TDs DE SOUDAGE

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TD DE SOUDAGE

(SEI)

1 .Placez dans l’ordre les quatre principales étapes du soudage.

a) La fusion, b) La solidification, c) Le refroidissement, d) Le chauffage

2. Parmi les éléments suivants, lequel ne constitue pas l’un des quatre principaux facteurs
influant sur les opérations de soudage?

a) La quantité de chaleur transférée, b) La température initiale de la pièce, c) La vitesse de


refroidissement, d) La température de l’air, e) La température atteinte dans la ZTA

3. Répondre par Vrai ou faux ?

a) Plus l’énergie linéaire est élevée, plus le bain de fusion est important.

b) L’étendue de la ZTA augmente lorsque l’énergie linéaire augmente.

c) La vitesse de refroidissement est plus lente lorsque l’énergie linéaire est basse.

d) Plus la vitesse de refroidissement est rapide, plus la dureté des métaux diminue.

e) Le coefficient de dilatation du laiton est plus élevé que celui du cuivre; par conséquent,
lorsqu’il est chauffé, le laiton a moins tendance à changer de dimension que le cuivre.

4. Quel(s) facteur(s) influe(nt) principalement sur la soudabilité des aciers au carbone et


faiblement alliés?

1) Le carbone équivalent, 2) L’épaisseur, 3) La couleur, 4) La propreté de la surface,5) La


trempabilité, 6) La coupe

5. Quelles propriétés physiques influent sur la soudabilité des aciers inoxydables comparativement
aux aciers au carbone?

1) Leur point de fusion 2) Leur conductibilité thermique 3) Leur résistance à la corrosion 4) Leur
malléabilité 5) Leur résistance électrique.

6. Quel type de fonte se soude le plus facilement ?

a) La fonte grise b) La fonte blanche c) La fonte nodulaire

7. Laquelle de ces caractéristiques ne constitue pas un facteur influant sur la soudabilité de


l’aluminium?

a) Son coefficient de dilatation b) Sa malléabilité c) Sa conductibilité thermique d) La présence


d’oxyde à la surface du métal
8. Laquelle de ces caractéristiques ne constitue pas un facteur influant sur la soudabilité du
cuivre?

a) Sa conductivité électrique b) Son coefficient de dilatation c) Son point de fusion d) Sa dureté

9) Associez chaque description avec le type de déformation thermique correspondant.

a) La longueur de la pièce diminue après 1. Retrait transversal


chauffage.
b) Lors du chauffage, les bords de la 2. Retrait longitudinal
plaque se rapprochent.

c) Constitue le résultat d’un processus de 3. Déformation


dilatation/retrait bloqué par des angulaire
contraintes.
d) À la suite du chauffage, l’assemblage 4. Gondolement
penche vers la zone de soudure.

e) Les bords prennent une forme 5. Tensions internes


d’accordéon.

10) Répondre par Vrai ou faux

a) Une augmentation de la ZTA augmente les risques de déformation.

b) Plus le cœfficient de dilatation est bas, plus les risques de déformation sont élevés.

c) Plus la pièce est épaisse, plus les risques que le soudage entraîne des tensions internes sont élevés.

d) Plus la température de soudage est élevée, plus les risques de déformation sont élevés.

e) Les tensions internes sont souvent visibles à l’œil nu

11) Cochez les avantages du préchauffage d’une pièce parmi les suivants.

a) Ralentit la vitesse de refroidissement


b) Augmente l’épaisseur de la soudure
c) Permet d’évaporer l’eau contenue dans la pièce.
d) Réduit le temps de soudage.
e) Réduit la quantité de métal d’apport nécessaire
f) Minimise les contraintes à la dilatation

12) Répondre par Vrai ou faux ?

a) Une augmentation de la vitesse de soudage augmente les risques de déformation.

b) Une bonne préparation des joints permet de réduire les risques de déformation lors du
soudage.
c) Le préchauffage constitue une méthode courante permettant de minimiser les déformations; on
l’applique particulièrement aux plaques épaisses.

d) Lors du soudage, il est recommandé de réduire au minimum le nombre de passes afin de


minimiser les déformations angulaires.

e) Le bridage ne doit jamais être utilisé pour empêcher les déformations causées par le soudage.

13) Identifiez la bonne séquence de pointage parmi celles présentées

.
TD DE SOUDAGE (SE2)

Répondre par vrai ou faux et justifier votre réponse

1) On ne peut jamais souder entre eux des métaux de natures différentes ?


