Bureautique, Internet et Design_070648
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ET UNIVERSITAIRE
INSTITUT SUPERIEUR PEDAGOGIQUE DE KIKWIT
«ISP-Kikwit »
INTRODUCTION GENERALE
1. Choix et intérêt du sujet
4. Hypothèse du travail
En rapport avec les questions ci-dessus posées, nous formulons
nos hypothèses de la manière suivante :
- Les élèves de l’Institut Technique Ndungi auraient un degré élevé de
motivation ;
- Les élèves auraient une connaissance suffisante de la place qu’occupe
la motivation dans les apprentissages scolaires.
5. Objectifs du travail
Ce travail poursuit les objectifs ci-après :
- démontrer l’importance de la motivation dans les apprentissages
scolaires ;
- Evaluer les conséquences de manque de motivation scolaire chez les
élèves.
5. Méthodologie du travail
Dans notre recherche, nous avons utilisé la méthode d’enquête et
la technique de questionnaire pour la collecte des données. L’analyse de
contenu et la technique statistique nous ont permis de traiter les données
recueillies.
6. Délimitation du travail
Toute recherche scientifique doit être délimitée dans le temps et
dans l’espace. Dans le temps, elle couvre l’année académique 2023-2024
et sur le plan spatial, la recherche s’effectue à l’Institut Technique
Commerciale Ndungi à Kikwit.
7. Structure du travail
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travailleurs qui se sentent utilisés, restaient donc passif, leur travail n’était
pas reconnu à leur juste valeur, c’est encore souvent le cas aujourd’hui
pour les emplois précaires.
Pour parler sur la motivation, on est censé de se placer dans un
cadre conceptuel ou théorique du sujet. Il faut admettre aussi que le fait de
parler sur la motivation n’implique pas nécessairement qu’on est en train
d’adopter une forme de réductionnisme mais assurément « d’autant
d’écoles psychologiques autant de motivation (Claude Levy, 2003).
Aujourd’hui, la motivation fait l’objet de nombreuses études dans
plusieurs domaines notamment le domaine scolaire.
1.2. Notion
Les théories sur la motivation sont abondantes et la multitude de
définitions du concept «motivation» est loin d'être épuisée. La littérature
montre que les fondateurs et premiers utilisateurs du concept ont eu des
difficultés de synthétiser et définir la motivation. Il y a eu aussi de vifs
désaccords sur certains aspects du concept, désaccords qui continuent
aujourd'hui comme nous le verrons plus loin. Cependant, dans le langage
courant, la motivation correspond à la force qui nous pousse à faire ou à
réaliser quelque chose, au fait c'est ce que nous voulons faire conditionnés
par une récompense ou une sanction.
Pour Prévost « la motivation s'inscrit dans la fonction de
relation du comportement : grâce à elles, les besoins se transforment en
but, plans et projets » (cité dans le Dictionnaire de psychologie, 1991, p.
467).
La motivation a été perçue longtemps comme l'ensemble de
forces qui impulsent notre activité : besoins, instinct, envie, passion, désir,
intérêt, curiosité, volonté, projet, but, etc.... Ce sont des conceptions qui
partaient de l'instinct déterminé génétiquement à la volonté où l'homme
garde son libre arbitre. Le courant Béhavioriste a tenté le premier de
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la compétence (succès) consiste à être meilleure que les autres sur le plan
scolaire, une fois engagés dans le processus d'apprentissage, ils se voient
forcés d'éviter l'échec et d'éviter ce qu'il implique (l'incompétence). Ils
accordent la valeur aux habiletés en tant que statut.
b. La stabilité de la cause : elle est stable quand la cause est permanente aux
yeux de l'élève, variable ou instable quand elle lui paraîtra pouvoir varier
avec la durée (ex. : humeur de l'enseignant, divers aléas, etc.)
1.2. Enseignement
1.2.1. Notion
1.3. Apprentissage
1.3.1. Notion
Ensuite, l’apprentissage vu sous cet angle n’est rien d’autre qu’une aptitude
acquise d’un système à améliorer son comportement par la prise en
compte des résultats passés ou des expériences.
