PDF_2_comptabilité_de_Gestion_(cours_du_prof)[1]
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Objectif du cours= réduction de coûts pour les entreprises, quel que soit leur tailles, elles veulent
ttes être compétitives donc nécessité de réduire les coûts (salariaux et de production)
L’entreprise n’a d’existence que par rapport aux clients et aux concurrents, réduire les coûts permet
de vendre plus, maximiser la rentabilité.
Pour y arriver, elles doivent mettre en place un syst.
À partir de ces 2 doc on peut faire pratiquement ts les calculs qu’on veut.
c’est la comptabilité générale (compta privée) qu’on va extraire les sources d’informations qu’on
va utiliser en compta de gestion
2)permet de calculer des coûts
3)permet d’évaluer les stock
-taille de l’entreprise
-durée du cycle production
-modalités de vente
-structure d’entreprise (pme, pmi, tpe, transnationales…..)
-mode d’animation Mode d’animation: manière dont l’ent est dirigée (mode directif,
-formation des responsables participatif,…)
-attitude des dirigeants
Ceci dit, il faut souligner que c’est surtt à partir du schéma de processus de fabrication de
l’entreprise que l’on peut créer les centre d’analyse.
Entreprise= centres, chaque centre a un responsable avec un budget
Le schéma décrit toutes les étapes en partant de la matière première en passant par transfo pr arriver
à commercialisation de produit fini ou service.
Comptabilité de gestion CM
par fonction :
la première fct ds une entreprise c’est l’approvisionnement
2, production
3e la distribution
4e l’administration
les activités de l’entreprise vont être subdivisées suivant leur rôle et les charges correspondantes
reparties selon critères identiques.
Type d’entreprise concerné : utilisé pr faire analyse globale du compte de résultat, donc concerne
les PME commerciales
par produit :
Lorsque l’entreprise fabrique plusieurs biens ou plsrs types de biens je répartie alors les charges
entre ces biens, pr essayer de savoir lql de ses produits est le plus rentable lrsq les prix de vente st
fixés par le marché ou bien de fixer le prix de vente lorsque l’entreprise peut fixer elle même ses
prix (si on a un produit qui se distingue des autres), pr cela faut connaître les prix
par commande :
parfois les entreprises travaillent à la commande, ce st en gnrl des produits couteux et particuliers.
Une analyse des charges que va entrainer chq commande est nécessaire. Il faut pouvoir chiffrer
(pour devis par ex)
La compta de gestion analyse et dispatcher les charges (de la compta générale) en divers coûts avec
autant de résultats souhaités (selon procédure).
Tte entreprise doit mettre en place un syst de compta de gestion pour ê compétitif.
À noter : la compta générale est obligatoire mais pas la compta de gestion
Terminologie du PCG
On peut dire que plusieurs coûts st calculés selon les différentes phases de prod du produit..
On peut distinguer 3 grandes phases :
- après approvisionnement → coût d’achat
- après production→ coût de production
- après distribution → coût de distribution
Coût de revient (selon pcg) = somme des éléments de charges soit pr une marchandise soit pr un
bien, ou prestation de services, qui correspond au stade final du produit considéré c’est-à-dire vente
incluse.
Marge= c’est une différence entre une prix de vente et un coût. Je peux faire la diff entre prix de
vente et prix d’achat par ex
différence entre prix de vente et cout de revient → obtient une marge qu’on appelle résultat.
Ce résultat
les info de la compta de gestion proviennent des comptes de charges et produits de la compta
générale. Il faut veiller à cette articulation. Elle consiste à saisir les flux internes correspondants aux
virements qui permettent de calculer les coûts, couts de revient et résultats.
2 méthodes d’enregistrement de ces flux internes :
la somme des résultats unitaire (élémentaires) doit ê égale au résultat global de l’entreprise.
Je dois faire des différences de traitement si choisit des méthodes que l’on justifie économiquement
et on doit retomber dur le résultat de l’entreprise en compta g
det coûts de l’entreprise : doit mettre en place un inventaire permanent des stocks . Elle doit
connaître la valeur de ses stocks à tt moment. Calcul de coût se fait à partir des stocks aussi
- Phase d’approvisionnement : les produits achetés (ex : marchandises, mat première, mat et
fournitures consommables, emballages commerciaux...)
- Phase de distribution : produits finis (ex : table, chaise, vélo…) ; et produits résiduels : d’une
part les déchets, et d’autre part les rebuts (un produit qui n’a pas la qualité requise pour être vendu
normalement ; emballages commerciaux.
L’Inventaire Permanent :
Lorsque l’entreprise met en place un système de comptabilité de gestion pour calculer le coût de ce
qu’elle produit sur des périodes pouvant être mensuel trimestriel ou juste plus courte que l’année.
Cela passe notamment la tenue d’un inventaire permanent.
Il faut préciser que dans les comptes de stocks de l’inventaire permanent, on va enregistrer les
entrées dans la colonne de débit et sorties dans colonne de crédit.
Comptabilité de gestion CM
2 situations à envisager :
→ si produit acheté , le compte correspondant de stock sera débité des coûts d’achat calculés.
Comment calculer un coût d’achat ?
Coût d’achat= Prix d’achat + charges directes + charges indirectes d’approvisionnement.
→ si produit fabriqué, les comptes de stocks de produits fabriqués par l’entreprise sont débités des
coûts de production de ces éléments au fur et à mesure qu’ils sont produits. Comment ?
Coût de production= Coût d’achat des matières, fournitures et services consommés + charges
directes (de fabrication) + charges indirectes de production.
Produits → entrée en stock→ vente, donc sortie de stock, qu’il faut évaluer.
On peut l’appliquer de 2 manières, en fin de période de référence ou après chaque entrée, préférable
qu’il se fasse ds une période plus courte que l’année.
Avantage : Permet un événement des prix, liste les variations des prix surtout lorsque le prix des
matière est fluctuant
Inconvénient : Il faut que l’entreprise soit patiente et doit attendre la fin de la période réf pr pouvoir
évaluer les sorties et donc calculer les coûts de revient.
