Microéconomie 2
Microéconomie 2
Microéconomie 2
Élasticité désigne la sensibilité il y a plusieurs sorte d’élasticité celle qui nous importe
c sensibilité de la demande par rapport au prix.
Excédent budgétaire : lorsque les revenus de l’État sont supérieurs aux dépenses de l’État
Déficit budgétaire : lorsque les revenus sont inférieurs aux dépenses
Sur marché concurrentiels : incidence fiscale ainsi que l’équilibre du marché demeurent les
même , peu importe si la taxe est imposée aux conso ou aux producteurs.
La perte sèche augmente avec l’élasticité, car Prod ou conso réagissent plus fortement a
l’augmentation du prix due à la taxe. Donc plus de perte de transaction (moins d’achat ou de
vente) => hausse perte sèche.
La réglementation
2 types de règlementations :
- Règlementation directe (ou contraignante) : mesure que prennent les administrations
publiques pour réguler une activité.
- Contrôle des prix
- Prix plafond : prix règlemente au-delà duquel il est illégal de vendre un bien ou un service
- Prix plancher : prix règlementé en dessous duquel il est illégal de vendre un bien/service.
Notions clés
Les 3 principaux facteurs de production sont :
- Travail
- Capital physique et la terre
Les entp déterminent leur demande de main d’œuvre en évaluant la productivité
marginale.
Pour connaitre offre de travail faut analyser le compromis entre valeur marginale du
travail (salaire) et le cout marginal du travail (valeur du temps de repos perdu)
Inégalité salariale peuvent résulter de différences sur le plan du K humain, primes
salariales compensatoire et de la discrimination
Pour atteindre leurs objectifs de production , les producteurs doivent calculer la
demande de K physique et de terre.
Maximisation du profit
Quantité à produire(choisir quantité de production) => RM = Cm
Employés à engager ( choisir quantité de mains d’œuvre)
PmL* prix = salaire et Salaire = VPmL
Cout marginal, prix = Salaire / PmL
PmL = variation de la production total / variation du nombre de travailleur
Quand le prix des biens ou services produits par une entreprise augmente,
l'entreprise a plus de revenus et peut donc augmenter la demande de travail, car
chaque travailleur contribue à la production d'un produit plus cher, ce qui rend leur
travail plus "valable" financièrement pour l'entreprise.
- Différence sur le plan des primes salariales compensatoires : avantage salarial qui vise
à attirer des travailleurs vers des professions autrement peu attrayantes, que des gens
ne feront pas spontanément ou métier à risque comme la construction.
Les primes salariales ne concernent pas seulement les métiers difficiles ou peu attrayants,
elles peuvent aussi être la raison pour laquelle deux personnes faisant le même
travail peuvent être payées différemment, en fonction des conditions particulières
auxquelles elles sont confrontées (comme travailler dans un endroit cher ou avec des risques
accrus).
Ex : Un hôpital en région isolée offre une prime salariale compensatoire aux médecins pour
les inciter à travailler malgré les conditions de vie difficiles et l'isolement géographique
Notion clés
Discrimination par les prix : Le monopoleur fixe un prix différent pour chaque
consommateur selon ce qu’il est prêt à payer, ce qui permet de maximiser les échanges et
d’éliminer la perte sèche. Ex : Un avocat ou un médecin pourrait facturer chaque client
différemment en fonction de ses revenus. Par exemple, un client riche paie 200 €, tandis
qu’un client avec moins de moyens paie 50 €. Cela maximise les profits et permet à tous
d’accéder au service.
Vocabulaire
Décideurs de prix : producteurs peuvent fixer le prix d’un bien => car a une position
dominante sur le marché soit un pouvoir de marché
Pouvoir de marché : capacité des producteurs à influer sur les prix
Monopole : marché formé d’une seule entp, laquelle produit un bien ou un service n’ayant
aucun substitut proche.
Économies d’échelles :
Monopole naturel : structure de marché dans laquelle une entp peut à elle seule
produire un bien/service a un cout inferieur à ce que feraient de entp ou plus, cad
peut avoir un niveau de production a un cout plus bas que le pourraient plsr entp
ensemble. Ex : entp qui distribuent le gaz naturel et l’électricité.
Monopoleur peut augmenter son prix sans perdre tous ses clients, même s’il est puissant, il
ne peut pas vendre son produit à un prix qui se trouve au-dessus de la courbe de demande.
