1-12.01

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Décision de la Commission Nationale du Recours Fiscal n° 1-12/01 du

registre des pourvois de l’année 2023

Décision du 21/03/2023

I-Identification du contribuable

Raison sociale :Société XXXXX


Adresse :XXXXXX
Nature de l’impôt : IS &TVA
Exercices : 2018 à 2020

II- Motifs et détails de la décision :

En la forme

Attendu que la société XXXXXX a demandé le recours auprès de la Commission Nationale du Recours
Fiscal (CNRF) par sa réponse à la deuxième lettre de notification en date du 16/11/2022 ;

Attendu que les documents relatifs aux actes de la procédure contradictoire ont été communiqués
par l’Administration fiscale à la CNRF le 10/01/2023 ;

Attendu que le présent dossier, a été programmé pour la séance du 21/03/2023 pour être examiné
par la sous-commission ;

Attendu qu’à cette date, la sous-commission a pris acte de la présence du représentant de de


l’administration fiscale et du représentant de la société ;

Attendu que les deux membres représentants des contribuables, dûment convoqués, n’ont pas fait
acte de présence ;

Constatant que les conditions de forme sont réunies à savoir :

- Le quorum légal lui permettant de statuer valablement est atteint ;

- La transmission du dossier fiscal a été effectuée dans le délai légal prévu par les dispositions
de l’Article 226-II du Code Général des Impôts (CGI) des exercices contrôlés 2018 , 2019 , 2020 ;

- Les parties ont été régulièrement informées de la date à laquelle se tient cette réunion, et
convoquées à cet effet dans les formes prévues à l’Article 219 du CGI des exercices contrôlés 2018 ,
2019 , 2020 ;

La sous-commission décide, par conséquent, de passer à l’examen du fond des points


litigieux soumis à son appréciation.

Au fond :

Irrégularités :

Attendu que l’inspecteur a notifié à la société que la vérification de sa comptabilité, au titre des
exercices vérifiés, a permis de relever les anomalies suivantes :

1 . Défaut de présentation d’une comptabilité tenue conformément aux dispositions


de l’Article 145 des exercices contrôlés 2018 , 2019 , 2020 ,
- Les factures de vente ne font pas mention des modalités de paiement ;

- Délivrance de factures de vente ne comportant pas l’identifiant fiscal des clients ;

- Comptabilisation des factures d’achats avec des dates différentes de celles des factures ;
- Des pièces justificatives présentées ne comportent pas les références de leur enregistrement en
comptabilité et ce en infraction aux dispositions du code général de normalisation comptable ;

- Non-présentation des contrats conclus avec les fournisseurs ;

- Discordances entre les montants facturés et ceux comptabilisés en 2018 ;

- Comptabilisation des avoirs sur ventes non justifiés.

2 . Insuffisance des chiffres déclarés :

- Vente de gasoil à certains clients avec une marge négative et ce en infraction aux dispositions de la
loi 104-12 relative à la liberté des prix et de la concurrence ;

- Fluctuation non justifiée des prix de vente ;

- Fluctuation non justifiée du taux de marge sur ventes et du taux de l’excédent brut d’exploitation
(XXXXXX) appliqué aux charges correspondantes pour les exercices vérifiés.

Attendu que l’inspecteur, au vu de ces anomalies, a remis en cause la valeur probante de la


comptabilité de la société ;

Attendu que la société a rejeté les irrégularités notifiées en avançant que :

1 . Défaut de présentation d’une comptabilité tenue conformément aux dispositions


de l’Article 145 des exercices contrôlés 2018 , 2019 , 2020 ,

- L’absence des modalités de paiement sur les factures de ventes et d’achats est une irrégularité
insignifiante et n’est pas de nature à remettre en cause la valeur probante de la comptabilité ;

- Les factures, ne portant pas le numéro d’ICE, correspondent aux ventes pour des clients divers, et
ces factures n’ont jamais été délivrées aux clients, et elles ont été éditées uniquement pour les
besoins de la comptabilité ;