Mais si on veut pas attendre, on peut remédier à ce problème d’attente en utilisant un coût théorique
pour évaluer les sorties. On peut considérer que ce coût théorique est la valeur du coût moyen de la
période précédente.
Comptabilité de gestion CM
→ CMUP) après chaque entrée :
Entre 2 entrées toutes les sorties seront évaluées au dernier coût moyen calculé.
Avantage : on suit l’évolution des prix et par conséquent, l’évolution des coûts.
Inconvénient : pas facile à mettre en place car faut connaître le coût de chaque lot entrée en stock.
2) Méthode FIFO (First In First Out), PEPS (premier entré premier sorti) :
Cette méthode retient un ordre précis , qui ne correspond pas nécessairement au mouvement réel en
magasin, lorsque le client entre, il choisit lui-même.
Inconvénient : elle suppose que le coût de chaque entrée est connu. Ce n’est pas forcement le cas,
c’est une hypothèse théorique, sauf si on devait négliger les frais d’approvisionnement.
Cette méthode valorise la sortie à des coût pouvant être ancien et les stocks finaux à des coûts
récents. Si on est en période d’inflation, le résultat va être surévalué, l’entreprise risque de distribuer
des dividendes fictifs. Autre risque, l’entreprise paiera plus d’impôts.
Conséquences: coûts sous-estimés
Les coûts calculés suivent avec un certain retard les variations des prix.
On ne tient pas compte de la valeur réelles des entrée, si on veut que les coûts suivent rapidement
les fluctuation de prix (pr pvr faire u devis, faut connaître coût de revient).
Elle peut valoriser sortie à une valeur de remplacement théorique pouvant être le NIFO (Next In
First Out).
Si on utilise cette méthode, supposant qu’on est capable de dire quel est le prochain prix, le mois
prochain on va comparer le NIFO avec le prix réel, on peut se tromper, pg , il suffit de faire
apparaître un écart, la différence d’incorporation sur matière.
Comptabilité de gestion CM
5) Méthode des coût préétablis « coûts standards » :
Quelle que soit la méthode utilisée il faut in fine pouvoir retracer cette identité :
Stock initial + Entrées = Sorties + Stock final
Variation de stock = SI – SF = Sorties – Entrée
Il s’agit d’une entreprise qui vend et fabrique machine à laver er appareils tv. Elle présente compte
de résultat :
Charges Compte de résultats Produits
Charges d’exploitation :
achats de MP et autres
approvisionnements 3700 €
Salaires, traitements
(y compris charges scles) 780 €
Charges financières
Total 8260 €
Bénéfice 1240 €
Total général 9500 € 9500 €
Rappel : Dotation aux amortissements sur immo= investissements qui au bout de la durée de vie, si
amorti, on peut acheté à nv le bien immo.
Comptabilité de gestion CM
Travail à faire :
Solution :
1)
On remarque l’égalité entre résultat de compta de gestion et de compta générale, égalité qui est
normale ici, puisque toutes les charge sont été incorporées (en réalité on n’incorpore pas ttes les
charges).
IL n’y a pas de stock final : veut dire que ts les achats ont été utilisés pour la production, ms aussi
que toute la production a été vendue. Ces deux points constituent un cas d’école.
La compta de gestion a permit de répondre à l’un de ses objectifs, elle a expliqué le résultat en
calculant les coûts de produits pr les comparer aux prix de vente correspondant.
c’est au chef d’entreprise de s’interroger sur les raisons pr lesquelles le secteur machine à laver est
déficitaire, il peut aussi comparer avec périodes intérieures.
s’il décide que l’activité soit quand même maintenu, il faut faire des prévisions pr l’année pro, et
essayer de réduire les coût pr diminuer ce déficit.
On voit ici que la totalité des charges de la compta générale incorporée ds la compta de gestion, en
réalité on n’incorpore pas toutes les charges et on peut même rajouter d’autres charges. c’ets au chef
d’entreprise de choisir ce qui est pertinent ou non.
Comptabilité de gestion CM
Coût complet
Intro :
le fait de connaitre son coût de revient facilite la conduite de l’entreprise via le contrôle de sa
gestion.
Autrement dit si l’entreprise met en place méthode de coûts complets, pr qlls raisons ? Contrôler
son affaire :
→ en élaborant u tarif de commercialisation de ses produits & services
→ Faire des devis ses clients
→ Analyser l’évolution des coûts au différents stades de son exploitation (pr dire qll étape coûte le
plus cher par exemple).
→ Comparer ses coûts à ceux de la concurrence
→ Apprécier la valeur des stocks détenus (trop de stocks, c’est de l’argent qui dort). Bcp
d’entreprise fabrique à la demande pr avoir moins de stocks
→ Mesurer les résultats (analytique) par produit
Mais il serait préférable pour mieux apprécier son affaire de ne pas ttes les incorporer. On
recommande de faire 3 types de correction, on aboutirait alors à un coût complet économique.
- Toutes les charges de la compta g ne seront pas reprises par la compta de gestion : il faudra
distinguer 2 types de charges :
→ Charge non incorporables
→ Charges incorporable (qu’on prend)
- On peut incorporer ds les coûts des éléments qui ne sont pas enregistrer en comptabilité générale.
Ce sont des charges supplétives.
- Parmi les charges incorporables, certaines seraient enregistrées en compta de gestion pour une
valeur différentes de celle enregistrée en compta générale. Ce sont des charges calculées de
substitution (je vais substituer le montant de la charges calculé en compta générale par un autre
calculé autrement).