LES COURBES DE RECETTE ( recette c’est le montant que lui rapporte la vente de ses
produits)
Prix plus élevé apporte à une entreprise une recette plus élevée par produits vendu
mais il vend moins de produits.
Effet quantité : un prix plus bas permet de vendre plus de quantité. Permet augmentation de
la recette, obtenue grâce à l’augmentation de la quantité vendue. Pour savoir de combien la
recette a augmenté ont fait le calcul du rectangle donc base * hauteur.
Effet prix : personnes qui achetaient le produit à l’ancien prix qui était plus élevé donc il y a
une perte de recette
Résultat :
Si l'effet prix est plus fort, la recette totale augmente (le prix élevé compense la
baisse des ventes).
Si l'effet quantité est plus fort, la recette totale diminue (on perd trop de clients).
Profit maximal : Rm = Cm
Monopoleurs sont des fixeurs de prix ou des décideurs de prix
Dans un monopole, le prix établi est supérieur au cout marginal alors que dans une entp
parfaitement concurrentielle le prix = au Cm
Profit = Recette totale — cout total (Rm donc le profit par unité)
= (PxQ)—(CTM x Q)
= Q* (P-CTM)
CTM = CT / Q
Monopole pas de courbe d’offre car n’est pas un preneur de prix, il est un décideur de prix.
Relation prix/quantité n’existe pas
Principe de la main invisible : même dans des marchés composés uniquement de personnes
qui ne se préoccupent que de leurs propres intérêts, le bien être global de la société est
maximisé
Discrimination par les prix : vendre un même bien ou un même service à un prix diffèrent à
différentes personnes. Ex : prix au kilo plus faible que prendre des petites quantité (course
alimentaire ).
Premier degré (parfaite) : une entreprise, à vendre ses produits à chaque acheteur au
prix qui correspond exactement à sa disposition à payer.
=> l’entreprise peut toucher bcp plus de client, il y a plus aucune perte sèche
Deuxième degrés : procédé qui consiste à̀ faire varier le prix selon les caractéristiques
des achats des consommateurs.
Exemples : quand les compagnies vendent plusieurs unités en bloc à un prix plus bas
qu’annoncé : chambres d’hôtel à la dernière minute, billet d’avion (chers ou pas chers en
fonction des jours/mois), Les boulangeries vendent une douzaine de beignets 7 $, mais deux
beignets
1,50 $.
Différence entre premier et deuxième degrés : 3eme c une certaine catégorie de personne
alors que premier cela ce fait de manière individuel
Politique antitrust
Politique qui vise principalement à prévenir l’émergence de prix non concurrentiels et à
éviter qu’un pouvoir de marché trop important engendre de trop faibles quantités produits
et des pertes sèches. Le but est se garder les marchés ouvert et concurrentiels.
Prix égal au coût marginal (Cm) : L'idée ici est de fixer le prix du produit au niveau où le coût
de produire une unité supplémentaire est égal au prix de vente. Ce prix maximise le surplus
social (le bien-être total de la société). Cependant, si le coût marginal est inférieur au coût
total moyen (CTM), l'entreprise perd de l'argent à produire, car le revenu total ne couvre pas
le coût total. Cela peut entraîner une perte économique, et l'entreprise pourrait être incitée
à quitter le marché.
Tarification selon le taux de rendement équitable
Prix = cout total moyen
Lorsqu'on fixe le prix au coût total moyen (CTM), cela signifie que le monopole doit vendre
son produit à un prix qui couvre l'ensemble de ses coûts de production (y compris les coûts
fixes et variables). Cela permet à l'entreprise de ne pas subir de pertes économiques et de
rester sur le marché, car elle gagne juste assez pour couvrir ses coûts, sans réaliser de profit.
Notions clés :
Stratégie dominante : meilleure réponse d’un jouer à toute les stratégies possible des autres
joueurs
Notions clés :
- les deux structures de marché situées entre la concurrence parfaite et le monopole sont
l’oligopole et la concurrence monopolistique.
- Dans ces deux types de marchés, chaque vendeurs doit reconnaitre et évaluer les
actions de ses concurrents
- Dans le cas des oligopoles, le profit économique à long terme peut être positif.
