mémoire fin
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Mémoire
Présenté par :
Nouioua Afrah
Master
Thème
Promotion 2020/2021
TABLE DES MATIÈRES
Introduction générale 9
1.2 La planification . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
1.3.1 Historique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
4
TABLE DES MATIÈRES
3 Méthode de Décomposition 44
Conclusion générale 55
5
TABLE DES FIGURES
2.3 Une coloration de sommets, par exemple les sommets 1,4 sont coloré avec la
même couleur puisqu’ils sont pas adjacents . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28
2.6 Sélection . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37
2.10 fonctionnement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38
3.2 description . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45
6
Dèdicace
Je dédie ce travail à mes parents, ma mère pour ses encouragements et ses prières tout au
long de mes études, mon père pour tous ce qu’il avait fait pour avoir ce résultat.
A mes chère grand-mère Daraji et Fatima , mes chère grand père Alwany et Rebiha
Je le dédie à mes chère sœurs Asma, Meriem et mes chère frères Aymen et Adem
A tous mes amis et mes collègues dans l’université " BBA ".
Remerciements
Nous tenons à rendre grâce tout d’abord à Dieu, le Tous Puissant, de nous
avoir donné le courage d’entamer et de finir ce mémoire.
Nous tiens à remercier en tout premier lieu mon directrices de
mémoire,monsieur Hillal Touati , professeur chercheur à l’université de
Bordj Bou Arreridj, Nous avons eu l’honneur d’être parmi vos étudiants et
nous vous remerçions d’accepter de nous accompagner dans la réalisation
de ce projet de fin d’étude Nous tenons à gratifier aussi les membres de jury
pour l’intérêt qu’ils ont porté à notre recherche en acceptant d’examiner
notre travail. Enfin, on adresse nos sincères sentiments de gratitudes et de
reconnaissances a toutes les personnes qui ont participé de prés ou de loin à
la réalisation de ce travail.
8
INTRODUCTION GÉNÉRALE
La construction d’un planning d’horaires souvent est long et très difficile à mettre en œuvre
et qui doit être répétée à intervalle régulier, c’est pour cette raison que l’automatisation des
l’emploi du temps est une tâche de grande importance car elle permet de gagner beaucoup
d’heures de travail de fournir des solutions optimales.
la résolution d’un problème de planification d’horaire n’est pas une étape facile, ce qui a poussé
de nombreux chercheurs dans de nombreux domaines à résoudre ce problème en utilisant un
ensembles de méthodes et de techniques. Parmi ces méthodes, on a celles dite exactes et les
autres dites approches appelées aussi méthodes de recherche généralisée comme recherche
tabou, recuit simulé et algorithmes génétiques.
Dans ce travail, nous intéressons à l’étude de la modélisation du problème de planification des
emplois du temps.
Ce manuscrit est organisé comme suit :
Dans le premier chapitre nous introduisons les notions liées à la planification d’horaires de
9
TABLE DES FIGURES
10
CHAPITRE 1
La recherche Opérationnelle(R.O), aussi appelée aide à la décision, peut être définie comme
l’ensemble des méthodes et techniques rationnelles d’analyse et de synthèse des phénomènes
d’organisation utilisables pour élaborer de meilleures décisions.[7]
Elle propose des modèles conceptuels pour analyser des situations complexes et permet aux
décideurs de faire les choix les plus efficaces.[8]
Les problèmes que la R.O. peut aider à résoudre sont soit stratégiques (on peut citer le choix
d’investir ou pas, le choix d’une implantation, le dimensionnement d’une flotte de véhicules ou
d’un parc immobilier) ou opérationnelles (notamment l’ordonnancement, la gestion de stock,
les prévisions de ventes).[14]
11
1. Préliminaires sur le problème
La gestion de projets est une composante très importante de la communauté de recherche opé-
rationnelle. De nombreux travaux traitent de l’ordonnancement et de la gestion de projets, mais
aussi de logistique (tournées de véhicule, conditionnement), de planification, et de problèmes
d’emploi du temps.[16]
Cette discipline possède ses racines durant la fin de la deuxième guerre mondiale ou l’ar-
mée américaine faisait appel à plusieurs mathématiciens, économistes et informaticiens pour
déterminer des lieux optimaux et sures afin d’installer des postes anti-espionnage.
On peut dire que, la RO est un carrefour ou se rencontrent les mathématiques, l’économie et
l’informatique. Elle peut être définie comme un outil d’aide à la décision qui consiste à ap-
pliquer des méthodes (Techniques) mathématiques à des problèmes réels d’ordre économique
impliquant des moyens humains et matériels et matières premières. Ces problèmes touchent
divers domaines tels que l’industrie (gestion de production, ordonnancement, Affectation,
transport,...), finance (Gestion du budget, choix et portefeuille d’investissement,...), militaire
(stratégie, maintenance,...) et bien d’autre domaine.
Le problème de planification des emplois des temps, et parmi les vrais problèmes de la re-
cherche opérationnelle. Généralement, les problèmes réels sont difficiles à résoudre en vue de
leurs complexités et la taille de leurs données d’où la nécessite de faire appelle à l’outil infor-
matique.
Étant donnée un problème réel, l’approche de la RO consiste à modéliser (Traduire) fidèlement
ce problème de la réalité vers un modèle mathématique puis lui appliquer une technique (mé-
thode) pour sa résolution afin de fournir des solutions sur lesquelles des décisions seront prise.
1.2 La planification
Définition 1. La planification est un instrument de gestion dont l’objectif est d’aboutir à des pro-
12
1. Préliminaires sur le problème
grammes permettant d’organiser et planifier le travail des salariés afin de rester pérenne dans l’économie
globale. Ceci passe par la détermination des capacités tout un chacun et par le recensement des activités
futures et des besoins en personnel.[1]
Elle a pour objectif affecter les ressources humaines pour chaque intervalle de temps, de telle manière que
les besoins par intervalle et les différentes contraintes soient satisfaites.
La planification peut être aussi vue comme un mécanisme du gestion dont l’objectif est
d’aboutir a des programmes(planning) permettant d’organiser et planifier le travail a fin de
rester perpétuel.
Les plannings sont des calendriers de travail, où figurent à la fois le temps, l’affectation du
personnel, les jours et les horaires de travail, et les congés et repos.[2]
Depuis le début des années 80, la gestion des ressources humaines à été reconnue comme
une activité stratégique pour l’entreprise. Avec cette reconnaissance, l’intérêt d’élaborer des
plannings s’est vu accroître de plus en plus car ils permettent :
— aux entreprises cherchant à se rendre plus accessibles à la clientèle d’étaler les horaires
d’ouverture (grands magasins, banques, etc. . . ),
— à toutes les entreprises de surmonter leur exigences de productivité et de mieux gérer les
présences et absences de leur personnel.
— Les situations où un planning est utile son monbreuses. Elles justifient l’existence de dif-
férentes types de plannings dans un même système : plannings à court, moyen et à long
terme.
13
1. Préliminaires sur le problème
Les plannings peuvent être utilisés pour planifier les horaires de présences du personnel ou
les tâches effectuées par le personnel. On distingue des type de planification par exemple :
— Planning des horaires de présence : Ce type de planning est utilisé pour prévoir les ho-
raires de présence du personnel sans préciser les tâches journalières à effectuer soit pour
des raisons de sécurité, soit pour une meilleure souplesse.
