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D’ETUDE : LA MACHINE
COPIEUSE
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REVUE DE
CHAP 1 : LITTERATURE
INTRODUCTION :
Copier, c’est reproduire une forme existante à un format quelconque et à une échelle
quelconque. Ce désir est depuis des générations au centre des préoccupations humaines. On se
rend vite compte que reproduire un modèle déjà existant de la même façon que ce dernier devient
fastidieux, plus couteux et prend énormément de temps. Avec l’évolution dans le temps, l’intérêt
du copiage s’est fait très grandissant. On assistera ainsi au fil des années à la mise en œuvre des
procédés de mise en forme dans l’optique de réaliser des formes déjà existantes. Ce désir se fera
plus innovant avec l’avènement de l’industrie et donc la réalisation des pièces en série. C’est
ainsi qu’à ce jour on note plusieurs procédés et/ou machines permettant de réaliser des formes
préexistantes : procédés de moulage, procédés de calquage, imprimante, photocopieuse, scanner,
machine à copier les serrures, tour à copier, fraiseuse à copier, machine à copier, table découpe
de plasma. Nous analyserons succinctement chacune de ces machines afin de déterminer leur
principe de fonctionnement, donner leurs atouts et signifier leurs limites.
I. LE MOULAGE :
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II. LE CALQUAGE :
Définition :
C’est l’action de calquer c’est-à-dire de suivre les contours d'un dessin à l'aide d'un papier
transparent. Utilisé principalement pour reproduire des objets sur du papier, le calquage est le
procédé de copiage le plus ancien, existant avant l’arrivée des machines modernes de copiage.
Principe de fonctionnement :
Il consiste à déposer un papier calque entre la feuille qui contient l’objet à calquer et la
feuille sur laquelle on veut reproduire l’objet en question. Puis en reproduisant les formes de
l’objet à copier sur le papier original, cela laisse une empreinte sur la feuille de copiage.
Avantages et inconvénients :
Avec ce procédé, la copie n’est pas de bonne qualité, et il peut y voir des erreurs si l’un des
trois éléments (papier original, support de copie ou calque) venait à bouger. Aussi, ce procédé
puisque manuel est très lent et donc ne permet pas une copie en grande série. Néanmoins, cette
technique est encore utilisée de nos jours pour conserver les exemplaires de certains documents
tels que les factures, les reçus, etc.
Papier calque
Papier original
Fig. Le calquage
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1. Les imprimantes 2D :
Généralités :
Les imprimantes 2D ont été conçues dès l’apparition des premiers ordinateurs pour reproduire
des programmes ou données informatiques sur support papier pour permettre la consultation et la
conservation. En effet, à l’époque des premiers calculateurs, les écrans n’existaient pas encore et
les méthodes de stockage de l’information étaient très rudimentaires et très coûteuses. Et même
jusqu’à présent avec l’arrivée des ordinateurs assez performants comportant des écrans de lecture,
ces besoins de conversion et de consultation des informations n’ont pas perdu leur ampleur.
Historique :
Avec le temps, les imprimantes ont énormément évolué dans leur technique d’impression et
de traction du papier, mais également dans leur qualité d’impression, leur encombrement et leur
coût. Elles sont passées tour à tour par l’imprimante incluse dans la tabulatrice (dans le monde
de la mécanographie qui a précédé l’informatique), par les imprimantes impact à barres
porte-caractères permettant d’imprimer au départ uniquement des chiffres introduites par
Powers en 1914, et par Hollerith en 1921 ; par des imprimantes à roues, à tambour ou à chaîne
qui vont permettre d’accroître la vitesse d’impression (150 lignes/minute pour l’AN7 de CMB,
record qui tient de 1934 à 1951) et surtout d’imprimer des caractères alphanumériques (majuscule
seulement) à partir de 1931 ; par les imprimantes à « bandes Caroll » (à partir de 1933), bandes
perforées situées de part et d'autre de la liasse d'impression, entraînées par des roues à picots. Ce
n’est qu’avec l’émergence de l’informatique au début des années 1970 que les imprimantes
deviennent des machines périphériques autonomes découplées de la fonction tabulatrice.
Principe de fonctionnement :
Concernant leur principe de fonctionnement, Les imprimantes peuvent être classées en
deux catégories distinctes selon qu’elles utilisent une frappe mécanique (imprimante impact) ou
non (imprimante non-impact ou NIP) :
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Les imprimantes impact : ce sont des imprimantes de base. Elles sont munies de têtes
d'impression qui frappent un ruban imbibé d'encre pour imprimer des caractères sur le
papier, comme une machine à écrire. C’est le cas de l’imprimante matricielle ou à
aiguilles. Cette technologie permet d’imprimer sur des liasses carbonées permettant
d’avoir un double immédiat du document. Elle reste donc utilisée à cette fin dans
certaines entreprises, particulièrement celles du transport.
Ionisateur
de tambour
Tambour
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Avantages : Très bonne qualité de l’impression ; prix modéré des copies ; l'encre
est cuite dans la feuille, elle résiste donc mieux aux frottements et à l'humidité ;
silencieuse ; réserve d’encre importante ; au minimum 2 à 3 fois plus rapide que
les imprimantes à jet d’encre.
Inconvénients : Coût élevé de l’imprimante ; il s’agit d’un investissement à
rentabiliser sur un nombre important de copies ; entretien plus technique et donc
plus couteux.
Utilisations : Application bureautique, impression de textes et graphismes
monochromes.
Imprimantes à jet d’encre : Les têtes d’impressions jet d’encre utilisent de
l’encre liquide contenue dans un réservoir dite cartouche d’encre. La tête
proprement dite est percée de fins canaux remplis d’encre, et un système piézo-
électrique ou de chauffage électrique produit des variations de pression qui
expulsent des gouttelettes sur la feuille, formant des points. Ici, les caractères sont
formés par des concentrations de points, et l’impression se fait donc ligne par
ligne. Néanmoins, la finesse de ces gouttelettes est contrôlable, et la technologie
permet un mélange des couleurs, si bien que la plupart des imprimantes jet d’encre
récentes permettent des impressions « qualité photo ».
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2. Les imprimantes 3D :
Définition :
L'impression 3D ou impression tridimensionnelle est l’appellation « grand public » des
procédés de fabrication de pièces en volume par ajout ou agglomération de matière. Dans le
langage industriel on préfère le terme fabrication additive. Ce type d’impression permet de
transformer rapidement et avec précision, une idée en objet réel en trois dimensions.
Historique :
L'imprimante tridimensionnelle a d'abord relevé de la science-fiction (Arthur C.
Clarke évoquait une « machine à répliquer » dans les années 1960, machine qui allait répliquer
les objets comme on imprimait des livres, ce qui aurait un effet profondément positif sur la
société : « l'humanité s'adaptera comme par le passé ») ou de la bande dessinée (en 1972, dans
le dessin animé Tintin et le Lac aux requins, le professeur Tournesol invente une
photocopieuse tridimensionnelle immédiatement convoitée par Rastapopoulos pour fabriquer
des faux en dupliquant des œuvres d'art volées dans de grands musées).
Puis dans le dernier quart du XXe siècle certaines industries l'ont développée et utilisée (pour
le prototypage surtout).
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Le 16 juillet 1984, le 1er brevet sur la « fabrication additive » est déposé, par trois Français :
Jean-Claude André, Olivier de Witte, et Alain le Méhauté, pour l’entreprise CILAS ALCATEL.