- Dans les marchés caractérises par une concurrence monopolistique, les entrées et les
sorties d’entreprises font converger le profit économique vers 0 à long terme
- Plusieurs variable clé détermine le degré de concurrence sur un marché
Produits différencies
Produits qui sont similaires, sans entre des substituts parfaits.
Ex : Les marques de smartphones (iPhone vs Samsung) : Bien que ces produits soient
similaires en tant que téléphones, ils ont des caractéristiques, des designs et des systèmes
d'exploitation différents. Ils ne sont donc pas des substituts parfaits, car les consommateurs
pourraient préférer l'un par rapport à l'autre pour des raisons spécifiques (comme la marque,
les fonctionnalités, le design, etc.).
Le café́ et les spécialités gourmandes sont des exemples typiques de produits différencies,
qui sont des produits similaires sans être des substituts parfaits.
Produits homogènes
Produits identiques, donc des substituts parfaits.
Ex : Le sel de table : Peu importe la marque, le sel est identique et interchangeable entre
différents fournisseurs. Les consommateurs ne voient pas de différence significative entre les
produits, ce qui les rend des substituts parfaits
Les fèves de soja cultivées par différents fermiers sont des substituts parfaits;
II. L’oligopole
Les oligopoles peuvent vendre des produits homogènes ou des produits différencies.
Exemples :
Produits homogènes
• Acier
Essence
Pétrole
Produits différencies
• Céréales
• Voitures
• Savon
• Cigarettes
LE PROBLEME DE L’OLIGOPOLEUR
Duopole
Marché où seulement deux entreprises se font concurrence.
La demande résiduelle est la part de la demande totale du marché qui reste pour une
entreprise après que les autres entreprises ont satisfait une partie de cette demande.
Autrement dit, c'est la demande qui est « résiduelle » pour une entreprise donnée,
une fois que les concurrents ont pris leur part du marché.
2. Pourquoi est-elle importante ?
Pour une entreprise, la demande résiduelle est essentielle car elle montre combien
de clients elle peut attirer en fonction de ses propres prix et des prix fixés par ses
concurrents.
L'entreprise utilise cette courbe pour décider de son prix et de sa production, car elle
doit tenir compte de l'influence des autres entreprises sur la demande globale
L'entreprise utilise la demande résiduelle pour décider de son prix. Si elle veut attirer
plus de clients, elle peut baisser ses prix pour capter une plus grande part de la
demande résiduelle.
Relation avec la concurrence : Plus les autres entreprises augmentent leurs prix, plus
la demande résiduelle pour une entreprise peut augmenter, car les consommateurs se
tournent vers elle pour des prix plus bas.
OPTIMISATION
Cette guerre des prix a-t-elle une fin? En d'autres mots, quel est l'équilibre de Nash? u
En examinant cet exemple jusqu'à̀ la fin, vous constaterez quela baisse de prix va se pour-
suivre jusqu'au moment où̀ le seul équilibre de Nash est atteint: les deux entreprises
demandent un prix égal au cout marginal, soit 30 $la visite, donc P,« = Ppp = Cm = 30$ est
l'unique équilibre de Nash. À cet équilibre, chacune des deux entreprises finit par vendre
ses services à la moitié des consommateurs sur le marché́ et, puisque chacune venda son | 14.3
cout marginal, le profit économique est nul.
Pour s'assurer qu'il s'agit d’un équilibre de Nash, il faut vérifier s’il existe d'autres stra-
tégies que ces deux entreprises peuvent adopter afin de réaliser un profit économique. C'est la
défini- tion même de l'équilibre de Nash. (Pour confirmer que c'est le seul équilibre de Nash
possible, il faut reprendre le raisonnement énoncé ci-dessus, qui montre qu'aucune autre
combinaison de prix ne peut donner un équilibre de Nash.)
Si les produits sont différenciés, la demande ne sera pas « tout ou rien ». Les firmes peuvent
monter les prix et ne pas perdre toutes leurs ventes parce que la différenciation crée des
préférences chez les consommateurs.
Pepsi et Coca-Cola, dans leur stratégie de fixation des prix, doivent anticiper les réactions de
l'autre entreprise. Chaque entreprise évalue la demande pour ses produits en tenant compte
des différentes stratégies de prix que pourrait adopter son concurrent. En d'autres termes,
Pepsi doit se mettre à la place de Coca-Cola pour prédire comment son propre choix de prix
influencera la stratégie de fixation des prix de Coca-Cola, et vice versa. L'objectif pour
chaque entreprise est de trouver le prix optimal en fonction des décisions possibles de l'autre.