- Concernant la comptabilisation des factures d’achats avec des dates différentes de celles des
factures, il s’agit des erreurs de saisie, et les factures en question sont comptabilisées avec un
décalage ne dépassant pas deux jours dans le même mois et pour le même exercice ;

- La présentation des contrats conclus avec les fournisseurs n’est pas une obligation comptable au
sens de la loi 9-88. Les contrats conclus avec les principaux fournisseurs de la société, à savoir Green
XXXX et XXXXX, sont donnés dans la réponse à la notification ;

Quant aux discordances entre les montants facturés et ceux comptabilisés en 2018 relevées, elles
sont en faveur de l’administration puisque les achats comptabilisés sont inférieurs aux achats
facturés ;

- Les avoirs sur ventes sont des ristournes accordées au client du gasoil de pêche suivant un accord
préétabli, et sont indexées sur la quantité livrée fixée par litre d’un commun accord avec le client
préalablement à chaque avitaillement.

2 . Insuffisance des chiffres déclarés :

- Vente de gasoil avec une marge négative : Il s’agit d’une erreur relative aux quantités et aux prix
unitaires sur les deux factures de 2019 et les deux factures de 2020 . Les montants totaux HT et TTC
des dites factures n’ont pas été impactés par l’erreur d’édition ;

- Fluctuation non justifiée des prix de vente : Les prix sont fonction de plusieurs variables et
notamment les prix d’achats, la nature du client (consommateur final, revendeur ou station-service),
la politique commerciale et la concurrence ;

- Fluctuation non justifiée du taux de marge sur ventes et du taux de l’excédent brut d’exploitation
(XXXXX) : Elle est justifiée par la diversification des sources d’approvisionnement en carburants, ce
qui a permis de mieux négocier les prix d’achat, La prospection de nouveaux clients notamment en
2019 et 2020.
Considérant que les anomalies relevées par l’inspecteur n’ont pas une incidence sur le résultat
déclaré et ne sont pas de nature à remettre en cause la valeur probante de la comptabilité et ce
conformément aux dispositions de l’Article 213 du CGI des exercices contrôlés 2018 , 2019 , 2020 ;

Pour ce considérant, la sous-commission, après délibération, a décidé d’abandonner la remise en


cause de la valeur probante de la comptabilité de la société.

I/ Impôt sur les sociétés :

1- Insuffisance du chiffre d’affaires :

Attendu que l’inspecteur a notifié que du fait des anomalies relevées précédemment, et suite à
l’exploitation de la comptabilité ainsi que des factures de ventes, il a été constaté que la société
vend avec des prix de vente différents au cours de la même journée. Par conséquent, l’inspecteur a
procédé à la reconstitution du CA par application du prix de vente le plus important par journée.
L’insuffisance de chiffres d’affaires a été réintégrée aux résultats fiscaux des exercices concernés
comme suit :

Exercice 2018 : 711 739,77 DH


Exercice 2019 : 279 893,32 DH
Exercice 2020 : 354 766,61 DH
(Cf. Détail 1ère lettre de notification)

Attendu que la société a contesté ce chef de redressement du fait de l’inexistence d’irrégularités


graves au sens de l’Article 213 du CGI des exercices contrôlés 2018 , 2019 , 2020 et notamment les
ventes à perte, dont les raisons réelles à l’origine des fluctuations des prix, ont été expliquées
précédemment ;

La sous-commission, après avoir entendu les deux parties et après délibération, a décidé
d’abandonner la reconstitution du chiffre d’affaires et ce en l’absence d’anomalies graves énumérées
par l’Article 213 du CGI des exercices contrôlés 2018 , 2019 , 2020 ;

2- Vente de carburant avec une marge négative

Attendu que l’inspecteur a notifié que la société a vendu du gasoil avec des marges négatives, en
infraction aux dispositions de la loi 104-12 relatives à la liberté des prix et de la concurrence. Par
conséquent, ces ventes ont été revalorisées par application du prix de vente de la journée déclarée
comme suit :

