Support 5 (Partie du Pr. Alami - Arisa)

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Les = ray electromagnétiq d haute En, dc d haute freq, λ est de l’ordre de

Å , se propagent en ligne dte a la vitesse d lumiere

interaction des e- acceleres ac la cible {e- et noyau(ny)} materiele de ‘Z’


tres elevé,et ils st produit selon 2 mecanismes :


=Bremstrahlung, l’e- incident d’energie Ec1 passe pres du ny, dc il sera
freiner par le champ electriq du ny et dévier = sa direction est changée. L’e-
dc est ralenti (Ec2 < Ec1), l’En de freinage est dégagée ss forme d’un RX=Ray
d freinage dont l’ Energie E=λν (=Ec1-Ec2)est prélevé sur Ec d’e-, et varie de 0
si l’e- est eloigné du ny à Emax si l’e- est stoppé instantanement par le ny ;
*si l’En d freinage est faible, elle est degagée ss forme d chaleur
tte charge electriq qui subit une déccélérat’ ds une direct’ donnée, emet
un photon de freinage


L’e- incident vient frapper un e- d’une couche profonde (svt K) et l’expulser
 lacune profonde qui est tres vite comblé par le passage/transit’ d’un e-
d’une couche plus peripheriq (niveau sup d’En elevée : L, M…) vs la couche
profonde incomplete (basse En) ac emission d’un RX de fluorescence dont
l’En h.ν = difference d’En entre les 2 niveaux concernées (ex: hν =EL-EK)
ttes les transition st possibles, les photons de plus gde En st eux qui
viennent vs le niveau le plus bas et le plus lié a l’atome
svt le rearangement se fait ac plusieurs e-  emission d plusieurs raies X
Les raies emises ont une appelation lettre latine= couche d arriver de l’e-
(K,L..) / lettre grecque =couche d provenance : α si cette couche est
immediatement sup (ex : de L à K = Kα), β si 2 au dessus,…(de M à K  Kβ)
L’atome de Tungstène émis des ray d fluorescence : Kα et Kβ, le spectre
complet d emission est la suporposition d spectre d Bremstrahlung et des
raies caractéristiq atomiq de Tungstène (app de radiologie conventionnelle)

ARISA 1
Le spectre filtré : fait seulement RX a haute En; en fait, la plaq d’aluminium a
la sortie d tube a RX absorbe la composante basse En du faisceau
Le spectre d’emission par freinage est continu, par fluorescence est en raies

**L’En de liaison de l’e- est negative, et l’e- qui possede l’En d liaison la plus
elevee en valeur absolue et celui d la couche K, plus on se deplace vs un
niveau sup (L ,M, ….) plus l En d liaison en valeur absolue diminueplus
difficile d arracher un e- de la couche K q de la couche N
**L’En de liaison d chaque e- est uniq pr chaque couche et chaq atome, dc
le RX emis est caracteristiq de l atome en question (atome d la cible)

Le generateur d RX doit : *produire les e-, *les accelerer par une ddp ds le
vide et les envoyer vs la cible


Le generateur = tube a RX=tube d coolidge (source usuelle) comporte :
• Un filament (de tungstene) joue le Role d’un cathode et sert a produire
des e- apres etre chaufé par un courant electriq (courant d chauffage,
effet thermo-ioniq). Ces e- seront accelerer par une haute ddp (tension
acceleratrice de 10-300 KV) entre la cathode et l’anode.
• Cible metaliq a une forte tension + , joue le role de l’anode dc attire les
e- et les décélére dc transformation d leur Ec en chaleur et RX.
• Diaphragme assure avec l’anode, la focalisation d faisceau
La cible est echauffer (prod d chaleur), pr son reffroidissm il faut l’enchasser
ds un bloc d cuivre ou employer un anode tournante