— Planning des tâches : Ce type de planning est utilisé dans des organismes et entreprises à
haute technicité, comportant plusieurs métiers et compétences distincts, où il est souhai-
table d’affecter le personnel en fonction des tâches. Ce qui exige une décomposition fine
des opérations et le repérage des tâches que chaque personne est capable d’accomplir.
Les plannings peuvent être journaliers, hebdomadaires, mensuels ou annuels . Certains
plannings sont cycliques, s’ils reflètent une certaine périodicité des horaires individuels,
c’est à dire si au bout d’une durée D (mesurée généralement en semaine). Autrement, ils
sont dits acycliques c’est à dire ils sont différents chaque semaine.
le domaine de la santé
Les plannings dans le domaine de la santé sont des calendriers de travail où figurent à la
fois le temps, et l’affectation des personnels (jours et horaires de travail, repos). Ils sont établis
au niveau de chaque équipe, ils sont à la fois une tâche, un document d’organisation du travail,
et un élément contribuant à la gestion administrative du personnel. Cette tâche est parmi les
plus difficiles et les plus délicates.
Difficile parce qu’elle repose sur la recherche de solutions combinatoire, répond à des contraintes
multiples, remise en cause de manière fréquente par l’absentéisme et délicate car elle impose
toujours une négociation avec les acteurs (médecins, infirmiers) et la direction du service de
soins et l’administration. Les documents établis sont des calendriers sur lesquels on inscrit les
affectations des médecins et des infirmiers ; ils sont généralement des tableaux à double entrée
tel que en ligne le personnel et en colonne le temps.
L’objectif de la confection d’horaires en ce milieu est donc une combinaison variable de consi-
dérations en terme de coûts, de qualité des soins et de satisfaction du personnel. Mais les
14
1. Préliminaires sur le problème
gestionnaires font souvent face à la difficulté d’obtenir des horaires réalisables qui satisfassent
les contraintes.
le domaine de transport
Le transport est une activité complexe qui fait intervenir des investissements lourds, du
personnel qualifié et une informatique très coûteuse.
1 le transport routier : il est toujours nécessaire de gérer aux mieux les ressources existantes
en optimisant les investissements. Comme les clients exigent toujours plus de flexibilité,
il faut offrir des services sur mesure, replanifier en permanence et en temps réel et gé-
rer le personnel qualifié qui est une opération très complexe car il faut tenir compte de
plusieurs contraintes (contrats, temps de travail, manque du personnel qualifié,. . . ).
2 le transport maritime : c’est la gestion des escales et la gestion du personnel docker est
aussi une activité complexe qui nécessite un effort considérable de la part des planifica-
teurs. Les navires doivent rester à quai un temps minimum et les équipes docker doivent
être disponibles.
3 le transport aérien : la gestion des flux de trafic aérien correspond aussi à des problèmes
d’optimisation dont la résolution est très complexe. En effet, le contrôle de la circulation
aérienne organise les flux aériens afin d’assurer la sécurité des vols(en terme de risque de
collision), d’améliorer la capacité du réseau de routes sur lequel les avions se déplacent
et de construire des programmes de vols optimisé.
le domaine de la pédagogie :
La confection d’horaires (ou confection d’emploi du temps) dans les établissements univer-
sitaires est un travail très important,. Pour fournir une solution , nécessite d’être capable de
15
1. Préliminaires sur le problème
La confection de plannings d’horaires est donc une tâche très difficile et sa solution ma-
nuelle peut exiger beaucoup d’effort ce qui a attiré énormément l’attention de la communauté
scientifique.
Les problèmes des emplois de temps s’étendent de la construction des emplois du temps se-
mestriels ou annuels dans les universités, écoles ou collèges aux emplois du temps d’examens
à la fin de ces périodes. Les premières activités d’emploi du temps ont été effectuées manuel-
lement et un emploi du temps typique, une fois construit est resté statique avec seulement
quelques changements nécessaires.[4]
Dans notre travail on s’intéresse à la planification des emplois de temps à l’université, mais
il faut par oublier que la planification du temps et existe dans plusieurs domaines : dans les
poste, les industrielles,on trouve aussi dans la maison quant le maman décider de faire plu-
sieurs travail dans la journée avant de commencer leur travail elle est automatiquement fait un
emploi pour organiser tout les taches avec consommation des temps et des ressources.
1.3.1 Historique
Les premières activités d’emploi du temps ont été effectuées manuellement et un emploi
du temps typique, une fois construit est resté statique avec seulement quelques changements
nécessaires. Cependant la nature des enseignements a changé considérablement au cours des
années et ainsi les exigences en matière de confection d’emploi du temps sont devenues beau-
coup plus compliquées qu’ils ont eu l’habitude de l’être. L’intérêt de génération d’emploi du
16
1. Préliminaires sur le problème
Depuis le début des années 80, la gestion des ressources humaines a été reconnue comme
une activité stratégique pour un établissement. Avec cette reconnaissance, l’intérêt d’élaborer
des emplois du temps s’est vu accroître de plus en plus car ils permettent :
— Aux établissements cherchant à se rendre plus accessibles à la clientèle d’étaler les ho-
raires d’ouverture (grands magasins, banques, etc. . . ).
17
1. Préliminaires sur le problème
Pour que les emplois du temps élaborés soient satisfaisants, ils doivent vérifier un ensemble
de contraintes et établir un meilleur compromis entre les différents acteurs (exemple : le chef
du département, le planificateur, les enseignants et les étudiants). Lorsque les différentes so-
lutions alternatives sont connues, une négociation se déroule de la manière suivante : chaque
acteur donne son opinion. Les points d’accord sont très vite expédiés et les points incertains
sont débattus. Et des solutions de compromis sont dégagées. Les difficultés de négociation
augmentent avec le nombre d’acteurs et le nombre de solutions alternatives. L’aspect combi-
natoire (pour l’élaboration des emplois du temps) rend d’autant plus difficile la négociation,
car les opinions sont plus difficiles à formuler. Les moyens informatiques apportent une aide
certaine notamment dans l’acquisition et la confrontation des données individuelles.
Définition 2. : Les emplois du temps sont des calendriers de travail, où figurent à la fois le temps,
l’affectation du personnel, les jours et les horaires de travail, et les congés et repos. Les emplois du temps
peuvent être utilisés pour planifier les horaires de présences du personnel ou les tâches effectuées par le
personnel.
La planification d’horaire est un processus très complexe et NP-complet, qui vise a organi-
ser des activités humaines et les différents tâches que nous avons a réaliser dans le temps et a
optimiser l’utilisation des ressources de façon a couvrir un besoin exprimé, La confection d’ho-
raires (ou confection d’emploi du temps) dans les établissements scolaires(emploi du temps
d’université cours, examen et des scolaires ), est un travail très important, difficile à réaliser.
Pour fournir une solution, nécessite d’être capable de s’adapter aux changements dynamiques
de l’environnement en tenant compte de la diversité des contraintes. l’interdépendance des
programmes d’enseignement, la multitude des matières étudiées et les contraintes sur ces ma-
tières (cours,TD,TP. . . ), la durée des cours, les contraintes de disponibilité des enseignants, la
disponibilité limitée des salles. C’est un problème qui peut être défini comme un problème qui
fait assigner quelques évènements dans un nombre limité de périodes. Il peut être divisé en
deux catégories principales : la confection d’horaires des cours et la confection d’horaires des
18
1. Préliminaires sur le problème
examens.
