commande dun systheme pv par l IA
commande dun systheme pv par l IA
commande dun systheme pv par l IA
ET DE LA RECHERCHE S CIENTIFIQUE
F ACULTE DE T ECHNOLOGIE
Département de l’électrotechnique
THEME
Commande d’un système photovoltaïque connecté à un
réseau de distribution par les techniques de l’intelligence
artificiel.
Avant tout nous tenons nos remerciements à notre dieu de nos avoir
pour
de
ce travail.
loin
2018.
Dédicace
Je dédie ce travail à :
Faiza
Dédicace
Je dédie ce modeste travail à :
tout leur vie pour voir le jour là et pour ces précieux conseils ainsi
A ma binome Faiza
Imene
تزكش.أظهزث انتكُىنىجيا انكهزوضىئيت إيكاَاتها انكبيزة كًصذر نهطاقت انًتجذدة، في عصز انتًُيت انًستذايت: الملخص
.هذِ انًذكزة عهً تحسيٍ أداء وكفاءة انُظاو انكهزوضىئي يٍ خالل استخذاو خىارسييت يُاسبت نهتحكى في واجهت انطاقت
انهذف انزئيسي هى انعثىر عهً خىارسييت أو قاَىٌ تحكى فعال الستخزاج انطاقت انقصىي انًتاحت يٍ يىنذ كهزوضىئي
باستخذاو خىارسييت انكالسيكيت (سيادة انتىصيم) وخىارسييت انذكاء االصطُاعي ( انًُطق,يع تقهيم انتشىيش عهً انشبكت
. ) وانشبكت انعصبيت االصطُاعيت وانشبكت انعصبيت انًزكبت بانًُطق انضبابي، انضبابي
- انًُطقي انضبابي-خىارسييت سيادة انتىصيم- انذكاء االصطُاعي- MPPT-انُظاو انكهزوضىئي: الكلمات المفتاحية
.انشبكت انعصبيت انًزكبت بانًُطق انضبابي- انشبكت انعصبيت االصطُاعيت
Abstract: In the era of sustainable development, photovoltaic technology has shown its
significant potential as a source of renewable energy. This work focuses on improving the
performance and efficiency of a photovoltaic system through the use of an appropriate
algorithm for controlling the power interface.
The main objective is to find an efficient and optimal algorithm or control law allowing to
extract the maximum available power from the photovoltaic generator (GPV) with a
minimization of harmonics on the network, using a classical algorithm (IncCond) and
artificial intelligence algorithm (fuzzy logic, artificial neural network and neuro-fuzzy
network.
Keywords :PV system, MPPT, Modeling, Simulation, artificial intelligence, disturbance &
observation and conductance increment-fuzzy logic control -artificial neural network.
Introduction générale…………………………………………………………………………..1
I.4.2. Influence de l’éclairement et la température sur les courbes I=f(V) et P=f(V) .............. 11
I.7. Conclusion……………………………………………………………………………..16
II.3.1.Introduction ..................................................................................................................... 28
III.1.Introduction : .................................................................................................................... 33
III.2.Les techniques MPPT: ...................................................................................................... 34
III.3.1.Historique : .................................................................................................................... 39
IV.5.Conclusion :………………………………………………………………………….83
Conclusion générale…………………………………………………………………………84
Chapitre I : système photovoltaïque
Figure (III.1) : Schéma synoptique d’un système photovoltaïque avec MPPT. ....................... 33
Figure (III.2) : Organigramme de la méthode d’incrémentation de l’inductance . .................. 35
Figure (III.3) : Formes usuelles des fonctions d’appartenance . .............................................. 37
Figure( III.4) : Structure générale d’un régulateur par logique floue. ...................................... 38
Figure (III.5) : Le modèle d’un neurone biologique. ................................................................ 41
Figure (III.6) : Neurone Artificiel. ........................................................................................... 41
Figure(III.7) : Réseau de neurones multicouches. .................................................................... 43
Figure (III.8):Réseau à connexions locales. ............................................................................. 43
Figure(III.9) : Réseau à connexions récurrentes. ...................................................................... 44
Figure(III.10):Réseau à connexions complètes. ....................................................................... 44
Figure (III.11):Quelque fonction d’activations. ....................................................................... 45
Figure (III.12) : principe de Neuro flou. ................................................................................... 47
Figure (III.13) : Le système Neuro-flou de Mamdani. ............................................................. 48
Figure( III.14) : Le système Neuro-flou de Takagi-Sugeno. .................................................... 49
Figure (III.15): Architecture de NEFCLASS. .......................................................................... 51
Figure( III.16) : Architecture de NEFCON. ............................................................................. 52
Figure (III.17) : Architecture de NEFPROX. ........................................................................... 53
Figure(III.18): Architecture de l’ANFIS. ................................................................................. 53
Tableau (IV.1) : la table des règles pour la commande logique floue. ..................................... 58
Tableau(IV.2) : la table des règles pour la commande logique floue. ...................................... 59
Tableau(IV.3) : la table des caractéristiques des régulateurs VDC et IdIq .............................. 59
Tableau(IV.4) : la table des caractéristiques des régulateurs VDC et IdIq .............................. 60
Tableau (IV.5) : la table des règles pour la commande logique floue. ..................................... 61
Tableau(IV.6) : la table des caractéristiques de régulateur MPPT ........................................... 61
Tableau(IV.7) : la table des caractéristiques du régulateur MPPT ........................................... 62
Tableau (IV.8) : les puissances de panneau dans certains intervalles. ..................................... 83
D:variable de sortie.
E : l’erreur.
FF : Facteur de forme.
V :tension de MPPT.
η : Rendement énergétique .
ΔE : changement d’erreur.
AC: Courant Alternatif (Alternative Current).
Dans ce cadre, le présent travail décrit une étude détaillée du système d´énergie solaire
photovoltaïque relié à un réseau de distribution.
Notre travail est structuré en quatre chapitres, dont le contenu est succinctement
résumé ci-dessous :
Page 1
Dans le premier chapitre on a abordé une étude générale sur l’énergie solaire,
Egalement on a donné un aperçu général sur la cellule photovoltaïque, le Générateur
photovoltaïque et ses performances.
Nous avons aborde dans le troisième chapitre les techniques de la MPPT avec
IncCond et les intelligences artificielles.
Page 2
Chapitre I
I.1. Introduction :
I.2.1. Définition :
Le terme « photovoltaïque » vient du grec et qui signifie lumière, il est composé de deux
parties : « photons » «lumière » et du nom de famille du physicien italien (Alessandro Volta)
qui inventa la pile électrique en 1800 et donna son nom à l’unité de mesure de la tension
électrique, le volt. Lorsqu’un matériau semi-conducteur est exposé à la lumière du soleil, les
atomes exposés au rayonnement sont "bombardés" par les photons constituants la lumière;
sous l’action de ce bombardement, les électrons des couches électroniques supérieures
(appelés électrons des couches de valence) ont tendance à être "arrachés": si l’électron revient
à son état initial, l’agitation de l’électron se traduit par un échauffement du matériau.