L’intensite d courant electriq I: le Flux d RX est proportionnel au nb d’e-, dc
au courant ‘I’ d cathode: F = KIZE/2 {K=cte, Z d l’anode, E= En max d spectre}
La tension d’acceleration d generateur : definit l’En des RX incidents dc la
limite sup du spectre (car augmente Ec des e-)
Le tps d pose = durée d’exposition en ‘s’ (le nb des RX augmente ac le tps de
pose); combiné avec l’intensité en ‘mA’ pr donner le mAs qui est adapté au
patient et au type d’examen

ARISA 2
Le filtre svt en aluminium (/verre), situé a la sortie du tube et sert a reduire
encore plus la partie des ray d faible En responsable d une irradiation inutile

Ds un tube a RX, l’En des RX n’est pas proportionnelle au nb d’e- emis par le
filament,ni au courant ds la cathode (ceci pour le flux d RX) ms depend d la
tension appliquée entre cathode et anode

=exploration d structures anatomiq int a l’aide d’une img fournie


par 1 faisceau d RX traversant le sujet, fondé sur la pénétration des RX ds les
tissus et leur inégale atténuation diff par divers constituants organime


Le faisceaux d RX sort du tube d façon homogène  corps humain 
absorption partielle depend d epaisseur, densité et Z dla matiere traversée
 orgamisme non uniforme  faisceau sortant heterogene  info sur la
nature dl organe traversé  Imagerie par attenuation
I = I0.e-µX , I0=intensité du faisceaux incident, I -> transmis, µ=coeff linéaire
global d attenuation depend d ’Z’ et ’ρ’ d milieu, X=epaisseur traversée(cm)


Le faisceau d RX est attenué d façon variable selon les structures anatomiq
traverseesfaisceau transmisimage radiante invisible a l’œil, represente
la distribution d intensité ds la section droite du faisceau transmis
L’image radiante fournie un negatif d la densite des tissus (image en
negatif=les couleur on été inversées par rapport a l’originale)
L’air est peu dense et dc associé a une intensité élevée d l’image radiante (il
laisse passer un gd nb d photons ; l’os est tres dense -> intensite faible


L’img radiante sera transformer par un detecteur en  image lumineuse =
visible = radiologiq. Les detecteurs utilisés st :

=radiographie conventionnnelle, le film est constitué d un gel contenant des
grains d bromure d argent et reposant sur une plaq d cellulose ; lorsq les RX

ARISA 3
attaq le gel, les Ag+ se transforme en argent metaliq Ag (ainsi Br- en Br),
puis le bromure d argent restant et le gel st dessous par un solvant. La qt d
Ag metaliq restante sur la plaq d cellulose est proportionnel a l’intensité de
l’img radiante
L’echelle de gris radiologiq = le reflet de la densité des milieux traversés :
• Tissus peu denses  forte intensité dl img radiante  noirs sur l’img
detectée (trachée, bronches, …)
• Tissus tres denses  faible intensité  blancs (os)
• Tissus a densité intermédiaire  gris plus noir pr la graisse et plus
clair pr les str hydriq et parenchymateuses
Project’ coniq : le patient se situe entre le tube et la plaq, generalm près dla
plaq, et dc le faisceau de rayonnement n’est pas parallele ms conique. Les
organe st déformés et agrandis selon un facteur d homothétie r= F/ (F-S)
{F=distance foyer-plaq, S=distance organe-plaq} depend dla profondeur d
organe et dc la déformat’ sera moins proche si la plaq est proche d patient
Avantages : cette techniq est peu couteuse, peu radiante et rapide, et le
film radiographiq est un document qui peut etre stocké et comparé,
Inconvénients : l’img est planaire dc responsable d confusion des plans
suporposés (-> multiplier les incidences)