L'équilibre entre Pepsi et Coca-Cola est atteint lorsque chacune des deux choisit la stratégie
qui maximise son profit, en réponse à celle de l'autre. Cet équilibre est un exemple de
l'équilibre de Nash, où aucune des entreprises n'a intérêt à changer sa stratégie tant que
l'autre ne change pas la sienne.
Oligopole : Un marché avec quelques entreprises influençant les prix.
Collusion : Il y a collusion lorsque des entreprises rivales concluent des ententes dans le
secret en vue de fixer les prix ou de déterminer les quantités à produire au lieu de permettre
au libre marché de le faire.
Pour les deux entreprises, la collusion est plus avantageuse que la concurrence. Dans un
duopole, même si les entreprises peuvent se mettre d'accord sur les prix, elles peuvent être
tentées de trahir cet accord pour maximiser leur profit, en baissant secrètement leurs prix.
Cela rend la collusion difficile à maintenir. De plus, les ententes secrètes pour fixer les prix
sont illégales et peuvent entraîner des sanctions sévères, ce qui dissuade les entreprises de
s'engager dans des pratiques collusoires.
Le bris de la collusion Bien qu'en principe la collusion semble facile — «fixons ensemble un
prix élevé́ et gagnons beaucoup d'argent» est difficile à̀ réaliser en pratique. La théorie des
jeux peut expliquer la difficulté́: chaque entreprise est tentée de tricher. Même si les deux
producteurs se sont entendus, ils préfèrent tricher plutôt que de respecter l'entente.
Courbe de demande plus élastique entraine une majoration plus faible du prix par rapport
au cout marginal cad marge du profit plus faible. Chaque nouvelle entrée déplace encore
plus vers la gauche la courbe de demande résiduelle et la rend plus élastique.
A long terme, les entrées poussent le profit économique a la baisse et ce jusqu’à ce qu’il soit
nul, les entp en concurrence monopolistique sont incitées à se distinguer continuellement de
leurs rivales. Marché constamment en mouvement.
Position dominante sur le marché peut entraver l’action de la main invisible. Monopoleur ou
une entreprise qui possède une grande part d’un marché peut établir un prix supérieur au
cout marginal => diminue les ventes et par conséquence le surplus social (surplus conso et
surplus producteur) c’est aussi le cas de l’oligopole.
Quand il y a du profit : De nouvelles entreprises entrent sur le marché pour profiter de ces
gains. Cela augmente la concurrence, réduit les prix et finit par faire disparaître les profits.
Cependant, la main invisible n'est pas totalement efficace dans ce contexte. En concurrence
monopolistique, le surplus collectif (bien-être total de la société) n'est pas maximisé, car les
entreprises ne produisent pas à un coût minimal et les consommateurs ne bénéficient pas de
prix aussi bas qu'en concurrence parfaite. La principale différence entre un secteur
parfaitement concurrentiel et un secteur en concurrence monopolistique est que, dans ce
dernier les quantités sont restreintes de sorte que les prix sont plus élevés.
Chaque entreprise a un certain pouvoir de marché, car ses produits sont différenciés.
Elle fixe donc son prix au-dessus du coût marginal, pour dégager une marge de profit.
Cela entraîne une perte sèche : moins de biens sont produits que ce qui serait
optimal pour la société, et les consommateurs paient un prix plus élevé.
Donc pour les entp en concurrence monopolistique : production se situe en dessous d’un
Notions clés :
- L’intérêt est le paiement reçu pour renoncer à l’utilisation de son argent pendant un
certain temps
- Les économistes ont élaboré des outils pour calculer la valeur actualisée des
paiements reçus à divers moment dans le futur
- Les économistes ont élaboré des outils pour calculer la valeur des paiements à
risques.
Exemple :
Principal = 100euros intérêt = i * 100
Équation de la valeur future (l’intérêt composé) => permet de calculer la valeur future d’un
investissement qui offre un taux d’intérêt i lorsque tous les paiements d’intérêts sont
capitalisés jusqu’à la fin de la période de l’année T.
Valeur capitalisée = principal * (1+i) puissance T
B. Emprunter ou prêter
Rappel :
Recoit des intérêts d’une banque quand on dépose de l’argent. Par contre , on paye des
intérêts à la banques lorsqu’on emprunte => dépenser aujourd’hui un revenu futur.
