cours RAFFINAGE
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cours RAFFINAGE
hydrocarboné, noir plus léger que l’eau ;pour être utilisable doit subir une séries de
traitement divers.
Le raffinage du pétrole désigne l’ensemble de traitement et de transformation visant à tirer le
maximum de produits à haut valeur commercial.
La construction d’une raffinerie est dépend de :
1. l’objectif visé et l’endroit ou se trouve la raffinerie.
2. la nature des brutes traité(BTS,HTS, naphténique ou aromatique).
3. les besoins potentiels locaux.
compositions %
Carbone 84-87
Hydrogène 11-14
Soufre 0,4-6
Azote 0,1-1,5
Oxygène 0,1-0,5
métaux 0,05-0,015
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25-37 moyen
10-25 lourd
Cette classification est utilisé mondialement d’où la fixation du prix du baril.
b. Classification chimique :
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Américain Paraffino-naphténique 28,5 0,37
PB Mexicain Paraffino-naphténique 14 4,3
PB arabe léger 34,5 1,7
PB koweitien Paraffino-naphténique 31,5 2,6
PB vynizwilla Naphténo-asphaltique 24
PB Algérien Paraffino-paraffinique 45 0,11
PB libyen Paraffino-paraffinique 37 4,3
Facteu
r de caractérisation :
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Kuop=1,216 √ T(°K) ∕ Sp 60/60
3
K : facteur de caractérisation
K : représente de connaître la nature chimique des fractions pétrolières connaissant deux
paramètres : densité et point d’ébullition normale. On peut déterminer la nature
chimique ;paraffinique, naphténique et aromatique pour cela il existe un graphe qui
représente la densité et les point d’ébullition des paraffines purs et des isoparaffines purs et
des naphtènes purs et des aromatiques purs.
γ =G/V
ρ= m/v
/
Densité relative : poids d’ volume de produit à 20°C poids de même volume d’eau
à 4°C .
Spécifie gravity : utilisée dans les payé anglo-saxonne.
/
Spécifie gravity = poids d’un volume de produit à 60°C poids de même volume d’eau à
4°C
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141,5
d4 20 = d 4t+ K( t – 20)
Tr =T÷Tcr Pr = P ÷ Pcr
1. un apport de chaleur :
augmenter la température.
Changement de phase.
Vaporisation pour liquide.
Fusion pour un solide.
2. retrait de chaleur :
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diminution de la température.
Changement d’état physique.
Condensation pour vapeur.
Solidification pour liquide.
Chaleur spécifique : (C) la quantité de chaleur qu’il faut fournir à l’unité de poids pour
élever sa température 1°C Kcal/kg °c.
A l état liquide la chaleur spécifique est une fonction linéaire de la température et dépend de
la nature chimique des produits.
La chaleur latente de vaporisation : la quantité de chaleur qu’il faut fournir à l’unité de
poids ou à une molécule pour la transformer en vapeur.
Pour les hydrocarbures purs cette transformation s’effectue à température et à pression
constante ;pour les mélanges il y a deux cas :
1. soit P constante et T varie.
2. soit T constante et P varie.
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produits ne s’enflamme Limite Ne s’enflamme pas
pas d’explosivité
Hydrogène 4,0 4,1 _ 74,2 74,3
Méthane 5,1 5,3 _ 13,9 14,0
Acétylène 2,3 2,5 _ 80,0 82,0
Ethylène 3,0 3,02 _ 34,0 34,2
Ethane 3,0 3,12 _ 15,0 15,2
Propylène 1,8 2,0 _ 11,1 11,3
Propane 2,2 2,3 _ 9,5 9,7
Butane / 1,6 _ 8,5 /
Pentane / 1,4 _ 8,0 /
Hexane / 1,25 _ 6,9 /
Benzène / 1,4 _ 8,0 /
Toluène / 1,27 _ 7,0 /
Gaz naturel / 1,8 _ 13,5 /
L’essence / 1,,3 _ 6,0 /
Kérosène / 1,6 _ 6,0 /
Propriétés spécifique :
Pour un carburant donné la détonation est liée à l’architecture des moteurs, elle dépend de
cœfficient de remplissage du cylindre de la forme de culasse de l’alésage.