La numerisation transforme l’img radiante en img codée constituée d un
ensemble d points=pixels q chaq un possede une valeur proportionnel a l
intensite d photons de l’img radiante.
Digitalisation indirecte : interact’ des RX ac les atomes de la plaq  e-
piégés dont la distribut’ sur la surface d la plaq forme l’img latente. Sous l’
effet d’un faisceau laser, la surf s’echauffe dc désexitation des e- piègés 
liberation/emission des photons lumineux (lum) dont le nb est une mesure
de l’En stockée  cette lum est captés par un guide d lumiere qui l’amène
vs photomultiplicateur constitué d un photocathode transforme les
photons lumineux en e-, ces dernier vont etre accelerer et multiplier par la
partie intermediaire d photomultiplicateur, augmentation d leur nb dc du
signal electriq, et a la fin ils st collectes par l anodesignal electriq analogiq
(fonction) converti par un convertisseur analogiq d’abord en signal
echantionné (*echantionnage, des raies) puis en signal numeriq

ARISA 4
(*quantification, 0110……) , *codage enregistrement d signal numeriq
codé sur un ordinateur
Digitalisation directe : une plaq d phosphor converti les RX en lum est
placée au dessus d barrette CCD qui transforme la lumiere en signal electriq
Avantage => *présentat’ sur ecran et *stockage numériq, *reglage d
luminosité et d contraste -> moins d reprise d examen -> moins d irradiat’;
*transmission par reseau


L’image se forme sur un ecran d fluorescence ( sulfure de zinc) qui s’eclairait
sous l’action directe des RX et le radiologue l’observait a travers un ecran en
verre protecteur (verre au plomb)
Ctt techniq est fortement irradiante pr le praticien et necessite une adaptat’
prolongée a l’obscurité => pratiquement abandonnée au profil de ↓


Les RX1er ecran de fluorescence (sulfure d zinc)lumcellule photo-
elecqe-focalisat’ (↗de densité) pr augmenter la luminosité d l’img2e
ecran d fluorescence lumimg filmée et visualisée sur un ecran d TV
La dose délivré au patient est 10 fois inf a celle dla radioscopie, adapté au
etudes cinétiq, des enregistrem vidéo st possible ; ms la resolut’ est legerm
moins bonne q celle dla radiologie conventionnelle
Utilisé en arteriographie, coronarographie

La radiobiologie vise a mieux comprendre l interaction des RI ac la matiere


vivante et les effets biologiq produit a lg et a crt terme
Elle permet *une definit' d la radiosensibilité des ç normales et tumorales
des tissus et des individus ; *radioprotect' ;*adaptat' des doses de radiodgc
et radiotherapie
:
Naturel = permanente a faible debit d dose: *cosmiq (0,39ms/an),
*telluriq, *int
Artificiele :*medicale, *industrielle

ARISA 5
= exposition dl homme au RI ; peut etre par :
• Irradiation ext : la source RA est eloigné
• Contaminat' ext : depot de substance RA sur la peau ou cheveux
• Contaminat' int : depot d substances RA a l’interieur de l’organisme
par digest’, inhalation ou blessure
• Globale : corps entier, int + ext
• Partielle : partie de l’organisme, ext + int
Exposit' totale = exp int + exp ext

: D=dE/dm en Gy, c’est une unité physiq ne permet pas a


elle seule d’expliquer les effets biologiq des RI
: H= D.Wr en Sv (=1Gy.1), fait intervenir la nature des RI
Wr= facteur d qualité caractérise le RI
: He = H. ΣWt , la dose efficace, fait intervenir Wt = facteur d
pondérat’ tissulaire depend d risq lié au tissu irradié
Wt des gonades = 0,08
Les organes les + sensibles au RI :*gonades (stérilité), *cristallin (catarate)

Se fait selon une succession d’etapes :


Les RI à TEL elevé => forte densité d’ionisat’, peut provoquer des degats
importantes et irreversibles
TEL faible => faible densité d’ionisat’, dilue d’En sur une distance plus longue
dc st plus supportables par les ç
Les PCL = α, protons… : st tres peu penetrants et possedent un TEL fort =>
densité d’ion crée +++ (fortement ionisants)
Les PCl = β : st peu penetrants, TEL faible => densité d’ions crée ++
Les photons X et γ, et les neutrons : st pénétrants, densité d’ions crée +
(faiblement ionisants)