Pédagogiquement, l’apprentissage est toujours vu du point de vue
de l’écolier, de l’élève ou de l’étudiant. Il signifie alors un cheminement ou
un processus plus des aptitudes ou des dispositions acquises, assimiler,
retenues ou conservées, et intégrées pouvant devenir fonctionnelles en
témoignant de la bonne assimilation, de la compréhension, de la rétention
ou de la conservation, de l’intégration, de la reproduction, de la
modification ou de l’amélioration ou de la transformation des
connaissances transmises par l’enseignant (Tingu, 2017).
Lorsque l’on parle de l’apprentissage, on pense toujours aux
comportements les plus développés dans les réactions des individus. A cet
effet, certains psychologues ont classé tous les comportements sur une
échelle. Au bas de l’échelle, il y a les comportements les moins élaborés, et
au plus haut, les comportements les plus élaborés. Sur cette échelle, ils ont
ainsi placé les réflexes, les instincts, les comportements : les états d’âme, les
humeurs,…, les comportements intelligents. Dans les comportements les
moins élaborés, l’on constate l’absence de la volonté et celle-ci s’installe
progressivement au fur et à mesure que l’on tend vers les comportements
intelligents ou les plus élaborés. Les comportements les moins élaborés ne
sont rien d’autre que des comportements innés, tandis que les plus élaborés
sont des comportements acquis (Michel Perraudeau, 2006).
En ce qui concerne l’apprentissage, la caractéristique essentielle est
qu’il conduit au changement de comportement et à l’amélioration du
comportement acquis. Cette caractéristique est importante car elle nous
permet de distinguer le processus d’apprentissage du simple processus de
mémorisation. Ceci indique que l’apprentissage implique la compréhension
qui n’est pas nécessaire pour la mémorisation.
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connaissances théoriques sur une activité donnée, il doit les appliquer, les
réaliser dans une situation concrète, et par voie de conséquence, il faut que
son comportement change. Autrement l’apprentissage est incomplet
(Gaonac et Fayol 2003).
1.3.2. Facteurs d’apprentissage
Lorsqu’on considère l’apprentissage sur le plan de l’enseignement, il
ne ressort qu’il s’agit essentiellement d’un processus psychologique. C’est
ainsi qu’il y a une psychologie propre à l’apprentissage. Plusieurs études et
plusieurs publications sur les processus d’apprentissage donnent des avis qui
sont partagés. Tous cependant sont d’accord sur un petit nombre de
facteurs concernant l’apprentissage. Et, il est reconnu par tous que ces
facteurs accélèrent ou facilitent l’apprentissage chez l’écolier, l’élève ou
l’étudiant.
Certains de ces facteurs sont : le readiness, la motivation, la
perception, la réaction, la concentration, la compréhension et la rétention
(Léon, 1979).
1.3.2.1. Le readiness
Ce terme vient de l’anglais « read ». « To be read » signifie être prêt.
Le « readiness » voudrait dire le fait d’être prêt, le fait d’être mur. C’est un
facteur psychologique de l’apprentissage (Yongo, 2017).
Tout apprentissage d’un individu est régi par la readiness. Il rend
possible l’apprentissage chez un individu. Toutefois, il faut reconnaitre que,
pour une tâche donnée, il faut un readiness qui est spécifique à cette tâche.
S’il n’y en a pas, l’individu apprend de façon incomplète. L’apprentissage
devient impossible et peut ne pas avoir lieu puisque le sujet se sent frustré
et bloqué. Il ne peut pas bien progresser dans l’assimilation de la matière.
- La connaissance physique ;
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- La maturation ;
- Les expériences passées de l’individu ;
- L’apprentissage préalable ;
- La motivation ;
- La perception…
De ce qui précède, il faut retenir que :
1) Le sujet apprend mieux si les tâches qui lui sont proposées sont en
relation avec ses intérêts, ses habiletés et son passé.
2) Dans une classe donnée, le readiness doit être établi de façon sûre et
non supposée.