L’emploi des temps des écoles est un outil d’affectation qui affecter un ensembles de en-
seignants a un ensembles de classes qui contient un groupe des élèves pour but de fournir un
ensemble de leçons dans une période de temps.
un classe est composé d’un certain nombre d’élèves présents et des enseignants, tel que chaque
enseignants est effectué a l’avance et il reste dans la même salle avec la même classe toute
la journée, enseignant diverses matières( les écoles secondaires),on trouve qu’il existe divers
contraintes sur le nombre des salle, les élèves et les enseignants comme :
— L’enseignant ne peut pas enseigner dans deux classes au même temps ou donnée deux
leçons au même temps
— Certains classes ayant besoin spéciaux par exemple : les ordinateurs ou les matériel labo-
ratoire il faut utiliser seulement pour des sciences spéciaux.
— Sons oublier qu’il existe d’autres type de contraints, les contraints douces comme : les
enseignants peuvent préférer enseigner leur matière à une certaine période de la journée.
— Il peut être préférable de distribuer les cours durant la semaine afin que le même cours
ne soit pas donné deux fois la même journée.
La tâche d’attribuer un certain nombre d’événements, tels que des conférences, des exa-
mens, des réunions, etc., à un nombre limité de ensemble de créneaux horaires (et peut-être
de salles), en fonction d’un ensemble de contraintes. D’une manière générale, il est générale-
ment admis que, dans cette définition, les problèmes liés à l’horaire des études universitaires
peuvent être classés en deux grandes catégories : les problèmes liés à l’horaire des examens et
les problèmes liés à l’horaire des cours.[17]
Le problème du calendrier des examens est essentiellement défini comme la répartition des
examens dans un nombre limité de créneaux horaires, tout en respectant le nombre maximal
de contraintes qui diffèrent grandement d’un établissement à l’autre. Par conséquent, les pro-
blèmes de calendrier d’examen diffèrent par leur taille, leur complexité et leurs contraintes.
19
1. Préliminaires sur le problème
Dans la documentation sur le calendrier, deux catégories de contraintes ont été présentées, à
savoir les contraintes douces et les contraintes dures.
Les contraintes dures on prend comme exemples :
Deux examens ne peuvent pas être programmés en un seul créneau horaire lorsqu’il y a un
certain nombre de points communs élèves assis pour l’examen.
Le nombre d’élèves présents aux examens ne doit pas dépasser le nombre de sièges dispo-
nibles. et on a les contraintes douces
Les examens qui sont en conflit sont mieux d’être répartis tout au long de la session d’examen
dans éviter les intervalles de temps consécutifs des examens ou deux examens le même jour.
Examens considérés comme ayant le plus les élèves devraient être inscrits le plus tôt possible
pour permettre un temps de marquage suffisant.
La commande (priorité) des examens est nécessaire pour être remplies.
Horaire de cours :le calendrier hebdomadaire du conférence d’un ensemble de cours universi-
taires minimisants les chevauchements de cours ayant des étudiants commun. Et qui consiste
a planifier une séquence de cours entre les enseignants et les étudiants dans une période de
temps prédéfinie généralement une semaine, sans oublier la satisfaction des contrainte.
Une contrainte ne revêt pas nécessairement un aspect absolu (soit elle est vérifiée ou violée)
mais peut être formulée sous forme d’un objectif qui doit être approché autant que possible,
selon ce critère, les contraintes peuvent être réparties en deux grandes classes : les contraintes
dures et les contraintes de souple.
On considère le problème d’horaire universitaire comme un problème d’ordonnancement ,la
résolution du cette problématique consiste a ordonnancer les différents taches des enseignants
et des étudients.[18]
2 un ensembles d’enseignants.
20
1. Préliminaires sur le problème
jours par semaine, dirigés par un nombre limité de professeurs et de salles de classe nécessitant
une meilleure gestion pour bien contenir le nombre important d’étudiant inscrits.
Et la programmation hebdomadaire de toutes les conférences d’un ensemble de cours uni-
versitaires, en minimisant les chevauchements de conférences de cours ayant des étudiants
communs.[17]
On se limitera pour l’instant à cette partie introductive car dans le chapitre deuxième on abor-
dera encore plus en détails les horaires de cours.
conclusion
D’après ce qu’on a vu dans les paragraphes précédents, on peut dire que la planification
de personnel est un processus complexe qui présente des enjeux à la fois sur le plan écono-
mique et sur le plan social. Cette complexité s’accroît considérablement dans le secteur des
services. Parmi tous les types de plannings cités, c’est sur les plannings pédagogiques que
nous allons porter notre intérêt. Les problèmes de planification en général sont des problèmes
NP-Complets ; donc, tout apport en terme d’approche de résolution ne peut qu’être bénéfique.
21
CHAPITRE 2
Elaborer Le calendrier des temps est un problèmes large et très complexes, qui a besoin de
méthodes ou de techniques pour leur résolution. Parmi ces méthodes on à des approches dits
exacts et des approches approchées, appelées communément heuristique.
Les premiers efforts fournis était l’élaboration de méthodes efficaces(ou exacts), tel que le
branchement et séparation pour les programme linéaires en nombre entiers(PLNE), la généra-
tion des colonnes et enfin les méthodes liée à la théorie de graphes.
22
2. Modélisation et les approches de résolution
Méthodes Exactes
Les méthodes exactes (appelées aussi complètes) produisent une solution optimale pour
une instance de problème d’optimisation donné. Elles se reposent généralement sur la re-
cherche arborescente et sur l’énumération partielle de l’espace de solutions.
Elles sont utilisées pour trouver au moins une solution optimale d’un problème. Les algo-
rithmes exacts les plus connus sont la méthode de séparation et évaluation, et la programma-
tion linéaire, l’inconvénient majeur de ses méthodes est l’explosion combinatoire : Le nombre
de combinaisons augmente avec l’augmentation de la dimension du problème. L’efficacité de
ces algorithmes n’est prometteuse que pour les instances de problèmes de petites tailles.
On peut définir une méthode exacte comme une méthode qui garantit l’obtention de la solution
optimale pour un problème d’optimisation. L’utilisation de ces méthodes s’avèrent particuliè-
rement intéressante, mais elles sont souvent limitées au cas des problèmes de petite taille.[6]
La programmation linéaire est l’une des techniques (outils) les plus utilisées de la recherche
opérationnelle. Ceci s’explique par la grande variété des problèmes qui peuvent être modéli-
sés par des programmes linéaires et par l’efficacité de la méthode de résolution (algorithme du
Simplexe).[22]
Un programme linéaire, est une fonction objectif linéaire à maximiser ou minimiser , sous des
contraintes linéaires, dans lequel il y a la contrainte supplémentaire que les variables sont
entières. On parle de programme linéaire mixte lorsque seul un sous-ensemble de variables
doivent être entières et les autres réelles.
La programmation linéaire est essentiellement appliquée pour résoudre des problèmes d’op-
timisation à moyen et long terme (problèmes stratégiques et tactiques, dans le vocabulaire de
la recherche opérationnelle). Les domaines d’application de ces problèmes sont très nombreux
aussi bien dans la nature des problèmes abordés(planification et contrôle de la production, pla-
nification des emploi des temps)que dans les secteurs dans laquelle elle intervient : industrie
manufacturière, énergie (pétrole, gaz, électricité, nucléaire), transports (aériens, routiers et fer-
roviaires), télécommunications, industrie forestière, finance...[20]
Parmi les modèle utilisé dans le problème de planification d’emploi du temps, on trouve des
modèle à deux dimensions ,et d’autres à 3 dimension.