Deux semaines plus tard, l’américain Chuck Hull brevète la technique de stéréolithographie (SLA
pour StéréoLithographie Apparatus). Ce brevet est à l'origine du nom de l’extension du fichier
d’impression .stl, et de l'entreprise 3D Systems, géant de la fabrication d’imprimantes 3D. Cette
dernière lance fin 1988 la première imprimante 3D, la SLA-250.
En 1995 apparaît la technologie d’impression 3D métallique DMLS, pour Direct Metal Laser
Sintering. En 2003 apparaît le procédé de collage de feuilles de papier A4, le 3DPP, pour 3D
Paper Printing.
Donc pratiquement, l'impression 3D commence au début des années 2000, par l'utilisation
de résine chauffée et sert uniquement qu’au prototypage rapide. Les années 2010 voient émerger
des techniques innovantes utilisant une panoplie de matériaux nouveaux : le plastique (ABS),
la cire, le métal (aluminium, acier, titane, platine), le plâtre de Paris, les céramiques et même le
verre et sort du champ exclusif du prototypage.
Principe de fonctionnement :
Le principe est le suivant : un concepteur dessine d’abord l’objet 3D grâce un logiciel de
conception assisté par ordinateur (CAO) tel que SolidWorks, Autodesk Inventor ou
Pro/ENGINEER. Puis Le logiciel CAO exporte le fichier obtenu en format standard pour
l’impression en 3D. Le fichier exporté est un maillage qui englobe un volume en 3D. Ensuite Le
logiciel ZPrint découpe en sections le fichier du modèle 3D sous forme de centaines d'images
numériques, chacune d’elles correspondant à une couche du modèle à imprimer. Enfin, à l’aide
d’un effecteur, Les couches sont empilées les unes sur les autres jusqu’à ce que le modèle soit
terminé. Le principe reste proche de celui d'une imprimante 2D classique à cette grande
différence près : c'est l'empilement des couches qui crée le volume.
Pour l’empilement des couches les unes sur les autres, les buses (effecteurs) des imprimantes
se déplacent en général suivant 3 axes (3 translations d'espace : largeur (X+), profondeur (Y+),
hauteur (Z+)). Certaines imprimantes 3D, plus sophistiquées, rajoutent 2 rotations sur la tête de
buse (A+ et B+) facilitant la conception des supports nécessaires à certaines pièces. La
commande des axes sur les imprimantes 3D est similaire à la commande des axes sur machines-
outils à commande numérique MOCN (les premières MOCN datent des années 1960). Le
fonctionnement est très proche mais sur une imprimante 3D la pièce est réalisée par ajout de
matière et non par enlèvement.
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Applications :
Cette impression qui est l’impression du futur, a des applications multiples. Elle permet une
réalisation rapide et à moindre coût des prototypes, sert à la visualisation d'ergonomie pour
l'architecture ou les études de design, puis à l'appareillage et à la prothèse. Elle permet également
de réaliser certaines pièces de machines difficilement accessible sur achat ( l'industrie dentaire et la
bijouterie de luxe utilisent déjà l'impression 3D avec succès pour la réalisation de pièces finales), et gagne
peu à peu des secteurs industriels qui vont de la production de pièces de voitures, d'avions, de
bâtiments, de biens de consommation, etc.. Des gains en durée et en précision de fabrication
permettent la réalisation de pièces en petites séries.
Avantages :
Nombreux matériaux utilisables. Attention, une imprimante n'est pas polyvalente. Elle est
conçue pour un et un seul type de matériau.
Délais de fabrications courts : l'impression 3D ne nécessite pas d'étape de préfabrication.
Fabrication de formes qui peuvent être très complexes : formes intérieures non débouchantes,
canaux ou logements étroits, profils complexe, etc.
Fabrication sans frais fixes : il n'y a pas d'étapes de pré-industrialisation, de fabrication de
moules, de gabarit ou d'outillage spécifique.
Limites :
La plupart des procédés génèrent des états de surface relativement médiocres ; il est souvent
indispensable de lisser les surfaces par des techniques de polissage plus ou moins complexes.
Ainsi, les centrifugeuses satellitaires à axe oblique constituent une solution intéressante en les
combinant avec des médias abrasifs de petite taille pour atteindre toutes les zones des surfaces
des pièces. Les médias les plus performants sont constitués de poudre de diamant, garantissant
ainsi une efficacité très longue dans le temps. D'un Ra de l'ordre de 15 à 20 µm, il est possible de
passer à des valeurs proches de 0.1 µm voire mieux...
Certaines techniques d'impression tridimensionnelle sont émettrices de particules
« ultrafines » (nanoparticules). Les procédés métalliques basés sur la fusion de poudre donnent
des pièces relativement nocives si la poudre est mal aspirée sur la pièce finale.
En plus, pour la production en série des feuilles de tôles en acier à des dimensions précises,
ce procédé est plus onéreux et plus lent que le procédé d’extrusion de la feuille de tôle puis de sa
découpe aux dimensions, à l’aide d’un chalumeau. Egalement, les imprimantes 3D ne permettent
pas d’imprimer une forme quelconque faite en papier.
Définition :
Un photocopieur, parfois abrégé en « copieur », ou une photocopieuse, est un appareil
de reprographie permettant de reproduire un document rapidement et à faible coût lorsque le
nombre d'exemplaires à reproduire est relativement peu élevé.
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Historique :
En 1938, l'américain Chester Carlson dépose le premier brevet pour un procédé
d'« électrophotographie ». Il ne réussit pas à le vendre avant 1947, lorsqu'une petite société de
New York, Haloid Corporation, décide de s'y intéresser. Elle renomme le
procédé « xérographie », dépose le nom Xerox en 1948 et en prend finalement la dénomination
pour devenir Xerox Corporation. Elle commercialise le premier copieur xérographique (le 914)
entièrement automatisé en 1959, après quatorze ans de développement. À l'échéance du brevet
d'invention, au début des années 1970, Xerox était devenue une multinationale détenant 95 % du
marché des « duplicateurs ».
Principe de fonctionnement :
L'immense majorité des photocopieurs utilisent le procédé xérographique. Cette
technologie analogique de duplication dite « sèche » utilise des charges électrostatiques sur un
photorécepteur pour attirer puis transférer des particules de toner (encre en poudre) sur du papier
afin de former une image. La chaleur, la pression ou une combinaison des deux (fusion) est
ensuite utilisé pour fixer le toner sur du papier.
Le photocopieur est constitué d'un cylindre métallique nommé tambour ou photoconducteur,
recouvert d'une couche de matériau semi-conducteur, du sélénium à l'origine. Ce semi-
conducteur a la particularité d'être électriquement résistant à l'état normal mais de devenir
conducteur quand il est éclairé :
La première opération consiste à charger positivement la couche de semi-conducteur
en électricité statique.
Ensuite l'image à reproduire est projetée via un objectif et des miroirs sur le
tambour photosensible. Les zones claires de cette image rendent la surface semi-
conductrice électriquement neutre en permettant aux charges de se disperser, ces zones ne
sont donc plus chargées électriquement.
L'étape suivante consiste à appliquer le toner : une poudre très fine de carbone noir,
chargé négativement en électricité. Celle-ci ne va adhérer au tambour que sur les zones
qui sont encore chargées positivement (zones sombres de l'image).