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Pour classer les carburants on a une méthode en fonction de qualité antidétonante. Le
principe de cette méthode consiste à comparer dans un moteur étalon de comportement d’un
échantillon à celui d’un mélange compose de deux hydrocarbures purs en référence :
a) 2,2,4 triméthyl pentane(isooctane) : c’est un hydrocarbure isoparaffinique par
définition NO = 100 antidétonante.
b) n heptanes : paraffiniques très détonants et par définition NO = 0.
Définition de nombre d’octane :
Un carburant a indice d’octane X si dans le moteur étalon il provoque une détonation
équivalente pour un mélange composé de X partie en volume de isooctane et (100–X) partie
en volume de n heptane.
Le cycle du moteur diesel est différencier du cycle du moteur à essence par le fait qu’il y a
aspiration de l’air et non de mélange carbure, et que la combustion se fait par au
inflammation sans cour de la bougie.
Au moment de l’injection du carburant gasoil avant le pont mort l’air comprimé est porté à
haute température les premières gouttelettes de carburant froid injecté dans la chambre de
combustion serai chauffé, et lorsque la température d’auto inflammabilité est atteinte elle se
flamme spontanément ;donc le temps écoulé entre le moment ou la gouttelette est injecté et
celui ou elle s’enflamme est appelé délai d’allumage.
Délai d’allumage : pour un moteur donné le délai d’allumage est caractéristique des
qualités de combustion des carburants puisqu’il tient compte à la foi de la température d’auto
inflammabilité et des propriétés thermiques des carburants, pour déterminer ce délai
d’allumage on a met au point une méthode permettant de le mesurer en degré vilebrequin,
pour cela on a pris deux hydrocarbures de références :
1. n cétane C16H34 paraffiniques : par définition NC = 100.
2. α–méthyle naphtalène : NC = 0.
3. indice de viscosité :
viscosité dynamique :
μ = 1g de masse / cm s = poise ou centipoise
viscosité cinématique :
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Dans laboratoire on utilise la formule suivante :
ν = c .t
c : constante de calibrage.
t : temps écoulé entre deux repère du viscosimètre.
Pour les huiles de graissage la viscosité est spécification qui conditionne les qualités
demandés pour la lubrification.
Toutes fois la variation de la viscosité est en fonction de la température en effet l’huile des
moteurs travaille dans des conditions de température très variable (–10°C ~ 200°C)
Il faut donc entre ces deux limites l’huile assure ses diverses fonctions :
lubrification.
Refroidissement.
Nettoyage du moteur.
Pour assurer ses fonctions il est nécessaire que l’huile possède une viscosité adéquate, et
que cette viscosité variera le moins possible avec la température et assurera ses fonctions au
mieux à froid et à chaud, pour cela on a mis au point une corrélation empirique sous le nom
d’indice de viscosité.
On a fait choix de deux familles d’huile de base :
1. famille d’huile H type paraffinique de Pennsylvanie ayant une faible variation de
viscosité avec la température est affectée d’un IV = 100.
2. famille d’huile L type naphténique (golf coast) dont la variation varie beaucoup en
fonction de la température est affecté d’un IV =100.
Les échantillons d’huiles des deux familles ont été étudié de point de vue viscosité à 100°F et
210°F ils ont dressé des tables de référence pour toutes ses huiles.
Pour déterminer l’indice de viscosité de l’échantillon on commence a mesurer sa viscosité à
100 °F et 210°F ………….
La TVR est prise à 50°C température correspondant qui peut atteindre une bouteille exposé
au soleil.
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La teneur en soufre et l’eau sont limités.
Tout foie on laisse une partie de mercaptan (RSH) pour détecter les fuites.
GPL /carburant : 10% en volume de propane, 40% de butane, 50% de propylène.
MSCL : mélange spécial carburant liquéfié.
Carburants combustible :
max min
Carburant auto 0,765 0,700
Super carburant 0,770 0,720
Sans plomb 0,780 0,775
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0,15% Supper.
Le soufre provoque la formation de l’acide sulfurique : SO2 → SO3 → H2SO4.
5) Indice d’octane : l’essence idéale doit être brûlé harmonieusement et sans détonation.
Les Huiles:
Les huiles de graissage de fraction pétrolière lourde visqueuse à haute point d’ébullition,
obtenus à partir de résidu atmosphérique dans la colonne sous vide ;le vide est fait pour
éviter le craquage des molécules ( 380°C ).