Exercice 2019 : 127 159,05 DH


Exercice 2020 : 11 561,82 DHS
(Cf. Détail Ière lettre de notification)

Attendu que la société a réfuté ce redressement au motif qu’il s’agit d’une erreur qui s’est glissée
lors de l’édition des factures de ventes en format PDF demandées par le service. L’erreur est relative
aux quantités et aux prix unitaires sur les deux factures de 2019 et les deux factures de 2020. Les
montants totaux HT et TTC des factures n’ont pas été impactés par l’erreur d’édition ;

Considérant que d’après les explications présentées par la société, il s’est avéré qu’il s’agit d’une
erreur matérielle afférente aux quantités ce qui a influé sur le prix unitaire ;

Pour ce considérant, la sous-commission, après avoir entendu les deux parties, analysé les
arguments des parties et après délibération, a décidé d’abandonner ce chef de redressement.

3- Chiffre d’affaires non déclaré :

Attendu que l’inspecteur a notifié que l’exploitation des recoupements en possession de


l’administration, a permis de constater que la société n’a pas déclaré le chiffre d’affaires détaillé en
annexe n° 9. La marge réalisée, calculée par application du taux de 10%, a été réintégrée au résultat
de l’exercice 2020 comme suit :

Exercice 2020 : 59 685,19 DH


(Cf. Détail 1ère lettre de notification)

Attendu que la société a contesté ce chef de redressement au motif que les achats de carburants,
d’après les recoupements, correspondent exactement aux achats comptabilisés de l’exercice 2020,
et que l’origine de l’écart de 230 635.19 dirhams HT ; soit 253 698.71 dirhams TTC, correspond
exactement aux factures 2020 comptabilisées au compte XXXXXX par des écritures de régularisation
en 2019 ;

Considérant que les arguments avancés par la société ont été acceptés par l’inspecteur séance
tenante ;

Pour ce considérant, la sous-commission, après avoir entendu les deux parties, et après délibération,
a décidé d’abandonner ce chef de redressement.

4- Comptabilisation des avoirs sur ventes non justifiés :

Attendu que l’inspecteur a notifié que la société a comptabilisé des factures d’avoir sur ventes non
justifiées, du fait que ces derniers ne portent aucune indication faisant mention de la nature et la
raison de ces avoirs . Le montant de ces avoirs a été réintégré comme suit :

Exercice 2018 : 90 981,35 DH


(Cf. Détail 1ère lettre de notification)

Attendu que la société a rejeté ce chef de redressement pour les raisons suivantes :

- Il s’agit de ristournes accordées au client du gasoil de pêche et elles sont indexées sur la quantité
livrée et fixée par litre d’un commun accord avec le client préalablement à chaque avitaillement ;

- Les avoirs de ristournes accordés correspondent exactement, dans tous leurs aspects de forme et
de contenu, aux avoirs de ristournes dont la société a bénéficié auprès de ses fournisseurs au titre
des exercices 2018, 2019 et 2020.

Considérant que d’après les documents présentés par la société, séance tenante, les avoirs sont
justifiées par des factures régulières et figurent sur les relevés bancaires ;

Considérant que ces avoirs concernent uniquement le gasoil de pêche, strictement réglementé, et
que dans la pratique la société fait bénéficier ses clients de ristournes dont elle bénéficie auprès de
ses fournisseurs ;

Considérant que les ristournes obtenues sont déclarées par la société au même titre que les
ristournes accordées;

Pour ces considérants et après avoir entendu les deux parties, analysé les arguments de chacune
d’elles et après délibération, la sous-commission a décidé d’abandonner ce chef de redressement.

5- Charqes non déductibles :

Attendu que l’inspecteur a notifié que la société n’a pas justifié le mode de règlement des montants
détaillés en annexe n°10, et ce en infraction à l’Article 11 du CGI des exercices contrôlés 2018 ,
2019 , 2020 Lesdites charges ont été réintégrées comme suit :

Exercice 2020 : 596 851,98 DH


(Cf. Détail 1ère lettre de notification)

Attendu que la société a contesté ce chef de redressement du fait qu’il s’agit de l’écart dégagé par
erreur par l’administration d’après ses recoupements.