On fait ensuite passer une feuille de papier contre le tambour. On inverse la charge
électrique de la feuille pour permettre aux particules de carbone d'adhérer aux fibres du
papier. Puis la feuille est chauffée pour fixer définitivement la poudre de carbone qui
fond et s'incruste dans les fibres du papier.
Ce principe est l’inverse de celui utilisé dans les imprimantes laser et copieurs numériques.
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Avantages et limites :
Les photocopieuses sont des machines de copiage sur papier très utilisées de nos jours
dans tous les secteurs d’activité, et qui ont une multitude de fonctions : photocopier noir sur
blanc, en couleur, à des échelles et des formats variés, etc. Elles ne permettent donc pas la
découpe sur papier ou sur tôle d’une forme précise, et donc inexploitable pour réaliser notre
tâche.
V. LE SCANNER :
Définition :
Un scanner, ou scanneur, aussi appelé numériseur à balayage, est un périphérique
informatique qui permet de numériser des documents physiques ou autres, comme les empreintes
digitales ou les documents officiels par exemple.
Historique :
Le principe de la description ligne par ligne d'un document remonte au moins
au pantélégraphe mis au point par Giovanni Caselli, un physicien italien, vers 1856. Celui-ci
permet la reproduction d'un dessin tracé avec un crayon à mine isolante sur un support
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Principe de fonctionnement :
L’évolution sans cesse croissante de la technologie à parmi de mettre sur pieds une grande
variété de scanners, différents les uns des autres par leur principe de fonctionnement. Nous
pouvons citer entre autres :
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Le scanner à plat : Il est le plus courant. Le document est posé contre une vitre. Sous
cette vitre, un miroir et une source de lumière effectuent ensemble un passage. La
source lumineuse éclaire le document au travers de la vitre. La lumière réfléchie par le
document est renvoyée par le miroir mobile à un système optique qui le transmet à une
batterie de capteurs de type CCD (Charged Couple Device). L'ordinateur se charge
ensuite de recomposer l'image obtenue. Puisque la lumière traverse deux fois la vitre,
les images souffrent d'une légère diffusion de la lumière et d'une relative perte de
luminosité. Il existe cependant d'excellents scanneurs à plat depuis la fin des années
1990.
En général, les numériseurs sont contrôlés par l'ordinateur via l'interface de
programmation TWAIN ou WIA sous Windows ou SANE sous Linux.
Au début des années 1990, les scanneurs à main ont été les premiers scanneurs
« grand public », du fait notamment de leur faible prix. Ils sont aujourd'hui
beaucoup moins fréquemment utilisés, au regard de l'habileté que réclame leur
manipulation et aux erreurs dont leur mode opératoire est la source. Ils restent
intéressants dans des domaines tels que l'analyse de l'écriture, notamment pour le
chinois et le japonais.
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Définitions :
Ces machines, existant en mode mécanique (manuel) et électronique ‘automatique)
permettent, à l’aide d’une clé déjà existant, de reproduire un ou plusieurs exemplaires. Etant de
plusieurs types, ces machines permettent la reproduction des clés plates, des clés à gorge et des
clés de sécurité, pour des serrures à cylindre et pour véhicules, et aux clés cruciformes.
Principe de fonctionnement :
Le principe de fonctionnement de ces machines est en général le même :
Les machines mécaniques : Elles sont munies d’un palpeur (échangeable) avec
réglage micrométrique pour obtenir un ajustement précis. Avec le même levier, il
est possible de réaliser les mouvements X et Y du chariot qui est guidé
avec des patins à rouleaux. Elles incorporent également des étaux latéraux
ajustables afin de copier sans difficultés tout type de clés. Le principe de
reproduction est le suivant : placer la clé originale sur un étau et le brut de la clé
dupliquée sur un autre étau parallèle au premier. En guidant manuellement la clé
originale sur le palpeur l’aide du levier (ce qui va dessiner le profil de la clé), cela
permet d’usiner le brut de la clé copie (en reproduire ce profil sur ce brut),
reproduisant ainsi cette forme.
9
1. Etau à 4 faces
2. Eclairage led
5. Réglage micrométrique
7. Plateau accessoires
8. Poignées
9. Levier de guidage
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2. Ecran tactile
3.Système modulaire
4. Contact électrique
6. Connection au secteur
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Brut
Outil d’usinage
Galet
Gabarit
Limite :
Comme l’indique son principe de fonctionnement et son utilité, les tours à copier
permettent uniquement la reproduction à la même échelle d’une forme de révolution sur un
brut donné, et par conséquent ne peut donc pas être utilisé pour notre besoin.
fraisages et la durée de vie de l'outil. Il y a possibilité d'effectuer des usinages passants sur aluminium sans
tourner la pièce. Il est muni d’un plan de travail anti-rayure. Son palpeur est pneumatique avec commande
sur la poignée.
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Opérateur
Moteur
Palpeur
Pièce originale
Fraise
Brut
Table
Fig. Machine à copier
Avantages :
Machines entièrement mécaniques, principe de fonctionnement simple et maintenance
aisée : donc moins chères (économiques). Conçues pour la production professionnelle
en petites séries de modèles 3D.
Inconvénient :
Ne permet pas le copiage d’un modèle en une échelle voulue ; le copiage se fait
uniquement à l’échelle 1 :1.
Ces tables permettent une découpe minutieuse, précises et à une échelle donnée sur une
tôle d’acier, des formes quelconques entrées dans l’ordinateur par l’opérateur. Cette
découpe est réalisée au plasma (pour les aciers durs) ou au chalumeau (pour des aciers moins
durs).
Le principe est le suivant : l’utilisateur dessine au préalable à l’écran de la machine la forme
et les dimensions de l’objet qu’il désire obtenir ; ou bien celui-ci insère dans la machine une clé
USB contenant le dessin réalisé sur un logiciel de CAO compatible. Puis, après avoir placé la tôle
sur la machine, initialisé la position de l’effecteur et allumé le plasma, l’effecteur se met à couper
sur cette tôle la forme et les dimensions de l’objet dessiné. Cette découpe est possible grâce au
déplacement en translation de l’effecteur suivant deux axes X et Y perpendiculaires, permettant
donc de générer un mouvement plan.
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Ecran tactile
Effecteur au plasma
Tôle de découpe
Avantage :
Cette technique est très efficace dans la mesure où la découpe est rapide, précise et nette ;
avec une qualité de finition acceptable. Elle permet donc la découpe des pièces de moyenne et
grande série.
Inconvénient :
Cette machine ayant ces qualités et possédant cette technologie de plasma plus logiciel
intégré (donc automatique ou semi-automatique) est très onéreuse et demande un personnel
qualifié pour son utilisation et sa maintenance ; par conséquent n’est pas à la portée de tout
le monde.
XI. PROBLÉMATIQUE :
Notre étude porte sur la réalisation d’une machine copieuse dont le but est de pouvoir couper
simultanément, à une échelle donnée sur des tôles d’acier par exemple, des formes dessinées sur
un papier de format A4. Dans nos différentes recherches nous avons pu découvrir qu’il est
possible de copier des formes de façon simultanée en utilisant un gabarit (machine copieuse copy
router machine), de couper sur un matériau une forme préalablement dessinée et enregistrée dans
un ordinateur (machine de découpage plasma chalumeau semi-automatique). Ces machines, étant
semi-automatiques ou entièrement automatiques, nécessites un coût d’investissement énorme
pour l’achat et la maintenance ; également ne sont rentables que pour des productions de
moyennes ou grandes séries. Notre produit vient donc dans cette lancée pour premièrement
rendre financièrement accessible cette technique de copiage (ceci en vue de rentabiliser la
fabrication par copiage des pièces à l’unité ou de petites séries), et également pour rendre
facile sa maintenance sur le plan local.