ARISA 6
*Interaction radiochimiq en 10-12 s, *format' des radicaux libres RL (=atome
ou molecule possedant un e- celibataire) qui ont une haute reactivité
chimiq, tres instable et vt capturer un e- pr reapparier leur e- solitaire


Les RL formés entrainnent des lesions concernants :

Les lésions des prot st peu importantes et à l’origine de destabilisat' de
l’architecture cellulaire
Les ç plus riche en mt st les moins radiosensibles

Les RI en cas d doses elevées aboutit a la degradat’ des recep et des
systemes de transport et flux ioniq  troubles dla mobilité et dla
permeabilité membranaire

L’ADN cible critiq des RI a cause d sa sensibilité et son role capital, les effets
peuvent etre :
• Direct = 2air au transfert direct de l’En du RI a l’ADN,
• Indirect=2air aux react' phy-chimiq ds l’environnement proche d’ ADN ;
Rupture dla simple (reparé) ou db chaine, alterat' des bases (thymine+++) et
d sucres (=> liberat’ d une base; pontage intrabrin, entre les 2 brins ou ADN-
prot). La plupart des lesions d’ADN st réparables, sinon vt provoquer des
troubles d replicat' et transcript'
Les mecanismes d reparat' vise a reconstituer la str d’ADN dc restaurer la
viabilité d ç, peuvent etre fideles ou fautives selon Da et D, on distingue :
• : le plus ponderant, a lieu sur chaines qui ne st pas en
replicat' => reconnaissance par l’endonucase -> excis' par exonucléase ->
synthese par polymerase -> ligat' d brin resynthétisé par ligase
• : en S, => l’ADNp ne connait pas la lesion
dc ne peut pas repliquer le fragment lesé -> brèche 1 -> comblement par
transfert d segment d’ADN correspondant prevenant de l’autre brin de la
molecule mere intacte -> reparat’ de la breche 2 par excision resynthese
(la reparat' est fidele)

ARISA 7
• : ne travaille pas en permanence, induit ds certaines condition
pathologiq cm irradiat'. La reparat’ de l’ADN lésé peut se poursuivre ->
mutat’. => face a une lésion, la synthese sur la chaine fille est bloquée ->
la synthese dla chaine fille reprend face a la lésion -> une molecule d’ADN
intacte et l’autre porte des lésions sur les 2 brins

 Ces mecanismes peuvent etre insuffisant si nb imp d lesion (irradiat'


fortes a D elevé) ou fautives (brin reparé n’est pas la copie fidele) ; aussi
il peut y avoir des mutat'
Les chromosomes : modificat’ d nb et d str (la fq ↗ ac H >20 mSv) => delet',
translocat', k en anneau, k dicentriq (spécifiq d irradiat’ et permet d’
apprécier la dose reçue)



Par nécrose si tres forte dose >100Gy, les plus sensibles st lymphocyte et
ovocyte ;

= Perte irreversible dla capacité d proliferat' :
• Mort mitotiq : les ç en fin d vie ne st plus remplacée, si extinct’ dla
lignée ç => mort d organe,
• Apoptose : pr les ç dt la reparat' d adn n’a pas eté satisfaisante =>
contrôle contre la cansérisation. L’apop passe par condensat’ et
vacuolisat’ d cytop, fragmentat’ d ny, bourgeonnement dla mb 
fragmentat’ d ç

Anomalie dla mol d’ADN mal reparee => ç mutante viable se divise sans
contrôle, si le systeme immunitaire ne connait pas cette ç => cancer

Plus la ç est jeune, peu diferenciée et a forte activité mitotiq plus elle est
radiosensible ;
Type d ray : X et β st moins radiotoxiq q les particules lourds =α ,n et p, ainsi
les photons a TEL elevée st les plus radiotoxiq,
Debit : pr la meme dose, l’effet est plus imp si le debit ↗ (tps ↘)

