TD 3
TD 3
TD 3
TD. N°3.
Exercice 1 :
Au cours d’une transformation réversible élémentaire d’un corps pur sous une seule phase, la
quantité de chaleur élémentaire échangée avec le milieu extérieur s’exprime par :
Exercice 2 :
Exercice 3 :
Une mole d’un gaz parfait est enfermée dans un cylindre par un piston de masse et de
section S. Le piston peut se déplacer sans frottement (voir figure ci-contre). Les parois du cylindre
ainsi que le piston sont perméables à la chaleur. Le milieu extérieur du cylindre est l’atmosphère
qu’on considère comme réservoir de température constante égale à 0 .
Partant de l’état d’équilibre initial du système caractérisé par ( 1 , 1 , 1 ), on ajoute
progressivement sur le piston des masses très petites dont la somme est égale à M. Soit ( 2 , 2 , 2 )
les paramètres macroscopiques de l’état d’équilibre final.
M
gaz
gaz
Exercice 4 :
Dans une enceinte rigide on met en contact thermique un bloc de fer de masse m f = 50g
dont la température est Tf = 400K avec un bloc de plomb de masse mP= 100 g dont la
température est TP = 400K.
1) A l’aide du premier principe établir l’équation qui régit les échanges de chaleur entre les
deux blocs. En déduire la température d’équilibre du système : « fer + plomb ».
2) Déterminer la variation d’entropie du système : « fer + plomb ».
Exercice 5 :
Une masse d’eau de 10 g sous la forme d’un cube de glace dont la température est de -10 °C est
placée dans un lac d’eau dont la température est de 15°C. On considèrera le système formé par le
cube de glace et le lac comme un système isolé. L’échange de chaleur à lieu donc uniquement entre
les deux composantes du système. Déterminer :
1) La variation d’entropie du cube de glace ∆Scub.
2) La variation d’entropie du lac ∆Slac.
3) la variation d’entropie de l’univers ∆Suni . Commenter.
On donne : Chaleur spécifique de la glace Cg = 2220 J/Kg.K . Chaleur spécifique de l’eau liquide
Cℓ = 4180 J/Kg.K. Chaleur latente de fusion de la glace Lf= 334. 103 J/Kg.K .
Exercice 6 :
Un cylindre rigide et thermiquement isolé est divisé en deux parties égales par un piston
conducteur de la chaleur. Initialement le piston est «bloqué» au milieu du cylindre. Une moitié de
volume V0 = 1L renferme de l’air à T0 = 300 K et sous une pression P1 = 2 atm. L’autre
moitié de volume V0 = 1L renferme de l’air à T0 = 300 K et sous une pression P1 = 1 atm.
L’air est considéré comme un gaz parafait.
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Piston fixé du piston à l’état initial. Piston libre du piston à l’état final.
Lorsqu’on libère le piston, celui-ci se déplace et ne s’arrête que lorsque l’équilibre, mécanique et
thermique entre les deux parties du système, est atteint.
On a toujours : avec :
Dans cette définition, le rapport n’est pas une dérivée mais le rapport de deux quantités qui a une
signification expérimentale. Mais dans :