23
2. Modélisation et les approches de résolution
Il existe différentes formulation du problème d’horaire. Dans cette parties nous présente-
rons un modèle exposé dans l’état d’art de De Werra [3] Étant donner q module noté : k1 , k2 ...kq
et pour chaque i, le module K est composé de ki cours par séance. Il existe des modules S1 ...Sr ,
qui ont des groupes d’étudiants en communs. Cela signifie que les modules doivent être tous à
programmés des créneaux différents. Le nombre de périodes est p, et lK est le nombre maximal
de séance pouvant être programmées à la période k (c.-à-d. le nombre de salles disponibles à
la période k), alors la formulation de ce modèle est la suivante :
q p
max ∑ ∑ dik yik
i =1 k =1
p
∑ yik = ki (i = 1...q) (2.1)
K =1
q
∑ yik 6 lk (k = 1...p) (2.2)
i =1
La première contrainte signifie que chaque cours est composé du nombre de séance.La
deuxième contraintes impose qu’à chaque fois il n’y a pas plus de cours que de salles. Et la
dernière contrainte empêche que des cours contradictoires soient programmés à la même pé-
riode de temps.
Dans ce modèle, la variable yik est une variable binaire égale à 1 si un cours de ki est pro-
grammé à la période k, 0 sinon.
Une formulation équivalente de ce problème est basée sur la matrice des conflits. La matrice
de conflit C pq est une matrice binaire telle que Cij = 1 si les cours Ki et K j ont des étudiants
communs, et égale 0 sinon.
dik est la préférence d’avoir une séance de cours Ki à la période k. D’autres auteurs, ont consi-
déré le même problème en ajoutant des modification au modèle pour des considérations pra-
tique comme tripatty, Aubin , et les autres.[17]
24
2. Modélisation et les approches de résolution
Un modèle à 3 dimensions
Dans [3], des auteurs se donnent un modèle simple classe-enseignants qui inclue toutes les
contraintes qui sont généralement présent dans le cas réels.
Dans cette partie on donne une description d’un modèle basique en PLNE ayant des variables
à trois indices.
Si p est l’ensemble des périodes(ou créneau), on suppose que les cours ont une même période
de temps( par exemple la durée du cours est 1h : 30min pour tout les cours).
Le problème est d’affecter chaque salle à un ensemble de périodes P de telle sorte qu’aucun
enseignant n’est assigné dans plusieurs salles à la fois.
m n
P = max(max j d ∑ rij b j e, maxi d ∑ rij ai e)
i =1 j =1
p
∑ Xijk = rij (i = 1...m, j = 1...n)
k =1
n
∑ Xijk 6 1(i = 1...m, k = 1...p)
j =1
m
∑ Xijk 6 1( j = 1...n, k = 1...p)
i =1
1. une classe peut être assimilée aussi à une promotion d’une spécialité donnée
25
2. Modélisation et les approches de résolution
m
∑ rij 6 P( j = 1...n)
i =1
n
∑ rij 6 P(i = 1...m)
j =1
n
∑ rij 6 ai (i = 1...m; k = 1...p)
j =1
m
∑ rij 6 b j ( j = 1...n; k = 1...p)
i =1
Dans la première contrainte on a, Xijk représente que l’enseignant j est affecter dans la salle
i durent la période k, égale au nombre des cours de la dans classe ci assurés par l’enseignant
t j . La contrainte 2.1.1 assure qu’un seul enseignant seulement qui doit enseigner la classe ci à
la période k. En plus, pour assurer qu’une seul classe ci est affecter à l’enseignant j durent la
période k, on a la contrainte 3 .Et pour la contrainte trois si on a l’enseignant et une période les
deux sont disponible mais n’y a pas une classe alors ∑im=1 Xijk = 0, et les dernières contraintes
exprime l’existence des solutions dans le système.
Parmi les modèles utilisés dans la formulation du problème planification emploi du temps,
on a aussi les graphes ou plus exactement la coloration de graphes
Définition 3 (16). Un graphe G = (V , E) est représenté par un couple (V , E), tel que V est un en-
semble fini non vide est E une relation binaire commutative sur V. L’ensemble V est appelée l’ensemble
des sommets de G, et E un sous-ensemble deV × V . Les éléments de E sont appelés arêtes de G. La taille
d’un graphe G = (V , E) est le nombre arête m =| ( E) |.
Définition 4 (16). (Graphe simple)Un graphe est simple s’il ne contient ni boucle ni arrête multiples.
Un graphe G = (V,E) est dit fini s’il contient un nombre fini de sommets.
Un multigraphe est un graphe qui n’est pas simple
Définition 5 (13). (multigraphe) Appelé aussi graphe multiple ou p-graphe, c’est un graphe ou au
moins 1 couple de sommets ont plus d’une arrête entre eux.
Définition 6 (13). (Graphe biparti)Un graphe G = (V,E) est dit biparti si les sommets de ce graphe
peuvent être partitionnées en deux ensembles stables V1 et V2 . On le note comme suit : G = (V 1, V 2, E)
26
2. Modélisation et les approches de résolution
a
b
e
c
d
F IGURE 2.1 – graphe simple avec L’ensemble des sommets est {a,b,c,d,e}
Définition 7. (un graphe orienté) : notée G = (V ; A), constitué un ensemble des sommets V et un
ensembles des arêtes qui sont orienté appelée arcs.
La coloration de graphes
Définition 8. Une coloration est dite propre quand elle vérifie certaines propriétés. Par exemple :
— les sommets d’une même couleur forment un graphe acyclique(i.e. une foret).
— La coloration des arêtes : consiste à colorer les arrêtes tel que chaque deux arrêtes qui
partagent le même sommet auront deux couleurs différentes.[16]
— La coloration des sommets :Il s’agit de colorer les sommets des graphes de sorte que
chaque deux sommets adjacents sont colorés par des couleurs différentes.
Définition 9. (nombre chromatique)Le nombre chromatique d’un graphe G (notée X ( G )) est le nombre
minimum de couleurs nécessaires pour lui donner une coloration propre.
Les origines du ce problème remonte au XIX ème siècle lorsque Francis Guthrie, cartographe
anglais, remarqua que quatre couleurs suffisant pour colorier la carte des cantons d’Angle-
27
2. Modélisation et les approches de résolution
A
E
B
D
1 2
3
6
5 4
F IGURE 2.3 – Une coloration de sommets, par exemple les sommets 1,4 sont coloré avec la
même couleur puisqu’ils sont pas adjacents
terre, sans donner la même couleur a deux cantons ayant une frontière commune. il pose alors
la question de savoir si quatre couleurs suffisant toujours pour colorier n’importe quelle carte
géographique de sorte que deux régions voisines n’aient pas la même couleur.[11]
1 l’allocation de créneaux horaires à des événements : cours, examens... on prendre les som-
met sont les événement et les arêtes sont les contraintes ou deux événements ne peuvent
se dérouler simultanément et on utilise les couleurs pour Coulerai les créneaux horaires.
2 Allocation de fréquences dans les réseaux GSM : c’est attribution aux antennes relais des
bandes de fréquences pour communiquer avec les usagers.
On prend les sommets sont les antennes relais les arêtes : entre deux antennes trop
proches géographiquement l’une de l’autre(niveau d’interférence trop important) et les
28
2. Modélisation et les approches de résolution
[11]
La théorie du couplage est un sujet classique et très important de la théorie des graphes et
de l’optimisation combinatoire.