Comptabilité de gestion CM
Schéma récapitulatif de la démarche de calcul du coût complet :
Infectation
Charges non incorporables
Charges directes
-Achats imputation Coût d’achat
-Charges liées à ‘investissement
-Charges liées à l’activité
Charges incorporables
-Impôts et taxes
-Charges du personnel Coût de production
-Charge de gestion courante
Charges supplétives Charges indirectes
-Charges financières
-Charges exceptionnelles
-Dotations aux amortissements Coût de revient
Pour le PCG, le chef d’entreprise est libre de choisir ces charges non incorporables,
en principe il est souhaitable d’exclure les charges suivantes :
-Les charges exceptionnelles sur les opérations de gestion et les opérations en capital
ex : l’amortissement des frais d’émission d’obligations (titre de créance pr celui qui l’a
acheté et une dette pr l’entreprise qui l’a émise)
-Charges constatées durant la périodes ms qui ont déjà été couvertes par des provisions antérieures
Charges incorporables :
Celles dont le calcul de coût est jugé raisonnable. Toutes les charges ayant un caractère habituel et
qui interviennent utilement lorsque l’on cherche à comparer les éléments de charges d’une période à
l’autre.
On a aussi le droit de refaire le calcul pour certaines charges (calculée en compta générale), On peut
changer leur montant pour se rapprocher de la réalité économique.
En compta générale les charges sont calculées sur une année, hors en compta de gestion la période
est plus courte. Il faut donc faire un abonnement de charges, prendre la partie qui nous intéresse.
Exemple :
Une entreprise communique ses charges en indiquant celles pr lesquelles la périodicité n’est pas
mensuelle .
TOTAL : 5450
Comptabilité de gestion CM
Substituées aux charges d’amortissement. Calculées sur la valeur actuelle (et non la valeur d’achat).
Elle seront incorporées aux coûts tant que l’immobilisation reste en service. Il peut décider que la
durée d’amortissement soit différente de celle imposée par la loi. La durée d’usage peut ê différente
de celle prévu ds le Plan.
Le chef d’entreprise peut calculer une :
Annuité pr charge d’usage= Valeur d’usage (de remplacement) de l’immobilisation/ Durée prévue
d’usage
Exemple :
On suppose l’amortissement fiscal d’un outil de production soit de 10 % (durée de vie = 10ans)
prix d’achat 400 000 € (
le chef d’entreprise décide d’une valeur de 450 000 € et d’une durée de 9 ans.
Annuité pour charges d’usages= 50 000 € par an au lieu de 40 000 €
Il peut le faire à condition de noter qu’il a modifié le calcul et qu’il faut faire apparaitre une
différence, la différence d’incorporation sur amortissement= 50 000 – 40 000 = 10 000 €.
Cette différence doit être gardée pour vérifier la concordance après.
Ce sont des charges qui vont être substituée aux charges de provision (on peut constituer une
provision pour créances douteuse en cas de non paiement du client). Elles st calculées selon des
critères économiques définis par le chef d’entreprise.
Exemple :
Le pdg d’une entreprise prévoit une grosse réparation dans 4 ans , qui lui coutera 4 000 000 €. en
compta g il va constituer une charge étalée de 1 000 000 € ( 4 ans → 4 000 000/ 4 = 1 000 00)
les entreprise par moments n’aiment pas afficher des résultats médiocre, elles vont s’arranger pour
embellir le résultat (c’est légal) : au lieu de constituer un provision pour charges étalée de 1 000
000, il va afficher 800 000 € (en compta g). Mais en compta de gestion il conserve le 1 000 000 €. Il
doit faire constater une différence d’incorporation (de 200 000€) qui sera reprise plus tard pou
permettre de retrouver le résultat de la comptabilité générale.
Comptabilité de gestion CM
-Des différence sur matière :
Elle sont substituées à la valeur de sortie des stock des matières consommées . Si on devait retenir
une man de calcul diff de celle suggérée par l’administration.
Pour le calcul des coûts des sorti des mat prem, le chef d’entreprise choisi un cout de érf qui pr lui
sera justifié économiquement et qui remplacera le calcul de coût décidé en compta générale
-La rémunération des fonds propres : va s’ajouter aux frais financiers de l’entreprise
(incorporés au calcul de coûts). Un taux sera appliqué aux capitaux propres, ou ça peut être le taux
moyen de financement (prêts bancaires) de l’entreprise.
Mais si on décide d’incorporer des charges supplétive il faut mettre, constater des différence
d’incorporation pour éléments supplétifs. Ces rémunérations ne sont pas enregistrés en réalité.
(strt enregistrement)
Facture : 200 €
Bon : 170 € Coût
-Les matières et fournitures incorporées à un produits (pommes sucre sirop pates...pour faire une
tarte par ex)
-La main d’oeuvre directe, c’est-à-dire frais de personnel qui concerne le produit ou coût du
service rendu directement.
Définition : elles sont communes à plusieurs produits ou activités, veut dire qu’elles vont concerner
plusieurs coûts. C’est pour cela qu’il est difficile d’identifier leur degré de participation à la
fabrication et vente de tel ou tel produit.
Ces charges font l’objet d’un calcul intermédiaire qui consiste à les repartir ds des centres d’analyse
(ou sections), puis à imputer ses coûts (des centres) aux divers produits.
Exemple :
D’une manière générale, les charges d’administration générale ; consommation globale
d’électricité ; amortissement d’un atelier qui fabrique plusieurs produits.
Les méthodes simples de traitement des charges indirectes :
Comptabilité de gestion CM
Ce sont des méthodes qui ns permettent d’identifier des constantes, qui nous serviront de base au
calcul des coûts
Exemple :
soit produits X, Y et Z, le produit X sera l’unité de mesure.
Y= 3X
Z= 0,5 X
Pourcentages
X= 2000 20 %
Y= 4800 49 %
Z= 3000 31 %
Exemple :
Total des charges = 1 200 000 €
Charges indirecte = 1 000 000 €
Ici le rapport constant est de 1,2 (1 200 000/1 000 000)
pour calculer le coût complet, on multiplie les charges directes du produits par ce coeff constant.