Au Cameroun la réalisation d’une telle machine est un véritable enjeu économique. Dans le
secteur informel une telle machine serait d’une grande aide au ‘‘soudeur / menuisier métallique
du quartier’’. Dans de grandes industries de construction, elle servira pour la réalisation des
modèles de pièces à l’unité ou en petite série issues des départements de conception. La mise en
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circulation d’une telle machine présente par conséquent une aubaine pour le marché international
en général et pour Cameroun en particulier.
CONCLUSION :
Dans le cadre de la conception de notre machine copieuse nous avons effectué une étude
approfondie de l’existant. Dans le respect du cahier de charges qui nous a été remis, il sera
question pour nous dans la suite de notre conception de ressortir après analyse et justification
préalable le schéma cinématique qui vérifiera tous les critères, de l’aspect technique à l’aspect
économique en passant par l’aspect ergonomique.
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ANALYSE
CHAP 2 : FONCTIONNELLE DE
LA MACHINE
SECTION 1 : ANALYSE FONCTIONELLE EXTERNE
I. ANALYSE DU BESOIN :
1. Enoncé du besoin :
2. Validation du besoin :
Esthétique ;
Fonctionnement ;
Milieu ambiant ;
Ergonomie.
Puis on relie ces éléments entre eux via le produit : on obtient la fonction principale ; et on
relie également ces éléments directement au produit ; ces sont les fonctions contraintes. Nous
obtenons donc pour notre machine le diagramme pieuvre suivant :
Fonction principale :
FP : Découper sur du papier ou sur tôle, avec un chalumeau et aux échelles 2 :1, 4 :1 et 10 :1 des
motifs dessinés par l’utilisateur.
Fonctions contraintes :
FC1 : Etre entièrement mécanique
FC2 : Disposer d’un support de dessin de la taille d’un format A4
FC3 : Avoir un coût de revient inférieur ou égale à 2 000 000 millions
FC4 : Respecter les normes
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Avoir un coût de
FC3 revient inférieur ou 2 000 000 FCFA ≤ 2 000 000
égale à 2 000 000 Prix FCFA
millions
FC1 FC2 FC3 FC4 FC5 FC6 FC7 FC8 FC9 FC10 FC11 poids Pourcentage
FP1 FP1/1 FP1/3 FP1/1 FP1/2 FP1/1 FP1/3 FP1/2 FP1/1 FP1/2 FP1/3 FP1/3 22 17,74
FC1 FC1/2 FC1/1 FC1/1 FC1/2 FC1/3 FC1/2 FC1/1 FC1/2 FC1/3 FC1/2 19 15,32
FC2 FC2/3 FC4/2 FC5/1 FC2/2 FC7/2 FC8/2 FC9/1 FC2/2 FC2/1 08 6,45
FC3 FC4/1 FC3/2 FC3/3 FC3/0 FC3/1 FC3/2 FC3/3 FC3/3 14 11,29
FC11 02 1,61
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17,74
15,32
14,52
Pourcentage
11,29 11,29
8,06
7,26
6,45
5,65
0 0,81 1,61
FP1 FC1 FC2 FC3 FC4 FC5 FC6 FC7 FC8 FC9 FC10 FC11
Fonctions de service
Nous pouvons remarquer, en fonction de leur poids, que toutes les fonctions de service
recensées pour notre machine ont leur importance et leur rôle à jouer.
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Principe de fonctionnement :
2
Z
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L8 : encastrement
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Le déplacement de l’outil (1-1) suivant X entraine celui de la crémaillère (1), ce qui provoque
la rotation du pignon (3) lié à l’arbre (4). Celui-ci entraine la rotation de la roue (5), qui met en
mouvement le système bielle manivelle (6). Cette dernière induit la translation du vérin
télescopique (7), et par conséquent la translation du chalumeau (7-1).
Le déplacement de l’outil suivant Y entraine celui de la crémaillère (1-2) et l’arbre (4), ceux-
ci entrainent le déplacement de la crémaillère (8) qui provoque la rotation du pignon (9) monté
sur l’arbre (10). L’arbre (10) étant en rotation transmet son mouvement à la roue (11), qui met en
rotation la manivelle du système (12), provoquant la translation dans la direction Y, en
multipliant l’échelle bien sûr.
Changement d’échelle :
L’utilisateur pour changer l’échelle devra démonte manuellement les systèmes pignons-
crémaillères d’entrée (1-2) - (3) et (8) - (9) ; les remplacer par ceux correspondant à l’échelle
voulue.
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Définition :
L’analyse multicritère est Analyse qui vise à expliciter une famille cohérente de critères
pour permettre de concevoir, justifier et transformer les préférences au sein d’un processus de
décision. C’est un processus d’aide à la décision prenant en considération plusieurs critères sur
lesquels on va se baser pour confronter différentes solutions possibles (parfois contradictoires),
pour prendre la meilleure décision.
Objectifs :
Cette méthode a pour objectifs d’Aider à prendre une décision ou à évaluer plusieurs
options dans des situations où aucune possibilité n’est parfaite, de Permettre de concilier les
aspects économiques, de design, technologiques, environnementaux, sociaux, …
Exemples d’application :
Elle est applicable dans plusieurs situations de prise de décision telles que : le choix d’un site
d’aménagement, le choix d’un site d’aménagement, la décision d’investissement, le choix de
l’utilisation d’une technologie ou d’un système d’information, le choix de l’utilisation d’une
technologie ou d’un système d’information, etc.
Démarche à suive :
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PROJET DE BUREAU D’ETUDE : LA MACHINE COPIEUSE
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PROJET DE BUREAU D’ETUDE : LA MACHINE COPIEUSE
Niveau 0 : But
Niveau 1 : Critères
Niveau 2 : Alternatives
ETAPE 2 : Matrice des critères de décisions afin de les comparer (matrice de niveau
1)
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PROJET DE BUREAU D’ETUDE : LA MACHINE COPIEUSE
𝟏 = 𝑰𝒎𝒑𝒐𝒓𝒕𝒂𝒏𝒄𝒆 𝒆𝒈𝒂𝒍𝒆
𝟐 = 𝑰𝒎𝒑𝒐𝒓𝒕𝒂𝒏𝒄𝒆 𝒎𝒐𝒅é𝒓é𝒆
Nous nous fixons l’échelle suivante : 𝟑 = 𝑰𝒎𝒑𝒐𝒓𝒕𝒂𝒏𝒄𝒆 𝒇𝒐𝒓𝒕𝒆
𝟒 = 𝑰𝒎𝒑𝒐𝒓𝒕𝒂𝒏𝒄𝒆 𝒕𝒓è𝒔 𝒇𝒐𝒓𝒕𝒆
{ 𝟓 = 𝑰𝒎𝒑𝒐𝒓𝒕𝒂𝒏𝒄𝒆 𝒆𝒙𝒕𝒓è𝒎𝒆
Nous avons les formules suivantes :
𝟏
𝑴𝒐𝒚𝒆𝒏𝒏𝒆 𝒈é𝒐𝒎é𝒕𝒓𝒊𝒒𝒖𝒆 = (𝒑𝒓𝒐𝒅𝒖𝒊𝒕 𝒅𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒆𝒇𝒇𝒊𝒄𝒊𝒆𝒏𝒕𝒔 𝒑𝒂𝒓 𝒄𝒓𝒊𝒕𝒆𝒓𝒆) 𝒏𝒐𝒎𝒃𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒄𝒓𝒊𝒕è𝒓𝒆𝒔
𝒎𝒐𝒚𝒆𝒏𝒏𝒆 𝒈é𝒐𝒎𝒆𝒕𝒓𝒊𝒒𝒖𝒆
𝒑𝒐𝒊𝒅𝒔 =
𝒔𝒐𝒎𝒎𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝒎𝒐𝒚𝒆𝒏𝒏𝒆𝒔 𝒈é𝒐𝒎é𝒕𝒓𝒊𝒒𝒖𝒆
Fluidité de mouvement
S1 S2 S3 Moyenne Poids
géométrique
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Précision
S1 S2 S3 Moyenne Poids
géométrique
S1 1 5 5 2.92 0.72
S2 1/5 1 1 0.58 0.14
S3 1/5 1 1 0.58 0.14
Total 4.08 1
Masse
S1 S2 S3 Moyenne Poids
géométrique
S1 1 1/3 1/2 0.55 0.17
S2 3 1 1/2 1.14 0.35
S3 2 2 1 1.59 0.48
Total 3.28 1
Durée de vie
S1 S2 S3 Moyenne Poids
géométrique
S1 1 1/3 1 0.69 0.2
S2 3 1 3 2.08 0.6
S3 1 1/3 1 0.69 0.2
Total 3.46 1
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Elle s’obtient en multipliant la matrice de solutions (de l’étape 4) avec la matrice des
moyennes des pourcentages relatifs (de l’étape 2), et enfin on choisit la meilleur solution
(solution de poids total maximum).
Masse Coût Fluidité Facilite de Durée Précision Poids
de mouvement changement de vie pondéré
d`échelle
S1 0.000697 0.217 0.026 0.075 0.016 0.163 0.503
S2 0.014 0.046 0.138 0.0209 0.049 0.031 0.298
S3 0.019 0.124 0.067 0.013 0.016 0.031 0.264
Total 1
Nous constatons que la somme des poids pondérés de S1 correspondant à notre schéma
cinématique 1 est supérieure à celle des 2 autres donc V1 est notre choix de schéma
cinématique.
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DIMENSIONNEMENT
CHAP 3 : DES ELEMENTS
MECANIQUES
INTRODUCTION :
Notre machine est constitué en majeur partie des systèmes pignon-crémaillère qu’il va falloir
guider en rotation (pour les pignons), et en translation (pour les crémaillères). Pour cela, les
éléments principaux et critiques que nous allons choisir et calculer dans ce chapitre sont :
Les systèmes pignon-crémaillère (8) ;
Les arbres qui portent pignons (2) ;
Les clavettes, circlips et entretoises pour le montage des pignons sur l’arbre ;
Le vérin télescopique ;
Les éléments de guidage en rotation et en translation ;
Le système de graissage ;
Le bâti.
I. DONNÉES INITIALES :
Echelles : 2 :1 ; 4 :1 ; 10 :1 ;
Diamètres des pignons :
Sachant que notre chalumeau doit être assez lent pour pouvoir couper la tôle, nous nous sommes
fixé comme épaisseur de tôle que notre machine pourra couper à 𝒆 ≤ 𝟔. 𝟒 𝒎𝒎.
En prenant les caractéristiques suivantes pour notre chalumeau :
-Diamètre de buse : 7/10 ;
-Type d’orifice : 0 ;
-Acétylène : Pression=21-34Kpa ; Débit=2-3L/min ;
-Oxygène de coupe : Pression=138-172Kpa ; Débit=14-17L/min ;
𝟒𝟏×𝟏𝟎𝟎𝟎
Nous trouvons une vitesse de coupe du chalumeau de : 𝑽𝑪 = = 𝟏𝟏. 𝟑𝟖𝟖𝟗 𝒎𝒎/𝒔
𝟑𝟔𝟎𝟎
Vitesse linéaire de l’outil : C’est la vitesse maximale à laquelle l’opérateur doit déplacer
l’outil de dessin pour pouvoir couper la tôle en multipliant l’échelle.
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𝑉𝐶
o Echelle 2 :1 𝑉1 = = 5.6945𝑚𝑚/𝑠
2
𝑉𝐶
o Echelle 4 :1 𝑉2 = = 2.84725𝑚𝑚/𝑠
4
𝑉𝐶
o Echelle 10 :1 𝑉3 = = 1.1389𝑚𝑚/𝑠
10
Rayons des pignons d’entrée et de sortie pour respecter nos échelles :
Soit : R0 : rayon du pignon d’entré du mouvement
R1 : rayon du pignon correspondant à l’échelle 2 :1
R2 : rayon du pignon correspondant à l’échelle 4 :1
R3 : rayon du pignon correspondant à l’échelle 10 :1
On fixe R0 = 15mm. Déterminons les autres rayons :
- A l’entrée du mouvement (outil), on a 3 vitesses maximales admissibles pour
chaque échelle donc :
𝑽 5.6945
𝝎𝟏 = 𝑹𝟏 = = 0.3796 → 𝝎𝟎 = 𝟎. 𝟑𝟕𝟗𝟔𝒓𝒂𝒅/𝒔
𝟎 15
𝑽 2.84725
𝝎𝟐 = 𝑹𝟐 = = 0.1898 → 𝝎𝟎 = 𝟎. 𝟏𝟖𝟗𝟖𝒓𝒂𝒅/𝒔
𝟎 15
𝑽 1.1389
𝝎𝟑 = 𝑹𝟑 = = 0.07593 → 𝝎𝟎 = 𝟎. 𝟕𝟓𝟗𝟑𝒓𝒂𝒅/𝒔
𝟎 15
- A la sortie et pour les 3 échelles, le chalumeau pour pouvoir couper la tôle doit
avoir la même vitesse de coupe VC. Donc les rayons des pignons sont :
𝑽 11.389
𝑹𝟏 = 𝝎𝑪 = 0.3796 = 30 → 𝑹𝟏 = 𝟑𝟎𝒎𝒎
𝟏
𝑽 11.389
𝑹𝟐 = 𝝎𝑪 = 0.1898 = 60 → 𝑹𝟐 = 𝟔𝟎𝒎𝒎
𝟐
𝑽 11.389
𝑹𝟑 = 𝝎𝑪 = 0.07593 = 150 → 𝑹𝟏 = 𝟏𝟓𝟎𝒎𝒎
𝟑
𝐋𝐡 = 𝟑𝟔𝟓 ∗ 𝐋𝐫 ∗ 𝐭 𝐫 ∗ 𝐋𝐜
Ici, nous admettons que notre machine fonctionne pendant 10 ans, de 08h00 à 18h00 ; qu’après 3à
minutes de dessin, l’opérateur fait 10 minutes de pause. Nous avons donc :
𝐋𝐫 : Durée d’exploitation de la machine menante (𝐋𝐫 =10 ans)
𝟏
𝐭 𝐫 : Duree d′ une ronde (𝟐 𝒉 )
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En prenant en compte les périodes de maintenances et les jours fériés, nous avons :
Lh’=Lh-15%Lh
Notre machine devant être assez légère pour faciliter le déplacement de l’outil de dessin par
l’opérateur, et assez dure pour supporter les efforts faibles qui s’exercent sur les engrenages, nous
optons comme matériau pour nos pignons et crémaillères le plastique. Les plastiques les plus
utilisés pour engrenages sont : les polyamides et les acétals.