Soit un graphe simple non orienté G = (S, A)(ou S est l’ensemble des sommets et A l’ensemble
des arêtes.[23]
Un couplage M est un ensemble d’arêtes deux à deux non adjacentes, c’est a dire que M est
une partie de l’ensemble A d’arêtes telle que :
0 0 0
∀( a, a ) ∈ R, a 6= a ⇒ a ∩ a = ∅
On peut aussi définir le couplage comme étant l’ensemble des arêtes deux a deux indépen-
dantes.[23]
1
2
4 3
Dans ce graphe,un exemple de couplage tel que l’ensemble d’arête contenant les arêtes 1 et
29
2. Modélisation et les approches de résolution
Un couplage maximal est un couplage M du graphe tel que, toute arrête du graphe possède
au moins une extrémité commune avec une arrête de M ceci équivalents à dire dans l’ensemble
des couplages du graphe, M est maximal au sens de l’inclusion c’est à dire pour tout arrête ’a’
de A qui n’est pas dans M, M ∪ { a} n’est plus un couplage de G.
B C
A
K D
F
E
On dite qu’un couplage est maximum s’il n’existe pas un autre plus grand que lui .Un
graphe peut possèder plusieurs couplage maximum.
On parle de couplage parfait M (ou couplage complet) :si tout sommet du graphe est inci-
dent à exactement une arrête de M.
Remarque 1. Le couplage parfait est un couplage de taille maximum, le contraire n’est pas nécessaire-
ment vrai.
Soit G un graphe et soit M un couplage de G. Nous dirons qu’un sommet v est couvert par
M s’il existe une arête e ∈ M incidente à v.
Théorème 1 (Berge 1957). Soit M un couplage dans un graphe G. M est maximum si et seulement si
il n’existe pas de chemin augmentant.
Un chemin augmentant est un chemin alternant qui commence et se finit par un sommet
non-appariée.
30
2. Modélisation et les approches de résolution
∑ c(u) = ∑ c(u)
u∈w− v u∈w+ v
[17]
La modélisation sous forme d’un graphe est considérée comme une méthode exacte dans
la résolution du problème des emplois du temps.une littérature abondante existe dans sens, à
titre d’exemple un mémoire de fin de cycle de master a traité le problème de planification des
examens d’un point de vue coloration de graphe.
Le problème d’élaboration de planning d’examens peut être défini comme celui d’affecter un
ensemble d’examens, chacun prévu pour un certain groupe d’étudiants, à un nombre limité de
périodes, tout en respectant un ensemble prédéfini de contraintes, qui diffèrent d’un problème
à un autre, suivant la spécificité de l’établissement en question et les caractéristiques attendues
de l’emploi du temps recherché. Il est impossible pour un surveillant ou un étudiant d’assister
à plus d’un examen simultanément. Par conséquent, chaque surveillant et étudiant peut avoir
au plus un examen de matière en même temps, cette exigence peut être considérée comme une
contrainte de surveillant et une contrainte d’étudiant, c’est une contrainte forte. Une planifi-
cation d’emploi du temps des examens dite réalisable si elle respect obligatoirement tout les
contraintes dures, car la violation de l’une de ces contraintes(S’il y-a un conflit, lorsque un étu-
diant ou surveillant se voit assigner deux examens à la même période) rend l’emploi du temps
inefficace dans la réalité.
31
2. Modélisation et les approches de résolution
— l’ensemble des ressources nécessaire (salle, amphi) sont oublier l’ensemble des contraintes
dure(doivent être satisfais ),et les contraintes douces (c’est a dire celle qui sont souhaitable
mais non essentielle).
La modélisation par un graphe est une représentation graphique simplifier d’une entité du
monde réel, on peut utiliser la coloration des graphes pour résoudre la problématique des
planning des examens, tel que les sommets du graphe représentent les examens, les couleurs
sont les période et les arrêtes entre deux sommets indiquent un conflit entre examens (au moins
un étudiants est inscrit dans les deux examens correspondants).
Premièrement, un plan des examens à été définie telle que chaque section doit passer un exa-
mens, et un graphe G (V , E)a été tracer à partir du plan et les examens sont représenté par un
sommets V, et puisque les étudiants qui ont des examens communs doivent les passer simul-
tanément il n’y a pas besoin de consacrer un sommet pour chaque groupe, donc on créer une
matrice nulle m × n telle que m = n nombre de modules ayant un examen et on traduire cette
matrice par un graphe nulle, et on représente les contraintes par les arêtes.
Le graphe non orienté résume tout les contraintes de conflit des examens et été modéliser après
avoir obtenu la matrice d’adjacents.
Après utilisations de l’algorithme, une coloration à été obtenue cette dernière est opti-
mal(mais pas unique). A partir d’une coloration , on peut attire un planning de façon que
tout les examens qui ont la même couleur peuvent avoir lieu au même temps. Pour plus d’in-
formations sur le sujet, les lecteurs de ce travail peuvent se réfère aux mémoire[24]
32
2. Modélisation et les approches de résolution
Rappelons
qu’on a le modèle (p) définie comme suit :
max(max j d∑im=1 rij b j e, maxi d∑nj=1 rij ai e)
p
∑k=1 Xijk = rij
(i = 1...m, j = 1...n)
∑n Xijk 6 1
(i = 1...m, k = 1...p)
j =1
(P)=
∑im=1 Xijk 6 1 ( j = 1...n, k = 1...p)
∑im=1 rij 6 P
( j = 1...n)
∑nj=1 rij 6 P
(i = 1...m)
D’après De Werre [4], avec cette formulation on peut associer un multi-graphe biparti
G = (C, T, R), Son ensemble de sommets représente les classes(promos) et les enseignants,
et deux sommet ci et t j sont reliés par rij arêtes parallèles(.
Si chaque période corresponds à une couleur,alors le problème consiste en la recherche d’une
affectation d’une des p couleurs à chaque arête du graphe de sort à obtenir une coloration des
arêtes.
proposition 1. La proposition suivante donne une condition nécessaire et suffisante pour que le modèle
admet une solution,
m
∑ rij 6 Pj ( j = 1...n)
i =1
n
∑ rij 6 Pi (i = 1...m)
j =1
La proposition ci-dessus est connue en tant que théorème de Konig sur la coloration d’arêtes
dans les graphe bipartis.
Ce modèle prend en compte un programmation journalière, cependant pour tout une semaine
on doit prendre en compte le nombre maximal de cours qui doivent êtres programmés pen-
dant la semaine. Dans ce cas, pour chaque promo ci (enseignant t j )on a un entier positive
ai (b j )représentant le nombre maximum des séance sur chaque jour de la semaine.
De ce fait xijk représenta le nombre de cours impliquent la promo ci et l’enseignant t j sur la
journée k.
Le modèle devient :
p
∑ Xijk = rij (i = 1...m, j = 1...n)
k =1
33
2. Modélisation et les approches de résolution
n
∑ rij 6 ai (i = 1...m; k = 1...p)
j =1
m
∑ rij 6 b j ( j = 1...n; k = 1...p)
i =1
Les méthodes utilisant la génération de colonnes ont souvent des problèmes de conver-
gence dus au fait que le problème dual est très peu contraint au début de la méthode. En
pratique, ces problèmes vont amener la méthode à effectuer un grand nombre d’itérations qui
ne permettent plus d’améliorer la solution courante.[21]
34
2. Modélisation et les approches de résolution
Les méthodes approchées fournissent une solution approchée au problème traité. Elles sont
en général conçues de manière à ce que la solution obtenue puisse être située par rapport à la
valeur optimale : de telle méthodes permettent d’obtenir des bornes inférieures ou supérieures
de la valeur optimale tel que : Méthodes Heuristiques, Méta heuristiques.