Ces méthodes conviennent aux petite et moyennes entreprises (pme pmi) mais pas aux grandes
entreprises. Pour celles-ci il faut passer par des méthodes plus élaborées, celles qui passent par les
centres d’analyse.
La théorie : on peut faire découpage en centres d’analyse sans relation avec l’organigramme de
l’entreprise. C’est une division fictive de l’entreprise, mais qui doit qd même correspondre à une
fonction (ex : centre d’an financement, administration, gestion de personnel).
Dans la pratique, il vaut mieux faire de cette division un moyen/élément de contrôle de la gestion en
faisant correspondre une division réelle de l’entreprise liée à l’exercice d’une responsabilité.
(On peut retrouver :Centre de travail, centre de Frais, centre de profit, centre d’investissement)
Ds ce cas la division va correspondre à qlqc de réel, il aura une act précise liée à l’organigramme de
l’entreprise.
Chaque chef de service aura la responsabilité d’un ou plusieurs centre(s) et cela permet un
regroupement des coûts par fonction.
les charges indirectes qu’on regroupe dans un centre doivent être homogènes. (avant ces centres
étaient appelés « sections homogènes »).Il faut qu’on puisse mesurer l’activité avec une unité
physique l’unité d’oeuvre.
Comptabilité de gestion CM
Faut distinguer 2 catégories de centres :
Centres de structure :
Ce sont des centres dont l’activité ne peut pas être mesurée par une unité de mesure physique (ex :
Kg, Km, mètre carré…)..
Exemples : l’Administration générale ; Centre de financement.
Dans ce cas, on peut calculer un taux de frais : va être calculé en fonction d’une assiette
conventionnelle exprimée en euro (en monnaie), ex : 100 € de charges, 1000 €
d’approvisionnement, 1000 € de CA. Se calcule ainsi
Taux de Frais = Coût du centre de structure / assiette de répartition en €.
Exemple :
Une PME qui fabrique un produit P répartie les frais d’approvisionnement et choisie comme unité
une assiette conventionnelle : 1000 € d’approvisionnement.
Le coût du centre de structure de l’entreprise est de 500 000 €
Taux de frais= 500 000 / 1000 = 500.
Centres opérationnels :
Ce sont des centres dont l’activité peut être mesurée par une unité de mesure physique, l’unité
d’oeuvre.
Dans un atelier peu mécanisé je px utiliser l’heure de main d’oeuvre directe. Ds un centre très
mécanisé je peux utiliser l’heure machine.
Si dans un centre qui fabrique des pièces, on peut utiliser le nb de pièces.
Le Coût de l’UO = Coût du centre opérationnel / Nb d’UO du centre d’analyse.
Exemple :
Dans une PMI l’atelier de fabrication d’un produit M est un centre opérationnel.
Pour Sept on enregistre les charges suivantes :
-matières premières et fournitures : 400 000 €
-Charges personnelles : 600 000 €
-Autres achats et charges externes : 100 000 €
-Dotations aux amortissements : 40 000 €
TOTAL : 1 140 000 €
Dans cet atelier on identifie l’unité d’oeuvre : la tonne du produit M. Durant la période considérée,
l’atelier a fabriqué 20 000 tonnes.
Choix de l’UO :
Comptabilité de gestion CM
Lorsqu’une UO choisit pour un centre, faut que les charges de ce centre soient imputées dans les
coûts proportionnellement à cette UO, mais ce calcul n’est valable que si les charges varient elles-
même proportionnellement à l’UO retenue. Si UO est heure de main d’oeuvre, il faut que les
charges varient prop’ au nb d’h de mo du centre.
On peut calculer un coefficient de corrélation (google it :) ). Il faut que ce coefficient soit élevé, le
plus élevé possible.
→ Il faut que les charges du cenre soient homogène par rapport à l’UO qui doit expliquer au mieux
les variation du coût du centre
- Les Centres principaux : Ce sont des centres dont les coûts, sont imputés directement au coût des
produit (ex : centre principal d’approvisionnement, la production, la distribution).
- Les Centres auxiliaires : Ce sont des centres dont les coûts vont ê imputés ou cédés à d’autres
centres (ex : un centre A qui fourni à un centre B et ou un centre C...).
Rôle : gérer les facteurs de production, ils rendent service aux autres centres (gestion de matériel va
rendre service à ts les autres centres par exemple). Ils assurent des fonctions d’organisation interne à
l’entreprise.
En réalité 2 types de répartitions, si on ne répartie pas correctement les charges, tout ce qui suit sera
faux.
Par répartition si l’entreprise se retrouve ds l’obligation d’utiliser des clés de répartition. Une clé
n’est pas forcement équitable. (ex on répartie la conso de l’électricité prop au nb d’ampoules, ou en
fonction de la surface. Faut faire des hypothèses sur l’existence d’une proportionnalité entre service
rendu et coût (plus surface grande plus nécessité de consommer).
Répartition Secondaire :
C’est lorsque les centres se rendent service mutuellement, cession des œuvres des centres auxiliaires
aux centres principaux, les centre aux’ rendent service aux centres principaux.
Par ailleurs, elle peut aussi concerner d’autres centre auxiliaires, ils peuvent se rendre service entre
eux. C’est la cession interne des centres auxiliaires.
2 situations :
→ 1re possibilité : Transfert en escalier : lorsque le coût constaté de chaque centre, est transféré
aux autres centres sans réciprocité.
Comptabilité de gestion CM
Dans une entreprise3 centres auxiliaires et nous disposons de leurs totaux après répartition primaire
Centre A, gestion de personnel : 40 000
Centre B,Gestion des bâtiments et matériel: 150 000
Centre C, Prestations connexes : 60 000
Centres auxiliaires
A B C À répartir
Totaux après répartition primaire 40 000 150 000 60 000
-40 000
82 000
-82 000 82 000
0 0 0
(voir photo)
Centres auxiliaires
Entretien (X) Energie(Y)
Répartition Primaire 6000 18 000
Entretien - 10 %
Energie 40 % -
Totaux à répartir
Total à répartir du centre entretien (X) = Total du centre entretien après répartition primaire (6000)
+ 40 % du total à répartir du centre énergie (Y)
Total à répartir du centre énergie (Y) = Total du centre énergie après répartition primaire (18000)
+ 10 % du total à répartir du centre entretien (X)
X= 6000 + 0,4Y
Y = 18 000 + 0,1X
Attention : Les transferts réciproques peuvent concerner plus de 2 centres et donc le système doit
comprendre autant d’équations que de centres qui se fournissent les prestations.
