, Fédération des Loisirs et Culture Cinématographique
(FLECC), mai-juin 1960, (ISSN 0049-3287)

Liens externes [ modifier | modifier le code ]

Ressources relatives à l'audiovisuel : AllMovie [archive] · Allociné [archive] · American


Film Institute [archive] · Centre national du cinéma et de l'image animée [archive] · Ciné-
Ressources [archive] · Cinémathèque québécoise [archive] · Filmweb.pl [archive] ·
IMDb [archive] · LUMIERE [archive] · Movie Review Query Engine [archive] ·
OFDb [archive] · Rotten Tomatoes [archive] · The Movie Database [archive] ·
Unifrance [archive]

Notices d'autorité : BnF (données )

v·m [masquer]
Claude Sautet
Bonjour sourire (1955) · Classe tous risques (1960) · L'Arme à gauche
(1965) · Les Choses de la vie (1970) · Max et les ferrailleurs (1971) · César et
Réalisateur et Rosalie (1972) · Vincent, François, Paul… et les autres (1974) · Mado (1976) ·
scénariste Une histoire simple (1978) · Un mauvais fils (1980) · Garçon ! (1983) ·
Quelques jours avec moi (1988) · Un cœur en hiver (1991) · Nelly et Monsieur
Arnaud (1995)
Le fauve est lâché (1959) · Les Yeux sans visage (1959) · Symphonie pour un
massacre (1963) · Peau de banane (1963) · L'Âge ingrat (1964) · Maigret voit
rouge (1964) · Échappement libre (1964) · Monsieur (1964) · La Vie de
Scénariste
château (1965) · Mise à sac (1967) · La Chamade (1968) · Le Diable par la
queue (1969) · Borsalino (1970) · Les Mariés de l'an II (1971) · Mon ami le
traître (1988)

Portail du cinéma français Portail du cinéma italien


Portail des années 1960

Catégories : Film français sorti en 1960 Film italien sorti en 1960 Film policier français
Film policier italien Film réalisé par Claude Sautet Film scénarisé par José Giovanni
Film scénarisé par Pascal Jardin
Film avec une musique composée par Georges Delerue Film se déroulant à Nice
Adaptation d'un roman français au cinéma Film tiré d'une œuvre de José Giovanni
Film français en noir et blanc Film tourné en 1959 Film tourné à Milan
Film tourné à Nice Film tourné dans le 9e arrondissement de Paris
Film tourné dans le 16e arrondissement de Paris
Film tourné dans le 17e arrondissement de Paris [+]
La dernière modification de cette page a été faite le 15 juillet 2024 à 17:14.

Droit d'auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions ;
d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques.
En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence.
Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie par le paragraphe
501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.

Politique de confidentialité À propos de Wikipédia Avertissements Contact Code de conduite Développeurs

Statistiques Déclaration sur les témoins (cookies) Version mobile

Vous aimerez peut-être aussi