Intérêt sur un dépôt et intérêt sur un prêt fonctionnent pareil. Dans le cas d’un dépôt lorsque
vous retirez de l’argent avec les intérêts après T ans, vous recevez :
Dans le cas d’un emprunt, lorsque vous le remboursez avec les intérêts après T ans vous
payez :
(1+i) puissance T * emprunt
A savoir : taux d’intérêt sur les emprunts est plus élevés que le taux d’intérêt sur les dépôts.
C. Valeur actuelle et actualisation
Pour comparer ces deux projets, il faut vous poser la question suivante: «Si j'opte pour
l'investissement qui m'assure un rendement de 5%, de combien d'argent dois-je disposer
aujourd'hui pour obtenir 20 000 $ dans 20 ans?» On peut mettre cette question en équation
comme nous l'avons fait jusqu’ici dans le chapitre:
(1 + 0,05)2 * x $ = 20 000 $
Dans cette équation, x $ est la somme que vous devriez avoir maintenant pour disposer de
20 000 $ dans 20 ans, si cet investissement vous assure un rendement annuel de 5%. Pour
Trouver, on divise les deux membres de l'équation par (1 + 0,05) puissance 20, ce qui donne:
La variable X est la variable actuelle : valeur actualisée d’une somme future donnée.
Valeur actuelle nette : valeur actuelle des gains d’un projet - la valeurs actuelle des couts.
la valeur actuelle nette est négative, donc faut rejeter le projet et quand c’est positif garder
le projet.
Risque = il y a un risque lorsqu’on ne connait pas avec certitude l’issue d’une action future.
Probabilité : fréquence à laquelle un évènement se produit
Valeur espérée : moyenne de tous les gains possible pondérée par la probabilité qu’il se
matérialisent. Pondérée selon leur probabilité d’occurrence.
On peut calculer ce gain moyen en multipliant la probabilité́ de chaque résultat possible par
le montant en dollars de chaque résultat. Voici comment:
(Probabilité́ du 64 x 100 $) + (Probabilité́ du 15 x —200 $) + (Probabilité́ de tous les autres
numéros x 0 $)
=[1/100* 100 )+[1/100 * —200]
=1$-2$
=-1$
Garantie prolongée
Vous achetez un téléviseur de 300 $ qui inclut une année de garantie. Vous pouvez acheter
une garantie prolongée de deux années supplémentaires pour 75 $.
Aversion pour la perte : attitude des gens qui psychologiquement accordent un poids plus
important aux pertes qu’aux gains.
Notion clés :
- Sur de nombreux marchés, les acheteurs et les vendeurs ne disposent pas de mêmes
informations, ce qui peut conduire à de l’inefficacité sur ces marchés
- L’asymétrie d’information peut concerner des caractéristiques cachées ou des actions
cachées
- Quand l’asymétrie concerne des caractéristique cachées, des agents économique
peuvent se servir de l’information privée qu’ils détiennent pour décider s’il est bien
ou non de participer à une transaction ou d’intervenir sur un marché : sélection
adverse
- Dans le cas des actions cachées, un agent économique peut agir d’une manière qui
cause un tort à un autre agent économique, ce qui peut créer un aléa moral.
- Les pouvoirs publics et le secteur privé ont trouvé des moyens de réduire l’effet de la
sélection adverse et de l’aléa moral.
I. L’asymétrie d’information
Asymétrie d’information : différence dans les informations détenues par les vendeurs et les
acheteurs
Actions cachées : actions entreprises par une des parties, et que l’autre partie aurait intérêt a
connaitre, mais qu’elle ne peut pas constater.
L'asymétrie d'information se produit quand une partie (par exemple, un vendeur) sait
quelque chose que l'autre (l'acheteur) ne sait pas.
- Cette définition veut dire que dans un marché, une situation de sélection adverse se
produit lorsque quelqu'un (un agent économique) a des informations que les autres
n'ont pas sur un produit ou un service avant de décider de l'acheter ou non. Par
exemple, si un vendeur sait que la voiture qu'il vend est en mauvais état, mais que
l'acheteur ne le sait pas, le vendeur pourrait être plus enclin à vendre la voiture.