Lorsque transferts en escaliers, positionner les centre ds un seul sens, celui du transfert.
Faut définir coût complet, savoir comment calculer coût d’achat coût de production et résultat.
Comptabilité de gestion CM
Ce coût de prod va intégrer en plus de la consommation des matières premières, les charges de
production relatives au produit.
C’est un peu plus élaboré car → le nombre de coûts qu’on peut calculer va dépendre de la
complexité du processus de fabrication (de production) de l’entreprise, mais aussi de la nature des
produits qui naissent au court du cycle de fabrication (production).
Si le produit fabriqué doit passer par plusieurs stades de fabrication, on calculera alors le coût à
chaque stade (2 stade= 2 coûts, 3 stades= 3 coûts…..).
On distingue 3 stades :
Types de production :
1- Des produits semblables, les produits sont très proches les uns des autres, à peu près identiques.
Dans ce cas de figure on peut calculer un coût global par type de produit et ensuite un coût
unitaire (par unité, par produit).
2- Des produits qui ne se ressemblent pas→ production à la commande. Si l’exploitation porte sur
produits très différents on calcule un coût par commande.
Comptabilité de gestion CM
(schéma photo)
Période N
Encours Encours
initiaux Fin de période (N)
(Fin de période
N-1)
1→Forfaitairement :
On peut comptabiliser approximativement pour chaque composante de coût ce qui a été
consommé pour les produits en cours.
2→Réellement :
On tient une fiche de coûts par commande ou par produit, sur laquelle on va enregistrer les
éléments utilisés.
→ Une fiche ds lql on calcule coût des matières d’après ls bons de sorties.
→ On peut calculer aussi le coût de la m d’o à partir des bon de travail.
→ Les coûts des charges de centres, on va relever le nombre d’unités d’oeuvre.
-Rebuts : des produits finis qui sont impropres à l’usage prévus (petite tâche sur un pantalon par
ex). Produits qui n’ont pas la qualité requise.
Ces produits résiduels peuvent être soit utilisables soit inutilisables. Mais leur présence dans un
cycle de fabrication peut :
-être neutre pour les coûts
-augmenter les coûts, si leur élimination génère une charge supplémentaire
-diminuer les coûts si ces résidus sont vendus
Exemple :
Un produit A a nécessité :
800 Kg MP → 53€
1500 h MOD → 48 €
Charges indirectes : 10 640 €
→ a généré 120 Kg déchets vendus à 4,5€ le Kg → 3 % du prix de vente
Q° : Calculer le coût de production net du produit A ?
Solution :
MP → 800 x 53 = 42 400
→ 1500 x 48 = 72 000
Charges indirectes → 10 640 / 125 040
Vente de déchets : 120 x 4,5 = 540 → moins 3 % → 523,8
Le coût de production net : 125 040 – 523,8 = 124 516,20
2) on le considère comme un bénéfice : soit on le rajoute au résultat global analytique
soit on les additionne.
Comptabilité de gestion CM
→ Recyclés : Dans ce cas leur valeur (des prdt réutilisés) est déterminée soit au prix du
marché (s’il en existe) soit à un prix forfaitaire et en déduisant ds les 2 cas les frais de
distribution.
2) Lors de leur emploi : leur valeur est ajoutée au coût de production du produit fini
dans la fabrication où sont utilisés ces déchets ou rebuts
Le sous-produit se distingue du déchet par son importance et pcq’il se pourrait qu’on ait
besoin d’une exploitation pour le fabriquer, sa fabrication aura alors pour objectif sa transformation.
Il faudra donc comptabiliser son coût. Comment ? Selon l’importance du sous-produit. On va
envisager 2 cas de figures, on peut les assimiler à des :
* Les charges effarantes aux sous-produit sont souvent difficilement séparables de l’ensemble des
charges.
Comment , ds ces conditions, l’entreprise va répartir les coûts conjoints aux produit principal et
sous-produit, pour calculer le coût du sous-produit.. Il fait accourir à des méthodes plus ou moins
arbitraires. Plusieurs méthodes d’évaluation :
Prix de vente
- Bénéfice (estimé)
- Coût de distribution
- Coût des traitements complémentaires (mod, charges individuelles…)
= Coût initial du sous-produit
Exemple :
Q° : Coût de production de M et de P ?
Solution :
Coût total de la production = 685 400 + 180 000 + 500 000 = 1 365 400
Coût de production du produit M = 1 365 400 – 73 310 = 1 292 090
Coût unitaire :
→ Pdt M = 1 292 090 / 5 000 = 258,418 €
→ Pdt P = 73 210 / 6 200 = 11,824 €
→ Méthode du coût unitaire moyen : les charges totales (conjointes) seront réparties
proportionnellement soit :
1) à une unité de mesure physique (unités d’oeuvre) : Dans le cas où les produits
s’expriment avec une unité de mesure physique semblable, lorsqu’ils ont une valeur
égale. On peut alors calculer le coût Unitaire moyen ainsi :
CUM = Coût global / Total des unités produites
Coût de chaque produit = CUM x Nb d’unités physiques de chaque produit
2) au chiffre d’affaire (CA) : (le plus souvent choisi lrsq’on ne sait pas quoi choisir)
Si les produits ont une valeur très différente. On procède ainsi :
Coût pour 1€ de vente = Coût Global / CA total des produits
Coût de chaque produit = CA de chaque produit x Coût pour 1€ de vente
Comptabilité de gestion CM
Lorsque les produits sont de valeur très largement différentes, l’entreprise va admettre (supposer)
que le coût du produit le plus cher doit être plus élevé . L’entreprise répartira alors le coût total de
fabrication entre les produits proportionnellement à la valeur de chaque production calculé au prix
de vente.