Pour le cadre de notre projet, nous choisissons les polyamides comme matériau, avec les
caractéristiques suivantes :
Choix des dentures : dentures droites car efforts transmis faibles, avec un angle de
pression : 𝜶 = 𝟐𝟎°. Donc pour les matériaux choisis, nous avons bien :
𝑯𝟐𝒎 − 𝑯𝟏𝒎 = 𝟐𝟏𝟎 − 𝟏𝟕𝟓 = 𝟑𝟓𝑴𝒑𝒂 > 𝟐𝟓 𝑴𝒑𝒂
N.B : Une crémaillère est une barre garnie de dents. D’un point de vue mathématique, elle
peut être assimilé à une roue dentée (à denture droite ou hélicoïdale) de diamètre infini. Donc le
dimensionnement des systèmes pignons crémaillères sont semblables à celui des engrenages
roues-pignons.
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Ces calculs vont s’effectuer avec la vitesse linéaire de la crémaillère (entrée du mouvement)
V3 = 1.1389mm/s, correspondant à une vitesse angulaire de la poulie ω3 = 0.07593rad/s et donc
une vitesse de rotation n0 = 0.725 tr/min.
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𝟏,𝟏𝟐.𝟏𝟎𝟕 𝟏 𝟕,𝟐𝟓.𝟏𝟎𝟔 𝟏
𝒁𝑵𝟏 = ( )𝟔 = 1,55 et 𝒁𝑵𝟐 == ( )𝟔 = 1,44.
809752,5 809752,5
Produit 𝒁𝑹 𝒁𝑽 𝒁𝑳 𝒁𝒙 :
Pour le cadre du projet on prend : 𝒁𝑹 𝒁𝑽 𝒁𝑳 𝒁𝒙 = 0,9
On donc déduit que :
210 ∗1,55∗0,9 175∗1,44∗0,9
𝝈𝑯𝑷𝟏 = =266,32 MPa et 𝝈𝑯𝑷𝟐 = = 206,18 MPa
1,1 1,1
Notre cas est un engrenage cylindrique à dentures droite donc 𝝈𝑯𝑷 =min(𝝈𝑯𝑷𝟏 ;𝝈𝑯𝑷𝟐 ).
Donc :
𝝈𝑯𝑷 = 206,18 MPa
Les contraintes de flexion admissibles au pied des dents se déterminent dans ce cas précis
par un calcul à la fatigue pour le pignon. 𝝈𝑭𝑷 = 0,4𝝈𝟎 𝑭𝒍𝒊𝒎 𝒀𝑵.
Coefficient de la longévité en flexion : 𝐘𝐍
Le coefficient de la longévité en flexion est égal à 4 maxi pour les dentures homogènes.
𝟏𝟎𝟔 𝟏𝟎𝟔
On a 𝒀𝟏𝑵 = ( 𝑵 )1/6 =(𝟖𝟎𝟗𝟕𝟓𝟐,𝟓)1/6 = 1,04
𝑯𝐄
Avec :
𝑲𝑨 : coefficient prenant en considération l’effort dynamique extérieur. Dans le projet on
prend 𝑲𝑨 = 1 ;
𝑲𝑽 : coefficient prenant en considération l’effort dynamique apparaissant dans
l’engrenage ;
𝑲𝜷 : coefficient prenant en considération la non uniformité de la distribution des
sollicitations sur la longueur des lignes de contact ;
𝑲𝜶 : coefficient prenant en considération la distribution de la sollicitation entre les dents
par rapport aux erreurs de fabrication.
Coefficient de sollicitation :
Les valeurs recommandées des coefficients de largeur des dents selon l’entraxe (Ψ ba=bw/aw)
et selon le diamètre du pignon (Ψbd=bw/d1) sont données dans le tableau 4.1. D’après le tableau
𝟎.𝟐+𝟎.𝟐𝟓
4.1 du document on prendra 𝜳𝒃𝒂 = = 𝟎. 𝟐𝟐𝟓 et 𝜳𝒃𝒅 = 𝟎. 𝟓𝜳𝒃𝒂 (𝒖 +
𝟐
𝟏)=0.5*0.225*(1+1) =0.225.
En récapitulatif : 𝜳𝒃𝒂 = 𝟎. 𝟐𝟐𝟓 𝒆𝒕 𝜳𝒃𝒅 =0 .225
La vitesse circonférentielle est donnée par : V= 𝒏𝟎 ⦋𝑪𝟎 /(𝜳𝒃𝒂 ∗ 𝒖)⦌𝟏/𝟑 /𝑪𝒗 , avec :
−3
𝑪𝟎 = 𝑭𝒕𝟎 × 𝑹𝟎 = 20 × 15 × 10 = 𝟎. 𝟑𝑵. 𝒎 , u=1, 𝐶𝑣 =1300 et 𝑛1 = 0.725 𝑡𝑟/𝑚𝑖𝑛
D’où V = 0.725⦋0.3/(0.225 ∗ 1)⦌1/3 /1300 V= 1.14*10-4 m/s
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KH=1,27 KF=3.19
Données :
L0 = 400mm (choisit en se fixant que la longueur maximale de dessin par l’opérateur est
de 300mm) ;
K=6 : coefficient de longueur de la denture, est choisi entre 6 et10 ;
𝑹 180
Rpe = 𝒑𝒆 = =120Mpa : résistance pratique à l’extension du matériau de la dent ;
1.5
⃗⃗⃗⃗⃗⃗
‖𝑭 𝒇𝟎 ‖= 𝟐 × 𝟏𝟎 = 𝟐𝟎𝑵 : effort tangentiel sur la dent (fixé sachant que notre dessinateur
doit exercer maximum 2 Kg pour déplacer l`ensemble tout en agissant sur la crémaillère
k=10 : coefficient de qualité de l’engrenage, est choisi entre 7 et 12
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Diamètre d0 - - - 30mm
primitif du
pignon
Longue de la L0 - - - 400mm
crémaillère
Angle de α - - - 20°
pression
Module m ⃗⃗⃗⃗𝒇 ‖
‖𝑭 0.387 0.5
𝟐. 𝟑𝟒√ 20
𝑲 × 𝑹𝒑𝒆 2.34√
6 × 120
Nombre de ZP 𝒅𝟎 30 60 60 dents
dents du pignon 𝒎 0.5
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7. CALCULS DE VERIFICATION :
Par soucis d’alléger le document, seul la vérification du pignon sera effectuée dans cette
partie.