L’énergie cinétique du photon est transformée en énergie thermique. Par contre, dans les
cellules photovoltaïques, une partie des électrons ne revient pas à son état initial. Les
électrons "arrachés" créent une tension électrique continue faible. Une partie de l’énergie
cinétique des photons est ainsi directement transformée en énergie électrique: c’est l’effet
photovoltaïque [1].
Une cellule photovoltaïque est constituée de plusieurs couches .On trouve au centre de
cette cellule, une couche avec porteurs de charges libres négative N en contact avec une
autre couche avec porteurs de charges libre s positives P. De part et autre du cœur de la cellule
,on a une couche conductrice (k) autrement dit une grille métallique ,puisqu’il faut que cette
couche soit conductrice et ne subisse pas des phénomènes de corrosion .On a donc une couche
Page 3
Chapitre I Généralité sur l’énergie solaire
qui sert de cathode (pôle+) recouvrant la couche semi-conductrice dopée N et une couche qui
joue le rôle de l’anode (pôle-) en dessous la couche semi-conductrice P. Aussi le silicium est
très réflecteur, on place donc un revêtement anti-réflexion sur le dessus de la cellule .Enfin
on trouve une couche de verra qui protège la cellule .Ces couvertures de protections sont
indispensables car la cellule est très fragile. L’épaisseur totale de la cellule est de l’ordre du
millimètre. Pour finir, on relie les cellules entre elles, constituant alors le panneau solaire, afin
d’obtenir une puissance suffisante [2].
Eclairment G
Photons
Lampe
Deplacement
Jonction PN d d’éléctrons
Page 4
Chapitre I Généralité sur l’énergie solaire
1
2
3
4
5
6
1 Verre
2 Revétement anti-reflrts
3 Grille conductrice
4 Semi-conducteur dopé N
5 Semi-conducteur dopé P
6 Conducteur
Page 5
Chapitre I Généralité sur l’énergie solaire
Une cellule photovoltaïque est basée sur le phénomène physique appelé effet
photovoltaïque qui consiste à établir une force électromotrice lorsque la surface de cette
cellule est exposée à la lumière. La tension générée peut varier entre 0.3 V et 0.7 V en
fonction du matériau utilisé et de sa disposition ainsi que de la température et du
vieillissement de la cellule [3].
I.3.1. Les différents types de cellules solaires (cellules photovoltaïque) :
Elles ont le meilleur rendement (de 12 à 18% voir jusqu’24% en laboratoire) cependant,
elles coûtent trop chers dues à leur fabrication complexe.
b. Les cellules poly cristallines
Leur conception est plus facile et leur coût de fabrication est moins important. Cependant
leur rendement est plus faible (de 11% à 15% voir jusqu’à19.8 en laboratoire).
c. Les cellules amorphes
Ces résistances ont une certaine influence sur la caractéristique I =f (V) de la cellule [5]:
Page 6
Chapitre I Généralité sur l’énergie solaire
• La résistance série Rser est la résistance interne de la cellule ; elle dépend principalement
de la résistance du semi-conducteur utilisé, de la résistance de contact des grilles collectrices
et de la résistivité de ces grilles.
• La résistance shunt Rshu est due à un courant de fuite au niveau de la jonction; elle
dépend de la façon dont celle-ci a été réalisée
Page 7
Chapitre I Généralité sur l’énergie solaire
Rser : la résistance série représentant les diverses résistances de contacts et de connexions [7].
C’est le courant pour lequel la tension aux bornes de la cellule ou du générateur PV est nulle.
Dans le cas idéal ( Rser nulle et Rshu infinie), ce courant se confond avec le photo-courant Iph
e I cc Rser I cc Rser
I cc I ph I sat exp 1 (I.2)
nKT Rshu
Pour la plupart des cellules (dont la résistance série est faible), on peut négliger le terme
e I cc Rser
I sat exp 1 devant Iph .L’expression approchée du courant de court-circuit est
nKT
alors:
I ph
I cc (I.3)
Rser
1
Rshu
Icc = Iph).
C’est la tension Vco pour laquelle le courant débité par le générateur photovoltaïque est
Page 8
Chapitre I Généralité sur l’énergie solaire
eV Vpv
0 I cc I sat exp PV 1 (I.4)
nKT Rshu
C’est le rapport entre la puissance électrique maximale fournie par la cellule Pmax
Pmax I optVopt
(I.5)
Pinc Pinc
Avec Pinc est égale au produit de l’éclairement et de la surface totale des photopiles. Ce
On appelle facteur de forme FF, dit aussi facteur de courbe ou facteur de remplissage
(fille factor), le rapport entre la puissance maximum fournie par la cellule Pmax (Iopt, Vopt) et le
puissance maximale d’une cellule idéale). Le facteur de forme indique la qualité de la cellule ;
plus il s’approche de l’unité plus la cellule est performante, Il est de l’ordre de 0.7 pour les
cellules performantes ; et diminue avec la température. Il traduit l’influence des pertes par les
deux résistances parasites Rser et Rshu . Il est défini par :
Pmax I optVopt
FF (I.6)
I ccVco I ccVco
Page 9
Chapitre I Généralité sur l’énergie solaire
Elle est donc à son maximum lorsque le soleil est au zénith et nulle la nuit. Mais, très
souvent, les besoins en électricité ne correspondent pas aux heures d'ensoleillement et
nécessitent une intensité régulière (éclairage ou alimentation de réfrigérateurs, par exemple).
On équipe alors le système de batteries d'accumulateurs qui permettent de stocker l'électricité
et de la restituer en temps voulu [3].
La figure (I.5) représente la courbe I =f (V) d’un module photovoltaïque typique dans des
conditions constantes d’irradiation et de température.
L’irradiation standard adoptée pour mesurer la réponse des modules photovoltaïques est une
2 0
intensité rayonnante de 1000 W/m et une température de 25 C.
Icc
Iopt
Caractéristique réelle
Vopt Vco V
Page 10
Chapitre I Généralité sur l’énergie solaire
module photovoltaïque est considéré comme une source de puissance avec un point Pmoù la
puissance se trouve être maximale. il est donc intéressant de se placer sur ce point pour tirer le
maximum d’énergie et ainsi exploiter au mieux la puissance crête installée.
Il est important de noter que certains régulateurs solaires réalisent une adaptation
d’impédance afin qu’à chaque instant on se trouve proche de ce point P m [3].
600
1000 (w/m2)
800 (w/m2)
500
600 (w/m2)
200 (w/m2)
400
courant (A)
300
200
100
0
0 50 100 150 200 250 300 350
Tension (v)
0
0 50 100 150 200 250 300 350
Tension (v)
Figure (I.7) : L’influence de l’éclairement sur la caractéristique P=f(V).
Page 11
Chapitre I Généralité sur l’énergie solaire
600
50 C°
500
25 C°
15 C°
400 5 C°
courant(A)
300
200
100
0
0 50 100 150 200 250 300 350 400
tension(V)
0
0 50 100 150 200 250 300 350 400
Tension (v)
Page 12
Chapitre I Généralité sur l’énergie solaire
La cellule individuelle, unité de base d'un système photovoltaïque, ne produit qu'une très
faible puissance électrique, typiquement de 0.5 W avec une tension de moins d'un volt [4].
