TP 1 2
TP 1 2
TP 1 2
Joudy Jafo
Wissal EL MAHFOUDI
TP MATÉRIAUX
SÉANCE 1
Le rapport Ciment/Eau (C/E) dans le béton peut être calculé à l'aide de la formule de
Bolomey, exprimée comme suit :
fc28=δσc28(C/E−0,5)
C/E=32/0,5*52,5+0,5= 1,72
mc=350 kg
Pour déterminer la quantité d’eau, nous utilisons la relation me= mc/(C/E)= 203 kg
Conclusion :
Pour 1 m³ de béton, les masses nécessaires sont :
● Ciment : 350 kg
● Eau : 203 kg
Un module de finesse de 2,64 est dans la plage typique pour les sables utilisés en
construction entre 2,2 et 3,2. Cela indique une bonne répartition des tailles de grains,
rendant ce sable adapté à la fabrication de béton.
Préparation du mortier :
Dans la deuxième partie du TP, nous avons fabriqué des éprouvettes de mortier normalisé
en suivant un protocole rigoureux inspiré des méthodes employées pour le béton. Trois
séries de dimensions 4 × 4 × 16 cm ont été réalisées, en utilisant 1,350 kg de sable, 450 g
de ciment et 250 g d’eau.
Par la suite nous avons laissé les éprouvettes une quinzaine de jours en chambre humide .
Cette adaptation, bien que non standard, a permis d’appréhender les contraintes pratiques
des essais.
3. Gâchée de béton : après avoir calculé toutes les valeurs nécessaires, nous allons peser
et mettre les matériaux dans le malaxeur dans l'ordre suivant : gravier, ciment, sable. Au
bout de 2 minutes nous avons rajouté de l'eau puis continué le malaxage pendant 5 minutes.
Après avoir contrôlé l'affaissement nous avons procéder au coulage du béton sur nos
éprouvettes cylindriques et cubiques pour les utiliser lors de la deuxième séance.
SEANCE 2
Le temps de repos du béton a été de 14 jours ce qui est bien inférieur au temps de repos qui
doit être de 28 jours (nous prendrons bien ce détail en compte lors des essais)
Les essais sont réalisés sur deux éprouvettes cylindriques dont les faces de l'éprouvette en
contact avec les plateaux de la presse ont été rectifiés pour éliminer les défauts ceci dont le
but de trouver la contrainte de compression
Après avoir nettoyer les plateaux nous avons placer l'éprouvette au centre en s'assurant que
la vitesse de chargement soit constante et égale à 0.5mPa/s avec une tolérance de plus de
au moins 0.2 mPa/s
Au moment de la rupture le cadrant nous indique 650 kn
σ=F/S
σ=650/ (π × 64)
σ=32.32MPa
L'expérience consiste à appliquer une force de compression pour pouvoir par la suite
déterminer la contrainte de compression.
L'essai de compression est une méthode standard pour évaluer la résistance des matériaux
de construction comme le béton. Les fissures illustrent la manière dont le matériau réagit
aux contraintes, avec une rupture typique due à une charge excessive.
La presse applique une force verticale pour mesurer la résistance mécanique du béton. Le
dispositif semble être équipé d'une plaque métallique supérieure pour répartir uniformément
la charge.
On remarque que L'échantillon montre des fissures visibles et un éclatement partiel,
indiquant qu'il a atteint sa limite de résistance à la compression.
σ=F/S
σ=750/(15×15)
σ=33.33MPa
La contrainte en compression du cylindre est légèrement inférieure à celle du cube, ce qui
s'explique par des effets de bord. En effet, l'élancement plus faible du cube, combiné à un
volume plus important, engendre une répartition différente des contraintes, provoquant ce
décalage.
Cet essai consiste à écraser un cylindre en béton entre deux plaques opposées ceci
permettant de déterminer la résistance en traction
σ(max)=230 KN
On peut voir sur la coupe du béton que le centre du cylindre est plus foncé que l'extérieur ce
qui résulte du temps de séchage inférieur à 28 jours il est encore bien humide. Si notre
béton avait été complètement sec nous aurions pu avoir une meilleure résistance.
On peut également bien voir avec les valeurs que le béton est plus fort en compression
qu'en traction.
L’expérience consiste à faire un essai de flexion sur une éprouvette prismatique 4x4x16 cm
permet de vérifier si un matériau, comme du béton ou du mortier, peut bien résister lorsqu’on
essaie de le plier.
Le principe consiste à placer l’éprouvette de mortier sur deux supports à ses extrémités, et
on exerce une pression au milieu avec une machine. Cette pression augmente
progressivement jusqu’à ce que l’éprouvette casse. Cela permet de mesurer la force
maximale qu’elle peut supporter avant de se briser.
Nous obtenons par la suite deux morceaux de mortier nous allons effectuer des essais de
compression sur ces deux morceaux en appliquant une force F jusqu’à avoir une rupture de
ces demi-éprouvettes.
σt=66,9 MPa
Conclusion: