TD 5 TGO

Cas pratique n°1 – Un transporteur maritime doit livrer des marchandises périssables dans le port X.
Dans son contrat, une clause stipule « que dans l’impossibilité de livrer les marchandises au port X, le
transporteur a toute liberté pour livrer les marchandises dans un autre port afin qu’il ne perde pas son
temps ». Lorsqu’il arrive au port X, le 10 mars 2019, une grève bloque son accès. Il décide de patienter
dans la rade plusieurs semaines. Malheureusement, toute la marchandise a péri. Le propriétaire des
marchandises l’accuse de ne pas avoir utilisé sa prérogative contractuelle. Qu’en pensez-vous ?

Est que le transporteur avait le droit de rester la ?

Art 1504 code civil

Le transporteur n a pas executer de bonne foit

Arret 10 juillet 2007 –

Greve = force majeur ??

Cause d exoneration ?

« Avoir tout liberte de » = avoir une prerogative de faire ou de ne pas faire on doit se referer a la
volonte de parties. Au premeire vue le transporteur na pas fait aucune faute pq il a eu la liberte de faire
qq. Mais la bonne foi qui dit ? le contrat doit etre executer de bonne foi ? le transporteur n a pas utilise
sa prerogative

Solidarisme contraxtuelle = des freres ? on doit demander le juge cica de ce solidarisme contractuelle.
Mais si on invoque ca on na pas aucune fondement juridique. Le juge va statuer sur equiter.

En conclusion ne sera pas responsable. Contract mal rediger.

Un transporteur maritime + emplyeur= contract de trasnport des marchandises

Clause stipule « que dans l’impossibilité de livrer les marchandises au port X, le transporteur a toute
liberté pour livrer les marchandises dans un autre port afin qu’il ne perde pas son temps ».

Le transporteur n`a pas respecter son obligation

Article L5422-12 dispose dans l alinea premiere que

« Le transporteur est responsable des pertes ou dommages subis par la marchandise depuis la prise en
charge jusqu'à la livraison, à moins qu'il prouve que ces pertes ou dommages proviennent :
(…)

3° Des faits constituant un événement non imputable au transporteur ;

4° De grèves ou lock-out ou d'arrêts ou entraves apportés au travail pour quelque cause que ce soit,
partiellement ou complètement »

Les greves prevu a numero 4 je pense qu ils sont de greves de l`equipage de la navire, pas de greves
dans le porte. Toutefois on peut nous trouver sur numero 3 un evenement non imputble au
transporteur = le fait que dans le port était un greve.

Par contre il y avait une clause qui stipule que dans ses cas le transporteur doit aller dans un sautre
porte. Aisni on doit analyser si le fait la greve a duree plusieurs semaines est imputable au non au
transportateur.

Article 1218 « Il y a force majeure en matière contractuelle lorsqu'un événement échappant au contrôle
du débiteur, qui ne pouvait être raisonnablement prévu lors de la conclusion du contrat et dont les
effets ne peuvent être évités par des mesures appropriées, empêche l'exécution de son obligation par le
débiteur. »

Dans leur contrat cette eveneemnt imprevue a été prevue d une manière, donc on peut dire que l
imposibilite d atteindre au port a été prevue et que le transportateur devrait aller dans un autre port.

Cas pratique n°2 – Le président du conseil d’administration de la société Y rachète des actions de cette
dernière à un autre actionnaire par un contrat de cession de titres qui contient une clause de garantie
de passif visant à la prémunir de toute augmentation du passif fiscal de la société. Quelques mois plus
tard, un redressement fiscal vient frapper la société. L’ancien président assigne alors l’actionnaire pour
qu’il soit condamné à prendre en charge la somme du redressement fiscal en vertu de la clause de
garantie de passif. L’actionnaire refuse de procéder ainsi, car, selon lui, le président est de mauvaise foi,
car il connaissait les risques fiscaux de l’entreprise. Que risque le président du conseil d’administration.

Apllication d arret 1 de la fiche. Les accrtionnaire ne peuvent pas refuser d executer leur obligation du
contrat. Les executaire doivent executer leur obligation.

Cession de titre + clause de garantie de passif

En vertu d'une clause de garantie de passif, le cédant d'un nombre important de parts sociales ou
d'actions s'engage à prendre à sa charge tout ou partie des dettes sociales existantes
antérieurement à la cession et qui se révéleraient postérieurement à celle-ci.