Pour produire plus de puissance, les cellules sont assemblées pour former un module (ou
panneau).
Un module de 8 cellules en série (type BP MSX 120) est suffisant pour obtenir une
tension compatible avec la charge. pour avoir plus de tension, il faut assembler Ns modules en
série, par contre pour le courant généré, un nombre Np de modules en parallèle permet d’en
ajouter, les diodes de protection série et parallèles protègent le circuit contre le retour de
courant. L’association en série des cellules délivre une tension égale à la somme des tensions
individuelles et un courant égal à celui d’une seule cellule [4].
I I
E1 V1
Ei Vi
E1 E2 En
Page 13
Chapitre I Généralité sur l’énergie solaire
I1 I2 Ii
V1
Vi
Page 14
Chapitre I Généralité sur l’énergie solaire
Pour chaque panneau, on peut avoir autant de sorties que de modules, ce qui fait qu’on
aura besoin de boite de dérivation qui les regroupe, alors cette boite de dérivation fixée sur
une structure du montage a comme rôle d’effectuer les connections entre les modules pour
obtenir une puissance optimale en sortie [10].
I.6.1. Avantages :
D’abord une haute fiabilité. L’installation ne comporte pas de pièces mobiles qui la
rendent particulièrement appropriée aux régions isolées. C’est la raison de son utilisation
sur les engins spatiaux.
Page 15
Chapitre I Généralité sur l’énergie solaire
I.7. Conclusion :
Page 16
Chapitre I Généralité sur l’énergie solaire
Les performances d’un module photovoltaïque sont fortement influencées par les conditions
climatiques, particulièrement l’irradiation solaire et la température du module. Nous avons
opté pour le modèle à une diode pour simuler le fonctionnement du module photovoltaïque
pour différentes conditions d’irradiation et de température. Le principal intérêt de ce modèle
réside dans sa simplicité et sa facilité de mise en œuvre à partir des caractéristiques techniques
données par le constructeur.
Page 17
Chapitre II
II.1. Introduction :
boost etbuck/boost). Et les convertisseurs DC-AC pour une utilisation facile de la simulation
[12][13].
L'énergie solaire est une source d'énergie dont la disponibilité varie considérablement
dans la journée. Son utilisation de façon optimale nécessite la prise en compte des types de
charges (batteries, lampes, etc.). Dans cette optique, quelques auteurs [14-19] utilisent un
convertisseur boost afin de maximiser la production et l’utiliser de façon optimale. L’objectif
de ce travail est de présenter une meilleure conception d’un convertisseur boost capable de
rechercher la puissance maximale quelles que soient les variations de l’ensoleillement.
Page 18
Chapitre II les convertisseurs DC-DC et DC-AC
L’application des lois de Kirchhoff sur les deux circuits équivalents du convertisseur
survolteur figure(II.2) des deux phases de fonctionnement donne :
Figure( II.2) : Schéma équivalent du hacheur survolteur, (a) : K fermé, (b) : ouvert.
Page 19
Chapitre II les convertisseurs DC-DC et DC-AC
dV i
I C 1 C 1 Ii IL
dt
dV 0
I C 2 C 2 I 0 (II.1)
dt
dI L
V L L dt V i R L I L
dV i
I C 1 C 1 dt I i I L
dV 0
I C 2 C 2 IL I0 (II.2)
dt
dI L
V L L dt V i V 0 R L I L
Le convertisseur oscillant entre αTS et (1-α) TS avec une fréquence élevée, nous devons
trouver une représentation dynamique approximée valable pour les deux intervalles de temps
pour cela nous considérons que la variation des variables dynamiques 𝐶I, 𝑉L est de forme
linéaire, en d’autres termes nous pouvons faire une approche de exponentielle par un segment
(eε≈1+𝜀 𝑠𝑖 𝜀 ≪1) et ainsi la dérivée de ces grandeurs sera constante. Cette approche nous
permet de décomposer l’expression de la valeur moyenne de la dérivée de la variable
dynamique x sur les deux laps de temps αTs et (1-α) Ts:
dx dx dx
Ts Ts (1 )Ts (II.3)
dt dt (Ts ) dt (1 )Ts
Page 20
Chapitre II les convertisseurs DC-DC et DC-AC
Où < > est la valeur moyenne de la dérivée de x sur une période Ts. Cette relation est
valide si: sont constants sur les périodes αTs et (1−α) Ts respectivement
en d’autres termes cette approximation est valable si les périodes αTs et (1−α) Ts sont très
faibles devant la constante de temps du circuit 𝐶1𝑅𝐺, C2𝑍, 𝐿/𝑅𝐿 dans ce cas la forme
exponentielle du courant qui parcourt la self et la tension aux bornes de la capacité est de
forme linéaire comme le montre la figure (II.3).
IL
IL max
IL min
En appliquant la relation (II.3) sur les systèmes d’équations (II.1)et(II.2) on obtient les
équations qui régissent le système sur une période entière :
dV g
IC1 C 1 T s (I g I L )T s (1 )T s (I g I L ) (II.4)
dt
dV 0
IC 2 C 2 T s T s I 0 (1 )T S (I L I 0 ) (II.5)
dt
dI L
VL L T S (V g R L I L )T S (1 )T s (V g V 0 R L I L ) (II.6)
dt
dV g
I L I g C1 (II.7)
dt
Page 21
Chapitre II les convertisseurs DC-DC et DC-AC
dV 0
I 0 (1 )I L C 2 (II.8)
dt
dI L
V g (1 )V 0 L RL I L (II.9)
dt
des droites, la pente du courant pendant la première période de fonctionnement est donnée par
:
d IL V L V S RL I L
(II.10)
dt L L
V S RL I L
I icc 2I L T S (II.11)
L
V g V 0 R L I L
L (II.12)
2I L
dV g IC1 I 0 I L
(II.13)
dt C1 C1
dV 0 I C 2 I 0
(II.14)
dt C2 C2
les valeurs des ondulations crête à crête des tensions d’entrées et de sorties sont :
Page 22
Chapitre II les convertisseurs DC-DC et DC-AC
Ig IL
V C 1CC 2V C 1 T s (II.15)
C1
I 0
V C 2CC 2V C 2 T s (II.16)
C2
Ig IL
C1 T S (II.17)
2V C 1
I 0
C2 T S (II.18)
2V C 2
Le régime continu est obtenu en éliminant les dérivées des variables dynamiques, et en
remplaçant ces signaux par leurs valeurs moyennes.