L'acheteur, ne connaissant pas cette information cachée, pourrait faire un mauvais
choix en achetant un bien de mauvaise qualité. La sélection adverse entraîne donc
des déséquilibres sur le marché.
Deuxième types d’asymétrie d’information concerne les actions cachées entreprise par une
des parties, et que l’autre partie aurait intérêt à connaitre mais qu’elle ne peut pas constater.
Aléa moral : Qnd les actions cachées d’un agent économique ont une incidence sur les gains
d’un autre agent éco. En gros les gens tendent à prendre plus de risque s’ils n’ont pas à
assumer les conséquences de leurs comportements.
Le « salaire efficace » est un salaire supérieur au salaire le plus bas qu’un travailleur serait
prêt à accepter à accepter, les employeurs l’utilisent pour accroitre la motivation et la
productivité de leur personnel.
1.Franchise : est la part du dommage que l’assuré paie de sa poche, l’assureur l’incite à
prendre des mesures pour réduire la probabilité des réclamations
2.Quote-part : c’est le montant que le souscripteur doit verser chaque fois qu’il présente une
demande d’indemnisation ( souvent en assurance santé)
3. Coassurance : la responsabilité du paiement des indemnisations est partagée entre le
souscripteur et l’assureur selon un barème préétabli.
Le fond du problème vient des caractéristiques cachées : les personnes qui prennent une
assurance maladie disposent de plus d’information sur leur etat de santé et sur les futures
dépenses médicale que les assureur devront assumer. Une conséquence importante de
cette caractéristiques caché est que même si tout le monde veut s’assurer et accepte de
payer plus cher pour une prime d’assurance, le marché ne pourra pas nécessairement offrir
une assurance universelle. État intervient pour essayer d’éliminer les effets de l’asymétrie
d’information.
L’aléa morale pouvant inciter les citoyens à moins se préoccuper de leur santé maintenant
qu’il avait l’assurance.
RÉSUMÉ
=> Un grand nombre de marchés réels sont caractérisés par l'asymétrie d'information à cause
de la différence entre les informations dont disposent les acheteurs et celles dont disposent
les vendeurs.
=>Bien que le marché́ ait trouvé des moyens pour composer avec l'asymétrie d'information
— comme les garanties, les franchises, la certification et les salaires efficaces —,
l’intervention de l'État peut être utile pour limiter l'inefficacité due à̀ l'asymétrie
d'information.
Notion clés :
- Bon nombre de nos préférences vont au-delà de notre propre richesse matérielle
- La bienfaisance, l’équité, la confiance, les représailles et le besoin de se comporter
selon les attentes d’autrui sont quelques exemples de telles préférences
- On peut utiliser les outils économiques pour comprendre à quel moment ces
préférences joueront un rôle important
- Les économistes ont constaté que certains comportements altruistes sont plus
fréquents lorsque leur cout d’opportunité est faible
A. L’économie de la bienfaisance
Deux types de raisons motivent les gens à faire des dons de bienfaisance : le désir d’aider les
autres et le désir de s’aider soi-même.
La seule motivation de l’altruisme pur est d’aider les autres. Cependant, les gens font aussi
des dons de bienfaisance pour s’aider eux même de manière indirecte. Ce type de don est
motivé par l’égoïsme => altruisme impur, on donne prcq la générosité est récompensée par
un quelconque avantage personnel ( des facteurs peuvent inciter les gens à faire des dons
comme le prestige sociale, la culpabilité etc...
B. L’économie de l’équité
Désir d’équité : est le consentement à sacrifier son propre bien être pour améliorer le bien-
être d’autrui ou pour punir ceux qui ont un comportement inéquitable.
En réalité, le désir d’équite est le principal facteur explicatif de la façon dont les gens
jouent au jeu de l’ultimatum.
Beaucoup de gens sont prêts à payer un prix peu élevé pour punir les personnes qui
se montrent injustes ou inéquitables, mais les considérations d'équité perdent de
leur importance à mesure que le coût du comportement équitable s'accroît.
Nos préférences :
- Elles peuvent être considérées comme innées
- Venir de la socialisation
- De l’endoctrinement : processus par lequel certains agents cherchent à inculquer à la
société leur idéologie ou leur opinion
En résumé :
Agents économiques n’accordent pas que de l’importance aux biens matériels. Ils peuvent
aussi privilégier la bienfaisance, l’équité mais aussi la vengeance et l’influence des pairs.