ARISA 8
Type ç : -les ç a haute pouvoir d proliferat’ st les plus radiosensibles =>
• Ç a renouvellement rapide : mort precoce en qlq h-jr, cm moelle
osseuse, ç muqueuses et les ç dla lame basale d l’epiderme,
• Ç a renouvllm lent (peu d mitoses) : mort tardive ap qlq annees cm
tissu hepatiq, renale et neurones
Cycle ç : max en M et G, et min en S,
Facteurs lié a l’environm ç =radiosensibilateurs potentialisant l’effet des RI
cm l oxygene, la T qui ↗ l’effet d O2, substance imédazolé et anesthesiq,


Tissus compartimentaux st les plus radiosensibles = st a renouvellm rapide
cm tissu sg, epith d revetm (muq intestinale et peau), gonades,
Tissus non compartimentaux st bq moins radiosensibles= a renouvellm lent
dc ss mitose composé d ç fonctionnelles, ils ne seront altérés ds leur
fonctionnement q pr des doses elevées d plsrs Sv cm TN, hepatiq et renal


Ap une les' d ADN il peut y avoir :
• Une reparat' fidele => pas d effet
• Reparat’ fautive viableeffets aleatoires genitiq ou somatiq,
• Reparat’ fautive non viable / pas d réparat’mort ç effet obligatoire

Ils st precoces (qlq h-1 mois ap l’irradiation), *le plus svt reversible (si lésion
pas trop severe -> reparat' par une ç intacte), *à seuil (n’apparaisse jamais si
la dose est inf a un certain seuil), *obligatoire (tt sujet recoit une dose
suffisante va developper la maladie), *gravité ↗ ac la dose, ont une *relat'
linéaire effet-dose à seuil ;
L’effet deterministe differe selon le mode d’irradiat’, la dose et l’organe :
• Sd d’irradiation globale aigue : ap une irradiat' globale aigue = lors des
accidents d irradiat' => *sd hematopoitiq (1Gy) : granulopénie,
trombopénie ou anémie, *sd digestif (7Gy) : ulcérat', déséquilibre hydro-
electrolytiq (mort si >10Gy), *sd neuro-vasculaire (>12Gy), desorientat',
convulsion, coma (mort en 48h)
• Atteinte isolée des organes : irradiat' localisée sur des organes=> *peau :
erytheme 3-7Gy, plychtene 7-10,necrose, ulcérat’ 15-20Gy,*testicules:
ARISA 9
↘ de nb des spz a 0,3Gy, stérilité transitoire a 2Gy définitive a 6Gy,
*ovaire : troubles cyq et stérilite a 10Gy, *cristallin : catarate a 5-8Gy si
‘n’ ou 10Gy si RX
• Effet sur embry et fœtus : *de 8jr -> avortement si 4Gy, *de J9-J60 =
organogense= proliferat' rapide dc radiosensibilté elevée -> malformat'
a partir d 100mSv, *ap J60=peride fœtale=radiosensibilité moins ->
retard d croissance et risq cancerigene
**Conduite a tenir : si dose <50mGypas d risq ; si <100mGy interrupt'
therapeutiq dla grossesse (ITG) non conseille ; si entre 100 et 200 ITG
discuté ; si >200mGy ITG conseillé

Ils st tardifs (+ d 6 mois ap l’exposit’), *la freq proportionnelle a la dose
(probabilité d créer une anomalie ↗ ac la dose), *pas d seuil (la maladie
peut apparaitre theoriqm qlq soit la dose), *aléatoires (la mal vient chez un
certain nb d sujet exposés ms pas tt), *la gravité depend d type d lésion et
dla ç atteinte , *generalement irreversibles ; 2 types :
• Cancer radio-induit (mut d une ç somatiq = cancer) = perte d contrôle d
proliferat' due a des lesion d ADN qui font objet de reparat' fautive
viable ; a des fortes doses (≈seuil) on a une relat' lineaire effet/dose
• Effets genetiq =mutat' d une ç germinale -> anomalie ds tte ç de la
descendance d sujet irradié, ctt mutat' peut etre dominante (l
anomalie apparait des la 1er generat') ou recessive (apparit' tardive)