IL Ig (II.19)
I 0 (1 )I L (II.20)
V g (1 )V 0 (II.21)
comme le présente la figure (II.3), lorsque l’interrupteur du transistor S est sur la position on,
le courant de l’inductance du hacheur augmente linéairement et à cet instant la diode D est
bloquée off et lorsque S tourne sur la position off, l’énergie emmagasinée par l’inductance est
dissipée dans le circuit RC bien que la diode D est passante. Les caractéristiques de tension et
du courant de charge du convertisseur boost dans le cas de la conduction continue sont
décrites par la figure (II.4), comme suit :
Page 23
Chapitre II les convertisseurs DC-DC et DC-AC
VL
Vg
Vg-VS
IL
0 t
IS
I0
0 t
-I0 αT T
Page 24
Chapitre II les convertisseurs DC-DC et DC-AC
I V i V s
(II.22)
t L
IL: le courant dans l’inductance. Le processus de commutation est décrit par la position de
l’interrupteur S. Dans le premier laps de temps αT le transistor est dans un état de saturation,
alors l’inductance L se charge d’énergie avec augmentation du courant. Dans le deuxième
laps de temps (α-1) T, l’inductance L libère cette énergie à la charge avec une diminution de
courant. En négligeant la chute de tension à travers la diode, le taux de changement du
courant est donné par :
I Vi
(II.23)
t L
le transistor S et la diode. Dans ce cas, la tension de charge dépend d'une manière plus
complexe du rapport cyclique et le courant de la charge, la figure (II.6) montre comment la
tension de charge que varie avec le courant de charge. Les caractéristiques des courants et la
tension représentant le fonctionnement du hacheur dévolteur sont données par la figure (II.6):
VL
VL-Vs
IL
I0
Ic
0 t
Is
0 αT T t
Page 26
Chapitre II les convertisseurs DC-DC et DC-AC
tension
αVi
Conduction Conduction
Discontinue Continue
Courant de charge
Page 27
Chapitre II les convertisseurs DC-DC et DC-AC
VL Vs Vi (II.24)
1
Vi
Vs t
IL
0 t
Is
0 t
Ic
0 t
-I0 αT T
II.3.1.Introduction :
Page 28
Chapitre II les convertisseurs DC-DC et DC-AC
La figure (II.10) montre la structure d’un onduleur de tension triphasé à trois niveaux à
structure NPC. On commence par définir la fonction de connexion Fki de l’interrupteur. elle
vaut 1 si l’interrupteur est fermé et 0 dans le cas contraire. en mode command able, les
fonctions de connexion de l’onduleur sont liées par la relation :
FK 1 1 FK 4
(II.25)
FK 2 1 FK 3
structure NPC.
b
On définit la fonction de connexion Fkm du demi-bras comme suit:
Page 29
Chapitre II les convertisseurs DC-DC et DC-AC
FKb1 FK 1 FK 2
b (II.26)
FK 0 FK 3 FK 4
V AM F11b U c 1 F10b U c 2
V BM F21 U c 1 F20 U c 2
b b
(II.27)
V CM F31 U c 1 F30 U c 2
b b
V A 2 1 1 F11
b
F10b
V 1 1 2 1 F b U F b U
B 3 21 c 1 30 c 2 (II.28)
V C 1 1 2 F31b F30b
la stratégie de commande proposée est une MLI vectorielle. Pour chaque pas de calcul, le
vecteur de référence est constitué de trois des dix-neuf vecteurs que constitue le diagramme
Page 30
Chapitre II les convertisseurs DC-DC et DC-AC
vectoriel de l’onduleur à trois niveaux Figure (II.11). De ce fait, la forme d’onde de la tension
de sortie obtenue est meilleure que celles obtenues par les MLI classiques. Cette stratégie se
compose des six étapes schématisées par l’organigramme 1 [24,25].
Etape 1
Calcule du vecteur de référence
Vref
Etape 2
Calcule de phase θ et secteur i
Page 31
Chapitre II les convertisseurs DC-DC et DC-AC
II.4.Conclusion :
Page 32
Chapitre III
III.1.Introduction :
Convertisseur Convertisseur
D α Iabc Vabc
I V Générateur
Commande de
MPPT MLI
l’onduleur
Page 33
Chapitre III Technique de commande de poursuite d’un système PV
Ces méthodes sont basées sur des algorithmes de recherche itérative pour trouver le point
de fonctionnement du module solaire pour que la puissance générée soit maximale sans
interruption de fonctionnement du système. Elles ne sont pas basées sur des valeurs de
références prédéfinies ou à partir des paramètres opérationnels, mais sur la maximisation
permanente de la puissance générée par les modules photovoltaïque PV.
la puissance extraite du module est calculée à partir des mesures de courant I et de tension V
du module et la multiplication de ces deux grandeurs
PPV I PV V PV (III.1)
V :tension de MPPT.
I :courant de MPPT.
Page 34
Chapitre III Technique de commande de poursuite d’un système PV
Début
NON NON
D = D + ΔD D = D ‐ ΔD D = D +ΔD D = D ‐ ΔD
Page 35
Chapitre III Technique de commande de poursuite d’un système PV
III.2.2.1. Définition :
La logique floue s’affirme comme une technique opérationnelle, utilisée à côté d’autres
techniques de contrôle avancé, elle fait une entrée discrète mais appréciée dans les
automatismes de contrôle industriel. La logique floue ne remplace pas nécessairement les
systèmes de régulation conventionnels, elle est par fois même complémentaire. La logique
floue est une technique très puissante issue de la théorie des ensembles flous, pour combler la
lacune entre la précision de la logique classique et l’imprécision du monde réel. Sa
caractéristique fondamentale est l’utilisation des variables linguistiques au lieu des variables
numériques dans des situations conditionnelles floues .La logique floue est très utile dans des
situations où il y a de larges incertitudes et de variations inconnues dans les paramètres et la
structure du système, ou bien, lorsque des experts humains sont disponibles pour fournir des
descriptions subjectives et qualitatives du comportement du système avec des termes en
langage naturel. Cette technique a pris naissance avec Pr. Lotfi A, Zadeh en Californie. Il a
introduit la notion des variables linguistiques. L’évolution des microcontrôleurs a rendu
l’implémentation de la logique floue plus populaire. De nos jours, la logique floue est une
réalité. Elle se trouve dans une vaste gamme de nouveaux produits. Dans l’industrie, le
traitement des eaux, les grues portuaires, les métros, les systèmes de ventilation et de
climatisation. Enfin, des applications existent dans des domaines très différents tels que la
finance et le diagnostic médical [29].
III.2.2.2. Les fonctions d’appartenance :
Une définition des variables linguistiques à l’aide des fonctions d’appartenance est
nécessaire dans le but de traiter des déductions floues par calculateur .Dans ce contexte, est
attribuée à chaque valeur de la variable linguistique une fonction d’appartenance μ, dont la
valeur varie ente 0 et 1.Le plus souvent, on utilise des fonctions d’appartenance de type
triangulaire ou trapézoïdale, gaussienne. On utilise pour les fonctions d’appartenance les
fonctions suivantes :
Fonction triangulaire : l’allure est définie par 3 paramètres {a, b, c}.
x a c x
(x ) max min ,0 (III.5)
b a ' c b
Fonction trapézoïdale: elle est définie par 4 paramètres {a, b, c, d}.
Page 36
Chapitre III Technique de commande de poursuite d’un système PV
x a d x
(x ) max min ,1, ,0 (III.6)
b a ' d c
x m 2
(x ) exp
2
(III.7)
Fonction en forme de cloche : elle est définie par 2 paramètres {x0, a}.
1
(x ) (III.8)
x x 2
1 0
a
Fonction trigonométrique : elle est définie par 2 paramètres {x0, a}.
