Cours 19 - Eléments de Transmission de Puissance - Partie 1 Lycée Fermat Toulouse - CPGE MPSI/PCSI

Eléments de Transmission de Puissance - Partie 1

Ordre de la chaîne Matière d’œuvre entrante
d’information
Energie
entrante
TRANSMETTRE
ALIMENTER MODULER CONVERTIR AGIR
et ADAPTER
Unité d’alimentation Pré-actionneur Actionneur Eléments de transmission Effecteur
de puissance

PRODUIRE
STOCKER
LOCALEMENT
Unité de production d’énergie Batterie
Chaîne de puissance
Exemples d’éléments de transmission de puissance
Matière d’œuvre
sortante

Exemples d’éléments de transmission de puissance

REDUCTEURS, SYSTEMES DE TRANSFORMATION DE MOUVEMENT, …
Lorsque l’on veut que l’énergie mécanique utile produite par l’actionneur ait des
caractéristiques bien précises on incorpore dans la chaîne de puissance des éléments de
transmission de puissance qui adaptent et transmettent l’énergie mécanique utile pour
l’effecteur en bout de chaîne. L’objectif de ce cours est d’appréhender les transmetteurs les
plus classiques que l’on peut rencontrer dans les systèmes.

1 - LES TRANSFORMATEURS DE MOUVEMENT LES PLUS CLASSIQUES

Les transformateurs de mouvement permettent généralement de transformer un mouvement
continu de l’actionneur en entrée (rotation continue le plus souvent) en un mouvement vers
l’effecteur en sortie différent. Ce mouvement peut être continu mais aussi alterné ou
intermittent. Lorsque l’entrée et la sortie peuvent être permutées, on dit que le système est
réversible.

1.1. Le système vis écrou Vis

RotaƟon d’un tour →
Type de transformation : Rotation continue translation de x mm
en translation continue.
Pas = x mm
Réversibilité : parfois. Ce système est souvent
irréversible lorsque l’on n’a pas interposition
d’éléments roulants limitant le frottement.

Utilisation : Vérins électriques, chariots de

Ecrou
(1)
le pas est en mm et machines outils, …
il correspond à la
distance entre deux Caractéristiques : La cinématique du système vis-écrou est définie par le pas de la vis(1) tel que
filets successifs
 = .pas/(2) pour un filet à droite (pour un filet à gauche on change le signe).

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1.2. Le système bielle manivelle

C’est probablement le système de 3 Vilebrequin 1
transformation de mouvement le plus connu (ou maneton Piston 3
car il est présent dans les motorisations de ou manivelle)
nombreux véhicules. B

Type de transformation : Rotation continue

en translation alternative ou l’inverse. 2

Réversibilité : oui.
1
O A
(2)
voir cours 10 pour la
Utilisation : Moteurs thermiques,
loi entrée/sortie. compresseurs, certaines pompes et moteurs 0 Bielle 2
Les positions hydrauliques, … Bâti 0
extrêmes appelées
point mort haut et Caractéristiques : La longueur de l'excentration sur le vilebrequin et la longueur de la bielle
point mort bas sont
toujours obtenues jouent sur la relation entre l'angle de la manivelle et la translation de la tige (2).
lorsque les 3 points O,
A et B sont alignés. Diamètre primitif du pignon 1.3. Le système pignon crémaillère
(3) Cette transformation fait partie de la famille des
voir chapitre 2 de ce
cours. engrenages (3).
ω
Ligne de Type de transformation : Rotation continue en
référence translation alternative.
V Crémaillère
Réversibilité : oui.

Utilisation : Portes de TGV, portes de garage,

directions de voiture, …
Pignon
Crémaillère
Caractéristiques : La vitesse de translation de la
crémaillère V est fonction du rayon primitif R de la
roue dentée et de la vitesse de rotation du pignon
ω : V = R.ω.

Ergot
1.4. Le système croix de malte

Type de transformation : Rotation continue en Croix

rotation intermittente.