Radioprotect'pr empecher l’apparit' de tt effet deterministe, et limiter les


effets aleatoires a un niveau socialement acceptable

Justificat' : *evaluer les risq et les benifices attendus, *prescript' medicale


obligatoire, *le specialiste est le seul responsable de l’exposit' d patient et a
le droit de refuser l’examen

ARISA 10
Limitat' : respecter les limites d dose individuelles infranchissables ds les
conditions d vie et d travail
Optimisat' : l’exposit' doit etre tj la faible possible
500mSv /an pr empecher les effets deterministes
20mSv/an pr limiter les effets stochastiq a un niveau socialem acceptable
Pr se proteger d l irradiat' : tps, distance et ecran
Pr se proteger d contaminat' int : ne pas manger, fumer ou boire
Les rayons consideres cm faiblement ionisants st : γ et X
Les particules considerés cm fortement ionisante st α, β et proton

Les effets deterministes(effets des RI nefaste pr la sante il resulte de


dommages irreparables sur l adn causee par une dose imp d irradiat) des ray
ionisants, il apparaissent d façon certaine qd le seuil limite d rayonnements
sur un tissu donne est depasse ; le contraire c est les effets stochastriques
qui ne st pas lie a un effet d seuil, st a caractere aleatoire irreversible, d
survenue tardive et peuvent entrainer des cancers et des effets genetiq
pr le syndrome d rad exposit aigu, le tissu critiq est la moelle osseuse, et
survient ac une irradiat globale sup a 1Gy
Le RX en traversant l ecran a phosphore interagit ac les e- qui passent a des
niveau d En sup
L adsorpt’ des RX depend de Z, l’epaisseur et densité dla matiere traversée,
On parle d’irradiat’ pr une exposit’ ext aux RI ;
L’irradiat’ int est naturelle (ce n’est pas une exposition)
On parle de contaminat’ pr une exposit’ int aux RI
L’exposit’ de l’hom aux RI peut etre par irradiat’ ext, contaminat’ ext/int
Les rayonnment considérés faiblem ionisants st X et γ. Fortement st α, β & P
La dose efficace ne fait pas intervenir la nat du RI !!!
Le generateur de Tc99m n’est pas un accelerateur de particule et n’est pas
utilisé pr le traitem de cancer

ARISA 11
Onde acoustiq = mvt periodiq d atomes ou d mol, engendre une sensat
sonore au niveau d l’oreille ds un certain domaine d freq (son audible)
Onde= propagation d’une perturbation ds un milieu materiel ac transport d
En sans transport d la matiere
Génération du son  propagation  reception

Periode T: tps entre 2 etats vibratoirs identiq consécutifs


Frequence F : nb d T par ‘s’ => F=1/T, en Hz=1/s
Vitesse (celirité) => c = 1/(√Xρ), depend des caracteristiq d milieu (masse
volumiq, compressibilité). Elle ↗ ac la densité
Longueur d onde λ => c = λ/T
Amplitude = elongation max d’un point a partir d sa position d’equilibre
Intensite = ressenti sonore => P/(4πr²) en W/m², l’oreille hum est sensible
aux intensités allant de 10-12 (I d reference) a 1W/m².
Le niveau d’intensité => NI=log(I/I0) en bels ou =10log(I/l0) en decibels,
seuil d douleur = 130W/m² et le seuil d’audition = 0
Pression acoustiq : I=P²/ρc, ac P en Pa et varie d 2.10-5 a 20 Pa, traduit les
variat’ periodiq de la densité de la matière (particules serrées/relachées)
Impédance acoustiq Z = ρc
L intensité normale est entre 30 et 50 db, douleureuse entre 80 et 130 (seuil
d douleur = 130 db), niveau d reference = 0 (seuil d audit a 1000Hz),faible
entre 10 et 20db, intense entre 60 et 70 db