Considérant que d’après les éléments fournis par la société, il s’agit d’un redressement lié au
redressement afférent au CA non déclaré et approuvé par l’inspecteur séance tenante.

Pour ce considérant et après avoir entendu les deux parties, analysé les arguments de chacune
d’elles et après délibération, la sous-commission a décidé d’abandonner ce chef de redressement.

6- Cadeaux non déductibles :

Attendu que l’inspecteur a notifié que la société a comptabilisé en tant que charges déductibles, des
bons d’achat octroyés à des personnes ne faisant pas partie de la clientèle et donc ne remplissant
pas les conditions de déductibilité. Subséquemment, les charges en question ont été réintégrées
comme suit :

Exercice 2019 : 50 000,00 DH.


Exercice 2020 : 110 000,00 DH.
(Cf. Détail 1ère lettre de notification)

Attendu que la société a remis en question ce chef de redressement du fait que ces cadeaux ont été
accordés aux clients conformément au CGI, et que la liste des clients bénéficiaires de ces cadeaux
est jointe à la réponse à la première notification.

Considérant que ces cadeaux ne remplissant pas les conditions de déductibilité prévues par
l’Article 10 du CGI des exercices contrôlés 2018 , 2019 , 2020 ;

Pour ce considérant et après avoir entendu les deux parties, analysé les arguments de chacune
d’elles et après délibération, la sous-commission a décidé d’abandonner ce chef de redressement.

7- Charges d’entretien et réparations non déductibles :

Attendu que l’inspecteur a notifié que la société a comptabilisé en charges, des frais d’entretien ainsi
que les pièces de rechanges de citernes et kits de distributions, mis à la disposition des clients, mais
n’appartenant pas à la société. A défaut de pièces probantes justifiant le lien de ces dépenses avec
l’exploitation, ces charges ne sont pas déductibles et sont réintégrées aux résultats des exercices
suivants :

Exercice 2018 : 90 000,00 DH


Exercice 2019 : 33 333,33 DH
Exercice 2020 : 150 000,00 DH.
(Cf. Détail 1ère lettre de notification)

Attendu que la société a rejeté ce chef de redressement du fait que le matériel est mis gratuitement
à la disposition de la société conformément aux contrats conclus avec les fournisseurs et que la
responsabilité de maintenir ce matériel en bon état de fonctionnement incombe à la société. A son
tour, la société met à titre gratuit ce matériel à la disposition de ses clients. En contrepartie de cette
mise à disposition, le client s’engage à s’approvisionner en carburants auprès de la société, et
l’engagement des frais d’entretien et de maintenance est essentiel pour maintenir les relations
commerciales avec les clients et pouvoir vendre en conséquence. Il s’agit de prestations
d’accompagnement indispensables sur le plan commercial.

Considérant que d’après le PV de réception du matériel, communiqué par la société, Celle-ci met à la
disposition du client du matériel dont la désignation est précisée en contrepartie, ce dernier s’engage
à utiliser le dit matériel en bon père de famille et de le restituer à la société sur une simple demande.

Considérant que d’après ce document, les dépenses d’entretien et de maintenance sont à la charge
de la société et que ces dépenses sont engagées dans le cadre d’une politique commerciale qui est
une pratique courante.

Pour ces considérants et après avoir entendu les deux parties, analysé les arguments de chacune
d’elles et après délibération, la sous-commission a décidé d’abandonner ce chef de redressement.

II/ Retenue à la source sur les produits des actions :

Les redressements maintenus au niveau de l’impôt sur les sociétés, ayant une incidence sur la base
des produits des actions, parts sociales et revenus assimilés sont passibles de la retenue à la source,
en vertu des dispositions des Articles 13 du CGI des exercices contrôlés 2018 , 2019 , 2020 et 222-
B du CGI des exercices contrôlés 2018 , 2019 , 2020 ;

III / TVA

1- TVA sur insuffisance de chiffre d’affaires :

Pour les mêmes motifs évoqués au titre de l’IS, la sous-commission a décidé de d’abandonner ce chef
de rappel.