L’entreprise a aussi prévu des coûts en dehors de la production : les coûts Hors Production
Charges directes : frais personnels, frais de publicité, frais des emballages de conditionnement s’ils
n’ont pas déjà été intégrés dans els charges indirectes
Charges indirectes : on trouve le coût des centres de distribution (centre magasinage, centre étude
de marché, centre après vente…)
- En agrégeant les….
-Mais l’entreprise peut avoir intérêt de calculer le coût par phase de distribution : avant
distribution, pendant, et après vente.
- Par structure géographique : pour savoir ql centre coûte le plus, Paris, Marseille.. ;
Ces charges peuvent être placées (répertoriées) dans plusieurs Centres d’analyse (structure) par ex :
-Les autres frais à couvrir : charges incorporables qui ne sont pas prises en compte dans d’autres
centres (prévisions pour dépréciation, amortissements de frais d’établissement).
- Entreprise commerciale :
Coût de revient = Coût d’achat es marchandises vendues (sortie de stocks) + Coût hors
production.
- Entreprise industrielle :
Coût de revient = Coût de production des produits finis vendus + Coût hors production.
Comptabilité de gestion CM
Le coût de revient permet à l’entreprise de fixer ses prix de vente et déterminer les résultats
analytiques (=résultat élémentaire analytique).
D C
Coût de revient X
Stocks des produits finis X
Coût hors production X
On souhaite vérifier l’exactitude des données de la comptabilité de gestion, il est nécessaire de faire
un contrôle périodique de la concordance entre le RAEE et le résultat de la compta générale.
Le résultat global analytique doit être corrigé des différences de traitement comptable pour pouvoir
vérifier son égalité avec le résultat de la comptabilité générale.
Le rapprochement entre les 2 comptabilités (de gestion et gnrle) va consister à regrouper toutes les
différences d’incorporation de cession et d’imputation, dans le compte « différence de traitement
comptable ».
Résultat global analytique ± Différences de traitement comptable = Résultat de la
comptabilité générale
Exemple :
Une entreprise fournis les données suivantes :
Chapitre 2 ?
Comptabilité de gestion CM
Dans une structure donnée (un ensemble de moyens matériels et humains permanent mis en œuvre
pour la production, =équipement + encadrement) on constate que certaines charges de l’entreprise
varient selon la production ou activité, et que certaines en sont indépendantes.
Par conséquent on distingue généralement 3 types de charges :
Elles sont indépendantes du niveau d’activité, tant que la structure de l’entreprise ne change pas.
Elles varient par palier.
(schéma en photo)
Ex : les loyers, les assurances, cotisations sociales..etc
Comptabilité de gestion CM
- Charges Variables ou Opérationnelles :
Elles sont composées d’une partie fixe et d’une partie variable, donc varient non
proportionnellement à l’activité ou à la production et doivent être réparties en charges fixes et en
charges variables
Forme : Y = ax + b
ex : salaires des commerciaux, commissions sur le CA, dépenses de téléphone, dépenses de gaz, en
eau...etc
Unité monétaire..hétérogène :
Le CA en € ou en $
Il faut préciser que le chiffre d’affaire reste l’unité de mesure la plus souvent utilisée pour évaluer
l’ensembles des charges de l’entreprise.
→ Méthode Graphique :
Exemple :
Une entreprise nous communique les données suivantes, et nous demande de déterminer la partie
fixe et la partie variable d’une charge de manutention :
(photo)
En traçant l droite on peut lire b=125 000, c’est le montant de la charge fixe
→ Méthode des moindres carrés ordinaire (MCO) (voir cours de stat régression des MCO)
Y= ax + b
avec :
b = y(bar) – ax(bar)
Ou (pareil) :
(on peut choisir sa formule ms faudra la conserver ensuite pour le calcul du coût complet)
1re formule :
Coût complet total = 4 X 100 000 + 250 000 = 650 000
Coût complet total = 0,8 X 500 000 + 250 000 = 650 000
Coût complet unitaire = Coût variable unitaire + Coût fixe / unités vendues (ou CA)
= 0,80 + 250 000 / 500 000 = 1,30 €
Si je fait varier mon niveau d’act vers le haut et vers le bas faut utiliser cette façon de calculer le
coût unitaire.
On peut se demander si, en variant l’act, le coût complet est > ou < à 1,3
Le coût complet constaté absorbe toutes les charges de l’entreprise quelque soit le niveau d’activité.
Lorsqu’il augmente, les coût unitaire tendent à diminuer puisque les charges fixes restant constantes
se répartissent sur un plus grand nombre de niveau d’unité de mesure de l’activité. En revanche la
diminution de l’activité conduit à une hausse des coût unitaires.
Donc l’entreprise veut éliminer, pour permettre une comparaison significative des coûts d’une
période à l’autre, et pour mettre en évidence les variations du coût unitaire dues aux charges var, Ils
devient nécessaire pour l’entreprise de corriger les charges fixes.
C’est-à-dire que l’entreprise, pour raisonner à volume constant d’activité, doit pouvoir neutraliser
les charges fixes. Les coûts ne seraient plus influencés par les variations du volume d’activité.
Nous savons que toute entreprise, ou partie, a théoriquement été conçue pour supporter un certain
niveau d’activité, qualifié d’activité normale (on peut faire moins ou plus).
→ Coût d’imputation rationnel global =Charges Variables constatées+ Charges fixes imputées
Mais il faut donc distinguer une différence d’incorporation (puisque 2 charges fixes) !
Comptabilité de gestion CM
Les charges fixes imputées et constatées constituent une différence d’Imputation (ou
d’incorporation).