Tel est par exemple le cas de la dette fiscale, qui se révélerait à la suite d'un contrôle fiscal effectué
postérieurement à la cession, mais qui se rattacherait à un exercice fiscal antérieur à celle-ci.

Ce quoi redressement fiscal= Le redressement fiscal, également appelé à l’issu d’un contrôle fiscal
effectué par l’administration fiscale auprès d’un contribuable. Cette procédure permet de corriger la
base d’imposition du contribuable lorsque ce dernier a commis des erreurs ou des omissions.

Donc on doit analyser si le cedeur a su du redressement fiscal, parce que de ce que je compir s il a
sui l doit payer le passif.

Ainsi on voit que dans la pratiqe le cedant doit payer en vertu d`une clause de garantie fiscal
le dette issu d`un redressementfiscal. Ainsi le president du conseil d `orientation doit payer
le passif.

Mais est qu Il y a d autre risques?

l'obligation légale d'information du cedant

je croit qu il seulement doit payer la dette

Article 1112-1
Celle des parties qui connaît une information dont l'importance est déterminante pour le
consentement de l'autre doit l'en informer dès lors que, légitimement, cette dernière ignore cette
information ou fait confiance à son cocontractant.

Néanmoins, ce devoir d'information ne porte pas sur l'estimation de la valeur de la prestation.

Ont une importance déterminante les informations qui ont un lien direct et nécessaire avec le
contenu du contrat ou la qualité des parties.

Il incombe à celui qui prétend qu'une information lui était due de prouver que l'autre partie la lui
devait, à charge pour cette autre partie de prouver qu'elle l'a fournie.

Les parties ne peuvent ni limiter, ni exclure ce devoir.

Outre la responsabilité de celui qui en était tenu, le manquement à ce devoir d'information peut
entraîner l'annulation du contrat dans les conditions prévues aux articles 1130 et suivants.

FICHE 1 D ARRET
Dans un arrêt du 10 Juillet 2007, la Chambre Commerciale de la Cour de Cassation a été amenée à se
prononcer sur un problème relatif à l'obligation contractuelle de bonne foi.

En l'espèce, MM.B,A et Z sont actionnaires de la société Les Maréchaux qui exploite une discothèque.
Ces derniers ont, par acte du 18 Décembre 2000, cédé leurs participations à M.X qui est Président du
Conseil d'Administration de la société et déjà titulaire de nombreux titres. Cette convention de cession
de titres contient deux clauses. D'une part, il est stipulé que M.X devait verser un complément de prix à
MM.B,A et Z sous certaines conditions qui, en l'espèce, se sont réalisées. D'autre part, il était stipulé
que M. B, A et Z devaient garantir à M.X le versement d'une somme d'argent en cas d'augmentation du
passif résultant d'évènements à caractère fiscal dont le fait générateur serait antérieur à la cession. Or,
la société a fait l'objet d'un redressement fiscal au titre de faits antérieurs à la cession (en 2000).

Par conséquent, MM.B A et Z ont demandé que M.X soit condamné à leur payer le complément du prix.
Toutefois, ce dernier a fait une demande reconventionnelle visant à demander que les cédants soient
condamnés à lui payer une certaine somme au titre de la garantie du passif. Ainsi, M.X a interjeté appel
devant la Cour d'Appel de Paris et, dans un arrêt du 14 Mars 2006, celle-ci a rejeté la demande au motif
que M.X a manqué à la bonne foi contractuelle. La Cour d'Appel affirme que M.X en sa qualité de
dirigeant et principal actionnaire de la société Les Maréchaux, ne pouvait pas ignorer les irrégularités
comptables pratiquées. Ainsi, selon la Cour d'Appel, il avait délibérément exposé la société aux risques
de mise en œuvre de pratiques irrégulières à l'origine du redressement fiscal invoqué au titre de la
garantie du passif. Par conséquent, la Cour d'Appel de Paris a estimé que, puisque M.X manquait à
l'obligation de bonne foi en demandant un tel paiement à MM.X, Y et Z. La créance née du contrat est
alors remise en cause par le manquement au devoir de bonne foi de M.X. Par la suite, M.X a formé un
pourvoi en cassation.

Le problème juridique posé par cet arrêt est celui de savoir quelle est l'étendue du pouvoir du juge à
l'égard du manquement à l'obligation de bonne foi. Ainsi, il convient de se demander si le juge peut faire
prévaloir l'obligation de bonne foi sur le principe de la force obligatoire du contrat.