Heuristiques : Le mot heuristique, dérivé de la langue grec, vient du verbe heuriskein qui
signifie trouver. Une heuristique est un algorithme qui permet de trouver dans un temps po-
lynomial une solution réalisable, tenant en compte d’une fonction objectif, pas nécessairement
optimale (approchée) ou exacte pour un problème d’optimisation difficile.
Ce type de méthodes traduit une stratégie (une manière de penser) en s’appuyant sur la
connaissance du problème. Une heuristique est spécifique au problème et ne peut pas être gé-
néralisée.
Méta heuristique : Le mot méta heuristique est composé de deux mots grecs : méta et heu-
ristique. Le mot méta est un suffixe signifiant au-delà c’est-à-dire de niveau supérieur.
Les méta heuristiques sont des méthodes généralement inspirées de la nature. Contraire-
ment aux heuristiques , elles s’appliquent à plusieurs problèmes de nature différentes. Pour
cela on peut dire qu’elles sont des heuristiques modernes, de plus haut niveau, dédiées parti-
culièrement à la résolution des problèmes d’optimisation. Leur but est d’atteindre un optimum
global tout en échappant les optima locaux.
Les méta-heuristiques regroupent des méthodes qui peuvent se diviser en deux classes :
— Méta-heuristiques à solution unique :Ces méthodes traitent une seule solution à la fois,
afin de trouver la solution optimale.
35
2. Modélisation et les approches de résolution
Opérateurs d’évolution
sélection
La sélection consiste à choisir les individus les mieux adaptés afin d’avoir une population
de solution la plus proche de converger vers l’optimum global. Cet opérateur est l’appli-
cation du principe d’adaptation de la théorie de Darwin.
Il existe plusieurs types de sélection :Sélection par rang,par tournoi ,uniforme.
Voici un exemple avec des individus en représentation binaire une fois la sélection effec-
tuée :
36
2. Modélisation et les approches de résolution
(1).png
croisement
Le double enjambement repose sur le même principe, sauf qu’il y a deux pivots :
Mutation
37
2. Modélisation et les approches de résolution
Le recuit simulé (RS) est une technique probabiliste permettant d’approcher l’optimum
global d’une fonction donnée.
Le recuit simulé est la première méta-heuristique qui a été proposée est réalisées par
Metropolis et al. dans les années 50 pour simuler l’évolution de ce processus de recuit
physique (Metropolis53). et utilisé pour la résolution des problèmes d’optimisation com-
binatoire beaucoup plus récente.
38
2. Modélisation et les approches de résolution
On utilisant un ensemble des paramètres dans cette algorithm appelé la température (no-
tée T) :
— T élevée : tous les voisins ont à peu près la même probabilité d’être acceptés.
39
2. Modélisation et les approches de résolution
configuration initial
température initial T
Modéfication élémentaire
variation d’énergie (E-E’)
Non
Equilibre
thermodynamique ?
Oui
oui
stop
3 Répéter
40
2. Modélisation et les approches de résolution
L’RS commence par générer une solution aléatoire, qui est ensuite évaluée en calculant
l’adéquation de la solution. Une fois la solution initiale évaluée, une solution voisine est
créée en modifiant légèrement la solution initiale.
Si la solution du voisin est mieux adaptée que la solution actuelle, le voisin est enregistré
comme solution actuelle. Il est également possible que l’algorithme choisisse une solution
pire. Ceci est utilisé par la SA pour éviter de se coincer à l’optimum local. RS décide si
elle doit conserver la solution ou non par l’utilisation d’une température. La température
est réglée à une certaine valeur au début et quand la température est plus élevée, il est
plus susceptible d’accepter une solution pire que lorsqu’il a refroidi pendant un certain
temps. Une fois la solution sélectionnée, la température est abaissé par l’utilisation d’un
taux de refroidissement fixe. Ensuite, une solution voisine est produite une fois de plus
et par rapport à la meilleure solution précédente. Cette procédure est répétée jusqu’à
ce qu’un objectif soit atteint. Le but peut être soit lorsque la température atteint zéro ou
quand un certain temps s’est écoulé ou lorsque la qualité de la solution a atteint un certain
niveau.[19]
Recherche tabou (RT) est un algorithme méta-heuristique dont l’idée principale est de
produire de nouvelles solutions avec des changements mineurs et compare l’adéquation
des solutions à la solution actuelle, en la remplaçant si la nouvelle est mieux.
RT a par rapport à son nom une liste tabou d’une taille fixe contenant des solutions qui
ont été précédemment visitées et qui sont déclarées tabou, c’est-à-dire interdites. Une
solution de cette liste ne sera pas visitée de nouveau avant qu’un certain nombre de solu-
tions aient été visitées. Ceci est appelé la mémoire à court terme de RT et aide l’algorithme
à éviter de devenir redondant et contribue à étendre la recherche dans différentes régions
dans l’espace de solutions.
— S0 : solution initiale.
On arrête la recherche si :
41
2. Modélisation et les approches de résolution
Configuration initiale S
Perturbation de S suivant n
mouvements non tabous
Nouvelle configuration
Evaluation des n voisins
courante s=t
Sélection du meilleur
voisin t
Insertion du mouvement
t recoi s dans la liste
tabou circulaire
Oui amélioration
observée
récemment?
Non
stop
— Si une limite a été atteinte en ce qui concerne : -Le nombre d’itérations. -Le temps de
calcul.
La recherche tabou (RT) est une méthode de recherche locale combinée avec un ensemble
de techniques permettant d’éviter d’être piégé dans un minimum local ou la répétition
d’un cycle. La recherche tabou est introduite principalement par Glover (Glover 1986),
Hansen (Hansen 1986), Glover et Laguna dans (Glover et Laguna 1997). En effet, à partir
d’une solution initiale s dans un ensemble de solutions local S, des sous-ensembles de
solution N(s) appartenant au voisinage S sont générés. Par l’intermédiaire de la fonction
d’évaluation nous retenons la solution qui améliore la valeur de f, choisie parmi l’en-
semble de solutions voisines N (s).
L’algorithme accepte parfois des solutions qui n’améliorent pas toujours la solution cou-
42
2. Modélisation et les approches de résolution
rante. Nous mettons en œuvre une liste tabou (tabu list) T de longueur k contenant les k
dernières solutions visitées, ce qui ne donne pas la possibilité a une solution déjà trouvée
d’être acceptée et stockée dans la liste tabou. Alors le choix de la prochaine solution est ef-
fectué sur un ensemble des solutions voisines en dehors des éléments de cette liste tabou.
Quand le nombre k est atteint, chaque nouvelle solution sélectionnée remplace la plus
ancienne dans la liste. La construction de la liste tabou est basée sur le principe FIFO.