1 x x 0 a
(x ) 1 cos , x 0 a x x 0 2a (III.9)
2 2a
Fonction sigmoïdale : elle est définie par 2paramètres {x0, c}.
1
(x ) (III.10)
1 exp a x c
Page 37
Chapitre III Technique de commande de poursuite d’un système PV
Le principe d’une commande floue se base sur deux variables d’entrées qui sont l’erreur
E et le changement d’erreur ΔE et une variable de sortie. En général, la commande logique
floue comprend donc trois étapes communément nommées dans la littérature :
1. La fuzzification.
2. La lecture de la table de vérité.
3. La défuzzification
Entré Sortie
La fuzzification
Défuzzification
Page 38
Chapitre III Technique de commande de poursuite d’un système PV
A. Avantage :
Linguistique : pas numérique, où les variables utilisés sont similaire à la façon dont les
humains pensent.
Simplicité : ne nécessite pas d’équations analytiques complexes, facile à comprendre.
Utilise moins de règles.
Prototypage rapide : le designer n’a pas besoin de connaitre tout à propos du système
avant de commencer.
Peu couteux : plus facile à faire la conception.
Plus robuste : plus facile à mettre au point en changeant les fonctions d’appartenance.
B.Les Inconvénients :
Le cerveau se compose d’environ 1012 neurones interconnectés entre eux, avec 1000
a 10000 synapses par neurone. Les neurones ne sont pas tous identiques et ils n’ont pas le
même comportement.
III.3.1.Historique :
Page 39
Chapitre III Technique de commande de poursuite d’un système PV
Ce sont des fines extensions qui se ramifient autour du neurone et forment une
sortie de vaste arborescence. Les signaux envoyés sont captés par les dendrites. Leur
taille est de quelques dizaines de micromètres de longueur.
III.3.2.3. L’axone :
L’information traitée est transmise vers l’extérieur, le long de l’axone, les signaux
partent du neurone grâce a l’arborescence terminale que possède l’axone ;
contrairement aux dendrites qui se ramifient autour du neurone, l’axone est plus long et
se ramifie a son extrémité où il se connecte aux dendrites des autres neurones. Sa taille
peut varier entre quelques millimètres à plusieurs mètres. La notion de synapse
explique la transmission des signaux entre un axone et une dendrite. Au niveau de la
jonction, il existe un espace à travers lequel le signal électrique ne peut pas se
propager. Les transmissions se font alors par l’intermédiaire des substances chimiques
(les neurotransmetteurs). Quand un signal arrive de la synapse, il provoque l’émission
des neurotransmetteurs qui vont se fixer sur des récepteurs de l’autre cote de l’espace
inter synaptique. Quand suffisamment de molécules se sont fixés, un signal électrique
est émis de l’autre cote, il y a donc une transmission [32].
Page 40
Chapitre III Technique de commande de poursuite d’un système PV
Les réseaux de neurones artificiels sont des réseaux fortement connectés de processeurs
(neurones) élémentaires fonctionnant en parallèle. Chaque processeur élémentaire calcule une
sortie unique sur la base des informations qu’il reçoit. Toute structure hiérarchique de réseaux
est évidemment un réseau [33].
.x1
.x2 x
Entrées y Sortie
.x7
Page 41
Chapitre III Technique de commande de poursuite d’un système PV
Un ensemble de neurone.
Un état d’activation pour chaque neurone (actif, inactif).
Une fonction de sortie pour chaque neurone [f(s)].
Un modèle de connectivité entre les neurones (chaque neurone est connecté à tous les
autres).
Une règle de propagation pour propager les valeurs d’entrée à travers le réseau vers les
sorties.
Une règle d’activation pour combiner les entrées d’un neurone.
Une règle d’apprentissage.
Un environnement d’opération (le système d’exploitation, par exemple) [32].
Les connexions entre les neurones qui composent le réseau décrivent la topologie du
modèle qui peut être ?, mais le plus souvent il est possible de distingue une certaine régularité
Les neurones sont arrangés par couche, il n’ya pas de connexion entre neurones d’une
même couche et les connexions ne sont font qu’avec les neurones des couches en aval
habituellement, chaque neurone est connecté à tous les neurones de la couche suivante et
celle-ci seulement. Ceci nous permet d’introduire la notion de sens de parcours de
l’information (de l’activation) au sein d’un réseau et donc de définir les concepts de neurone
d’entrée et de neurone de sortie. par extension, on appelle couche d’entrée l’ensemble des
neurones d’entrée, couche de sortie l’ensemble des neurones de sortie .Les couches
intermédiaires n’ayant aucun contact avec l’extérieur sont appelées cachées.
Page 42
Chapitre III Technique de commande de poursuite d’un système PV
Couche
d’entrée
couche cachée
y1 y2
Il s’agit d’une architecture multicouche, mais qui à l’image de la rétine, conserve une
certaine topologie. Chaque neurone est connecté avec un nombre réduit et localisé de neurone
de la couche aval .Les connexions sont donc moins nombreuses que dans le cas d’un réseau
multicouche classique.
Couche
d’entrée
Couche cachée
Page 43
Chapitre III Technique de commande de poursuite d’un système PV
Les connexions récurrentes ramènent en arrière par rapport au sens de propagation défini
dans un réseau multicouche. Ces connexions sont le plus souvent locales.
C’est une fonction non-linéaire qui définie l’état interne (A) du neurone en fonction de
son entrée totale (E) elle peut être une fonction binaire à seuil, linéaire à seuil ou multi-seuil ,
sigmoïde stochastique ou une autre fonction généralement choisie croissante et impaire [34].
Page 44
Chapitre III Technique de commande de poursuite d’un système PV
s s s
L’hypothèse d’existence d’un maître qui supervise l’apprentissage n’est pas toujours
possible. Dans ce cas, on ne connaît pas les sorties désirées Y* des exemples d’apprentissage.
Le réseau doit donc apprendre de lui-même et on parle d’apprentissage non supervisé. Ce type
d’apprentissage permet au réseau d’extraire des propriétés contenues implicitement dans un
ensemble de données, représentées par des vecteurs de grande dimension, et l’on cherche à les
regrouper, selon des critères de ressemblance qui sont inconnus a priori [34].
Page 45
Chapitre III Technique de commande de poursuite d’un système PV
III.3.8.2. Inconvénients :
Page 46
Chapitre III Technique de commande de poursuite d’un système PV
Règles floues
Neuro-flou
Il existe quatre catégories de combinaisons des réseaux de neurones avec la logique floue.
Dans ces réseaux, les techniques floues sont employées pour augmenter les possibilités
du processus d’apprentissage et d’exécution des réseaux de neurones.
Le réseau neurone et le système flou fonctionnent ensemble sur la même tâche, mais sans
s’influencer, c'est-à-dire ni l’un ni l’autre n’est employé pour déterminer les paramètres de
l’autre.
Le réseau de neurones est employé pour déterminer les paramètres (les règles et les
ensembles flous) d’un système flou. Après la phase d’apprentissage, le système flou
fonctionne sans réseau de neurone. C’est une forme simple des systèmes Neuro-flous.