3) Si les sujets ne sont pas prêts pour une tâche donnée, on peut
remettre à plus tard la tâche ou la restructurer pour l’adapter au
niveau atteint par les sujets.
4) Il y a une différence de forme et de fond dans le readiness. Deux
individus peuvent ainsi avoir le même niveau de développement
intellectuel, mais peuvent être différents dans leurs habilités
mentales.
1.3.2.2. La motivation
L’apprentissage est un acte volontaire, c’est-à-dire ne peut
apprendre que celui qui veut apprendre. La volonté est mise en action, en
jeu. En effet, quelque chose ne peut être apprise à quelqu’un contre sa
volonté. Dans le cas d’une contrainte ou d’une corvée, on n’aboutirait pas
à un résultat efficace, ce serait comme un dressage (Yongo, 2017).
Ce désir ou cette ferme volonté d’apprendre qui est souligné ici
équivaut à ce que l’on appelle « motivation ». Celle-ci est soumise à deux
conditions majeures sans lesquelles les individus ne peuvent apprendre :
- Il faut savoir ce qui doit être appris : c’est-à-dire que faut-il
apprendre ? (quoi ?)
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que l’individu ne travaille que pour gagner des élonges. C’est qu’il
faut savoir que ce système est une arme à double tranchant dans la
mesure où il peut produire des résultats positifs ou négatifs.
5) La connaissance du progrès par l’écolier, l’élève ou étudiant par
rapport au but que l’on s’est assigné encourage un effort continu de
la part de ce dernier.
1.3.2.3. La perception
Elle consiste en une interprétation par l’individu d’une situation de
la vie. La perception n’est pas la même pour tout le monde. C’est ça qui
explique que chaque individu a tendance à croire, à penser, à agir en
fonction de sa manière propre, particulière de percevoir une situation, un
fait ou un phénomène. Autrement dit, chaque sujet perçoit différemment le
monde des autres suivant ses propres objectifs, aptitudes, habilités, états
émotionnels, motifs, ses expériences, bref en fonction de son
environnement. Exemple : les goûts et les couleurs ne se discutent pas. Bref,
tout ceci implique que la perception est différente d’un individu à l’autre,
et affecte son comportement d’une manière particulière.
Toutefois, la perception dépend aussi de la croissance physique, de
la maturation et du niveau atteint par l’individu. L’enseignant doit faire un
effort pour savoir comment chaque élève ou étudiant perçoit les éléments
d’une situation donnée, puisque la perception est différente d’un individu à
l’autre (Yongo, 2017).
1.3.2.4. La réaction
Pour qu’il y ait apprentissage, il ne suffit pas seulement d’avoir une
perception des éléments d’une situation donnée. Aussi faut-il que l’individu
réagisse aux éléments de cette situation. La réaction aux éléments de la
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1.3.2.5. La concentration
C’est une sorte de focalisation de toute la puissance de l’attention
sur un pont particulier, sur des éléments spécifiques d’une situation
constituant l’objet de l’apprentissage. Dans cet effort de focalisation, la
motivation est le premier élément à susciter chez le sujet.
Il ne faut pas confondre la concentration et l’attention. En effet,
l’attention se place généralement au début de l’apprentissage, tandis que la
concentration dans toute son intensité arrive après. C’est en quelque sorte
une attention approfondie et soutenue (Yongo, 2017).
1.3.2.6. La compréhension
Le terme « compréhension » vient du verbe comprendre qui signifie
littéralement saisir avec l’esprit. Mais sur le plan pédagogique, il s’agit en
réalité de saisir mentalement les significations, le sens, les implications grâce
auxquels l’individu parvient à se faire facilement l’idée de toute de toute la
situation.
Le but ultime de l’apprentissage est que l’individu sache ce qu’une
chose signifie car, sans compréhension, tout ce qu’un individu apprend
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serait sans valeur. Bref, dans tout apprentissage, c’est la compréhension qui
est le point le plus important, c’est-à-dire la clé de voûte, car elle
commande tout le système ou tout le processus d’apprentissage (Yongo,
2017).