Selon la freq on distingue 4 categorie d sons : +infrasons (<20Hz, elephant),


+sons audible(20Hz-20kHz, voix parles voix chantes instruments), +ultrasons
(20kHz-1GHz, echographieUS daulphin chauve souris), hypersons (>1GHz)

ARISA 12
Etudies ac participation d sujet
Les 3 qualitées physiologiq d un son periodiq :

= sensation qui fait dire q le son est grave ou aigu, liée essentielement a la
frequence et secondairement a l’intensité
Pr une frequence F elevée (1500Hz-20KHz) => son aigu=haut, F faible (20Hz-
700Hz) => son grave=bas, F intermediaire => son medium.
Son pur = une seule freq, plsrs sons pures = son complexe (un son
predominant de freq fondamentale et des sons purs=harmoniq)
Loi de Weber : seuil differentiel de tonie = la + pte ∆f pr q l’oreille percoive
une difference entre 2 sons de F voisines (f et f+∆f). **seuil differentiel
relatif d la tonie ∆f/f=cte ds un large domaine d variation d freq


= la sensation qui fait dire q le son est faible ou fort, elle est liée
essentiellement a l’intensité acoustiq I et secondairement a la F
Phone = unité physiologiq d sonie, traduit le niveau d sensation d sonie (= n
phones) et c’ l’equivalent au decibel pr la F de 1000Hz
Seuil absolu = I d son au dessous d laquelle i y a pas d perception, varie ac la
F, determination d seuil pr ttes les freq de son audible = audiometrie
Iso-soniq = meme niveau d sonie
0 phone = seuil absolu ; 120 = douleureux ; entre 1000Hz et 5000Hz l oreille
est sensible pr des intensités < 0 phone


= la qualité physiologiq qui permet d distinguer 2 sons d meme tonie et d
meme sonie emis par 2 instrument differents
La richesse en harmoniq d un instrument determine son timbre

: seuil d peception binaurale < seuil d peception monaural


(3db), la difference d perception d’un meme son par les 2 oreilles est due a
la difference d intensité et d phase => permet de reperer le source sonore

ARISA 13
= surdité partielle et transitoire, ↗ ac la duré et l’intensité
du son fatiguant (diminut’ d performances dl oreille et ↗ d seuil absolue)

L’audition est le sens qui permet d identifier et de localiser la source sonore


L oreille est l’organe d’audition et d equilibre, elle est constitue d 3 parties :

= capteur, constitué de pavillon (comporte la lobe dl oreille) : capte les sons


+ *CAE : d 25 mm, (comporte 2 portion une fibro-cartilagineuse et l’autre
osseuse) conduit les vibration sonnores jusq au tympan
Les gldes sebacees au niveau d CAE produisent le cérumen

= organe d transmission sonore du tympan vs l’oreille int et d’adaptation


des condition de vibration (conservation d En ) ainsi permet la protection d
l’oreille int (son intense=>contraction reflexe d muscle d l’etrier) et l’egalite
d pression entre oreille moy et le pharynx (grace a la trompe d Eustache),
Constitué d :
• Tympan : mb separant l’oreille ext d l oreille moy, capable d vibrer a des
freq tres differentes,
• La chaine des osselets : marteau+enclume+etrier, relie le tympan et la
fenetre ovale, assure la transmission des vibration acoustiq d milieu
aerien de l oreille ext et moy au milieu liquide d l oreille int, forment ac
le tympan la caisse du tympan
• Ç mastoidiennes,
• Trompe d Austache: relie la caisse d tympan au rhinopharynx et permet
l egalisation d pression d chaq coté du tympan afin d assurer une
vibration correcte d celui-ci,
*adaptation des condition de vibration : l’oreille moyene assure la
conservation d En ( perte min d En lors dla transmission d son ) :
ARISA 14
W(O.E)air = W(O.I)liq  v.Pr = v.Pr
P2(liq) F2 A1 A1 W(liq) d1 A1 d1
= . = . . = . = 14 × 1,3 = 18
P1(air) A2 F1 A2 d2 W(air) A2 d2
Amplification dla puissance surfacique, Si l’oreille moy est lesé il y aura
perte auditive d environ 20dB
Les vibration d l onde sonore st ainsi transmise a l oreille int par les os du
crane =conduction osseuse, or la conduct’ aerienne est assurée par le
tympan et la chaine des osselets