Page 47
Chapitre III Technique de commande de poursuite d’un système PV
X1
X
X
X
Y
X
X
X2
X
X
Les systèmes Neuro-flous de type Takagi-Sugeno font usage d'un mélange d’algorithme
de moindre carré pour déterminer les coefficients des combinaisons linéaires dans les
Page 48
Chapitre III Technique de commande de poursuite d’un système PV
Dans la première partie, les modèles de l'entrée sont propagées, et les paramètres de la
sortie optimaux sont estimés par la procédure de moindre carré, pendant que les
paramètres antérieurs sont supposés être fixes pour le cycle courant à travers
l'ensemble de l’apprentissage.
Dans la deuxième partie, les modèles sont encore propagés, et dans cette tâche, la retro
propagation est utilisée pour modifier les paramètres antérieurs, pendant que les
répétée.
(III.14).comme suit:
E1
E2
Les couches 1,2 et 3: sont les même que celle du modèle de Mamdani.
La couche 4 : (normalisation des poids de la règle)
Chaque nœud dans cette couche calcule le coefficient de la ième règle à la somme de
toutes les règles.
Wi
Wi , i=1,2… (III.13)
W 1 W 2
Page 49
Chapitre III Technique de commande de poursuite d’un système PV
W i f i W i ( pi x 1 q i x 2 ri ) (III.14)
Tel que i est une sortie de la couche quatre et {pi, qi, ri} sont des paramètres des ensembles.
Un chemin bien établi est de déterminer les paramètres conséquents qui utilisent l’algorithme
des moindres carrés.
La couche 6 (la couche d’inférence des règles) : le seul nœud de cette couche calcule
la somme total des sorties de touts les signaux est égale à :
W i f i
W i f i (III.15)
i iW i
III.4.3. Les avantages des systèmes Neuro-flous :
Les systèmes Neuro-flous sont très rapides parce que l'évaluation d'un système compétent
implique typiquement des opérations de la comparaison simples et un nombre limite de
calculs.
III.4.3.2. La flexibilité :
Un système Neuro-flou peut traiter des problèmes complexes avec beaucoup de variables
àl’entrée. Au lieu d'adapter une architecture interne fixe, l'architecture d'un système neuro-
flou peut grandir dynamiquement et efficacement en réponse à la complexité des données
d’apprentissage.
La structure d'un système Neuro-floue représente efficacement le rapport entre les entrées
de votre problème et les sorties.
Page 50
Chapitre III Technique de commande de poursuite d’un système PV
X1 C1
X2 C2
Ce Modèle formé de 3 couches : une couche cachée formée par des règles, une couche
d’entrée incluant les nœuds d’entrées avec les sous-ensembles flous d’antécédences et une
couche de sortie avec un nœud de sortie et les sous-ensembles des conséquences.
Page 51
Chapitre III Technique de commande de poursuite d’un système PV
X S
L’élaboration des règles est similaire à l’architecture NEFCLASS, avec une différence en
sortie. Cette architecture est généralement utilisée en approximation de fonctions et en
contrôle flou Figure(III.16).
Ce Modèle est obtenu par l’association des deux architectures : NEFCLASS et NEFCON,
il est utilisé dans différentes applications comme la classification et l’approximation de
fonctions. Le NEFCLASS utilise un algorithme supervisé pour définir les règles floues, le
NEFCON utilise un algorithme d’apprentissage non supervisé avec le calcul de l’erreur de
sortie. Les deux modèles emploient la retro-propagation afin de définir les sous-ensembles
flous. Comparé au modèle ANFIS, NEFPROX figure (III.17) est beaucoup plus rapide, mais
ANFIS donne de meilleurs résultats en approximation. Le NEFPROX est le premier système
interprétable et lisible, dédié à l’approximation de fonction. Néanmoins, ses résultats en
classification reste moins bons que ceux donnés par le NEFCLASS.
Page 52
Chapitre III Technique de commande de poursuite d’un système PV
A1
X1
A2
Y
B1
X2
B2
ANFIS représente un système à inférence flou mis en application dans le cadre des
réseaux adaptatifs.Cette architecture (Figure III.18) affine les règles floues obtenues par des
experts humains pour décrire le comportement d'entrées-sortie d'un système complexe, ou est
implémenté dans la boite à outils « Neuro-Fuzzy » de MATLAB. Ce modèle donne de très
bons résultats en poursuite de trajectoire, approximation non linéaire, commande dynamique
et traitement du signal.
A1
II W1 N XY
A2
X Σ
B1 f
Y W1 N XY
B2
Figure(III.18): Architecture de l’ANFIS.
Page 53
Chapitre III Technique de commande de poursuite d’un système PV
III.5.Conclusion :
Page 54
Chapitre IV
IV.1. Introduction :
La simulation d'un générateur PV contrôlé par l’un des quatre méthodes est un modèle
d'un champ de 100 kW connecté à un réseau de 25 kV par l'intermédiaire d' un convertisseur
élévateur continu-continu et un convertisseur de tension triphasé à trois niveaux
(onduleur).maximum power point tracking ( MPPT ) est mis en œuvre dans le convertisseur
élévateur au moyen d'un modèle simulink, en utilisant dans le premier cas la technique
incrémental conductance, dans le deuxième cas la logique floue , le troisième cas le réseau de
neurone, le quatrième cas le réseau neuro-floue.
Le modèle contient :
- un champ PV délivrant un maximum de puissance de 100 kW à 1000 W / m2 des irradiations
solaire.
- un convertisseur boost augmente la tension de PV (273.5 VDC à la puissance maximale) à
500 VDC. Le rapport cyclique D est optimisé par le contrôleur MPPT
- un onduleur de 3 niveaux triphasés. Il convertit la tension 500 VCC en tension 260 VCA et
maintient l'unité du facteur de puissance (cosα=1).
- un bloc de commande VSC qui contrôle la tension VDC et les courants Id Iq.
- un bloc de commande MPPT
- 10 KVAR d'harmoniques produites par l'onduleur (filtrage par condensateurs).
- 100 kvas, 260V/25kV de transformateur triphasé de couplage.
- Un réseau de distribution de 25KV+ système de transmission équivalent de 120 kV).
Réseau
La source Convertisseur Convertisseur Filtrage
Électrique
PV DC-DC DC-AC
Page 55
Chapitre IV Description de système et simulation
Page 56
Chapitre IV Description de système et simulation
Régulateur VDC :
e FLC
de Idref
e=Vdcref-Vdcmes
de=e(k)-e(k-1)
NG : négative grande.