Réversibilité : jamais.

Utilisation : Plateau tournant de machine de Rainure

transfert, indexage…

(4)
4 ici sur le schéma Caractéristiques : La rotation continue de
soit une rotation de ¼ l’ergot (de rayon r) est transformée en rotation
de tour de la croix tout intermittente par l’intermédiaire des rainures
les tours d’ergot de la croix(4).

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1.5. Le système à came ou excentrique Piston ou coulisseau

La loi entrée-sortie est fonction du profil de
la came ou de la valeur de l’excentration de
Excentrique Rayon R
l’excentrique.

Type de transformation : Rotation continue

en translation alternative.
Excentration e Excentrique
Réversibilité : jamais.
Galet Piston ou
Utilisation : Pompes hydrauliques, arbres à
cames,… coulisseau

Caractéristiques : La rotation continue de la

came (de rayon R variable défini en Came
coordonnées polaires) ou de l’excentrique
(de rayon R et d’excentration e) est
transformée en translation alternative. Came axiale

Coulisseau
Piston ou Galet
coulisseau

Came

Rayon R Cylindre Rainure

Came radiale Came axiale

(5)
on parle 1.6. Joints de transmission ou accouplements mécaniques
d’homocinétisme Plusieurs solutions permettent de transmettre un mouvement de rotation entre deux arbres
lorsque la vitesse de
concourants (exemple des roues d'automobile). L'homocinétisme(5) est parfois recherché. Ci-
sortie constante est
égale à la vitesse dessous, trois solutions technologiques sont présentées (il en existe pleins d’autres). Le joint de
d'entrée constante cardan n'est pas homocinétique tandis que le tripode l'est quasiment. Le joint Rzeppa est
(6)
homocinétique (6).
Sur les automobiles,
on ne retrouve pas
des joints de cardan,
c’est un abus de
langage. Ce sont en
fait des joints tripodes
associés à des joints
Rzeppa qui sont
réellement utilisés.

Joint de cardan Joint tripode Joint Rzeppa

2 - LES REDUCTEURS DE VITESSE

2.1 Principe de fonctionnement général d’un réducteur

Un réducteur permet de transmettre et adapter une puissance entrante Pe délivrée par un

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(7)
Ces deux termes actionneur en une puissance en sortie Ps pour un effecteur.
génériques sont à
prendre dans un sens
Une puissance (unité : Watt) est une grandeur scalaire qui est toujours le produit de deux
large non liés à un
domaine physique ou grandeurs variables :
technique particulier.  l’une d’entre elle est appelée « flux » (7) et notée f(t),
Par conséquent il ne  l’autre est appelée « effort » (7) et notée e(t).
faut surtout pas
penser que terme
effort correspond Un réducteur est un élément de transmission de puissance et, dans son cas, la grandeur
seulement à une « flux » entrante et sortante correspond à une vitesse de rotation (en rad/s) et la grandeur
force !
« effort » entrante et sortante correspond à un couple (en N.m).
(8)
La vitesse d’un
moteur est souvent « Flux » = Vitesse de « Flux » = Vitesse de
Imposée par
trop élevée vis-à-vis de rotation en entrée ωe rotation en sortie ωs
l’actionneur
la vitesse souhaitée
sur l’arbre en sortie, Pe = Ce.ωe Réducteur(8) Ps = Cs.ωs
par conséquent
l’interposition du « Effort » = Couple « Effort » = Couple Imposée par
réducteur permet moteur en entrée Ce résistant en sortie Cs l’effecteur
d’adapter cette vitesse
de rotation. D’autre
part le couple résistant On définit pour chaque réducteur un rapport de réduction r tel que r = ωs
ωe
en sortie imposé par
l’effecteur est Si r > 1 le système est un multiplicateur de vitesse, si r < 1 le système est réducteur de vitesse.
généralement trop
important pour le On peut classer les réducteurs en deux grandes familles vis à vis de la technologie employée
moteur. Le réducteur
permet alors de
pour transmettre le mouvement :
réduire le couple  Les réducteurs utilisant la transmission par adhérence : roue à friction (dynamo de vélo,
moteur à fournir en … ), système poulie-courroie (alternateur de voiture, …).
entrée.  Les réducteurs utilisant la transmission par obstacle : système poulie-courroie avec
courroie dentée (courroie de distribution d’une voiture, …), système à chaîne (vélo,
moto, …), système à engrenage (boite de vitesse, …).