2) Le soudage nécessite obligatoirement la présence d'un métal d'apport ?
3) Le seul moyen de souder 2 pièces est d'apporter de la chaleur par un chalumeau ou un
arc électrique.
4) Quel que soit le procédé de soudage utilisé, il est nécessaire de protéger la soudure de
l'oxydation durant sa réalisation.
5) La zone soudée peut être aussi résistante que le reste de la pièce.
6) Les procédés de soudage sont fiables et il n'est pas nécessaire de contrôler la soudure.
7) Lors du soudage, le chauffage de la pièce est très localisé et ne pause aucun problème
pour la qualité de la pièce.
8) Au voisinage de la soudure on voit apparaitre une zone affectée thermiquement qui est
plus dure que les matériaux soudés.
9) Il est aussi facile de souder de la fonte que de l'acier.
10) Seules certaines familles d'alliages d'aluminium sont soudables facilement.
11) Les aciers alliés sont soudables avec un fort taux de carbone.
12) Les aciers non alliés ne sont soudables sans risque que si leur taux de carbone est
inférieur à 0.8%.
13) Pour souder bord à bord 2 pièces efficacement il est nécessaire de préparer les bords.
14) Le soudage ne chauffant que localement il ne provoque pas de déformation de la
structure.
15) Le procédé TIG utilise un gaz actif pour accélérer le soudage.
16) Le TIG permet de souder tous les aciers.
17) Le procédé à l'électrode enrobée nécessite une baguette de métal d'apport.
18) Qu'est ce que le soudage autogène ?
-C'est le soudage de 2 pièces de matériaux identiques
-C'est un soudage par pression
-C'est un soudage sans métal d'apport

19) Le soudage laser est le seul à minimiser les effets thermiques sur la pièce
20) - Quelle est la différence entre MIG et MAG ?
21) Le gaz du MIG réagit avec le métal fondu et permet de souder des aciers à haut point de
fusion.
22) Le gaz du MAG réagit avec le métal fondu et permet de souder des aciers à haut point
de fusion.
TD DE SOUDAGE (SE3)

Exo1

1) Donnez (allure) la distribution de la température en fonction de la distance dans


l’assemblage (en acier) soudé ci-dessous : T (°C)
x (mm)

2) Donnez les transformations au chauffage et au refroidissement pendant le cycle de


soudage.
3) Expliquez le phénomène de grossissement des grains (austénitiques) au niveau de la ZAT
4) Définissez le phénomène de dissolution des carbures, et à quelle gamme de température
apparaît-il ?
5) Donnez la microstructure de la ZAT dans le cas de la non dissolution des carbures. Dans
le cas contraire, quelle est la microstructure obtenue ?

Exo2

1) Quel est l’intérêt du calcul du carbone équivalent ?


2) Si le carbone équivalent est supérieur au seuil critique, qu’est ce qu’il faut faire ?
3) Quels sont les deux modes de refroidissement de la Zone Affectée Thermiquement qui
existent après soudage ?
4) Quelles sont les causes du refroidissement rapide ?
5) On voudrait réaliser une charpente métallique en acier Creusabro 4000 ayant :
0,22% C, 0,6% Mn, 1,6% Cr, 0,28% Mo, 0,13% Ni et 0,15% Cu. Sachant que la valeur
du Céq critique est de 0,42 :
Déterminez la température de préchauffage pour les cas suivant (voir graphique) :
✓ Soudage de Tôle de de 30mm d’épaisseur
✓ Soudage d’IPE d’épaisseur 15mm
La formule du carbone équivalent est données par :
Courbe de détermination de la température de préchauffage :
6) On se propose maintenant de réaliser la même structure métallique avec un acier S235 :

a) Quelle est la nature de cet acier (acier doux/non allié/faiblement allié/fortement


allié) ?
b) Est-ce qu’il est nécessaire de calculer le carbone équivalent dans ce cas pour s’assurer
de la soudabilité ? justifiez votre réponse.

Exo 3

1) Quel est (sont) les traitements thermiques à réaliser dans le cas des assemblages soudés ?
Justifiez votre réponse (voir assemblage à la fig. ci-dessous pour analyser davantage)

2) On découpe une éprouvette de traction dont la fibre moyenne est confondue avec l’axe x
de la pièce présentée ci-dessus. Le matériau est supposé ductile, sans mentionner de valeur
de résistance ni de déformation, donner l’allure de la courbe de traction de cet assemblage
suivant la direction x (transversale).

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