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Le fait principal des huiles est la lubrification qui est destiné pour réduire les frottements
entre les surfaces en mouvement, on veut :
1) Assurer la circulation de fonction ; on évitant le contact métal-métal.
2) Réduire l’usure.
3) Réduire l’énergie dissipée par le frottement.
On distingue :
a) Les huiles distillat de base.
b) Les huiles résiduelles obtenues à partir de désasphaltage au propane du résidu sous
vide
D’après leurs utilisations :
1. les huiles industrielles.
2. les huiles de turbine.
3. les huiles isolantes.
4. les huiles de coupes.
5. les huiles spéciales. 6. les huiles de moteur.
I. Les huiles industrielles : il existe trois types :
Huiles légère : ν50 = 4-10 cts
Utilisé dans les installations de textile, le graissage des machines de petite puissance et
avec grande vitesse de rotation.
Huiles moyennes : ν50 = 12 - 50cst
Utilisé pour les pompes, les machines agricoles, les machines outils ;la vitesse et la
puissance sont moyennes.
Huiles lourdes : ν50 = 9 - 46cst
Utilisé pour les machines avec petite vitesse de rotation et grande puissance.
II. Les huiles de turbine : ν50 = 22 – 48 cts
Utilisé pour la lubrification et le refroidissement des paliers de turbines à vapeur, les
alternateurs et les génératrices.
III. Les huiles isolantes : ν50 = 9,5 cts
Utilisé pour l’isolation et le refroidissement des enroulements et les noyaux des
transformateurs et l’interrupteur électrique.
IV. Les huiles de coupes :
Utilisé pour le travail des métaux, tour automatique, fraisage sous deux forces.
V. Les huiles spéciales : huiles blanche
VI. Les huiles des moteur :
utilisé pour le graissage des moteurs automobiles, aviation…
Les butimes : ce sont les fractions les plus lourdes, semi solide, obtenus à partir de
désasphaltage au propane de résidu sous vide.
Utilisation : essentiellement est le revêtement des routes, terrasse emballage, baterie des
marchandises.
Caractéristique principale : pénétrabilité, ductibilité,point de ramollissement
Gasoil léger
distill-
ation Gasoil lourd
sous-
vide
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Résidu sous vide désasphaltage au propane
selon la viscosité :
d’après la SAE elle est d’usage universel et basé sur les critères de viscosité.
On détermine 11niveaux de base ou grade ;6 grade d’hiver :
0W , 5W, 10W ,15W ,20W , 25W .
Ces grades sont caractérisés par deux viscosités :
A basse température qui représente l’aptitude de l’huile a favorisé le démarrage à froid,
l’autre pour la pompabilité.
5 grades d’huile par l’été :
Sont caractérisés par deux viscosités à chaud ; l’une cinétique est mesuré à
100°C ,l’autre dynamique est mesuré à 150°C.
SAE 20, SAE 30, SAE 40, SAE 50, SAE 60.
D’autre huiles utilisé pendant toute l’année ; elles sont appelés multigrade :
10W30, 10W40, 10W50, 15W30, 15W40, 15W50, 20W20, 2OW30, 20W40, 20W50.
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Ces huiles possèdent à la fois les limites de viscosités d’un grade à froid et d’un grade à
chaud.
Les huiles multigrades sont généralement des huiles minérales contenant des additifs
améliorant l’indice de viscosité ;et un point de congélation très bas.
Exemple :
20W50 pour tout types moteur (essence, diesel), et pour tout te pour toute l’année et pour le
démarrage à froid à –10°C.
15W50 utilisé dans les pays à climat froid surtout pour le démarrage à –15°C.
La viscosité : exprime la résistance interne des molécules d’huile, elle décroît quand
la température augmente.
Le point de congélation : c’est la température minimale à laquelle l’huile s’arrêt de
s’écouler après un refroidissement.
Le point d’écoulement : la température à laquelle l’huile peut encore écouler après
refroidissement jusqu’au point de congélation.
Pt d’écoulement > Pt de congélation
Le point d’éclaire : température à laquelle l’huile doit être porté pour que les vapeurs
émise s’enflamme spontanément à la proche d’une flamme.il permet de juger la
présence des légers dans l’huile.