La Cour de Cassation, dans son attendu de principe, affirme que si la règle selon laquelle les conventions
doivent être exécutées de bonne foi permet au juge de sanctionner l'usage déloyal d'une prérogative
contractuelle, elle ne l'autorise pas à porter atteinte à la substance même des droits et obligations
légalement convenus entre les parties Ainsi, la Cour de Cassation précise les pouvoirs du juge relatifs à la
portée de l'exécution de bonne foi afin de rejeter la position adoptée par la juge de la Cour d'Appel de
Paris. Dans cet arrêt, la Cour de Cassation exprime le fait que le juge ne peut pas porter atteinte à la
substance du contrat convenu entre les parties.

Probleme de droit : la prerogative contractuleee qui a ente ………….ca permet a deroger a la force
obligatoire du contrat. Repons non.

La juge a viole l aforce contraignant du contrat. La bonne foi est toujour presume et la maus=vais foi
doit etre prouvee.

ART 1134 Les conventions légalement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites.
Elles ne peuvent être révoquées que de leur consentement mutuel, ou pour les causes que la loi
autorise.

Elles doivent être exécutées de bonne foi.

« Le contrat face aux circonstances extraordinaires” – force majeur et l imprevision

Force majeur= ca implique la liberation du debiteru totale et definitive

L imprevision= processus au plusiers etapes, pouvoir de juge de decider je crois

Arret numero 2 de la fische.

La force majuer peut etre envoquer de part de debiteur. ]\

Si le monyant n a pas une certain omme le juge nuj ce dans le derniere resort.

Iul n a pas de cour d appel de cette chose.

Roule la question de force majeure.

Le contractat peut invoquer ou non la force majeur?

Les epouse dissent que cause de la foce majeur il ne peuvent pas prifter de leur contrat d
hebergement.

“Le créancier qui n'a pu profiter de la prestation à laquelle il avait droit ne peut obtenir la
résolution du contrat en invoquant la force majeure” l apport de l arret : LE
CREANCIER NE PEUT PAS INVOQUER LA FORCE MAJEUR, SEULEMENT LE
DEBITERU PUET FAIT CA.

Cette solution n exclut pas d autre situation eventuelle de resolution dans ce cas. Peut etre
une assurance.

Art 1218 du code civil.  interpretation stricte/ literale de cette article fait pas la cour de
cassation

Article 1218
Il y a force majeure en matière contractuelle lorsqu'un événement échappant au contrôle du
débiteur, qui ne pouvait être raisonnablement prévu lors de la conclusion du contrat et dont les effets
ne peuvent être évités par des mesures appropriées, empêche l'exécution de son obligation par le
débiteur.

L article mmentionne seulmenet le debiteur, pas le creancier.

 I. une lecture literale de l art 1218 du code civil
A. Le cetre de gravite du texte : le debiteur
B. Le creancier : une excusion dificile, deliquate a justifier

II. une lecteur severe de l art 1218

A. une severite pour le creanicer
- ecquilibre entre d et c
B. une severite a questionner

un débiteur ne peut plus correctement faire face à l’exécution de ses obligations en raison de la crise du
Covid-19. Expliquez quels pourraient être les mécanismes contractuels utiles aux contractants
confrontés à une telle situation. Vous utiliserez utilement le commentaire de l’arrêt précédent pour
répondre à cette question.

Le debiteur peut invoquer l imprevision, la force majeur et le negociations

Force majeur la maladie est une chose interieure du debiteur et ne peut pas etre force majeur. La
force majeur doit etre exterieur de parties

Article 1195
Version en vigueur depuis le 01 octobre 2016

Modifié par Ordonnance n°2016-131 du 10 février 2016 - art. 2

Si un changement de circonstances imprévisible lors de la conclusion du contrat rend l'exécution

excessivement onéreuse pour une partie qui n'avait pas accepté d'en assumer le risque, celle-ci
peut demander une renégociation du contrat à son cocontractant. Elle continue à exécuter ses
obligations durant la renégociation.

En cas de refus ou d'échec de la renégociation, les parties peuvent convenir de la résolution du

contrat, à la date et aux conditions qu'elles déterminent, ou demander d'un commun accord au juge
de procéder à son adaptation. A défaut d'accord dans un délai raisonnable, le juge peut, à la
demande d'une partie, réviser le contrat ou y mettre fin, à la date et aux conditions qu'il fixe.

Imprevisibilite echapper du controle du debiteur; irresistible= il n a pas aucune moyen d echapper.

Si l evenement est temporelle l execution d obligation sera suspende.