Elle sera soit positive soit négative :
→ Positive : Si les charges fixes constatées > charges fixes imputées Donc : CIR < 1.
Une part des charges fixes non imputées.
Economiquement : cela rpz un coût de sous-activité, ou un coût de chômage. Veut dire que
l’entreprise est en train de supporter des coûts fixes qui ne servent pas.
→ Négative : Si les charges fixes constatées < charges fixes imputées. Donc : CIR > 1
Une part des charges fixes sur-imputées.
Economiquement : cela rpz un boni de suractivité. Veut dire que l’entreprise impute au coûts des
charges fixes fictives.
(CIR=1 assez rare statistiquement que les usines tournent à pleine capacité)
Exemple :
Une entreprise fabrique un produit A. Fournit les charges pour le premier trimestre de l’année.
La production normale de l’entreprise : 1 500 unités/mois.
Janvier Février Mars
Production (unités) 1 500 1 350 1 800
Charges Variables
→MP 60 000 52 000 71 700
→MO 120 000 107 600 150 000
∑= 180 000 ∑=159 600 ∑= 221 700
Charges fixes 37 500 37 500 37 500
Pour janvier :
Coût total = 180 000 x 1500 + 37 500 =
Coût d’un produit =
Comptabilité de gestion CM
Variable =
Fixe =
Pour Février :
Coût total =
Coût d’un produit =
Variable =
Fixe =
Pour Mars :
Coût total =
Coût d’un produit =
Variable =
Fixe =
Comptabilité de gestion CM
10/11
Domaines d’application de la méthode :
Peu d’entreprises la pratique Elle est plutôt utilisée dans les firmes qui ont une activité saisonnière,
car elle leur éviter les variation de coûts de revient.
Le calcul des coûts de revient par méthode du coût complet repose sur l’hypothèse de séparation
entre charges directes et indirectes, cette séparation implique des choix qui sont contestables. Elle
présente donc aussi un inconvénient.
Etant donnée l’imperfection des deux méthodes, certains gestionnaires vont éviter de pratiquer toute
répartition entre charges var et fixes, directes et indirectes, et vont plutôt privilégier une approche
de coûts partiels.
Da,s cette optique, la performance de chaque produit sera analysée par la marge qu’il dégage et qui
contribue à la couverture des charges non réparties.
Donc méthodes de coûts partiels adoptent toutes la même démarche c’est-à-dire n’intégrer au coûts
que la partie jugée pertinente des charges d’entreprise.
L’ensembles des charges incorporables peuvent être rpz par le schéma suivant :
Définition et principes :
un coût variable ets constitué uniquement par les charges qui varient avec le volume d’activité Ces
charges var sont aussi appelées frais opérationnels. Ils concernent surtt les centres opérationnels
principaux et certains centres opérationnels auxiliaires .
Ces charges sont réparties entre les produits pour calculer le coût variable de chaque produit.
La diff’ entre le total des charges et les charges variables, rpz les charges fixesqui sont supportées
par l’entreprise quel que soit le volume des ventes réalisées dans une structure donnée.
Les coûts variable font apparaître une large sur coût variable par produit ou par activité.
Prix de vente Coût variable 5 Charges variabilité
Coûts fixes 3
Marges sur coût variable (MCV) 5 +Résultat 2
La marge (MCV) est un indicateurs de gestion qui mesure la performance d’un produit. Elle permet
à l’entreprise de répondre aux questions suivantes :
- Quel est la contribution du produit à l’absorption des charges fixes (de structure) ?
- Ce produit est-il rentable ?
- L’entreprise a-telle intérêt à développer la production du produit ou supprimer ?
Les calculs de coûts variables et de marges, ne concernent que les quantités vendues (et non des
quantités produites).
faut qu’elle soit le plus élevée possible pour dégager un résultat positif.
Elle est peut utilisée sous cette fore car les entreprise préfèrent utiliser plutôt une approche mixte,
qui va combiner les deux méthodes précédentes (des coûts var et des coût directs).
Elle nous fait aboutir à la méthode des coûts spécifiques.
Comptabilité de gestion CM
Dans cette méthode on combine méthode de coût var et méthode de coût direct.
Préférée pcq on considère que le coût variable est insuffisant pour comparer le coût des produits
pcq dans certaines entreprise, une part importante des charges fixes peut ê liée à la fabrication des
produits.
Marge sur coûts spécifiques = Marge sur coûts variables – Coûts fixes directs (zone 3)
La marge sur coûts spécifiques doit être suffisamment élevé pr permettre la couverture des charges
fixes indirectes.
Application :
Valeur
HA de MP 430 000 Conso MP= 430 000–Varia° de stock
Stock initial de MP 125 000 Varia° de stock de MP= 135000- 125
Stock Final de MP 135 000 =10 000
Stock initial de produits finis (encours) 141 425
Stock Final de produits finis (encours) 150 000 Varia° de stock de pdts finis = 141
Charges variables d’approvisionnent 118 300
Charges variables de production 275 500
Charges variables de distribution 78 205
Charges fixes 260 000
Chiffre d’affaires 1 217 000
Avec C = VQ + CF (1)
Q= CF / (P-V)
Donc le point mort en volume ( seuil de rentabilité en volume) est égal aux
charges fixes globale divisées par la marge sur coût variable unitaire.
On sait que pour CA= 1 217 000 l’entreprise dégage une MCV de 316 420
Quel est le seuil, CA critique permettant à l’entreprise de gagner de l’argent ?
Zone de
perte
x CA en K €
R => Y = 0,26 x – 260 000
MCV - CF
Comptabilité de gestion CM
Y
Zone de
S Gain x
Zone de
perte
Relation → MCV = CF
CF => Y1 = 260 000
MCV => Y2 = 0,26 x
Y
Y2
S Zone de
Gain Y1
Zone de
perte x
Donc plus un seuil de rentabilité est atteint tôt dans l’année civile plus l’entreprise sera à l’abri d’un
retournement de tendance qui pourrait faire baisser ses ventes, chuter son CA.