2-TVA sur vente de carburant avec une marge négative :


Pour les mêmes motifs évoqués au titre de l’IS, la sous-commission a décidé de d’abandonner ce chef
de rappel.

3-TVA sur chiffres d’affaires non déclaré :

Pour les mêmes motifs évoqués au titre de l’IS, la sous-commission a décidé de d’abandonner ce chef
de rappel.

4-TVA sur chiffres d’affaires du gasoil de pêche non déclarés :

Attendu que l’inspecteur a notifié que la société a déclaré comme chiffre d’affaires exonéré, les
opérations de vente de gasoil de pêche, sans pour autant présenter les justificatifs de ces ventes en
exonérations. Or, les dispositions de l’Article 124 du CGI des exercices contrôlés 2018 , 2019 ,
2020 relatif aux modalités d’exonérations prévoient les conditions d’exonérations qui n’ont pas été
respectées, la TVA sur chiffre d’affaires relatif au gasoil de pêche a été rappelée comme suit :

Année 2018 : 230 636,86 DH


Année 2019 : 215 994,31 DH

Attendu que la société a contesté ce rappel au motif que la vente du gasoil de pèche est régie, en
matière de TVA, par les dispositions de l’Article 123-8 du CGI des exercices contrôlés 2018 , 2019 ,
2020 qui stipule : " Les hydrocarbures destinés au ravitaillement des navires effectuant une
navigation en haute mer et admis en franchise des droits de douane dans les conditions fixées par le
code des douanes et impôts indirects approuvé par le dahir portant loi n° 1-77-339 du 25 Chaoual
1397 (9 octobre 1977) ".

Ainsi les opérations prévues à l’Article 123-8 susvisé n’entrent pas dans le champ d’application
de l’Article 124 du CGI des exercices contrôlés 2018 , 2019 , 2020 et qu’en conséquence, les
opérations de vente du gasoil de pêche ne sont pas soumises à des demandes préalables
d’exonération auprès de l’administration.

Considérant que pour bénéficier de l’exonération de la TVA, le bénéficiaire doit adresser au service
local des impôts dont il relève, une demande d’exonération formulée d’après un imprimé établi par
l’Administration conformément aux formalités prévues par l’Article 13 du décret précité. Cette
demande doit être accompagnée d’une facture proforma établie par le fournisseur indiquant la
nature des marchandises ou de la prestation fournie ainsi que le nom et le numéro de matricule du
navire auquel elles sont destinées. Cette facture proforma doit être visée par le quartier maritime
dont dépend le pêcheur ou l’armateur propriétaire du navire ;

Considérant que la société n’a pas respecté ce formalisme administratif pour pouvoir bénéficier de
l’exonération de la TVA sur le gasoil de pêche.

Pour ces considérants et après avoir entendu les deux parties, analysé les arguments de chacune
d’elles et après délibération, la sous-commission a décidé de maintenir les rappels de la TVA notifiés.

5- TVA sur charges non déductibles :

Pour les mêmes motifs évoqués au titre de l’IS, la sous-commission a décidé de d’abandonner ce chef
de rappel.

6- TVA sur charges d’entretien et réparations non déductibles :

Pour les mêmes motifs évoqués au titre de l’IS, la sous-commission a décidé de d’abandonner ce chef
de rappel.

Compte tenu de ce qui précède, les redressements et les rappels retenus par la sous- commission
sont récapitulés dans les tableaux ci-joints.

Président Membres

Dossier N° 1-12/01 du RP 2023 concernant la société « XXXXX»

Tableaux annexes à la décision prise lors de la séance du 21/03/2023

I- IS
II- IS/PA

III- TVA

Secrétaire Rapporteur

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