RÉSISTANCE À LA FATIGUE DE CONTACT SUPERFICIEL :
𝑭𝒕 × 𝑲𝑯 (𝒖 ± 𝟏)
𝝈𝑯 = 𝒁𝑬 𝒁𝑯 𝒁𝜺 √ ≤ 𝝈𝑯𝑷
𝒃𝑾 𝒅𝟎 𝒖
Avec :
𝒁𝑬 = 𝟏𝟏𝟔 𝑴𝒑𝒂
𝟏⁄ 𝟏⁄
𝟐 𝐜𝐨𝐬 𝜷𝒃 𝟐 𝟏 𝟐 𝐜𝐨𝐬 𝟎 𝟐 𝟏
𝒁𝑯 = ( 𝐭𝐚𝐧 𝜶 ) × 𝐜𝐨𝐬 𝜶 = ( 𝐭𝐚𝐧 𝟐𝟎 ) × 𝐜𝐨𝐬 𝟐𝟎 = 𝟐. 𝟒𝟗
𝒕𝒘 𝒕
𝟏⁄
𝟏 𝟐 𝟏
𝒁𝜺 = (𝜺 ) or 𝜺𝒂 = 𝒁𝒑 (𝐭𝐚𝐧 𝜶𝒂 − 𝐭𝐚𝐧 𝜶𝒕𝒘 ) × 𝟐𝝅 ;
𝜶
𝑑𝑏 28.19
𝛼𝑎 = cos−1 = cos−1 = 24.58 ;
𝑑𝑎 31
1
→𝜺𝒂 = 17 × (tan 24.58 − tan 20) × 2𝜋 = 𝟎. 𝟖𝟗
1⁄
1 2
𝒁𝜺 = (0.89 ) = 𝟏. 𝟎𝟔
𝑭𝒕 = 𝟐𝟎𝑵
u=1
bw = 10mm
𝐾𝐴 = 1
𝐾𝐻𝑉 = 1.05
𝑲𝑯 = 𝑲𝑨 𝑲𝑯𝑽 𝑲𝑯𝜷 𝑲𝑯𝜶 où : {𝐾 = 1.0738
𝐻𝛼
𝐾𝐻𝛽 = 1.123
Nous avons 𝝈𝑯 =125.79 MPa ≤ 𝝈𝑯𝑷 =206.18 Mpa, donc la résistance à la fatigue de
contact superficiel est vérifiée.
RÉSISTANCE A LA FATIGUE PAR FLEXION :
𝑭𝒕 𝑲𝑭 𝒀𝑭𝑺 𝒀𝜷 𝒀𝜺
𝝈𝑭 = ≤ 𝝈𝑭𝑷
𝒃𝑾 × 𝒎𝒏
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Avec :
Coefficient de la charge par flexion 𝑲𝑭 = 𝑲𝑨 𝑲𝑭𝑽 𝑲𝑭𝜷 𝑲𝑭𝜶
𝐾𝐴 = 1
𝑲𝑭𝜷 = 0.18 + 0.2𝐾𝑜 𝐹𝛽 = 1.782 𝐾𝐹𝛼 = 𝟏
𝟏
𝑲𝑭𝑽 = 𝟏 + 𝑾𝑭𝑽 𝒃𝑾 ×
{ 𝑭𝒕 × 𝑲𝑨
𝟏⁄ 1⁄
𝒂 𝟐 15 2
Or 𝑾𝑭𝑽 = 𝜹𝑭 𝒈𝒐 𝒗 ( 𝒖𝒘) = 0.16 × 5.6 × 0.16 × 10−4 × ( 1 ) = 𝟐. 𝟏𝟐 × 𝟏𝟎−𝟑
1
→𝑲𝑭𝑽 = 1 + [2.12 × 10−3 × 30] × 20 = 𝟏. 𝟎𝟎𝟎𝟑𝟏𝟖
𝜺𝜷 𝜷𝒐 𝑏𝑊 sin 𝛽 𝛽𝑜
𝒀𝜷 = 𝟏 − =1− × 120 = 𝟏 ≥ 𝟎. 𝟕
𝟏𝟐𝟎 𝜋𝑚
Or 𝜎𝐹𝑃 = 152.88𝑀𝑝𝑎 donc Nous avons : 𝝈𝑭 ≤ 𝝈𝐹𝑃 ; donc la résistance à la fatigue par
flexion est vérifiée !!!
ESTIMATION DE LA SOLIDITÉ DES TRANSMISSIONS :
L’écart entre les contraintes calculées et la contrainte admissible est calculée selon la
formule :
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𝛥𝜎𝐻 = 19%
Nous avons bien 𝝈𝑯 ≤ σHP dans les limites de 20% alors les dimensions calculées peuvent
être considérées comme définitives.
RESTRICTIONS CONSTRUCTIVES :
1. POUR L’ECHELLE 2 :1 :
Donnée :
𝑪𝟎
⃗⃗⃗⃗⃗⃗
.‖𝑭 𝒇𝟏 ‖= 𝒆𝒇𝒇𝒐𝒓𝒕 𝒕𝒂𝒏𝒈𝒆𝒏𝒕𝒊𝒆𝒍 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒂 𝒅𝒆𝒏𝒕 = 𝑹 Or 𝑪𝟎 = 𝑭𝒕𝟎 × 𝑹𝟎 = 20 × 15 × 10−3 =
𝟏
𝑪 𝟎.𝟑×𝟏𝟎𝟎𝟎
𝟎. 𝟑𝑵. 𝒎 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
→‖𝑭 𝒇𝟏 ‖= 𝑅 = = 𝟏𝟎𝑵
1 𝟑𝟎
𝝎 𝟎.𝟑𝟕𝟗𝟔∗𝟔𝟎
.𝒏𝟏 = 𝟐𝝅𝟏 = = 𝟑. 𝟔𝟑 𝒕𝒓/𝒎𝒊𝒏
𝟐𝝅
Diamètre d1 - - - 60mm
primitif du
pignon
Longue de la L1 - - - 700mm
crémaillère
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Angle de 𝛂 - - - 20°
pression
Module m ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
‖𝑭 𝒇𝟏 ‖ 0.276 0.3
𝟐. 𝟑𝟒√ 10
𝑲 × 𝑹𝒑𝒆 2.34√
6 × 120
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2. POUR L’ECHELLE 4 :1 :
Donnée :
𝑪𝟎
⃗⃗⃗⃗⃗⃗
.‖𝑭 𝒇𝟐 ‖= 𝒆𝒇𝒇𝒐𝒓𝒕 𝒕𝒂𝒏𝒈𝒆𝒏𝒕𝒊𝒆𝒍 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒂 𝒅𝒆𝒏𝒕 = Or 𝑪𝟎 = 𝑭𝒕𝟎 × 𝑹𝟎 = 20 × 15 × 10−3 =
𝑹𝟐
𝑪 𝟎.𝟑×𝟏𝟎𝟎𝟎
𝟎. 𝟑𝑵. 𝒎 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
→‖𝑭 𝒇𝟐 ‖= 𝑅 = = 𝟓𝑵
2 𝟔𝟎
𝝎 𝟎.𝟏𝟖𝟗𝟖∗𝟔𝟎
.𝒏𝟐 = 𝟐𝝅𝟐 = = 𝟏. 𝟖𝟏 𝒕𝒓/𝒎𝒊𝒏
𝟐𝝅
Diamètre d2 - - - 120mm
primitif du
pignon
Longue de la L2 - - - 1300mm
crémaillère
Angle de 𝛂 - - - 20°
pression
Module m ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
‖𝑭 𝒇𝟐 ‖ 0.195 0.3
𝟐. 𝟑𝟒√ 5
𝑲 × 𝑹𝒑𝒆 2.34√
6 × 120
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3. POUR L’ECHELLE 10 :1 :
Donnée :
𝑪𝟎
⃗⃗⃗⃗⃗⃗
.‖𝑭 𝒇𝟑 ‖= 𝒆𝒇𝒇𝒐𝒓𝒕 𝒕𝒂𝒏𝒈𝒆𝒏𝒕𝒊𝒆𝒍 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒂 𝒅𝒆𝒏𝒕 = 𝑹 Or 𝑪𝟎 = 𝑭𝒕𝟎 × 𝑹𝟎 = 20 × 15 × 10−3 =
𝟑
𝑪 𝟎.𝟑×𝟏𝟎𝟎𝟎
𝟎. 𝟑𝑵. 𝒎 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
→‖𝑭 𝒇𝟑 ‖= 𝑅 = = 𝟐𝑵
3 𝟏𝟓𝟎
𝝎𝟑 𝟎.𝟎𝟕𝟓𝟗𝟑∗𝟔𝟎
.𝒏𝟑 = = = 𝟎. 𝟕𝟐𝟓 𝒕𝒓/𝒎𝒊𝒏
𝟐𝝅 𝟐𝝅
Diamètre d3 - - - 300mm
primitif du
pignon
Longue de la L3 - - - 3100mm
crémaillère
Angle de 𝛂 - - - 20°
pression
Module m ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
‖𝑭 𝒇𝟐 ‖ 0.12 0.3
𝟐. 𝟑𝟒√ 2
𝑲 × 𝑹𝒑𝒆 2.34√
6 × 120
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I. L’ARBRE :
Les deux arbres (3 et 14 du schéma cinématique) travaillent principalement en torsion.