1.3.2.7. La rétention
Si pour s’établir, l’apprentissage doit avoir recours à des
expériences passées, cela suppose l’existence d’une capacité de souvenir.
Elle s’acquiert grâce à la rétention. Pour que le comportement change, il
faut retenir certains éléments qu’il faut utiliser chaque jour. Si on ne les
retient pas, on les oublie.
Ils s’échappent et l’oubli s’installe. C’est la loi de l’oubli qui est
l’opposé du souvenir. Tout élève, écolier ou étudiant doit faire attention à
l’oubli. Il lui est demandé d’être vigilant pour lutter contre l’oubli. Lorsque
les écoliers, les élèves ou les étudiants apprennent une matière et qu’il y ait
quelques jours d’intervalle qui s’écoulent, ils oublient naturellement
beaucoup de choses de ce qu’ils ont appris. Et au fur et à mesure que les
jours passent après l’apprentissage d’une matière, l’oubli s’accentue et
progresse. Cependant, il faut savoir que l’oubli n’est jamais total ou
complet ; il est graduel.
1.3.3. Types d’apprentissage
Ces types ne sont rien d’autre que des façons dont on acquiert des
notions, c’est-à-dire comment un sujet apprend. Il y a plusieurs façons ou
manières d’apprendre ou d’acquérir des notions dont voici quelques-unes
( Yongo, 2017):
1.3.3.1. Apprentissage inconscient ou accidentel
C’est un apprentissage qui se réalise en l’absence de toute volonté
et de toute intention d’acquérir une matière. Généralement, il se présente
dans le cas où l’on n’a pas l’idée de faire quelque chose. Mais lorsque l’on
31
Conclusion partielle
01 7ème 25 24 49
02 8ème 32 32 64
Préfet des
études
C.O D.E
Epro
Elèves
Huissier
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2.2.3. Méthode
La méthode scientifique désigne l’ensemble des canons guidant ou
devant guider le processus de production de connaissances scientifiques,
qu’il s’agit d’observation, d’expérience, de raisonnement ou des calculs
théoriques.
Selon Mialaret (2004, p. 51), le terme « méthode » a un sens très
précis. Il s’agit de l’ensemble des démarches que suit l’esprit pour découvrir
et démontrer la vérité (dans les sciences). Elle se réfère donc d’une façon
explicite ou implicite, à une théorie de la définition et de la découverte de
la vérité.
Les méthodes de recherche en sciences humaines sont des
procédures définies qui sont utilisées en vue de développer la connaissance
scientifique des phénomènes humains (Raymond et Ivan, 2006, p. 17).
La méthode est définie comme étant un ensemble des opérations
intellectuelles par lesquelles une discipline cherche à atteindre les vérités
qu’elle poursuit, les démontre, les vérifie, les explique, les analyse et les
théorise. (Pinto et Grawitz, 1964, p. 4).
Dans le cadre de notre travail, nous avons utilisé la méthode
d’enquête. Celle-ci consiste à recueillir les avis et les témoignages auprès de
la population concernée.
2.2.4. Techniques
La méthode quantitative s’est vue enrichir par la technique
documentaire et le questionnaire pour la collecte des données. En ce qui
concerne leur analyse, nous avons recouru à l’analyse de contenu et la
technique statistique.
41
2.2.4.2. Questionnaire
a. Notion sur le questionnaire
Un questionnaire est un ensemble des questions, un instrument qui
permet de récolter les données dans une étude ou dans une recherche.
C’est donc une suite des questions (Luhahi, 2013). C’est ainsi que dans cette
étude, nous avons recouru au questionnaire parce qu’il offre l’avantage de
récolter un nombre assez important d’informations auprès de plusieurs
personnes en peu de temps.
b. Administration du questionnaire
Nous avons administré le questionnaire individuellement. En effet,
nous donnions les protocoles aux enquêtés pour qu’ils les remplissent sur
place et nous les remettent.