La couleur : la couleur est un critère de qualité de fractionnement des huiles ; c’est en
fonction de degré de raffinage.
Le pouvoir cokéfiant :( carbone corradson)
Détermine la teneur en corps résineux et en hydrocarbures polycyclique, peut être
considéré comme un critère de degré de raffinage.
La teneur en eau, en sandre et en impuretés : détermine le degré d’élimination des
impuretés en générale et l’influence sur le rendement en huile.
L’onctuosité : caractérise la continuité et la solidité du film adhérant aux parois de
cylindre, ce film doit réduire les usures pendant le démarrage du moteur à froid.
La détergence : caractérise la fonction de nettoyage et l’élimination des produits
d’oxydation ou dépôt charbonné qui se forme lors du fonctionnement des moteurs
Sur les parois piston cylindre.
Caractéristique chimique :
Tenue à l’oxydation : elle sert à éviter la formation des acides naphténiques, les gommes
des asphaltes qui provoquent la corrosion.
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opération on sélectionne les coupes d’hydrocarbure à des intervalle de point d’ébullition
bien définit ;donc la composition chimique bien définit correspond à cet intervalle ,et par
conséquent une viscosité déterminé.
Le premier soutirage de la colonne est le gasoil lourd.
Les trois autre soutirages latéraux sont :
Coupe d’huile la plus légère (spindle).
Coupe d’huile moyenne (mi-visqueuse).
Coupe d’huile visqueuse.
Au fond de la colonne on obtient une coupe d’huile résiduelle noir et paisse très
visqueuse appelé Bright stock. Toutes ces huiles de base ne sont pas prête à l’emploi il
faudra leur subir une série d’opération pour éliminer les hydrocarbures indésirable de
point de vu viscosité, congélation et carbone corradson …….. Avant de recevoir des
additifs qui vont parfaine de qualité.
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utilisation des adsorbants (terre décolorant) argile, de type silicate alumine.
procédés catalytique en présence de H2 et catalyseur Fe avec Co Mo appelé :
Ferrofininy.
IV. Compondage :
Mélangeage de l’huile obtenue précédemment pour obtenir les huiles finis selon la viscosité
Selon la caractéristique donnée on ajoute des additifs.
Résidu atmosphérique
Déparaffinage à
basse température
Traitement de
finition
Compondage
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Additif
Huile finie
Evaporation : transformation d’une matière liquide à l’état vapeur se produisant sur toute la
surface libre du liquide et à toute température, l’élévation de la température active la
vaporisation.
Si le liquide est immobile l’évaporation est statique ;ce phénomène est observé dans les bacs
de stockage.
L’évaporation augmente lorsque les conditions deviennent dynamique c à d lorsque l’air ou le
gaz sur la surface du liquide est en mouvement.
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Pour les corps purs les courbes de distillation sont des droites horizontales.
Distillation d’un mélange complexe : pour un mélange complexe il est formé de plusieurs
corps, chaque corps a sa température d’ébullition, si lors de la distillation d’un mélange les
vapeurs sont évacués et condensé au fur et à mesure de l’augmentation de la température, on
obtient une quantité de liquide qui s’écroit de plus en plus ;le liquide obtenu appelé soit
fraction soit distillat, chaque fraction a un point initial PI et un point final Pf .
Distillation TBP (Truth Bouilling Point) vrai point d’ébullition :
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L’eau et les sels qui sont dissoute doivent être éliminé avant de passer à la stabilisation ;
cette élimination par décantation n’est pas suffisante pour traiter un pétrole brute (l’eau, les
sels et le pétrole brute sous forme d’émulsion).
Pour briser cette émulsion on fait appel à des procèdes chimique, électrique, mécanique ou
bien combiné, les émulsion sont généralement très stable à cause des film protecteur sur
l’interface qui est formé des acide naphténique des gomme de résine,des paraffine ;ces
dernier sont appelés émulsifiants.
Le dessalage aura lieu dans un dessaleur consiste à l’action chimique des agents
désémulsifiants la température et le champ électrique.
Dessalage et déshydratation :
Le brut arrivé du séparateur de gaz préchauffé prébablement se dirige directement vers la
vanne du mélange avant d’aller au bacs de dessalage ,une eau fraiche est ajuté au brut pour
avoir une viscosité correcte permettant d’effectuer un bon dessalage, ainsi qu’une petite
quantité de produit des émulsifiant est injecté dans le brut par une pompe doseuse ;ce produit
est injecté avant la vanne de mélange.