La recherche Tabou a été appliquée pour la première fois à le problème de coloration
en 1987 par Hertz et de Werra et a permis d’obtenir de bons résultats. Depuis, d’autres
algorithmes Tabou ont été développés avec des performances supérieures. Encore aujour-
d’hui, ces algorithmes font partie des principaux algorithmes de référence pour le pro-
blème de coloration, bien que les meilleurs résultats soient détenus par des algorithmes
hybrides plus complexes .[6]
Si plusieurs choix sont possibles, l’un deux est pris au hasard. Pour que ce choix du
meilleur voisin soit réalisé rapidement, des structures de données spécifiques sont uti-
lisées pour permettre une évaluation incrémentale du voisinage. La paire (i, c) est ainsi
mise dans la liste tabou pour interdire de réaffecter la couleur c au sommet i pendant les
prochaines t1 itérations. La valeur t1 change pendant la recherche en fonction du nombre
des sommets en conflit et en fonction de deux variables aléatoires [4,5,6]. La recherche
locale se termine soit lorsque l’on trouve une solution (une coloration sans conflits), soit
lorsque l’on arrive au nombre d’itérations maximal fixé a priori.
conclusion
Toutes ces méthodes peuvent être utilisées pour la plupart des problème posés en opti-
misation combinatoire, nous avons essayés de donner une brève description de chaque
méthode en se focalisant sur la méthode exacte qui nous intéresse.
43
CHAPITRE 3
MÉTHODE DE DÉCOMPOSITION
Introduction
Le but des emplois du temps universitaire est d’associer un ensemble d’entité à savoir
des cours, des conférenciers, des étudiants, des salles et des créneaux horaires de sorte
qu’aucun conflits ne se produit à n’importe quelle période. Le nombre d’étudiant affectés
à une salle doit ne pas dépasser la capacité maximale des salles, et sans oublier d’autre
contraintes nécessaire.
Le problème peut être formulé comme étant la recherche d’une meilleure répartition des
cours entre les enseignants (conférenciers) et les étudiants sur un nombre fini d’unités de
temps et de salles, tout en satisfaisant un grand nombre de contraintes.
Pour montrer comment appliquer la méthode du flot maximum dans un graphe biparti,
on considère cet exemple pour le problème d’affectation dans les emplois des temps.
On peut voir une partie de l’emploi du temps comme étant une affectation des cours aux
enseignants. De ce fait, on peut considérer les deux entités comme étant les sommets du
graphe et une relation existe entre les cours (modules) et les enseignants si le cour est
dispensée par enseignant.
Le graphe ainsi obtenu est biparti.
L’exemple que nous donnons ici est donné par De werra à travers cette exemple nous
44
3. Méthode de Décomposition
donnerons une description sur l’utilisation du flot max au problème d’emploi du temps.
Il s’agit d’emploi des temps qui concerne une semaine appliquer sur 3 jours, on a 3 ensei-
gnants et 2 salles ou fait la résolution est réaliser à l’aide de la technique du flot max.
1 2 4
M=
3 2
45
3. Méthode de Décomposition
On applique une méthode (ici à la main) pour trouver la solution représentée par la ma-
trice suivante :
t1 t2 t3
Xij1 = c1 0 0 2
c2 1 0
Cette solution a été obtenue en résolvant le problème du flot pour trouver un flot compa-
tible. Pour le deuxième jour, la matrice de besoin sera :
t1 t2 t3
c1 1 2 2
c2 2 2
t1 t2 t3
Xij2 = c1 0 1 1
c2 1 1
t1 t2 t3
Xij3 = c1 1 1 1
c2 1 1
De la même manière obtiendra les affectation pour le 2me et le 3me jours.Ces matrices sont
données comme suit :
D’après la contrainte (chapitre 2.page 24) dans cette exemple on a 1 6 ∑in=1 xijk 6 2
et (2.2) dans ce cas est 2 6 ∑im=1 xijk 6 3
Les modèles présentés jusqu’à présent sont des modèles dont les variables sont à trois
indices.
Dans la suite, nous donnerons une autre modélisation la décomposition du modèle pré-
cédent en deux modèles dont les variables sont à deux indices. Les auteurs de ce travail,
à savoir : Lach, Lübbecke, Sørensen... affirme qu’une telle décomposition réduit la com-
plexité du problème et rend plus facile sa résolution.
46
3. Méthode de Décomposition
Dans cette partie, nous allons donner une description de la méthode de décomposition.
Nous allons nous appuyer sur le travail de Matias Sørensen et Florian H.W. Dahms[3].
Dans ce derniers les auteurs réduisent le problème à l’origine en trois dimension en un
plan à deux dimension incluant deux modèle et sa résolution se fera en deux étapes.
La première étape consiste en la résolution du modèle d’affectation des événements aux
créneaux horaires puis vient la seconde étape qui reprend les résultats de la première
étape comme donner du second modèle. Il s’agit de l’affectation des événements aux
salles.
Soit | E| l’ensemble des événements ou un événement est une séance ou se rencontre une
promotion avec l’un des professeurs qui enseigne un module (classe)donnée
On a aussi :
Cn : c’est l’ensemble des modules(class) existant.tout enseignement est subdivisé en trois
catégories :
— cours,
— travaux dirigés(Td),
— travaux pratique(Tp).
47
3. Méthode de Décomposition
0 a0 c’est une entité qui peut représenter un enseignant ou un étudiant. L’ensemble des
enseignants sont subdivisés en plusieurs corps :
— Les professeurs.
48
3. Méthode de Décomposition
∑ Ye,t = 1, ∀e ∈ ε
t∈T
∑0 Ye,t 6 1, ∀a ∈ A, t ∈ T r tD
e∈ E a
Ye,t ∈ Pemploi
Ye,t ∈ {0, 1}
∑ Ze,t = 1, ∀e ∈ ε
r∈R
∑ Ye,t
∗
Ze,r 6 Gr,t , ∀r ∈ R r r D , t ∈ T r tD
r∈R
Ze,r 6 Ke,r ∀e ∈ ε, r ∈ R
Ze,r ∈ Psalle
Z ∈ {0, 1}
49
3. Méthode de Décomposition
∑ Ye,t = 1 (3.2)
t∈T
Cette contrainte est pour assurer que tout événement, aura lieux que sur un seul créneau.
Lorsque Va,t = 1 ça veut dire que l’entité 0 a0 est active dans un créneau horaire t, et 0
sinon dans le cas contraire.
Par cette contrainte, on assure qu’un enseignant ou les étudiants ait un seul cour (ou
TD,TP) pendant la période t.
Cette contrainte exprime le fait que si aucune entité (enseignants,étudiants) n’est pro-
grammée en jour d alors tous les Va,t soit nuls ou t est un créneau du jour d.
Ye,t = 1 (3.5)
0 0 0
∀e ∈ E, e ∈ Ce (t, t ) ∈ T, dt = dt 0 ord(t ) + 1 = ord(t )
50
3. Méthode de Décomposition
Ou Ce représente l’ensemble des évènements qui doivent être programmés dans le même
période de temps que évènement e ∈ ε. Ces deux contrainte est servent à assurer le pla-
cement d’événements exigeant le déroulement de manière successives.
∑ Ye,t = 0 (3.8)
t ∈ T,De,t =0
∀e ∈ E
De,t prend la valeur 1 si l’événement e ∈ E peut être programmé dans l’intervalle t ∈ T
(0 sinon). Cette contrainte impose des restrictions sur les créneaux horaires pour lesquels
une entité n’est pas disponible.
pour tout a ∈ A, d ∈ D
Cette contrainte assure que si une entité a ∈ A n’a pas d’événement sur un jour d ∈ D,
alors la variable f a,d est forcée de prendre la valeur 1. Ceci est nécessaire car cette variable
est minimisée dans l’objectif.
∑ Ye,t 6 Wa (3.10)
e∈ E,t ∈ Td
∀ a ∈ A, d ∈ D Cette contrainte est pour assurer que la limite sur le nombre d’événements
assignés durant le jour d pour l’entité a est respecté. Pour une entité, les jours avec un seul
événement programmé sont indésirables.
