ulysse texte2

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Deuxième unité de sens

-C- Lectures individuelles, explication et rappel de quelques règles de langue

Passage 2 : DE « Quand parait(L12)……………À que Zeus te punisse (L28)

1) À quel moment de la journée Ulysse accomplit sa ruse ? relevez du passage une épithète homérique qui
l’indique.
2) La suite de l’action se passe dans ou hors de la caverne ?

3) Le cyclope « palpe le dos de chaque bête » à quel sens appartient le verbe palper
a- dans quel but le cyclope fait-il ce geste ?
b- le cyclope pouvait-il se fier à un autre de ses sens pour parvenir à son but ?

4) Le cyclope s’adresse à son grand bélier. pourquoi ?

5) Est-ce que le stratagème d’Ulysse réussit

6) Les béliers du cyclope sont doublement utiles. Dites pourquoi en tirant des justification du passage

7) Quand nous sommes encore à portée de voie – que signifie cette phrase ?

8) « Tu ne t’imagine pas que…………………………….sans que Zeus te punisse ! »


quel est ce dieu qui intervenir en faveur d’Ulysse.

9) Faites un portrait d’Ulysse en énumérant ses qualités.

10) Rappel grammatical : ligne 27 : « tu ne t’imaginais pas que tu allais dévorer mes compagnons sans que
Zeus te punisse » quelle est la nature de cette proposition ainsi que la conjonction de coordination.

11) Rappel d’orthographe : relevez du texte deux antonymes. : dernier /premier

Idée de la deuxième unité de sens

Ulysse et ses compagnons fuient secrètement la caverne en s’emparant des béliers.

Ulysse et ses compagnons fuient la caverne et chargent leur précieux butin

Le portrait d’Ulysse :

Le roi d’Ithaque, valeureux guerrier, habile diplomate, stratège, dégourdi et débrouillard


vaillant, intrépide.
L’œil su cyclope p .150

Les béliers p .153

Le lendemain au réveil, Polyphème dévore deux autres marins, puis va faire


paître son troupeau en scellant la porte derrière lui. Ulysse en profite et
dissimule dans la caverne une branche d’olivier qu’il a préalablement taillée,
aiguisée et durcie au feu. Le soir, à son retour, Polyphème dévore deux autres
hommes. À la fin de son repas, Ulysse lui propose une écuelle remplie de vin.
Le Cyclope, séduit par le breuvage s’enivre et lui demande son nom. Ulysse
répond : « C’est Personne, mon nom

Rapidement ivre, le géant ne tarde pas à tomber dans un profond sommeil.


Ulysse et ses compagnons enfoncent le pieu dans l’œil de Polyphème. Attirés
par ses cris de douleur, les autres Cyclopes accourent et pensent que leur ami
est en proie à un délire causé par la maladie et la fièvre, car à la question « Qui
t’a crevé l’œil ? », Polyphème répond « Personne ». Ulysse et ses compagnons
profitent de la confusion pour se cacher en s’attachant sous le ventre des
moutons.

Quand le géant, devenu aveugle, faitÿÿnsuite sortiÿÿseÿÿbêsts, il prend soin de


passer sa main sme le dos de chaque animal pour s’assurer qu’aucun marin ne
s’y trouve, et ne s’aperçoit donc pas de la fuite de l’équipage. De retour sur son
navire, Ulysse l’interpelle avec ironie : « Si quelqu’un te demande qui t’a crevé
l’œil, réponds que ce n’est pas Personne mais Ulysse d’Ithaque. »

Ayant connaissance d’une prophétie selon laquelle il serait un jour la victime


d’Ulysse, Polyphème devient fou de rage d’avoir été dupé de la sorte.
Déchaîné, il arrache des bouts de montagne et les projette sur la flotte
d’Ulysse, mais en vain. De son navire, le marin continue de narguer le Cyclope
et de crier la victoire de sa ruse.

Désespéré, le Cyclope implore alors l’aide de son père Poséidon

Poséidon entend la prière de son fils et lui promet de le venger. Cette


confrontation entre Polyphème et Ulysse marque pour ce dernier le début d’un
long voyage semé d’obstacles
et d’épreuves, et amorce ainsi le cycle épique de l’Odyssée.

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