Organe d perception sonore et d equilibre, transducteur= transforme les


variation d pression acoutiq en signal electriq pouvant etre transporté par le
Nerf auditif : variation d pression acoustiq => mvt membranaire basilaire =>
mvt des ç cilliees + inclinaison des cils => phenomene electrique ;
Comprend :
• Labirynthe osseux = canaux semi circulaires + vestibule (FR, FO) + cochlée
ou limaçon qui est divisé par le ligament spiral et la mb basillaire en
rampe vestibulaire et rampe tympaniq,
La rompe vestibulaire contient le canal cochléaire où se trouve l’organe
sensoriel de l’audition = l’organe de corti
• Labirynthe membraneux, (au centre) a partir duquel naissent les voies
nerveuses auditives et de l equilibre
La mb basillaire effectue une analyse spatiale d freq contenues ds le son. La
longueur dla mb basillaire qui est soumise a la vibration et l’amplitude de
vibrat’ dependent dla freq d son et plus le son est aigu plus q le pic de
vibrat’ est proche dla FO
L’organe d corti est fait d ç sensorielles cilliées placées sur la mb basillaire et
comportant un pole apical =cils reposant sur la mb tectoriale, et un pole
basal en contact ac les fibres nerveuses
Les filets nerveux partent des ç cilliées d organe d corti vs le gg d corti (a
travers dendrite)  le nerf 8 (a travers l axone)voies centrales : Nerf
cochleaire voies nerveuses supl aire auditive = aire 41 d Brodman (au
niveau d cortex cerebral)
Au repos la ddp entre la face int et ext des ç cilliees =150 mV, lors d la
transduction par l oreille int, le mvt d cils entraine une variation d ddp
ARISA 15
membranaire= potentiel microphoniq cochleaire PMC (=img electriq d
signal sonore)liberation d un mediateur au niveau des dendrites
potentiel d action qui poursuit son chemin le lg du N8  voies auditives
centrales
Le Nerf dl audition + Nerf d equilibre = Nerf auditif

*bulbe(intensite, duree et freq), *olive sup et colliculus (localisation ds l


espace), *thalamus et cortex cerebral (interpretat)

Varient en fonction d la partie d oreille touché :


• de transmission = oreille ext et moy  systeme qui transmet le son),
• de perception = oreille int et les voies nerveuses auditives  reception
et l’envoie
• mixte = les 2 systeme ,transmission et perception, st touches en mm tps

La transduction est liee aux oscillations d la mb basillaire, ces oscillations


declenchent des mvt des cils des ç sensorielles de Corti

Les intensites sonores s additionnent (et pas les n)


Ds un son complexe periodiq, les freq des harmoniq st des multiples entiers
d la freq fondamentale
Diviser l intensité par 2 arrive a diminuer l niveau ac 3dB
Le laser est base sur l principe d emiss' stimulé
L’oreille moy comprend la caisse du tympan, la trompe d Eustache et l’antre
mastoidien
Une irradiat’ corps entier de D<0,3Gy n a pas d manifestat’ cliniq, d 1<D<2
donne une react’ general legere, D>10 dominat’ des troubles neurologiq,
>15 mort rapidement
A la suite d irradiat’ de la peau, une dose uniq de 3Gy => erytheme, dose de
15 Gy => epidermite exsudative, a partir de 25Gy => necrose cutané

ARISA 16
L’accelerateur des articules est utilisé pr le traitm des cancers en
radiotherapie
L’oreille moy permet une adaptat’ d’impedence, augmente le pouvoir de
descriminat’ aux fortes intensités

ARISA 17

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