2.2. Les roues de friction  

y0 Rs y0
Principe : Deux roues cylindriques
ou coniques sont en contact sur une A Roue menée (s) A 
génératrice et soumises à un effort xs
θs
(9) presseur.  
Pour un bon z0
Le frottement au contact des deux x0
fonctionnement, il
faut donc choisir un roues(9) permet de transmettre le A Os A
Os
couple de matériaux mouvement de la roue motrice vers
ayant un coefficient la roue réceptrice.
de frottement 
important. I Re I xe
Utilisation : transmissions à faible θe
puissance (petits appareil Oe  
z0 x0
portables), dynamo de vélo, … A A
Oe
Roue menante (e)
Rapport de réduction :

La condition de roulement sans glissement au point de contact I s’écrit VI , s / e  0 .
  
Soit VI , s / e  VI , s / 0  VI , e / 0  R s . s .x 0  R e . e .x 0  0 → R s . s  R e . e  0

s / Rg  s R
On en déduit le rapport de réduction : r    e
e / Rg  Rs
e

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Cette solution reste cependant limitée car elle nécessite des pressions de contact importantes
pour assurer le roulement sans glissement en I. Pour pallier à ce problème on utilise plutôt des
transmissions par obstacles (voir paragraphe 2.4.).

2.3. Les liens flexibles

Les liens flexibles sont particulièrement avantageux lorsqu’il s’agit de relier de grands entraxes
car ils sont moins couteux que les autres solutions techniques. Ils sont utilisés dans tous les
secteurs de la construction mécanique (machines outils, moteurs, convoyeurs, engins de BTP,
…). Dans les réducteurs à liens flexibles, les poulies et les roues tournent dans le même sens
s / Rg  R
contrairement aux engrenages. Le rapport de réduction s’écrit : r   s  e
 e / Rg  eR s

Transmission par chaîne

La transmission de puissance par chaîne se fait par obstacle.

(10)
Vocabulaire : Entraxe (10)
Rs Pignon
L’entraxe correspond Re
à la distance séparant moteur (e)
les 2 axes de rotations Roue Roue
du pignon (nom pour
menée (s)
l’élément denté le
plus petit) et de la
roue. (nom pour Pignon
l’élément denté de
plus gros diamètre)
 Transmission de
couples très Différentes technologies de chaîne
important.
 Aucun glissement.
 Entrainement à
rapport constant Indication éventuelle sur le type de chaîne :
(indépendamment du
couple). Chaîne à maillons
 Le sens de rotation
peut être facilement Chaîne à rouleaux
inversé.
 Technologie
bruyante. Roue Chaîne à dents
 Lubrification
nécessaire.
Transmission par poulie courroie
 Economique. La transmission de puissance par poulie courroie se fait par l’intermédiaire de l’adhérence
 Utilisation possible entre la poulie et la courroie (sauf pour les courroies crantées).
avec axes de poulies
non // par ajout de Courroie (crantée ici) Rs Re
galets intermédiaires.
Poulie Poulie
 Silencieux.
 Amortissement des menée (s)
menante (e)
à coups grâce à
l’élasticité des Poulie
courroies.
 Non adapté aux
conditions difficiles à Poulie
cause des matériaux
de la courroie.
 Durée de vie
Indication éventuelle sur le type de courroie :
limitée. Courroie plate Courroie ronde
 Glissement possible
(sauf courroies Courroie trapézoïdale Courroie crantée
crantées)