La date du point mort est un premier indice de sécurité.
Comptabilité de gestion CM
2) Marge de sécurité :
C’est la différence entre CA réalisé à un moment donné et le CA critique (seuil de rentabilité).
La MS représente pour l’entreprise le montant de CA pouvant être supprimé par une conjoncture
défavorable sans entrainer de pertes pour l’entreprise.
Cette MS est souvent rapporté au CA annuel, alors on parle de l’indice de sécurité (IS).
IS = MS / CA annuel x 100
3) Indice de prélèvement :
IP = CF / CA x 100
Exemple : si LO = +2
et variation de CA de +10 %
→ Quel sera la variation du résultat ? 20 %
∫ f(X) dX = ∫ α.dx = 1
La probabilité que la var X ait une valeur inf à x est donnée par la fonction de répartition :
F(x)= P { X<x} = ∫ α.dx
→ On va plutôt utilisé la loi normale centrée réduite dont le domaine de déf est plus réduit
(contrairement à l’infini pour la loi normale).
Elle admet une fonction de densité définie par t => f(t) = 1/ (√(2.∏)) . e-t2/2
La détermination des valeurs pour t<0 il faudra utiliser les propriétés suivantes :
- la fonction f(t) est paire : f(-t0) = f (t0)
- la fonction intégrale ∏(t) est symétrique par rapport à la droite t = 0 : ∏(-t0) = 1 - ∏(t0)
Lorsqu’on résonne en envi incertain on doit émettre des hypothèses : moyenne, pessimiste ou
pessimistes. On va affecter des probabilités d’apparition à ces hypothèses.
La demande adressée à l’entreprise est incertaine. On cherchera à calculer la probabilité pour que le
seuil de rentabilité soit atteint ou dépassé. Le plus souvent on utilise la loi normale centrée réduite à
la place de la loi normale car plus pratique.
On va supposer la demande adressée à une entreprise suit une loi normale.
Exemple :
Comptabilité de gestion CM
On suppose la demande exprimée en prix suit :
m= 5 000
σ = 1 000
Q° : quelle est la probabilité que les quantités vendues soient inférieures à 4 300 ? C’est-à-dire de
ne pas atteindre le sueil de rentabilité ?
X → N ( m,σ )
→ T = X-m) / σ
t une var aléatoire qui suit une loi normale centrée réduite. Donc :
Probabilité { X< 4 300 } = Probabilité { T < (4 300 -(m)) / (T .1 000)
Son utilisation permet aux entreprises d’étudier les variations de charges de toute nature en fonction
des fluctuation d’activité afin d’en apprécier l’incidence sur le profit global.
Définition :
Selon le PCG le cout marginal est la différence entre l’ensemble des charges courantes nécessaires
à une production donnée et l’ensemble de celle qui son nécessaires à cette même production
majorée ou minorée d’une unité.
On peut dire que le coût marginal est la variation du coût total dû à une augmentation ou diminution
de la production ou du niveau d’activité.
Comptabilité de gestion CM
Exemple :
Une entreprise fabrique 2 000 articles d’un produit M pour un coût total de 200 000€
Un client passe une commande de 100 articles supplémentaires.
Coût totale des 2000 + 100 → 220 000 €
Le coût marginal n’est pas une méthode de la comptabilité de gestion proprement dite, c’est un coût
estimé et conçu dans le cadre de la théorie microéconomique classique.
On peut dire que le coût marginal est égal aux charges variables unitaire mais sous conditions :
- la structure de l’entreprise reste inchangée, pas ed modification des coûts fixes
- les charges variables sont strictement proportionnelles aux quantités.
Le coût marginal renvoie aussi à deux autres fonction : coût total et coût moyen.
Dans le cas où :
- la fonction du coût total peut être représenté pas une courbe ayant la forme d’un S→ alors le
coût marginal sera représenté par une courbe en U.
Unités monétaires
qtt
Comptabilité de gestion CM
Fonction du coût marginal :
Unités Monétaires
qtt
Zone 1 : l’entreprise a besoin d’utiliser moins de facteurs de production pour fabriquer un produit.
Veut dire que le coût marginal est décroissant.
Zone 3 : L’entreprise a besoin de plus de facteurs de production pour fabriquer un produit. Le coût
marginal est croissant.
CT : coût total
→ CT= f(Q)
Q : quantité vendue
Pour une structure donnée, l’entreprise a besoin de connaître la quantité de produits pour laquelle le
coût moyen est minimum puisque cette quantité lui permet d’avoir une production au moindre coût.
Ce qui nous intéresse c’est le coût moyen à son minimum→ comparaison entre coût marginal et
coût moyen.
Pour cela comparons coût moyen unitaire et coût marginal unitaire.
Lorsque les valeurs des niveaux d’activité augmentent les coût moyen décroit, baisse, puis passe par
un minimum pour enfin croitre.
CM = f(Q) / Q
Optimum: minimum ou maximum
→ min : faut que fonction soit dérivable : f’ = 0 et que f’’> 0
→ max <0
Unités Monétaire
Coût marginal Coût moyen
Min du
coût moyen
Q* Qtt
Recette moyenne : RM = RT / Q
Rectte marginale : Rm = RT’
Profit : RT – CT
On cherche à quel moment le profit est maximum → lorsque la f’=0 et f’’ < 0
On admettant que la f’’ est bien < 0
soit le maximum ∏ :
∏’ = 0 => RT’ - CT’ = 0 => RT’ = CT’
C’est ce qu’on appelle l’optimum économique, le niveau de production qui permet de dégager le
plus grand profit total.
Cet outil de gestion permet à l’entreprise de choisir un niveau de production pour une production
vendue au même prix.
Une étude faite par des ingénieurs qui vont dire que pr fabriquer cette table il faut tel et tel matériel
et tel temps pour la monter (pour l’ouvrier)