2.2.4.3. Analyse de contenu
Bardin (1977, p.9) propose la définition suivante « l’analyse de
contenu est un ensemble d’instruments méthodologiques de plus en plus
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Il ressort de ce tableau que tous les sujets enquêtés soit 100% ont
dit qu’ils ont une perception positive de leur école.
2. A l’école, qu’est-ce qui vous intéresse le plus ?
Tableau n° 6: ce qui intéresse le plus les sujets
Réponse Fréquence Pourcentage
Les cours 49 86
Se rencontrer avec les 8 14
amis
Total 57 100
4 fois 6 11
Total 57 100
5. Il vous arrive que, quand vous êtes en classe vous sentez l’envie de
rentrer vite à la maison ?
Tableau n° 9: Eventuel envie de rentrer vite à la maison
Réponse Fréquence Pourcentage
Jamais 5 9
Souvent 38 67
Parfois 14 24
Total 57 100
Ce tableau montre que tous les sujets, soit 100% ont chacun au
moins un cours qui ne l’intéresse pas.
8. Selon vous, à quel résultat s’attend –t-on quand on n’aime pas
apprendre un cours ?
Tableau n° 12: Conséquence de manque d’intérêt à l’apprentissage d’un
cours
Mauvais résultat 49 86
Bon résultat 8 14
Total 57 100
ne semblent avoir un intérêt orienté vers les études. Ils sont beaucoup
orientés vers la distraction liée aux nouvelles technologies de l’information
et de communication.
En ce qui concerne la question relative à l’éventuel nombre
d’absences de chacun par semaine, il s’est révélé que 12 % ne se sont
jamais absentés, 32% se sont absentés au moins une fois, 26% se sont
absentés au moins deux fois, 19 % se sont absentés 3 fois et 11% se sont
absentés quatre fois la semaine. Devant ces absences des élèves nous nous
interrogeons si elles ne se justifient pas par le manque ou la faible
motivation.
Par ailleurs, les résultats ont montré que 9 % n’ont jamais eu
l’envie de rentrer vite à la maison, 67 % ont souvent eu l’envie de rentrer
vite à la maison et 24 % ont parfois eu l’envie de rentrer vite à la maison.
En réalité, l’école constitue un milieu de refuge pour les enfants, un milieu
qui devrait attirer tout enfant. Ce dernier préfèrerait de passer la grande
partie de sa journée à l’école qu’à la maison. Ce sentiment devrait naitre à
partir de la manière dont l’école est organisée. La motivation, comme nous
l’avons décrite précédemment peut être intrinsèque et extrinsèque. L’école
en général et les enseignants, en particulier devraient trouver des
mécanismes qui suscitent la motivation extrinsèque de l’élève.
S’agissant du sentiment des élèves du à la présence d’un enseignant
dans la classe, les statistiques ont montré que 81% se sont déjà senti mal à
l’aise parce qu’un enseignant est dans la salle. Par contre, 19% ne se sont
jamais senti mal à l’aise à la présence d’un enseignant en classe.
Ensuite, dans cette optique, 100% répondent à la question suit que
l’apprentissage de certains cours ne leur intéresse pas. Il est évident que les
enjeux sociaux que véhiculent toutes les disciplines scientifiques ne sont pas
les mêmes. Certaines disciplines scolaires sont perçues positivement et
d’autres, par contre donnent une image négative chez les élèves.
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Nous rappelons que dans cette étude, nous avons formulé deux
hypothèses suivantes :
CONCLUSION GENERALE
Notre travail a porté sur « Impact de la motivation dans le
processus des apprentissages scolaires ». Certes, il apparait que la
motivation est à la base des apprentissages de toutes les branches. Dans
cette perspective, notre recherche avait pour objectif d’analyser le degré de
motivation des élèves aux apprentissages scolaires. Pour cela, nous avons
mené cette étude auprès des élèves de l’Institut Technique Commerciale à
Kikwit inscrits durant l’année scolaire 2022-2023.
Ainsi, la problématique posée s’est résumée autour des questions
suivantes :
- Quel est degré de la motivation aux apprentissages chez élèves de
l’Institut technique Commerciale Ndungi ?
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