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(11)
Un engrenage 2.4. Les engrenages
correspond à Les engrenages sont constitués de roues dentées(11) engrenant l’une avec l’autre. Chaque roue
l’association de 2
est en mouvement de rotation autour d’un axe. La transmission de mouvement entre les deux
éléments dentés.
L’élément denté de roues se fait par obstacle grâce à l’existence d’une zone de contact entre les différentes dents.
plus petit diamètre
porte le nom de Réel Modèle (schéma cinématique)
pignon et l’élément  
denté de plus Pignon (e) avec Ze dents y0 y0
Re
diamètre porte le A A 
nom de roue. Re xe
 θe
Oe z0 
Oe Oe x0
pas A
e A
e
Rs I
pas I
Rs
s

Entraxe xs
a = Re + Rs s
 θs 
Os z0 x0
Os
A A
Os

Roue (s) avec Zs dents

Les cercles représentés sur les schémas cinématiques correspondent aux

diamètres primitifs de la roue et du pignon.

Diamètres primitifs :
L’engrènement de dentures assure le roulement sans glissement en I des cercles fictifs de
diamètres De et Ds. Ces cercles sont appelés cercles primitifs. Ils correspondent aux diamètres
des roues de friction qui assureraient le même rapport de réduction.

Pas primitif :
Pour garantir l’engrènement, les pas primitifs respectifs des dentures du pignon et de la roue
doivent être égaux. Le pas primitif correspond à la longueur de l’arc de cercle primitif compris
entre deux dents consécutives tel que :
2..R e 2..R s
pas   avec Ze et Zs, nombre de dents des éléments de diamètre primitif De et
Ze Zs
Re Rs D D
Ds. On en déduit alors que  mais aussi que e  s
Ze Zs Ze Z s

Module :
Le module m caractérise l’aptitude à l’engrènement des engrenages.

Le pignon et la roue doivent constituant un engrenage doivent avoir le même module pour
fonctionner.

Pour une roue donnée on a D = m.Z et pas = π.m.

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(11)
Un engrenage
correspond à
l’association de 2
éléments dentés.
L’élément denté de
plus petit diamètre
porte le nom de
pignon et l’élément
denté de plus
diamètre porte le
nom de roue. Rapport de réduction :

La condition de roulement sans glissement au point de contact I s’écrit VI , s / e  0
  
Soit VI , s / e  VI , s / 0  VI , e / 0  R s . s .x 0  R e . e .x 0  0 → R s . s  R e . e  0

s / Rg  s R
On en déduit le rapport de réduction : r    e
e / Rg  Rs
e

Cas des engrenages à

denture droite : Différentes solutions technologiques pour les engrenages :
 Ce sont les plus
simples et les plus
Les engrenages cylindriques extérieurs ou intérieurs à denture hélicoïdale ou droite (Ils
économiques.
Comme leurs dents transmettent un mouvement entre deux arbres parallèles) :
sont parallèles aux
axes de rotation, ils
peuvent admettre des Engrenage à contact extérieur
déplacements axiaux.
 Ils sont bruyants.
Denture
Cas des engrenages à droite
denture hélicoïdale :
Les deux éléments de
l’engrenage doivent
avoir leurs hélices de
sens opposé pour
engrener.
 Le nombre de
couple de dents en Engrenage à contact intérieur
prise est plus
important que sur les
dentures droites,
l’engrènement est
Denture
donc plus progressif
et plus continu. Par hélicoïdale
conséquent ils sont
donc plus silencieux
et peuvent
transmettre des
efforts plus
Denture hélicoïdale inversée Denture à chevron
importants.
 Employé seul,
l’engrenage à denture
hélicoïdale génère des
efforts axiaux. Pour
compenser cet effort,
on utilise un jumelage
de 2 engrenages à
dentures hélicoïdales
inversées ou des roues
à chevrons.