Le mélange brut et les produits chimique passe par la vanne de mélange, entre dans le
dessaleur le mélange passe à travers des canneaux distributeurs pour entrer dans le champs
électrique à haute tension ou rencontre des électrodes.
Chaque gouttelette a sa entre dans les champs est soumise à la fréquence des courants
alternative provoque des coillisions avec d’autre gouttelettes pour former des grosse goutes,
ces dernières constituent une masse suffisante pour traverser ; la bout se décante au fond des
réservoirs sous l’action de son poid. L’eau, les sels solubles et les impuretés accumule dans la
partie inférieur de réservoir sont retirés de façon continue et automatique.
Le pétrole brut épuré et dessalé s’écoule par le tube supérieur de réservoir et se dirige vers
les unités de stabilisation. Généralement le degré de déshydratation est de 98- 99%
Le degré de dessalage est de 97%
A la sortie de dessaleur le brut doit contenir 0,05 0,1 % de l’eau.
La stabilisation du pétrole brut :
Le but de stabilisation :
a) Se débarrassera de gaz H2S (éviter la corrosion).
b) Se débarrasser les gaz légers dissout dans le brut pour utiliser dans l’industrie comme
combustible.
c) Conservation de grande partie des hydrocarbures légers précieux et volatile comme
C3 et C4.
La stabilisation de brut consiste à éliminer les fractions trop volatile à la sortie des puits en
plus elle contribue indirectement à l’élimination des produits corrosif.
La teneur en gaz doit être inférieur à 0,5%.
La stabilisation se fait par deux procèdes différents par détente ou par fractionnement.
La séparation par détente : consiste a séparé les hydrocarbures les plus légers par
réduction de la pression dans les ballons séparateurs, on utilise la séparation ichtoné dans
plusieurs ballon car une grande diminution dans un seul ballon provoque un haut taux de
vaporisation, et par conséquent un entrainement des hydrocarbures lourds.
Ce procèdes ne permet pas d’obtenir les teneurs inférieur à 0,5% de gaz ;pour cela on
utilise la séparation par fractionnement qui consiste a distillé le pétrole chauffé à environ
de 180 - 220 °C dans une colonne de fractionnement.
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Distillation atmosphérique :
Industriellement il existe deux distillations ; atmosphérique et sous-vide.
Il existe trois types de schéma de distillation atmosphériques en fonction de la nature du
pétrole lourd ou léger (sulfuré ou peu sulfuré).
1. Un schéma comprend une seul colonne de rectification pour les lourds peu sulfuré.
2. Un schéma avec une colonne de rectification précédé d’une colonne de pré
distillation pour les légers sulfureux.
3. Un schéma avec une colonne précédé d’un ballon de flash pour léger peu sulfuré
le ballon de flash et la colonne de pré distillation serve à débarrasser le pétrole de
ses fractions légères pour soulager le four et non pas encombrer la colonne
principale.
L’alimentation du pétrole brut prévenant du bacs de stockage purge par série d’échangeur
pour arriver sa température 220°C, dans le four ou la température 600°C le brut est chauffé
jusqu'à 350°C ;il est introduit dans la zone de flash (liquide +vapeur).
au sommet de la colonne on obtient le gaz et l’essence léger, cette fraction est récupérer dans
le ballon de reflux ou il y a séparation de gaz vers l’atmosphère et l’essence, une partie de
cette fraction est reenvoyé au sommet de la colonne comme reflux froid pour ajuster la
température au sommet de la colonne.
Le premier soutirage est de l’essence lourd qui envoyer vers la colonne de
strippage,du bas de la colonne sort l’essence lourd à travers l échangeur vers le bacs
de stockage .
Le deuxième est le kérosène sort de bas de stripper.
Le troisième soutirage est le gasoil.
Il est noté que la vapeur d’eau envoyé vers le tripper de l’essence lourd et de gasoil
uniquement.
Pour le kérosène il y a stripage sans vapeur d’eau.
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Au fond de la colonne on obtint le résidu atmosphérique qui est destiné à d’autre utilisation
ultérieur.
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