NM : négative moyen
NP : négative petite
Z : zéro
PP :positive petite
Page 57
Chapitre IV Description de système et simulation
E NG NM NP Z PP PM PG
de
NG PG PG PG PM PM PP Z
NM PG PM PM PM PP Z NP
NP PG PM PP PP Z NP NM
Z PM PM PP Z NP NM NM
PP PM PP Z NP NP NM NG
PM PP Z NP NM NM NM NG
PG Z NP NM NM NG NG NG
Régulateur de courant Id et Iq :
eq ed
FLC FLC
deq uq ded ud
ed=idref-idmes
ded=e(K)-e(K-1)
eq=iqref-iqmes
deq=e(K)-e(K-1)
Page 58
Chapitre IV Description de système et simulation
ed-eq NG NM Z PM PG
ded-
deq
NG NG PG NM NM Z
NM NG NM NM Z PM
Z NM NM Z PM PM
PM NM Z PM PM PG
PG Z PM PM PG PG
Nombre de couche 2 2
Page 59
Chapitre IV Description de système et simulation
Nombre de règles 3 9
IV.2.2.Régulateur MPPT :
e FLC
de dD
e=dp/dv
de=e(k)-e(k-1)
Page 60
Chapitre IV Description de système et simulation
DP NB NS ZE PS PB
DV
NB PS PB NB NB NS
NS PS PS NS NS NS
ZE ZE ZE ZE ZE ZE
PS NS NS PS PS PS
PB NS NB PB PB PS
Feed-forward backprop
Nombre de couche 2
Page 61
Chapitre IV Description de système et simulation
Performance 0.0000535
Nombre de règles 3
IV.3. Simulation :
Page 62
Chapitre IV Description de système et simulation
Irradiation
1000
900
800
700
Ir (w/m2)
600
500
400
300
200
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
300
298
Température (°K)
296
294
292
290
288
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
Après exécution du modèle IncCond et cela pour une durée de 3 secondes on observe les
séquences suivantes des événements sur les oscilloscopes.
De t = 0 s à t = 0.05 s, les convertisseurs Boost et l'onduleur sont bloqués. La tension
PV correspond à la tension du circuit ouvert Nser * Vco = 8*42.1 = 336 V, Le pont à
trois niveaux fonctionne comme un redresseur à diodes et les condensateurs sont
chargés de 500 V.
A t = 0.05 s, les convertisseurs boost et l'onduleur sont débloqués. la tension du court-
circuit est régulée à Vcc = 500V.
- Le rapport cyclique du convertisseur élévateur boost est fixé (D = 0.5), et les irradiations du
soleil sont réglées à 1000 W / m2. L'état d'équilibre est atteint à t = 0.25s.
- La tension résultante du PV est donc V_PV = (1 - D) * Vcc = (1-0.5) * 500 = 250 V.
Page 63
Chapitre IV Description de système et simulation
350
Vin PV (v)
300
250
200
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
Le courant de panneau avec la méthode IncCond
500
Iin PV (A)
-500
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
5 La puissance de Panneau avec la méthode IncCond
x 10
1.5
0.5
Pin PV (w)
-0.5
-1
-1.5
-2
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
0.8
0.7
0.6
la commande D
0.5
D 0.4
0.3
0.2
0.1
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
Page 64
Chapitre IV Description de système et simulation
4
x 10
2
1.5
0.5
-0.5
-1
-1.5
-2
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
4
x 10
2
Va-in
1.5 Vb-in
Vc-in
1
Va-in Vb-in Vc-in (v)
0.5
-0.5
-1
-1.5
-2
0 0.005 0.01 0.015 0.02 0.025 0.03 0.035 0.04 0.045 0.05
Temps (s)
5
Ia-in Ib-in Ic-in (A)
-5
-10
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
4
Ia-in
3 Ib-in
Ic-in
2
Ia-in Ib-in Ic-in (A)
-1
-2
-3
-4
2.95 2.955 2.96 2.965 2.97 2.975 2.98 2.985 2.99 2.995 3
Temps (s)
Page 65
Chapitre IV Description de système et simulation
On observe de la figure (IV.17) que la tension et le courant de réseau de la phase (a) dans
la ligne de 25 kV sont en phase (facteur de puissance de l'unité cosα=1).
x 10
4 La tension Va et le courant Ia avec la méthode IncCond
2
Va-in (v)
-2
2.95 2.955 2.96 2.965 2.97 2.975 2.98 2.985 2.99 2.995 3
5
I-in PV (A)
-5
2.95 2.955 2.96 2.965 2.97 2.975 2.98 2.985 2.99 2.995 3
Temps (s)
Figure (IV.17): La tension Va et le courant Ia.
150
100
La puissance Pa-in (kw)
50
-50
-100
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
80
60
40
20
0
0 5 10 15 20 25 30
Harmonic order
Page 66
Chapitre IV Description de système et simulation
350
300
Vf PV (v)
250
200
150
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
200
0
If PV (A)
-200
-400
-600
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
0.5
P-f PV (w)
-0.5
-1
-1.5
-2
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
Page 67
Chapitre IV Description de système et simulation
0.51
0.505
La commande D
0.5
0.495
D
0.49
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
Figure (IV.21) : Le rapport cyclique D.
4
x 10
2
Va-f
1.5 Vb-f
Vc-f
1
Va-f Vb-f Vc-f (v)
0.5
-0.5
-1
-1.5
-2
2.95 2.955 2.96 2.965 2.97 2.975 2.98 2.985 2.99 2.995 3
Temps (s)
4
x 10
2
1.5
1
Va-f Vb-f Vc-f (v)
0.5
-0.5
-1
-1.5
-2
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
Page 68
Chapitre IV Description de système et simulation
10
5
Ia-f Ib-f Ic-f (A)
-5
-10
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
4
Ia-f
3 Ib-f
Ic-f
2
Ia-f Ib-f Ic-f (A)
-1
-2
-3
-4
2.95 2.955 2.96 2.965 2.97 2.975 2.98 2.985 2.99 2.995 3
Temps (s)
-2
2.95 2.955 2.96 2.965 2.97 2.975 2.98 2.985 2.99 2.995 3
5
Ia-f (A)
-5
2.95 2.955 2.96 2.965 2.97 2.975 2.98 2.985 2.99 2.995 3
Temps (s)
Page 69
Chapitre IV Description de système et simulation
100
80
40
20
-20
-40
-60
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
80
60
40
20
0
0 5 10 15 20 25 30
Harmonic order
Page 70
Chapitre IV Description de système et simulation
350
Vnn PV (v)
300
250
200
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
200
Inn Pv (A)
-200
-400
-600
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
0.5
Pnn PV (w)
-0.5
-1
-1.5
-2
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
Page 71
Chapitre IV Description de système et simulation
0.51
0.5
D La commande D 0.49
0.48
0.47
0.46
0.45
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
Figure (IV.28) : Le rapport cyclique
4
x 10
2
1.5
1
Vann Vbnn Vcnn (v)
0.5
-0.5
-1
-1.5
-2
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
4
x 10
2
Vann
1.5 Vbnn
Vcnn
1
Vann Vbnn Vcnn (v)
0.5
-0.5
-1
-1.5
-2
2.95 2.955 2.96 2.965 2.97 2.975 2.98 2.985 2.99 2.995 3
Temps (s)
Page 72
Chapitre IV Description de système et simulation
10
5
Iann Ibnn Icnn (A)
-5
-10
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
4
Iann
3 Ibnn
Icnn
2
Iann Ibnn Icnn (A)
-1
-2
-3
-4
2.95 2.955 2.96 2.965 2.97 2.975 2.98 2.985 2.99 2.995 3
Temps (s)
x 10
4 La tension Vann et le courant Iann
2
Vann (v)
-2
2.95 2.955 2.96 2.965 2.97 2.975 2.98 2.985 2.99 2.995 3
5
Iann (A)
-5
2.95 2.955 2.96 2.965 2.97 2.975 2.98 2.985 2.99 2.995 3
Temps (s)
Figure (IV.31) : La tension Va et le courant Ia.
Page 73
Chapitre IV Description de système et simulation
150
50
-50
-100
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
80
60
40
20
0
0 5 10 15 20 25 30
Harmonic order
Page 74
Chapitre IV Description de système et simulation
La tension de panneau avec le réseau de Neuro-floue
400
350
V-nf PV (v)
300
250
200
150
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
Le courant de panneau avec le réseau de Neuro-floue
400
200
I-nf PV (A)
-200
-400
-600
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
0.5
P-nf PV (w)
-0.5
-1
-1.5
-2
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
Page 75
Chapitre IV Description de système et simulation
0.5
0.4
La commande D
0.3
D
0.2
0.1
0
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps(s)
1.5
1
Va-nf Vb-nf Vc-nf (v)
0.5
-0.5
-1
-1.5
-2
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
4
x 10
2
Va-nf
1.5 Vb-nf
Vc-nf
1
Va-nf Vb-nf Vc-nf (v)
0.5
-0.5
-1
-1.5
-2
2.95 2.955 2.96 2.965 2.97 2.975 2.98 2.985 2.99 2.995 3
Temps (s)
Page 76
Chapitre IV Description de système et simulation
10
5
Ia-nf Ib-nf Ic-nf (A)
-5
-10
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
4
Ia-nf
3 Ib-nf
Ic-nf
2
Ia-nf Ib-nf Ic-nf (A)
-1
-2
-3
-4
2.95 2.955 2.96 2.965 2.97 2.975 2.98 2.985 2.99 2.995 3
Temps (s)
-2
2.95 2.955 2.96 2.965 2.97 2.975 2.98 2.985 2.99 2.995 3
5
Ia-nf (A)
-5
2.95 2.955 2.96 2.965 2.97 2.975 2.98 2.985 2.99 2.995 3
Temps (s)
Figure (IV.38) : La tension Va et le courant Ia.
Page 77
Chapitre IV Description de système et simulation
150
100
La puissance Pa-nf (kw)
50
-50
-100
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3
Temps (s)
Figure (IV.39) : La puissance Pa.
Fundamental (60Hz) = 3.405 , THD= 1.78%
100
Mag (% of Fundamental)
80
60
40
20
0
0 5 10 15 20 25 30
Harmonic order
Les quatre modèles doivent être simulés dans des conditions quasiment similaires pour
pouvoir faire des comparaisons de performances des étages d’adaptation et en déduire s’il y a
amélioration des performances avec les déférentes techniques de commandes.
On fait la comparaison entre les quatre régulateurs au niveau de la puissance produite par
le système PV avec un changement d’irradiation G et de température T (stable, rapide et lent).
Page 78
Chapitre IV Description de système et simulation
100
Pa-f
90 Pa-nf
80 Pa-in
Pa-nn
70
60
Pa (kw)
50
40
30
20
10
0
0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5
Temps (s)
Figure (IV.42): Zoom1.a.
Page 79
Chapitre IV Description de système et simulation
100
Pa-f
Pa-nf
99.5
Pa-in
Pa-nn
99
Pa (kw)
98.5
98
97.5
97
96.5
0.5 0.52 0.54 0.56 0.58 0.6 0.62 0.64 0.66 0.68 0.7
Temps (s)
Figure (IV.43): Zoom1.b.
100
Pa-f
90 Pa-nf
Pa-in
80 Pa-nn
70
Pa (kw)
60
50
40
30
20
0.7 0.75 0.8 0.85 0.9 0.95 1 1.05 1.1 1.15 1.2
Temps (s)
Figure (IV.44): Zoom2.
26
Pa-f
Pa-nf
25
Pa-in
Pa-nn
24
Pa (kw)
23
22
21
20
19
1.2 1.25 1.3 1.35 1.4 1.45
Temps (s)
Figure (IV.45): Zoom3.
Page 80
Chapitre IV Description de système et simulation
106 Pa-f
Pa-nf
104 Pa-in
Pa-nn
102
100
Pa (kw)
98
96
94
92
90
2 2.05 2.1 2.15 2.2 2.25 2.3
Temps (s)
Figure (IV.46): Zoom4.a.
Pa-f
100 Pa-nf
Pa-in
Pa-nn
80
Pa (kw)
60
40
20
0
2.3 2.31 2.32 2.33 2.34 2.35 2.36
Temps (s)
Figure (IV.47): Zoom4.b.
101
Pa-f
Pa-nf
100 Pa-in
Pa-nn
99
Pa (kw)
98
97
96
95
2.75 2.8 2.85 2.9 2.95 3
Temps (s)
Figure (IV.48): Zoom5.
Page 81
Chapitre IV Description de système et simulation
D’après la figure (IV.42), il est claire que le régulateur par la logique flou est le plus
rapide (avec un temps de réponse égale à 0.12s), suivie par le réseau de neurone (avec
un temps de réponse égale à 0.41s), ensuite le neuro-floue (avec un temps de réponse
égale à 0.46s), puis la technique IncCond (avec 0.46s)
D’après la figure (IV.43), L’erreur statique qui présenté par le régulateur neuronal
et « INC », est important mais la logique floue et le neuro-floue il est presque nulle.
A partir de la figure (IV.44), lorsque la diminution lente de l’irradiation G (de G=1000
jusqu’à 250W/m2 )et la température T (à T=25°C jusqu’à15°C) entre[0.7s-1.2s] Nous
remarquons que la commande MPPT floue suit rapidement le PPM suivie par Neuro-
floue et (INC). Puis le réseau de neurone avec une réponse lente.
Page 82
Chapitre IV Description de système et simulation
IV.5.Conclusion :
Dans ce chapitre, nous avons simulé les quatre régulateurs MPPT (IncCond, logique
floue, réseau de neurone et Neuro-floue), avec des régulateurs de commande de l’onduleur
(PI, et les autres intelligences artificielles).
Les résultats des simulations montrent que l’algorithme ‘INC’ donne des bonne
résultats au niveau de la puissance délivrée mais avec une erreur de poursuite importante et
une valeur max de THD. Par contre les commandes basées sur l’intelligence artificielles
montre un bon comportement et des meilleures performances par rapport à la méthode
classique.
La commande neuro-floue donne une minimisation d’harmonique suivi par la logique floue,
réseau de neurone et l’algorithme IncCond.
Page 83
Conclusion générale
Conclusion générale
Dans un premier temps, on a donné des généralités sur les systèmes PV, principe de
l’effet PV, cellule PV. Ainsi le générateur photovoltaïque et leurs performances
Page 84
[1] F. Chekired, « etude et implémentation d'une commande mppt neuro-floue sur FPGA»,
mémoire de magister, ecole nationale polytechnique, Alger, Algérie, 2008.
[2]http://tepeenergiephotovoltaique.e-monsite.com/pages/la-cellule-photovoltaique/principe-
de-la-cellule-photovoltaique.html, en ligne 24/01/2018.