Nous choisissons comme matériau pour ces arbres le polyamide type 6 (PA 6) ; sa limite
d’élasticité est de Re =140Mpa. Nous prenons un coefficient de sécurité de s = 2. D’après la
contrainte équivalente de Von-Mises, nous avons :
𝑹𝒆
σe=√(𝑲𝒕𝒕𝝈𝒕 + 𝑲𝒕𝒇𝝈𝒇)𝟐 + 𝟑(𝑲𝒕𝒐𝝉)𝟐 ≤ 𝑹𝒑𝒆 = 𝒔
𝟑 𝟏𝟔∗𝟏𝟎𝟑 ∗𝟎.𝟑
AN: d= √ = 2.57 mm
𝝅∗𝟏𝟖𝟎/𝟐
Pour les besoins techniques (assemblage des pignons sur l’arbre par clavetage), nous fixons
notre diamètre à :
d= 25 mm
Pour des besoins techniques et les solutions constructives, les longueurs des arbres sont :
L1=241.5mm et L2=143 mm.
II. ACCESSOIRES :
N.B : Les efforts sur nos arbres étant négligeables, nous allons dans cette partie nous passer
de la vérification des accessoires.
1. COUSSINETS :
Pour le guidage des arbres en rotation par rapport au bâti, nous choisissons des coussinets en
polytétrafluoréthylène (PTFE) ayant les caractéristiques suivantes :
Diamètre intérieur : d=25mm
Diamètre extérieur : D=28mm
Longueur : L=15mm
Fig. Coussinet
2. CIRCLIPS :
Pour l’arrêt en translation des pignons sur l’arbre, nous avons choisi des circlips en cuivre
au béryllium dont les caractéristiques sont :
Diamètre intérieur : g=23.9mm
Epaisseur : e=1.2mm
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3. ENTRETOISE :
Pour maintenir les pignons séparés d’une certaine distance sur l’arbre, nous avons choisi des
entretoises ayant les caractéristiques suivantes :
Diamètre intérieur : d = 25.5mm
Diamètre extérieur : D = 33mm
Longueur : L=10mm
4. CLAVETTE :
Pour bloquer les pignons et l’arbre en rotation, nous choisissons des clavettes parallèles forme
A, dont les caractéristiques sont :
Section : a*b = 6*7mm
Longueur : L=6mm (pour les roues de sortie) et 10mm (pour les roues d’entrée)
5. SYSTÈME DE GRAISSAGE :
Le choix du lubrifiant ou graisseur pour les engrenages est réalisé en tenant compte des
paramètres cinématiques, des paramètres de chargement des engrenages, du type d’engrenage et
des caractéristiques des matériaux constitutifs.
Un paramètre important dans le choix du type de lubrifiant est la vitesse périphérique des
roues dentées :
Vmax = V1 = 0.0114 m/s
Nous avons : V=0.0114 m/s Є (0,8…4m/s) donc on utilisera comme graisse le graphite
ou bisulfure de molybdène.
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Pour le choix du mode de graissage, il est fait en fonction du type et de la géométrie des
roues ainsi que leur vitesse périphérique. Pour notre projet, nous choisissons le graissage
temporel : l’opérateur oindra de manière périodique les dents des roues pour rendre fluide
l’engrainement.
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Crémaillère
Pièce
intermédiaire
VI. LE BATI :
Les formes et dimensions du bâti ont été fixées de manière à contenir et supporter nos
mécanismes, à les protéger contre les poussières et autres saletés, etc.
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CONCLUSION GENERALE :
A l’issu de ce projet qui consistait à concevoir et dimensionner une machine copieuse, nous avons
suivi une démarche qualitative et professionnelle consistant en une analyse de l’existant, la conception
et le choix du schéma cinématique par la méthode des multicritères, le visionnement des pièces
maitresses sensible de notre machine, et nous avons terminé par une modélisation numérique (sur le
logiciel SolidWorks) et un devis estimatif de notre machine. Au terme de cette démarche, nous avons
peut effectivement remplir le cahier de chargé à nous assigné par notre donneur d’ordre, tant sur le plan
fonctionnel que financier ; et montant de notre machine s’évalue à un deux millions de franc CFA (2
000 000 FCFA).
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REFERENCES :
Document pdf
o L’imprimante laser, Par Rémy Mellet, Camille Clemont et Alexandre Becquet,
Classe de 1°S5 à Durzy(45), Année 2003-2004
o Les Imprimantes par DAUDÉ Benoît, Fonctionnement de l’impression 3D; La
Vision, l’Innovation et les Technologies
derrière l’Impression jet d’encre 3D_2009.pdf
o L’EXPERIENCE D’UNE ENTREPRISDE LEADER, le meilleur choix des
machines à reproduire tous les types de clés du marché.pdf
o MATRIX SX, manuel d’instructions, D430489XA vers 2.0.pdf
o Fonctionnement d’une Photocopieuse, MÉRÉ Aurélien HÉCART Olivier.pdf
o Machines pour la découpe des métaux, machines pour l’usinage Alu EISMO
o ANALYSE MULTICRITÈRE PAR Nadia Lehoux Pascale Vallée
o Introduction aux méthodes multicritères d’aide à la décision par Sami Ben Mena
o Fiche-oxycoupage au gaz naturel.pdf
o Guide_du_dessinateur_industriel_-_Chevalier_2004.pdf
o Memotech_Conception_560.pdf
o Analyse et conception des liaisons glissières.pdf
Sites web :
o http://courstechinfo.be/Hard/Imprimante.html
o http://Différents types d'imprimantes : jet d'encre, laser, laser couleur, matricielle,
thermique, 3D, photo_fichiers
o www.emmigi.com
o Youtube
o www.wivamac.com
o DMB Webstore.net
o https://jpdconseil.com/excellence-organisationnelle-operationnelle-entrep...
o www.tandwiel.info
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ANNEXE :
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