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Les engrenages coniques à denture hélicoïdale ou droite (ils transmettent un mouvement entre
deux arbres à axes concourants perpendiculaires ou non) :

Engrenage conique à Engrenage conique à

denture droite denture hélicoïdale
 Les arbres sont en
porte à faux.
 Ils génèrent des
efforts axiaux.
 Les sommets des
cônes doivent
coïncider.

 Irréversibilité
possible → sécurité
anti-retour utile quand
Les engrenages à roue et vis sans fin (ils transmettent un mouvement entre deux arbres à axes
le récepteur peut non concourants) :
devenir
moteur (appareil de
levage par exemple). Vis sans fin avec Vis sans fin avec Vis sans fin avec Dessin normalisé
 Grands rapports de roue cylindrique roue cylindrique roue cylindrique
réduction (entre 1/5
et 1/150)
 L’engrènement se
fait avec beaucoup de
glissement entre les
dentures. Il y a donc
une usure importante
et rendement faible
(entre 50 et 60%).
 La vis doit
supporter un effort
axial important.
Afin d’augmenter la
surface de contact
entre les dentures, on
Dans le cas particulier du système roue et vis sans fin le rapport de réduction s’écrit :
utilise très souvent Nombre de filets de la vis Exemple d’une vis à 3 filets
des systèmes à roue s / Rg roue / Rg Z vis
creuse ou avec une vis r  
globique (encore e / Rg vis / Rg Z roue
mieux mais beaucoup
plus cher). Nombre de dents de la roue

2.4. Les trains d’engrenages simples

Pour augmenter le rapport de réduction on peut associer dans un réducteur plusieurs
engrenages en série. On parle alors de train d’engrenages.

Dans la pratique, pour calculer la loi entrée sortie de trains d’engrenages, il est inutile de
repartir (sauf explicitement demandé) de la condition de RSG au point de contact. On utilise
directement la formule pratique suivante qui définit le rapport de réduction r tel que :

s / Rg  Z Rouesmenantes
r   (1)n .
e / Rg  Z Rouesmenées

où (1)n donne le sens de rotation de la sortie par rapport à l’entrée, n correspondant au

nombre de contact extérieurs entre roues.

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On qualifie de roue menante toute roue motrice dans le train d’engrenage et de roue menée
toute roue réceptrice dans le train d’engrenage.
On utilise aussi le terme de roue folle qui peut être à la fois une roue menante et une roue
menée.

Exemple : Train d’engrenage d’un tambour moteur

Un convoyeur à bande est un dispositif de transport ou de manutention permettant le
déplacement continu de marchandises en vrac ou de charges isolées. Il est constitué
essentiellement d'une bande sans fin (ou courroie) en matériau souple entraînée par un
tambour moteur. La bande, plus ou moins large, comporte un brin inférieur et un brin
supérieur, lequel supporte et entraîne les marchandises posée dessus.

 Echelle (mm) Réel

y0
E3

E2

E F
 E1
C x0
A D B

E0


y0
Modèle - Schéma cinématique
E2 E
Modules et normbres de dents de élements dentés
ZE1=16 m=1.5 mm E3
ZE2=59 m=1.5 mm
ZE2’=16 m=2.5 mm
E0
D 
ZE3=62 m=2.5 mm x0 A
Moteur
E1

On a une mise en série d’un engrenage à contact Etage 1

extérieur (train 1) et d’un engrenage à contact
intérieur (train 2) → n = 1 Etage 2
 Z .Z 16  16
→ r  E3 / 0  (1)1 . E1 E2'    0,07
E1 / 0 ZE2 .ZE3 59  62

Attention au cas de la roue folle sur certains réducteurs ! Sur 1

B
l’exemple ci contre la roue 2 est menée mais aussi menante,
c’est ce que l’on appelle roue folle. 2 A
 Z .Z Z 
Le rapport de réduction s’écrit ici : r  3 / 0  (1)2 . 1 2  1 y0 
1 / 0 Z 2 .Z 3 Z 3 x0
A
3 O A
0

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