∀ a ∈ A, d ∈ D Cette formule est pour pénalise les jours avec un seul événement pro-
grammé pour l’entité a.
∑ Va,t 6 5 (3.12)
t ∈ TD
Cette contrainte exprime que chaque entité(enseignants, étudient)ne peut pas étudier
toute la journée .
A fin d’éviter une continuité, sans arrête on introduit la contrainte suivante :
∑ Va,t 6 1 (3.13)
t ∈{3,4}
51
3. Méthode de Décomposition
∑ Ze,r = 1 (3.14)
r∈R
∀e ∈ E
Cette formule exprime que chaque évènement e est affecter à une seul salle (dans un pé-
riode de temps).
Gr,t est une variable binaire, égale à 1 si la classe r est disponible pendant la période t et
∗ C’est la solution obtenue par le modèle 1
Ye,t
∑ Ye,t
∗
Ze,r 6 Gr,t ∀r ∈ Rr D , t ∈ T tD (3.15)
e∈ E
Cette contrainte est exprime que l’affectation du évènement e ∈ ε dans créneaux horaire
dans étape 1 tous cela doit assigner dans les salles.
Cette contrainte est exprime que les évènement sont affecter aux salles.
Le fait que Ze,r = 1 cela assure que les événements spéciaux dont les salles sont ver-
rouillées sont attribués en conséquence.
∀e ∈ E
Cette formule mathématique fait en sorte qu’un événement ne puisse être attribué à une
salle s’il n’est pas attribué à un créneau horaire, sauf si l’événement est verrouillé à une
salle spéciale.
Pour cette problématique il existe deux types des contraintes, les contraintes soft(douce)
et hard(dure).
Les contraintes hard sont les contraintes qui doivent été satisfaites dans un calendrier
52
3. Méthode de Décomposition
pour être réalisable, les contraintes soft qui sont à considérer sont :
— Le cours doit être programmé pour un nombre de fois requis pour chaque sujet sur
une période d’une semaine en général.
— Certaines matières doivent être enseignées à certains moments.Par exemple les mo-
dules fondamentaux ci mieux d’enseigner dans les premiers heurs de la journée.
— Les enseignants ne peuvent enseigner que dans une classe en même temps.
— Il ne peut y avoir qu’un seul sujet dans la même classe en même temps.
— Certaines classes ayant des besoins spéciaux, par exemple : les ordinateurs ou le
matériel de laboratoire doivent être enseigné dans une salle assignée à cette fin.
Et pour les contraintes soft on a un autre ensemble de cette contrainte qui est souhaitables
mais pas absolument essentielles :
— Certains enseignants peuvent préférer enseigner leur matière pendant certaines pé-
riodes de la jour
— Il est peut-être préférable de remplir d’abord des salles plus petites, si possible.
— Il peut être préférable de distribuer les cours au cours de la semaine afin que le même
cours ne soit pas donné deux fois le même jour.
— Il peut y avoir des préférences pour certaines classes de quand la classe devrait être
tenue,par exemple le matin ou l’après-midi.
Les contraintes
53
3. Méthode de Décomposition
+ ∑ Wc + K ∑ Va,t .
c∈C t ∈ Td
Notons que l’idée derrière l’extension du premier modèle pour inclure partiellement les
pénalités sur l’allocation des salles, est de considérer le deuxième modèle comme étant un
problème de couplage maximum dans les graphes bipartis. En outre, vue que le deuxième
modèle peut être subdiviser en sous-problème indépendants qui peuvent résolue sépa-
remment suivant chaque crénaux horaire. Ce qui revient à résoudre, pour chaque période
de temps, un sous-problème. Ce qui fait un totale de | T | sous-problèmes. En considérant
un problème de couplage maximum pour la deuxième étape, permet l’exploitation de
certaine propriétés des problème de couplage dans les graphes bipartis. D’où l’utilisation
du théorème de Hall comme étant une contrainte dans la première étape (contrainte 3.13)
afin de garantir, en quelque sorte, que le l’étape 1 conduira à une solution réalisable pour
tout les sous-problèmes de la deuxième étape.
D’autres éléments qui ont été omis par nos soins, ont été détaillés dans le travail de M.
Sorensen et F.H.W. Dahms[3].
∑ Ze,r = 1∀e ∈ E
r∈R
∑ Ye,t
∗
Ze,r 6 Gr,t , ∀r ∈ Rr D , t ∈ T tD
e∈ E
Ze,r 6 Ke,r , ∀e ∈ E, r ∈ R
Ze,r = 1, ∀e ∈ E, r ∈ R, LRe,r = 1
∑ Vc,r − 1 6 Sc , ∀c ∈ C
r∈R
Sc ∈ R +
54
3. Méthode de Décomposition
Pour cherché a une solution aux divers problématique ils faut passer par une ensemble
des étapes différentes. Parmi ces méthodes on trouver la modélisation, et pour cette der-
nier on aura des plusieurs techniques. Dans notre mémoire on utilise deux type. La mo-
délisation qui basé sur le graphe(biparti), utilisent le flot maximum pour rechercher a
une solution qui représente la résolution du problème d’emploi du temps, l’autre type
et basé sur la décomposition en deux sous modèle chaque modèle pris un ensembles
des contraintes qui doit le satisfait on l’objectif. La décomposition en deux niveau aider
pour facilité la recherche du solution aux problème, nous essayent de monter un peut
cette dernier, malheureusement nous sont pas fait l’application du cette décomposition
sur notre faculté en raison du manque de temps et d’autres circonstances particulières, et
nous espérons qu’il sera utilisé dans autres mémoire.
55
CONCLUSION GÉNÉRALE
Parmi les vastes problèmes qu’on traite en recherche opérationnelle, on trouve la problé-
matique de gestion des emplois temps, qui consiste en la planification d’un ensemble de
tâches sur une période de temps. On trouve ce dernier dans plusieurs domaines diffé-
rents : l’éducation, les hôpitaux, ... Dans ce travail, nous nous sommes intéressés au pro-
blème de planification des emplois du temps en milieu universitaire. C’est un problème
très complexe à résoudre. Pour le résoudre plusieurs modèles ont été proposés, en autres
nous citons, la coloration dans les graphes, les programmes en nombres entiers. Parmi les
modèles en nombre entiers on a ceux dit à trois dimensions. Ces derniers, sont caracté-
risé par un nombre important de variables, ce qui alourdi sa résolution. Pour remédier à
cette problématique une méthode qui s’avère efficace a été proposé par Matias Sørensen
et Florian H.W. Dahms, appelée méthode de décomposition. Son principe réside dans la
décomposition du modèle à trois dimension en deux modèles à deux dimensions chacun.
Le premier consiste en l’affectation des événements aux entités (enseignants et étudiants)
et le deuxième consiste en l’affectation des événements aux salles. La solution du premier
modèle est intégrée comme une donnée pour le deuxième modèle. Nous avons essayé de
comprendre cette modélisation et d’en donner sa description. Le travail n’est pas encore
achevé, car une adaptation rigoureuse est envisageable pour notre faculté et pourquoi
pas une implémentation aussi.
56
BIBLIOGRAPHIE
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58
résumé
Il existe plusieurs méthode pour faire une planification des emplois des
temps et parmi les meilleurs méthode on trouve la décomposition en deux
étapes.
abstract
There existe many way to organizated the hours of the study classes and
among the most important and successful methodsthat exist is A TWO
STAGE DECOMPOSITION.
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